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Léon IX

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Pour les articles homonymes, voirSaint Léon etLéon.

Léon IX
Saint catholique
Image illustrative de l’article Léon IX
Léon IX représenté sur la charte manuscrite d'un monastère italien duXIIIe siècle.
Biographie
Nom de naissanceBruno von Eguisheim-Dagsburg
Naissance
Dabo ouEguisheim
PèreHugues IV de Nordgau
MèreHeilwige de Dabo
Décès (à 51 ans)
Rome
Pape de l'Église catholique
Élection au pontificat (à 46 ans)
Intronisation
Fin du pontificat
PrécédentDamase IIVictor IISuivant
Évêque de l'Église catholique
Évêque dudiocèse de Toul
PrécédentHermann de ToulOdon de ToulSuivant

(en) Notice surcatholic-hierarchy.org
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L'empereur du Saint-EmpireConrad II le Salique (au centre).

Léon IX, surnommé le « Pape lorrain », ou encore le « Pape alsacien », néBruno von Eguisheim-Dagsburg le 21 juin 1002 dans un lieu inconnu deDabo ou de celui d'Eguisheim qui fait toujours débat, est le152e pape de l'Église catholique du 12 février 1049 jusqu'à sa mort, le 19 avril 1054 àRome.

Fils du seigneur d'Eguisheim, de noblesse Alsacienne et de la comtesse de Dagsbourg (actuellementDabo en Moselle),de noblesse Lorraine, le futur Léon IX est d'abordcomte-évêque de Toul puis élu pape, en décembre 1048 et intronisé le 12 février 1049 sous l'influence de l'empereurHenri III. Grand voyageur, il œuvre pour la paix. Son pontificat est marqué par le début de laréforme grégorienne. Reconnu comme saint par l'Église catholique, il estliturgiquement commémoré le.

Généalogie

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Né dans un lieu inconnu des comtés deDabo (Dagsburg) (terres maternelles où une église lui est dédiée) ou d'Eguisheim (terres paternelles où un oratoire lui est consacré)[1], le lieu de naissance de Bruno von Eguisheim-Dagsburg[2] fait toujours débat. Si la question est d'une importance mineure, elle est en effet l'un des principaux points discutés dans les débats sur l'identité régionale du futur pape Léon IX, les uns et les autres, selon leversant des Vosges qui a leur préférence, cherchant à en faire un « pape lorrain » ou « alsacien »[3],[4],[5],[6]. En 2014, Robert Weber, maire d'Abreschviller de 1985 à 2008, démontre dans son ouvrage que Léon IX serait né au vieux château de sa commune[7].

Son père,Hugues IV de Nordgau, est de la famille descomtes de Nordgau, seigneurs d'Eguisheim. Bruno est un membre de la très haute aristocratie : sa famille se rattache par sa mère,Heilwige de Dabo, fille ducomte de Dabo, auxCarolingiens deFrancie occidentale et par son père auxrois de Germanie. Dans la parenté de Bruno figurent aussi bien descomtes de Reims que desévêques de Langres et deMetz ; il est le cousin desempereurs du Saint-EmpireConrad II le Salique etHenri III[8].

Ses parents construisirent deux abbayes : àWoffenheim (Sainte-Croix-en-Plaine) et àReiningue et, vers 1029, lechâteau de Wahlenbourg auHaut-Eguisheim.

Biographie

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Éducation

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À l'âge de cinq ans[9], il est confié à l'évêqueBertholde de Toul pour être éduqué à l'école de lacathédrale où il se montre très doué[8]. Il entre jeune dans le chapitre de la cathédrale. Il est marqué par laréforme de Gorze[10].

Après la mort de son tuteur, il est appelé à la cour de son cousin l'empereur du Saint-Empire Conrad II le Salique (1024–1039), qui soutient la réforme monastique. Il estdiacre en 1025[11]. En 1026, il commande les troupes levées à Toul pour une campagne enLombardie.

À la mort de l'évêqueHermann de Toul, alors qu’il n'a que 24 ans, il est proposé par le clergé avec le soutien de Conrad II comme son successeur et le, il est consacré par l'archevêquePoppon de Trèves.

Évêque de Toul

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Pendant la vingtaine d'années que dure cet épiscopat, Bruno lutte contre lenicolaïsme et lasimonie. Il s'inscrit dans le mouvement réformateur promu parCluny etGorze. Il recrute parmi les représentants de ce courant ses collaborateurs. C'est en 1048 qu'il remarque Ildebrando de Soana (Hildebrand) (futur papeGrégoire VII) et l'attache à lui. Il impose à son entourage et lui-même un train de vie humble et pieux, se comportant en moinebénédictin et donnant ainsi exemple aux abbés de son évêché[12]. À force d'énergie, il obtient l'assainissement moral des abbayes de son évêché[8].

Il reste fidèle à l'empereur et va plaider sa cause devant leroi des FrancsRobert II le Pieux pour lasuccession du royaume de Bourgogne, où Conrad II le Salique, qui a hérité deRodolphe III de Bourgogne mort sans enfants, est contesté parEudes II de Blois qui a, lui, le soutien des Italiens[12]. Il arrive avec succès à ménager la paix entre les deux souverains[11].

Sa renommée franchit largement les frontières de laLorraine où en 1047Adalbert de Lorraine est devenu duc.

Pape

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Léon IX, vitrail de l'église Saint-Étienne de Château-Renard,Loiret.

Élection

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L'autorité de l'empereur est faible sur ses vassaux et pendant le règne d'Henri III, la puissante famille romaine dont sont issus lescomtes de Tusculum, habituée à faire élire le pape, tente de reprendre ses prérogatives. Critiquant la faible moralité des papes désignés par l'empereur, elle fait élire un pape concurrent, obligeant l'empereur à intervenir militairement, à réunir un grandconcile le pour démettre les papes concurrents[12]. Mais cela ne suffit pas, coup sur coup deux papes désignés par l'empereur sont assassinés (Clément II etDamase II).

Henri III doit impérativement désigner un pape dont la moralité ne puisse être mise en doute et suffisamment habile pour gagner la confiance des Romains. Bruno, après son brillant ministère à Toul, est le candidat idéal. Pour se faire accepter, il ne doit cependant pas être le candidat désigné par l'empereur, il se rend en pèlerinage dans la Ville sainte et demande humblement aux Romains de ne l'élire que s'il leur convient[12]. Il est alors intronisé sous le nom de Léon IX (en mémoire deLéon le Grand, qui avait affirmé la primauté de l'évêque de Rome en tant que successeur dePierre[8]) le 1er février 1049[12].

Débuts de la réforme grégorienne

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Article détaillé :Réforme grégorienne.
Sceau du pape Léon IX avecPierre etPaul en avers.
Ildebrando de Soana (Hildebrand) (futur papeGrégoire VII).

Élevé dans l'esprit de laréforme clunisienne, il conclut que c'est l'indignité des papes précédents qui leur a valu leur désaveu par les Romains et leur déchéance. Il considère que le souverain temporel ne devrait pas intervenir dans la vie religieuse[13]. Comme à Toul, il s'entoure de réformateurs. Beaucoup d'ailleurs le suivent comme le moineHumbert de Moyenmoutier, dont l'intelligence est pénétrante, mais qu'un caractère abrupt ne prédispose pas à la diplomatie[8],Hugues Candide, Frédéric de Lorraine (le futur papeÉtienne IX) ouPierre Damien[13]. Il nomme un clunisien, Ildebrando de Soana (Hildebrand) (le futur papeGrégoire VII), sous-diacre et le charge de l'administration des revenus duSaint-Siège, proche de la faillite[14]. Les organes de gouvernement sont réorganisés ; les services de la chancellerie, désormais très actifs, suivent le modèle impérial et le rôle des cardinaux, auxquels sont confiés des postes clés de l'administration, s'accroît très sensiblement ; ces fonctions, naguère réservées aux représentants des familles romaines sont ouvertes aux« étrangers », ce qui souligne le caractère universel duSaint-Siège et montre que ces nominations ne doivent plus relever du clientélisme[8].

Très énergique, Hildebrand a une grande influence sur les actes de son pontificat et de ceux de ses successeurs (Victor II (1055–1057),Étienne IX (1057–1058),Nicolas II (1058–1061),Alexandre II (1061–1073)[15]. De fait, Hildebrand lance laréforme grégorienne vingt-cinq ans avant de devenir pape lui-même.

Une doctrine est élaborée, qui tend à donner au Saint-Siège le pouvoir nécessaire à l'accomplissement de la réforme. LesDictatus papæ en révèlent les idées maîtresses: dans la société chrétienne, cimentée par la foi,l'ordre laïque a pour fonction l'exécution des commandementsde l'ordre sacerdotal dont le pape est le maître absolu. Vicaire du Christ, il est le seul titulaire légitime de l'Empire, « l'empereur suprême ». Il peut déléguer ce pouvoir et reprendre sa délégation. L'empereur n'est plus le coopérateur du pape, mais son subordonné. Il devait donc exécuter le programme de réforme défini par le pape. Or ce programme remettait en cause l'Église impériale. L'un des théoriciens du mouvement,Humbert de Moyenmoutier, affirme en effet que l'inconduite des clercs provenait de leur soumission aux laïcs car ceux-ci les désignaient en fonction non pas de leur piété, mais des avantages matériels que cette nomination pouvait leur procurer[8].

Dès le début de son pontificat, en, Léon IX réunit un concile à Rome condamnant lasimonie et une partie dunicolaïsme. Mais les prélats allemands et français ne viennent pas. Il décide alors de parcourir la chrétienté pour défendre énergiquement sa réforme, d'autant que Rome se fait menaçante. Le 3 octobre 1049[16] : concile tenu par le pape Léon IX pour remédier à plusieurs abus dans le cadre de laréforme de l'Église (simonie, nicolaïsme, …) et qui faisait la suite de ceux deRome et dePavie. Le pape venait à l'initiative de l'abbé de Saint-Remy pour consacrer la nouvelle église. Henri Ier avait convoqué le banc et l'arrière-banc de son domaine et il ne vint que l'évêque de Senlis etGuy Ier de Soissons,évêque de Reims qui les accueillait. Le concile se tint avec vingt évêques, cinquante abbés et de nombreux clercs, parmi eux : l'archevêque de Trêves, celui deLyon et celui deBesançon ; l'évêque dePorto. Le concile prit des sanctions canoniques contre le roi d'Angleterre et duc de NormandieGuillaume le Conquérant à la suite de son mariage avec sa cousine éloignéeMathilde de Flandres[17], ainsi que contre des gens d'Église, furent excommuniés : l'archevêque de Sens et celui deSaint-Jacques-de-Compostelle enGalicie, les évêquesde Beauvais,d'Amiens, l'abbé de Saint-Médard. Furent déposés les évêques deLangres et celui deNantes. Douze canons furent promulgués contre l'usure, contre leport des armes par les clercs, l'accès aux charges ecclésiastiques sans élection préalable, la protection des pauvres, etc. En tant que tout nouvelabbé de Corbie,Foulques de Corbie (homonyme de l'évêque d'Amiens) fut choisi avec l'un de ses moines,Gérard de Corbie[18], pour faire partie de la suite du pape à son retour vers Rome. Le pape ordonna prêtres Foulques (qui n'était alors que diacre) et Gérard. Au cours du voyage, Gérard avait fait à pied l'ascension ducol du Grand-Saint-Bernard et ducol de la Cisa. Le pape accorda à Foulques, comme un privilège particulier, le port de ladalmatique et desescarpins pour les fêtes solennelles[19].

De jusqu'au printemps 1051, de à, il sillonne l'Europe deBénévent au sud, àCologne au nord, àReims à l'ouest, àBratislava à l'est[8].

Ses principales luttes sont :

  • contre l'achat ou la vente de charges ecclésiastiques (lasimonie) ;
  • contre le concubinage des prêtres (lenicolaïsme) ;
  • les évêques ne devaient pas être des préfets de l'Empire, mais des théologiens ;
  • le retour à desvertus « plus chrétiennes ».

Ilexcommunie et dépose les évêques reconnus coupables. Il convoque pendant sonpontificat douzeconciles. En 1050, il impose latrêve de Dieu aux seigneurs constamment en guerre les uns contre les autres.

En 1049, il tente d'interdire le mariage duduc de NormandieGuillaume le Conquérant et deMathilde de Flandre. Cette union est entachée deconsanguinité, mais le motif politique de cette décision est la crainte de l'Église de voir unies deux grandes puissances : laFlandre et laNormandie (les Normands installés àAversa et enApulie ayant déjà menacé la papauté). Le mariage a bien lieu en 1050.

Concile de Reims

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Au concile de Reims, du, le pape Léon IX excommunie l'évêque d'Iria-Compostelle pour avoir affirmé que son siège était apostolique[20] ; cela revenait, naturellement, à nier la présence du corps de l'apôtreSaint Jacques àCompostelle. La menace d'excommunication n'eut pas de conséquences et les pèlerins continuèrent à se rendre chaque fois plus nombreux auprès du sépulcre[21].

Lutte contre les hérésies

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Les désordres moraux dont souffre l'Église favorisent la propagation deshérésies. EnFrance, en particulier, oùBérenger de Tours, l'écolâtre de Tours, affirme qu'il y a seulement une présence spirituelle du Christ dans l'Eucharistie. Déjà condamné aux conciles de Rome et de Verceuil en 1050, puis au synode de Paris en 1054, Bérenger est déféré en 1054 au concile de Tours présidé par Hildebrand. Il y reconnaît que, lors de la consécration, le pain et le vin deviennent le corps et le sang du Christ[22].

Canonisation

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Il procède à la canonisation deGérard de Toul, la troisième de l'Église catholique, à Hartzheim en 1050[23].

Ses démêlés avec les Normands de l'Italie du Sud

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Article détaillé :bataille de Civitate.

Lesmusulmans venant de s'installer enSardaigne, il envoie un légat auxPisans pour leur proposer la concession perpétuelle de l'île à condition de lui reverser un tribut[12]. Ceux-ci s'acquittent pleinement de cette mission, s'emparant même de laCorse au passage.

Depuis 1016, des bandes de cadets normands tentent leur chance enItalie du Sud. En effet, le système de féodalité directe établie par lesducs de Normandie avec des règles héréditaires favorisant surtout les aînés oblige les puînés à rechercher fortune ailleurs. Beaucoup vendent leurs talents militaires commemercenaires. L'Italie du Sud est disputée entreByzantins,Sarrasins etLombards qui emploient nombre de mercenaires normands reconnus pour leur efficacité (ils gagnent maintes batailles en infériorité numérique). Ces derniers, malmenés par leurs employeurs, ne tardent pas à guerroyer pour leur propre compte et conquièrent les comtés d'Aversa et d'Apulie en Italie du Sud.Henri III les reconnaît comme vassaux de l'Empire[13]. Or, en 1051, leduché de Bénévent se soumet au pape et ce dernier, voyant sa dernière acquisition menacée par les pillardsnormands, entre en guerre contre eux. Cependant, l'aide de l'empereur Henri III et des Byzantins est insuffisante et le pape est vaincu en 1053 à labataille de Civitate en Apulie[13]. C'est un échec : il est fait prisonnier par les Normands la même année et cela brouille définitivement la papauté avec Constantinople[12]. Finalement, le pape est libéré au bout de neuf mois de détention enBénévent après avoir reconnu les possessions normandes en Apulie et enCalabre[13].

Sa réforme lui a attiré beaucoup d'inimitiés, et revenu mourant à Rome, il voit son palais pillé en 1054[12].

Le schisme

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Article détaillé :Séparation des Églises d'Orient et d'Occident.

Depuis la fin duVIIIe siècle,Rome qui avait été sousdomination et protection byzantine depuis le papeVigile, s'éloigne deConstantinople pour se tourner vers lesFrancs puis vers leSaint-Empire romain germanique[24].

Surtout, les menées militaires du pape et des empereurs enItalie du Sud ont tout pour faire de Constantinople un adversaire. Lors duschisme de 869–879, provoqué par la querelle attenante auFilioque, poussé dans l'Église d'Occident par les pouvoirsfrancs, et les caractères contradictoires du papeNicolas Ier ainsi que du patriarchePhotios Ier de Constantinople, le schisme prend un caractère bien réel ; mais il est évité après que le papeJean VIII etPhotios Ier parviennent à un accord et condamnent le Filioque ainsi queNicolas Ier[25],[26].

Sous le patriarcat deMichel Ier Cérulaire, les relations entre Rome et Constantinople sont toujours très tendues : les couvents et églises des Latins à Constantinople sont fermés[27] et les monastères et églises orthodoxes en Italie le sont tout autant[28].

Si l'affirmation de la papauté comme étant à la tête de l'Église universelle est le fondement du schisme[29], c'est une controverse sur l'Eucharistie qui le déclenche[30]. Les Latins utilisent unpain azyme et les orthodoxes dupain ordinaire. Léon IX fait réfuter les traités grecs traitant du problème[source insuffisante].Humbert de Moyenmoutier dans sonDialogus s'oppose aux assertions desorthodoxes, condamne les prêtres mariés encore en usage en Orient et accuse lesByzantins d'hérésie car ils retireraient leFilioque duCrédo tout en les menaçant d'excommunication[30]. Le pape envoie les légatsHumbert de Moyenmoutier et Pierre d'Amalfi àConstantinople pour y explorer la possibilité d'une réconciliation avec l'Église de Constantinople[source insuffisante]. Les légats excommunient le patriarche et ses partisans le alors que le pape, Léon IX, est mort (19 avril) entre-temps, car il les renvoie en Italie chercher une nouvelle légature[28]. Le patriarche byzantinMichel Ier Cérulaire contre-attaque et excommunie les légats. C'est le début du schisme de 1054, l'un des épisodes de laséparation des Églises d'Orient et d'Occident[8].

Épilogue

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Le pape Léon IX a été canonisé dès 1087 par le papeVictor III. Sa fête est célébrée traditionnellement au jour d'anniversaire de sa mort terrestre (dite aussi « Naissance au Ciel ») le 19 avril[31]. Son corps repose à labasilique Saint-Pierre.

EnLorraine et enAlsace, des églises lui sont consacrées notamment àDabo,Nancy,Strasbourg etEguisheim.

Ascendance

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v ·m
Léon IX (ascendance)

Notes et références

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  1. Charles Munier, « À propos du millénaire de la naissance du pape Léon IX (1002–1054) »,Revue des Sciences religieuses,‎(lire en ligne).
  2. Biographie de Léon IX faite par l'historienMichel Parisse,page 81 et suivantes dans Gabriele de Rosa et Giorgio Cracco,Il papato e l'Europa.
  3. PiPvélodidacte, « Léon IX, le pape alsacien », surAutour du Mont-Sainte-Odile(consulté le).
  4. « Le pape alsacien et le Sundgau », surL'Alsace(consulté le).
  5. « Du pape lorrain Léon IX de Dabo », surBLE Lorraine,(consulté le).
  6. « Le pape alsacien Léon IX est-il né à Eguisheim ou à Dabo ? », surFrance Bleu,(consulté le).
  7. « Léon IX est-il né à Abreschviller ? », surLe Républicain lorrain(consulté le).
  8. abcdefgh etiFrancis Rapp,Les relations entre le Saint-Empire et la papauté, d'Otton le Grand à Charles IV (962–1356), clio.fr, consulté le 7 novembre 2007.
  9. Biographie de Léon IX faite parLouis Spach, archiviste alsacien, dansMélanges d'histoire et de critique littéraire, 1864,p. 69 à 122.
  10. Serge Lusignan,L'Église, ses institutions et la réforme grégorienne,Site de l'université de Montréal.
  11. a etbJean Chélini,Histoire religieuse de l'Occident médiéval, Hachette, 1991,p. 252.
  12. abcdefg ethProsper Alfaric,Un pape alsacien : Léon IX d'Eguisheim, Annuaire de la Société historique, littéraire et scientifique du Club vosgien,vol. I (1-2), Strasbourg Imprimerie alsacienne, 1933,Encyclopédie universelle.
  13. abcd eteJean Chélini,Histoire religieuse de l'Occident médiéval, Hachette, 1991,p. 253.
  14. Michel Balard,Jean-Philippe Genet etMichel Rouche,Le Moyen Âge en Occident, Hachette, 2003,p. 176.
  15. MM. Berthelot, Hartwig Derenbourg et F.-Camille Dreyfus,Le pape Grégoire VII,La Grande encyclopédie : inventaire raisonné des sciences, des lettres et des arts par une société de savants et de gens de lettres, Paris, Société anonyme de La Grande encyclopédie, 1885–1902,Encyclopédie universelle.
  16. Le moine Anselme, de l'abbaye Saint-Remi de Reims en tint un témoignage.
  17. Alain Derville,Quarante générations de Français face au sacré, PU Septentrion, 2006, page 235.
  18. Gérard de Corbie, fondateur et premier abbé deabbaye de La Sauve-Majeure.
  19. Cf.Louis Moreri,Le grand dictionnaire historique ou Le mélange curieux de l'Histoire sacrée et profane,vol. V, París, Le Mercier, Desaint et Saillant,,p. 273.
  20. (la)Johannes D. Mansi,Sacrorum conciliorum nova et amplissima collectio, Venise,, t. 19, col. 741.
  21. Adeline Rucquoi, « Charlemagne à Compostelle »,Cahiers d'études de Recherche et d'Histoires Compostellanes,‎,p. 8(ISSN 0994-8597).
  22. Jean Chélini,Histoire religieuse de l'Occident médiéval, Hachette, 1991,p. 253-254.
  23. Abbé Beaulieu (préf. J. Carnandet),De la canonisation des saints, Lyon, Libraire de Louis Gauthier,, 110 p.(OCLC 1061878217),p. 30.
  24. ErnestStein, « La Période Byzantine de la Papauté »,The Catholic Historical Review,vol. 21,no 2,‎,p. 129-163(ISSN 0008-8080,lire en ligne, consulté le).
  25. Dvornik,The Photian Schism History and Legend, Cambridge University Press,(ISBN 978-0-521-10176-9 et0-521-10176-X,OCLC 297146849,lire en ligne).
  26. (la + grk) Jean Dominique Mansi,Sacrorum Conciliorum,XVII, Venise,(lire en ligne),p. 500-520.
  27. Jean Chélini,Histoire religieuse de l'Occident médiéval, Hachette, 1991,p. 254.
  28. a etbStevenRunciman,The Eastern schism: a study of the papacy and the Eastern Churches during the XIth and XIIth centuries, Wipf & Stock,(ISBN 1-59752-096-9 et978-1-59752-096-6,OCLC 67290350,lire en ligne).
  29. Yves Congar,L'Église de Saint Augustin à l'époque moderne, Éditions du Cerf, 1997,p. 100.
  30. a etbJean Chélini,Histoire religieuse de l'Occident médiéval, Hachette, 1991,p. 255.
  31. « Saint Léon IX », surnominis.cef.fr(consulté le).

Bibliographie

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Liens externes

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