La Chapelle-en-Serval compte six communes limitrophes, dont trois sont situées dans le département voisin duVal-d'Oise :Luzarches,Fosses etSurvilliers.
Le découpage du territoire communal est quelque peu surprenant. Ainsi, la RD 1017, au sud du village, constitue la limite entre La Chapelle (à l'ouest) et Survilliers (à l'est). Survilliers arrive donc jusqu'à l'entrée sud du village, près de la zone artisanale, et La Chapelle arrive jusqu'aux dernières maisons du plateau de Fosses. Le centre commercial avec sonhypermarché près de la gare deSurvilliers-Fosses se situe par ailleurs sur la commune de La Chapelle, qui arrive également jusqu'aux premières maisons de Survilliers au lotissement du Petit Argenteuil.
Quant àPlailly, village situé au sud-est de La Chapelle, le bois privé Garenne de la Justice au sud du village incombe à cette commune limitrophe. - Au nord de La Chapelle, la RD 1017 sert une nouvelle fois de limite entre La Chapelle et une commune voisine, Orry-la-Ville : le cimetière d'honneur militaire près du village et face à l'ancienharas de la Censière est situé sur le territoire d'Orry. Finalement, reste à signaler qu'à l'extrémité sud-est du bois communal dePontarmé, se rencontrent quatre communes en un point : La Chapelle,Pontarmé, Plailly etThiers-sur-Thève.
Cette dernière commune n'est toutefois pas limitrophe de La Chapelle[2].
La commune est située dans lebassin Seine-Normandie. Elle est drainée par le fossé 01 de la commune de Pontarmé et le ruisseau de la Batarde[3],[4],[Carte 1].
Réseau hydrographique de la Chapelle-en-Serval[Note 1].
Le patrimoine naturel et paysager de La Chapelle est protégé par deuxZNIEFF du type 1. La ZNIEFF n° national 220014323 « Massif forestier de Chantilly / Ermenonville » concerne sur La Chapelle l'ensemble des parcelles de laforêt de Chantilly[13]. C'est en même temps unsite naturel classé « Domaine de Chantilly », créé par arrêté du sur la base de laloi du 2 mai 1930 relative à la protection des monuments naturels et des sites de caractère artistique, historique, scientifique, légendaire ou pittoresque[14]. La ZNIEFF n° national 220014325 « Bois de Morrière » porte essentiellement sur un bois de ce nom situé sur la commune de Plailly, mais englobe également toutes les forêts de La Chapelle à l'est de la RD 1017. Il s'agit plus particulièrement de la Garenne de la Chapelle, qui correspond au domaine privé des deux châteaux au sud de la RD 118 ; du Bois de la Grande Mare avec ses étangs de pêche et sa piste d'entraînement de chevaux au nord-est du territoire ; ainsi que de la Remise Saint-Germain, entre ce dernier bois et la RD 1017[15]. Seulement la Remise Saint-Germain est en partie accessible au public grâce à la présence de chemins ruraux, dont notamment le CRno 11 dit de Thiers, qui part de l'allée Saint-Georges derrière la mairie et permet de rejoindre Thiers-sur-Thève et Pontarmé. Cette seconde ZNIEFF entre, sur le territoire de La Chapelle, dans le site classé « Forêtsd'Ermenonville, de Pontarmé, de Haute-Pommeraie, butte et clairière deSaint-Christophe », créé par arrêté du[16]. Ce site couvre, en dehors des zones construites et d'une zone au nord-est de la mairie, la totalité du territoire communal au nord et au sud-est, avec le bois du Chenuet. Ainsi, toutes les forêts de La Chapelle-en-Serval ainsi que les pâturages au nord sont protégées soit par une ZNIEFF, soit par un site classé, soit par les deux types de protection. Finalement, l'ensemble de la commune fait partie du vastesite inscrit de la vallée de laNonette, créé par arrêté du[17]. Ce site inscrit a préfiguré leparc naturel régional Oise-Pays de France pour sa partie située dans l'Oise, créé par décret du et incorporant l'ensemble de la commune de La Chapelle[18]. - Concernant la randonnée pédestre et équestre, les possibilités sont restreintes en dehors de la forêt de Chantilly et de ses massifs annexes, et en dehors du chemin rural déjà cité. Une piste cyclable relie toutefois La Chapelle et Orry-la-Ville.
Poteau Nibert en forêt de Coye, point de rencontre avec Luzarches et Orry-la-Ville.
Les prés près du haras de la Censière, le long du chemin ruralno 11.
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d'occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (45,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (46,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,9 %),terres arables (36 %), zones urbanisées (9,6 %), prairies (7,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,8 %)[21]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à la La Chapelle-en-Serval en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion derésidences secondaires et logements occasionnels (2,5 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 70,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (71,9 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 4].
La Chapelle-en-Serval doit son développement dans le passé au carrefour routier où le village est établi. Le principal axe routier est l'ancienneroute nationale 17 (actuelle RD 1017), orientée globalement dans un sens nord-sud. Localement appelée route des Flandres[22], elle relie la région parisienne àSenlis etPont-Sainte-Maxence.
De ce fait, lagare d'Orry-la-Ville - Coye joue un rôle plus important, car desservie également par leTER Hauts-de-France dont les trains sont sans arrêt entre cette gare et Paris, avec un temps de voyage de 19 minutes seulement. En outre, Orry-la-Ville - Coye est desservie par des trains pourAmiens etCompiègne.
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La localité a été désignée commeLa Cape-en-Servois,La Chape-en-Servois,La Chapelle-en-Sorval,La Chapelle-sous-Survilliers (Capa in Sylvanectensi ,Cappa in Sylvense,Capella de Sorval en 1233 ,Capella subtus .Sorvillare en 1281,Capella in Sorval en 1297,Capella in Sourval en 1427,Capella in Sorvillare en 1512,Capella supra Vallem en 1515)[1].
SelonLouis Graves, « Le Serval, Sorval, Servois ou Servais, d'où la Chapelle a pris son nom, était une petite contrée dont Survilliers (Sorvillare) placé au centre, formait le chef-lieu naturel; elle s'étendait entre Saint-Witz , Vémars, Fosse, Qry et la rivière de Thève[1] ».
Serval est, ici, un dérivé deserve, forme régionale deselve, issu dulatinsilva (forêt)[24].
En 1841, la commune est propriétaire dupresbytère, légué en 1834 par l'abbé Massicot, une maison d'école, un lavoir, un jeu d'arc et deux hectares de friche. On y compte une distribution de poste aux lettres, unrelais de poste aux chevaux, une carrière. « Le territoire boisé et sablonneux fournit peu de travail à la population qui comprend un grand nombre d'ouvriers en tout genre[1] ».
Pendant laSeconde Guerre mondiale, l'école des cadres de La Chapelle-en-Serval[26] est, avec cellesd'Uriage et d'Écully et parmi plus d'une soixantaine d'établissements de ce type, l'une des trois écoles de cadres d'envergure nationale créées par lerégime de Vichy. Située enzone occupée, elle se singularise par une orientation plus nettementcollaborationniste[27].
Lors du second tour desélections municipales de 2014 dans l'Oise, la liste sans étiquette menée par l'UMP Daniel Dray[28] obtient lamajorité relative des suffrages exprimés, avec 574 voix (42,70 %, 17 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires), devançant largement les listes menées respectivement par[29] : - Philippe Espercieux (DVD, 377 voix, 28,05 %, 3 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire) ; - Annick Pincé (DIV, 238 voix, 17,70 %, 2 conseillers municipaux élus) ; - Dominique Herent (DIV, 155 voix, 11,53 %, 1 conseiller municipal élu). Lors de ce scrutin, 28,00 % des électeurs se sont abstenus.
Lors du premier tour desélections municipales de 2014 dans l'Oise, la liste menée par le maire sortant Daniel Dray est la seule candidate et obtient donc la totalité des 515 suffrages exprimés. Ses 23 membres sont élus conseillers municipaux et 3 d'entre eux sont également conseillers communautaires. Lors de ce scrutin marqué par lapandémie de Covid-19 en France, 69,84 % des électeurs se sont abstenus et 34,70 % d'entre-eux ont voté blanc ou nul[30].
Les enfants de la commune sont scolarisés dans k'école élémentaire du Bois de Chêne.Ses effectifs sont de 176 écoliers. L'école accueille les enfants dans les classes du cycle des apprentissages fondamentaux (CP, CE1, CE2) et du cycle de consolidation (CM1, CM2). L'école proposait 8 classes pour un total de 176 élèves lors de la rentrée de l'année scolaire 2020, la totalité dans les classes de primaire. 34 élèves sont en CP. Le CE1 compte 34 élèves, 40 élèves sont en CE2, les CM1 sont 31 élèves et les CM2 36 élèves. L'école ne propose pas de classe de maternelle. Lors de la rentrée 2020, l'école n'accueillait pas d'enfant en situation de handicap dans le cadre du dispositifULIS. La moyenne générale d'élèves par classe est donc de 22 élèves[réf. nécessaire].
La commune accueille le collège du Servois, construit en 1983 et agrandi en 2019[36].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[39].
En 2022, la commune comptait 3 109 habitants[Note 5], en évolution de +2,74 % par rapport à 2016 (Oise : +0,87 %,France horsMayotte : +2,11 %).
La population de la commune est relativement jeune.En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à30 ans s'élève à 39,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à60 ans est de 16,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 531 hommes pour 1 609 femmes, soit un taux de 51,24 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[41]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,2
90 ou +
0,2
3,4
75-89 ans
3,9
11,9
60-74 ans
12,4
24,5
45-59 ans
23,1
19,7
30-44 ans
21,0
20,2
15-29 ans
18,4
20,1
0-14 ans
20,9
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[42]
Hôtel particulier Saint-Georges, rue du Château : cette maison est située sur l'ancien tracé de la route royale deParis àSenlis et tient son nom de l'enseigne qu'elle portait. L'appellation locale« leprieuré » ne correspond à aucune réalité historique, lescisterciens n'autorisant pas de prieurés dans leur ordre. Au début duXIIIe siècle, il esttenu àcens par unseigneur du nom de Waringold, qui l'avait vendu auparavant à l'abbayebénédictine Saint-Remy deSenlis. Les moines de l'abbaye de Chaalis achètent cette maison appelée hôtel Saint-Georges en 1219 avec l'assentiment de Waringold. L'hôtel est aussitôt rattaché à lagrange de Commelles dont il devient une annexe. Le domaine de La Chapelle, composé essentiellement de prés, s'agrandit successivement au cours duXIIIe siècle mais reste toujours modeste. Lors d'unaveu et dénombrement de 1500, la superficie est de vingt-deuxarpents de la petite mesure locale, l'abbaye ayant auparavant renoncé à dix autres arpents. Depuis longtemps, les religieux ont cessé d'exploiter directement ces terres et vendent le domaine, mais la rente annuelle de huitlivres n'est pas toujours payée par les nouveaux propriétaires, et Chaalis récupère l'hôtel Saint-Georges. Une seconde vente en 1570 est annulée en 1643, et l'abbaye loue ensuite le domaine parbail emphytéotique de quatre-vingt-dix-neuf ans. Par défaut de paiement, ce contrat est lui aussi annulé en 1711, et l'année suivant, le domaine est vendu définitivement à Charlotte-Madeleine Huguet, veuve du marquis deCotentin, seigneur de plusieurs localités des alentours, moyennant quarante livres de rente perpétuelle et non rachetable. L'hôtel devient partie intégrante de laseigneurie de La Chapelle. Le bâtiment actuel remonte en partie à la fin du Moyen Âge et conserve une cave de quatretravéesvoûtée d'ogives et des éléments de façade duXIIIe siècle. Occupant une surface de neuf sur vingt mètres environ, il comporte un étage et une grande porte cochère au centre. Très restauré et rehaussé d'un mètre en 1900, le caractère d'origine de la maison s'est perdu[46],[47]
Ancien relais de poste - ancien hôtel du Mouton, sur l'ancienneRN 17 : en 1774, le village compte quinze hotelleries et prospère grâce à sa situation sur la route royale, près de la bifurcation versChantilly etSenlis. La durée du voyage depuis Paris est alors de sept heures. Lerelais de poste, établi en 1632, se situe entre ceux deLouvres (au sud) et Senlis (au nord). Lemaître de poste doit être breveté par laFerme générale et toujours disposer de chevaux frais pour les chevaucheurs royaux, qui assurent un service de messageries rapides. Bien entendu, le relais des chevaux des attelages doit également être assuré, et des chevaux peuvent être loués à des particuliers. Tous les chevaux sont ramenés au pas depuis les deux relais voisins par unpostillon. En 1788, le relais de poste de La Chapelle dispose de cinquante chevaux. Il est tenu par la famille Doutreleau de 1515 jusqu'à sa suppression en 1862[48],[49] (année d'ouverture de laligne ferroviaire Chantilly - Senlis). Extérieurement, l'ancien relais est assez bien conservé, avec notamment sa grande porte cochère, sagalerie de circulation en bois dans la cour, de vieux escaliers et des vestiges de murs àcolombages.
Château Mont-Royal, en dehors du village, près de la RD 118 en direction dePlailly :Fernand Halphen choisit pour son nouveau château une butte au sein de la « garenne de La Chapelle », forêt appartenant au domaine du « Vieux Château ». Après avoir rejeté le projet de style anglo-normand de l'architecteRené Sergent, puis un premier projet de style médiéval (dessins auMusée d'Orsay), le compositeur fixe son choix sur le second projet deGuillaume Tronchet : un château destyle Louis XVI célébrant la chasse à l'extérieur et la musique à l'intérieur. La construction s'échelonne de 1908 à 1911. Sur les façades, des bas-reliefs dus àGeorges Gardet célèbrent les plaisirs de la chasse. L'intérieur comprend notamment un théâtre, réplique de celui de l'Opéra-Comique, aujourd'hui utilisé par le restaurant de l'hôtel. Durant laSeconde Guerre mondiale, le château est vidé de son mobilier et vandalisé. En 1989, J.P. Hermier l'achète aux descendants de Fernand Halphen et le transforme en hôtel quatre étoiles[50], qui ouvre ses portes en 1990. En juin 1992, le groupe deshôtels Concorde acquiert l'ensemble de la propriété. L'hôtel comprend cent neuf chambres dont cinq suites, un restaurant et une piscine couverte.
Hôtel de ville, sur l'ancienne RN 17, à la sortie nord du village en direction de Senlis : cette ancienne villa de 1867 baptisée « la Solitude » est rachetée par la commune sous le maire Georges Halphen, en 1977, pour y installer la mairie[51]. Le bâtiment d'un style formel en brique et pierre se démarque par une tour carrée de trois étages, il est entouré d'un petit parc paysager ouvert au public. S'y trouvent une pièce d'eau avec fontaine et une aire de jeux pour enfants, ainsi que la salle municipale des fêtes. L'ancienne mairie-école subsiste toujours rue du Vieux-Château, reconnaissable à l'horloge sur la façade.
La maison médiévale Saint-Georges.
L'ancien hôtel du Mouton, ancien relais de poste.
Le « vieux Château » de La Chapelle, façade ouest.
La terre proprement dite de La Chapelle-en-Serval, ancienne dépendance du grand domaine dePlailly, est vendue en 1281 à Jean d'Angicourt,chanoine de Senlis par Oudart de Pontarmé, surnommé le Bourguignon[1].
Elle appartint plus tard, avecOry, au président Brion , puis à la marquise de Cotentin. En 1841, le principal domaine est dans la maisdn de Biron[1].
Jeannine Legrand,Histoire d'un village : La Chapelle-en-Serval, Chantilly, Horarius et Cie, s.d. (ca. 1998), 215 p.
Gustave Macon et Ernest Dupuis, « La Chapelle en Serval, Géni, l'hôtel Saint-Georges »,Comité archéologique de Senlis, Comptes-rendus et Mémoires, Senlis, Imprimerie de Charles Duriez,4e série,vol. VI,,p. 69-81(lire en ligne)
↑Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Orry-la-Ville comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑Communes limitrophes et autres renseignements topographiques selon la carte topographique 1 : 25000e « TOP 25 » de l'IGN, consultable en 3D sur le site« Geoportail »(consulté le). Distances mesurées par l'outil proposé dans le mode de visionnage en 3D.
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
↑Cf.PhilippeThuillot, « La route des Flandres : Histoire et Développement »,Société d'histoire et d'archéologie de Senlis, Comptes rendus et mémoires, Senlis, s.n., 1981-82,p. 125-133(lire en ligne[PDF]).
↑Jean-Pierre Azema et Olivier Wieviorka,Vichy, 1940-1944, Éditions Perrin, 2004,(ISBN9782222038436),p. 148.
↑Jérôme Cotillon, « Jeunesses maréchaliste et collaborationniste dans la France de Vichy »,Matériaux pour l'histoire de notre temps,no 74,,p. 33(lire en ligne).
↑Hervé Sénamaud, « Municipales : Dray souhaite préserver La Chapelle-en-Serval »,Le Parisien,(lire en ligne, consulté le)« Je suis élu depuis 2001, j'ai même été adjoint aux finances, rappelle-t-il. Je m'étais dit que, lorsque je serai en retraite, je me lancerai dans la course. » Celui que le maire en place, Philippe Espercieux (MoDem), qualifie « d'opposant constructif », a donc trouvé des colistiers ».
↑« OISE (60) - La Chapelle-en-Serval »,Résultats des élections municipales et communautaires 2014, Ministère de l'intérieur(consulté le).
↑« OISE (60) - La Chapelle-en-Serval »,Résultats des élections municipales et communautaires 2020, Ministère de l'intérieur(consulté le).
↑« L'annulation des élections municipales est confirmée »,Le Parisien, éditiin de l'Oise,(lire en ligne, consulté le)« Le Conseil d'Etat vient de confirmer l'annulation des élections municipales à La Chapelle-en-Serval (...) Les motifs invoqués : le très faible écart de voix entre les candidats et surtout l'existence de quatre bulletins litigieux ».
↑F. Nd., « Daniel Dray, le maire, retrouve son fauteuil sans avoir connu la moindre opposition »,Oise Hebdo,no 1369,,p. 26.
↑Pascal Mureau, « Le Département de l'Oise soigne ses collèges : Le conseil départemental annonce avoir doublé ses dépenses en faveur des collèges ces trois dernières années »,Le Courrier picard,(lire en ligne, consulté le).
↑« Un hôtel et un centre d'affaires à la Chapelle-en-Serval fin 2016 »,Le Parisien,(lire en ligne, consulté le).
↑Dominique Vermand,Églises de l'Oise : Cantons de Chantilly et Senlis, Beauvais, Conseil général de l'Oise, avec le concours des communes des cantons de Chantilly et Senlis,, 54 p.,p. 20.
↑Gustave Macon et Ernest Dupuis, « La Chapelle en Serval, Géni, l'hôtel Saint-Georges »,Comité archéologique de Senlis, Comptes-rendus et Mémoires, Senlis, Imprimerie de Charles Duriez,4e série,vol. VI,,p. 69-81(lire en ligne).
↑a etbCf.Bernadette Canard, Pascal Chevalier, Benoist Garnero et Claire Laubie,Commune de La Chapelle-en-Serval : Étude urbaine, Orry-la-Ville, Parc naturel régional Oise-Pays de France,, 200 p.(lire en ligne[PDF]),p. 11-12.
↑a etbCf.Philippe Seydoux,Châteaux et gentilhommières des Pays de l'Oise : Tome II. Valois, Paris, Éditions de la Morande, s.d. (2009), 356 p.(ISBN978-2-902091-39-3),p. 50-51.
↑cf. le magazine municipalLa Chapelle-en-Serval Infos, n° 16, décembre 2010, p. 19 ;Lire en ligne.