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L'Action française (quotidien)

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Pour le mouvement politique dont il était l’organe de presse, voirAction française. Pour les autres significations, voirAction française (homonymie).

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L'Action française
Image illustrative de l’article L'Action française (quotidien)

PaysDrapeau de la FranceFrance
LangueFrançais
Périodicitéquotidien
GenreRoyaliste, organe dunationalisme intégral
Date de fondation1908
Date du dernier numéro1944
Ville d’éditionParis

Directeur de publicationCharles Maurras
Rédacteur en chefLéon Daudet
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L'Action française,organe dunationalisme intégral est un journalroyalistefrançais fondé àParis le[1] et interdit à laLibération en pourcollaboriannisme.

Il fait suite à laRevue d'Action française deHenri Vaugeois etMaurice Pujo. Siégeantrue de Rome, àParis, ce quotidien avait comme directeurCharles Maurras, chef du mouvement monarchisteAction française. Sa ligne éditoriale est qualifiée d'extrême droite du fait de la violence de sonantiparlementarisme, de son anti-républicanisme et de son antisémitisme.L'Action française du dimanche est le journal hebdomadaire de l'action française pendant un bref temps.

Organe officiel du mouvement d'Action française

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Affiche lithographiée signéeJeanniot (1918).

Ce journal était alors l'organe officiel du mouvement de l'Action française. Il s'agissait d'un quotidiennationaliste,monarchiste,antidreyfusard etantisémite.

L'Action française constitua une opposition acharnée à la politique de laTroisième République de même qu'aulibéralisme et à ladémocratie. Fédérant des collaborateurs de divers mouvementsnationalistes ettraditionalistes, le journal deMaurras fut le creuset des principaux courants d'extrême droite français desannées 1930. Utilisant la dénonciation et les attaques personnelles, les journalistes de l'AF,Léon Daudet en tête, menèrent unepropaganderoyaliste et anti-républicaine soutenue durant laPremière Guerre mondiale puis entre les deux guerres, qui culmina lors desémeutes du et de l'affaire Stavisky. Le quotidien mena également une campagne infatigable contre lerégime soviétique, lecommunisme, lesJuifs et lafranc-maçonnerie.

Le quotidien pratiquait la diffamation (« il arrivait souvent que des personnes fussent accusées à tort »[2]), l'utilisation de faux documents[3], et la provocation au meurtre[4].L'Action française fut également à l'origine d'une école intellectuelle et littéraire qui rassembla de nombreux philosophes, historiens, poètes ou romanciers autour de publications comme laRevue critique des idées et des livres (1908-1924) ou laRevue universelle (1920-1941).

Parrainage

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Le premier numéro paraît le et porte la devise « Tout ce qui est national est nôtre ». Il est parrainé par douze personnalités :Henri Vaugeois,Léon Daudet,Charles Maurras,Léon de Montesquiou,Lucien Moreau,Jacques Bainville,Louis Dimier,Bernard de Vesins, Robert de Boisfleury,Paul Robain,Frédéric Delebecque,Maurice Pujo.

Dès lors, l'ensemble de la presse maurrassienne rencontre un certain succès[5]. L'année1908 voit aussi la naissance de laRevue critique des idées et des livres, qui est, jusqu'à la guerre, le « laboratoire d'idées » et l'organe littéraire du mouvement maurrassien.

Donations, tirage et capital

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Le journal, qui envoyait des milliers d'abonnements gratuits, était fortement déficitaire et faisait régulièrement appel à dessouscriptions pour lutter« contre l'or juif »[6]. Beaucoup de donateurs sont de la noblesse ; en 1912le prétendant au trône orléaniste donne 1 000 francs par mois[6]. En 1914, le quotidien avait 20 000 lecteurs dont la moitié d'abonnés[7]. Entre 1920 et 1926,« les pertes du journal s'élevèrent à près de cinq millions de francs ». Le milliardaireFrançois Coty donna deux millions de francs àL'Action française entre 1924 et 1928[8]. Entre 1930 et 1935, la perte moyenne dépassait le million de francs par an[9]. De fait,« la seule période où le budget deL'Action française paraît s'être trouvé en équilibre, c'est peu avant qu'il ait cessé de paraître », dans Lyon occupé par l'armée allemande[10].

Son tirage varie entre 50 000 et 100 000 exemplaires, avec un maximum de 200 000 en 1934 pendant l'affaire Stavisky et lacrise du[11].

Années 1920

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Peu avant la condamnation papale, le quotidien vit son apogée. Ainsi, beaucoup d'officiers de l'Armée française sensibles au nationalisme intégral de Maurras[12] lisent le journal. En 1926, alors que le journal tire à près de 100 000 exemplaires[E 1], le journal nationaliste compte, selon Eugen Weber, 45 000 abonnés et le même nombre d'acheteurs au numéro[A 1] auxquels il faut ajouter les 25 000 abonnés du supplément du dimanche,L'Action française agricole[E 1]. En 1920, son tirage n'était que 60 000 exemplaires[13] Le, le tirage atteint une pointe de 200 000 exemplaires[13]. Mais en 1939, il est revenu à 45 000 exemplaires.

Sur le plan militaire d’ailleurs, c’est à partir de 1928, qu’une page spéciale contenant la rubrique du généralLavigne-Delville est imprimée le 10 et le 25 de chaque mois formant ainsi la liaison entre presse, armée et pouvoir[14].

Mais en cette même année, la condamnation romaine entraîne une non-reconduction de beaucoup d'abonnements bien que certains restent fidèles au journal tel le capitainePhilippe de Hautecloque qui sera un lecteur assidu deBainville et deL'Action française dans les années 1930[15]. À la suite de la crise de 1926-1927 avec leSaint-Siège et la condamnation de l'Action française par le papePie XI,Jacques Maritain prend ses distances avec l'organisation et le journal. Cette condamnation pontificale scandaliseGeorges Bernanos,catholique fervent, qui se rapproche alors deCharles Maurras, l'agnostique[16].

Années 1930 et régime de Vichy

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« La France sous le Juif », manchette antisémite deL'Action française du.

Hostiles aupangermanisme, et à l'Allemagne de façon générale, certains des collaborateurs del'Action française ont critiqué la politique allemande durant les années 1930.

En 1938, ne voulant pas d'une nouvelle guerre, l'Action française apporte son soutien auxaccords de Munich, puis Maurras féliciteArthur Neville Chamberlain pour avoir négocié avecHitler.

Aprèsl'armistice de 1940, le journal se replie àLimoges, puis àLyon en. La sympathie deMaurras et de ses proches pour lerégime de Vichy en fait un des piliers idéologiques du nouveau régime. Après l'occupation de la totalité du pays en, l'alignement sur la puissance occupante, l'Allemagne nazie, est plus sensible.

Plusieurs journalistes, comme Jacques Delebecque[17], employé au service de la propagande (journalL’Éclair) du régime de Vichy puis réfugié en Suisse jusqu’en 1949 durantl’épuration[18], sont impliqués dans lacollaboration avec les nazis. Le journal donne régulièrement les dépêches del’office français d’information (OFI) annonçant les «  conseils de révision »[19] de laWaffen-SS, jusqu’en 1944, qui ouvrent guichet aux Français désirant s’engager dans ladivision Charlemagne[20]. Le journal est violemment hostile auxrésistants, qui sont appelés les« terroristes »[21]. Maurras appelle à exécuter les résistants et les membres de leurs familles[22]. L’historienneBénédicte Vergez-Chaignon résume la rupture inévitable de Maurras avec certaines de ses ouailles (commePhilippe Ariès) :« après les événements décisifs de novembre 1942, après l’instauration du STO, après la création de la Milice, un certain nombre de maurrassiens, comme d’autres Français d’opinions différentes, découvrent avec plus ou moins de violence l’incompatibilité totale de leur volonté de se battre contre l’occupant avec les positions de Maurras. Le discours du leader de l’AF apparaît soudain pour ce qu’il est »[23].

À laLibération de la France le quotidien est interdit pour collaboration, et ses principaux animateurs (Charles Maurras etMaurice Pujo) sont emprisonnés.

Antériorité du quotidien

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Revue d'Action française (1899-1908)

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Article détaillé :Revue d'Action française.

Postérité du quotidien

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En 1947,Georges Calzant fonde un nouveau journal d'Action française intituléAspects de la France, reprenant les initiales AF. Tandis que ce périodique reste fidèle à la doctrinemaurrassienne et perpétue une certaine forme d'idéalisme et de radicalismemonarchiste,Pierre Boutang (autre disciple de Maurras) fonde un autre journal se réclamant deL'Action française :La Nation française. Rassemblant surtout des intellectuels et des universitaires (dontPhilippe Ariès etRaoul Girardet), cette nouvelle branche de l'AF se veut plus réflexive et mieux adaptée à la réalité politique d'après-guerre ; elle rejette l'antisémitisme de ses prédécesseurs et se distancie du discours des nostalgiques deVichy. Elle tente de repenser lemonarchisme et lenationalisme en fonction des problèmes que pose laFrance desannées 1950 (notamment laguerre d'Algérie) en restant fidèle aux initiatives de Charles Maurras.

L'Action française faisait également paraître l’Almanach de l'Action française, lesCours et conférence d'Action française et plusieurs ouvrages à laLibrairie d'Action française.

Aspects de la France (1947-1992)

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Article détaillé :Aspects de la France.

La Nation française (1955-1967)

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Article détaillé :La Nation française.

L'Action française étudiante (1971-1980)

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Article détaillé :L'Action française étudiante.

L'Action française Hebdo (1992-1998)

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Article détaillé :L'Action française Hebdo.

L'Action française 2000 (1998-2018)

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Le titre deL'Action française est repris par le mouvement politique pour son journal entre 1998 et 2018. Il paraît alors tous les premiers et troisième jeudi de chaque mois sous le nom d'Action française 2000. Il est vendu à la criée par les militants dans la rue, mais est également disponible dans certains kiosques un peu partout en France.

Article détaillé :L'Action française 2000.

Le bien commun (2019 à de nos jours)

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En 2019, le journalLe bien commun édité par le CRAF prend la suite deL'Action française 2000 et est aussi vendu à la criée par les militants du mouvement[24],[25].

Principaux collaborateurs du quotidien

François de La Motte,Thierry Sandre,José Vincent,Vincent Hyspa,Paul Courcoural,Pierre Héricourt,Ambroise Rendu,Jean Gazenave, Jo ouJosé Le Boucher,Albert Arnavielle,Pierre Lecoeur,Henri de Castillon de Saint-Victor,André Rousseaux,André Rouvellou,Philinte,Marcel Provence,Commandant Eugène Dublaix,Pierre Chaboche,Lucien Dubech,Pierre Tuc, DrHenri Martin,Gaston Legrain, Jehan (Jean-Jacques) Pennés ditSennep, leduc d'Orléans,Georges Coquelle,Philippe-Robert d'Orléans, Farigoule,Marcel Azaïs,Pierre Benoit,Noël Francès,Jean Vallet,Maurice Denis,Paul Robain,Marius Plateau,Maxime Real del Sarte,Rémi Wasier,Hervé Le Grand,Albert Cordier, J. Le Boucher, Pococurante,Alain Mellet,Maxime Brienne,Pierre Héricourt,François de La Motte, Mercure,Ambroise Rendu,Pampille (Mme L. Daudet),Desaintmartin,Maxime Brienne,Pierre Dumas,Auguste Négrier,François de La Motte,Robert Corvol,Eugène Dublaix,Pierre Chaboche,Pierre Tuc,Gaston Legrain

Ralph Soupault,Louis Jasseron,Roger Georr, colonelGeorges Larpent,Général Lavigne-Delville,Alban Castelbert,A. Montredon,Lazare de Gérin-Ricard,Jean de Barsac,Hervé de Rauville,Pierre Lecoeur,Bernard de Vaulx,Dominique Sordet,Paul Gaultier,Louis de Jarine,André Feildel.

Robert Arzacq,René Brécy,Lucien Pestour,Marcel Grognot,Louis Jasseron,Maurice Constantin-Weyer,Louis Vissaguet,Henri Hugault,Hubert de Lagarde,Dr Bachelier,Michel Trévyse,G. Signoret,Jacques Corbière,Pierre Chardon,Jean d'Albe,E. Chevalier,Élie Bouteille,Louis Gonnet,Louis Laferté,André Sancy,Duc de Guise,Henri Comte de Paris,Bernard Denisane (Jabon),F. Auphan,Henri Luzuy,Abel Pestour.

Pierre Varillon,Paul Mathiex,Noël Francés,Jacques Delebecque,Frédéric Delebecque,Ali Bab, général dePartouneaux,Georges Dovime,Alban Castelbert, Serre, Mus,Maxime Brienne,Pierre H. Ricour,Auguste N. Grier (Négrier ?),amiral Schwerer,Paul Robain, Robert de Boisfleury,Pierre de Cazenove de Pradines,Marcel Boulenger,Pierre Héricourt, Mme lavicomtesse de La Besse,Georges Calzant,B. Van de Velde,Mlle de Kerret,Philippe Roulland,Lucien Lacour,Maxime Real del Sarte,P. Constans,Raymond de La Tailhède,Jean Guiraud,Frantz Funck-Brentano.

Pierre Gaxotte,Thierry Maulnier,René Benjamin,Henri Massis,Georges Suarez,Robert Brasillach,Robert Francis,Jean-Pierre Maxence,Georges Bernanos,Lucien Rebatet,Louis Barthou, AmiralSchwerer,Jean Lebrau,Frédéric Delebecque,Henri Dutheil,Thierry Sandre,Eugène Langevin,François Duhourcau,Georges Planes,Pierre Dominique,André Lavedan,José Vincent, abbéChauve-Bertrand,Jean Gazave,Albert Kéragnel,Ambroise Rendu,Marcel Provence,Marcel Chabin,Auguste Cavalier,Félix Jeantet,Eugène Marsan,Robert Havard de la Montagne,Georges Savoie,Claude Jeantet

André Rousseaux,Dominique Sordet,Lucien Dubech, DrMartin La Banlieue,Pierre Lecoeur,Paul Courcoural,Michel Dard,Ville-Neuve, ColonelÉlie de Froidefond,Jacques Ferny,Eugène Dublaix,Louis Jasseron,Yvan de la Debutrie,Henri Courmont,Pierre Lecoeur,René Brécy,Xavier Vallat,Hervé de Rauville,Marcel Chaminade,Hector Talvart, F. Desvignes,Marcel Andrieu,Pierre Héricourt,Paul Mathiex, J.d'Hilly, H.d'Aster,Philinte, DrHenri Martin, Ravigote,Louis Jasseron,Guy de Raoulx,Raymond de La Tailhède,Jean Guiraud,Pierre Cot,Albert Thomas,Étienne de Resnes, etc.
 

Notes et références

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Notes de type "A"

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  1. Eugen Weber (trad. de l'anglais),L'Action française, Paris,Fayard,coll. « Grandes études historiques »,, 665 p.(ISBN 978-2-213-01678-8 et2-213-01678-X),p. 212.

Notes de type "E"

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  1. a etbArianeChebel d'Appollonia,L'Extrême-Droite en France. De Maurras à Le Pen, Bruxelles, Complexe et PUF,coll. « Questions auXXe siècle », 1987, 1996, 519 p.(ISBN 978-2-87027-573-3 et2-87027-573-0,LCCN 97156576),p. 184.

Références

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  1. « L'Action française : organe du nationalisme intégral / directeur politique : Henri Vaugeois ; rédacteur en chef : Léon Daudet », il s’agit de la une du premier numéro (le mouvement est présenté dans les deux premières colonnes de gauche de cette une), surGallica.Bnf.fr,(consulté le) :« Le nationalisme intégral
    […] voilà bien des années que l’Action française travaille : elle n’a jamais cessé de redire qu’elle s’adresse au Peuple français tout entier.
    Elle l’a dit dans sa “Revue”. Elle l’a enseigné dans son Institut. […] En tête du journal destiné à propager quotidiennement sa pensée, l’Action française a le devoir de répéter qu’elle n’a jamais fait appel à un parti
    […] À bas la République ! et, pour que vive la France, vive le Roi !
    [signé]Henri Vaugeois,Léon Daudet,Charles Maurras,Léon de Montesquiou,Lucien Moreau,Jacques Bainville,Louis Dimier,Bernard de Vesins, Robert de Boisfleury,Paul Robain,Frédéric Delebecque,Maurice Pujo »
    .
  2. Weber 1985,p. 115.
  3. Weber 1985,p. 110.
  4. Weber 1985,p. 410.
  5. Jean Ruhlmann,op. cit.,p. 253[réf. non conforme].
  6. a etbWeber 1985,p. 67.
  7. Gilles Richard,Histoire des droites en France de 1815 à nos jours, Perrin, 2017,p. 122.
  8. Weber 1985,p. 219.
  9. Weber 1985,p. 404.
  10. Weber 1985,p. 68.
  11. RalphSchor,L'opinion française et les étrangers en France, 1919-1939, Paris, Publications de la Sorbonne,coll. « FranceXIXe-XXe siècles » (no 22),,X-761 p.(ISBN 2-85944-071-2,présentation en ligne,lire en ligne),p. 11.
  12. Olivier Forcade, Éric Duhamel et Philippe Vial,Militaires en république, 1870-1962 : les officiers, le pouvoir et la vie publique en France, Publications de la Sorbonne,,p. 30.
  13. a etbLaurent Martin,La presse écrite en France auXXe siècle,Le Livre de poche,p. 75.
  14. Forcade, Duhamel et Vial 1999,p. 517.
  15. Forcade, Duhamel et Vial 1999,p. 511.
  16. « Georges Bernanos, l’antidote à Charles Maurras », surRevue Des Deux Mondes,(consulté le).
  17. (en) Kyra E. T. Schulman,THE DREYFUS AFFAIR IN VICHY FRANCE: AN AFTERLIFE, University of Pennsylvania, 2017-2018(lire en ligne),p. 23.
  18. Alain Clavien, « Les intellectuels collaborateurs exilés en Suisse »,Matériaux pour l'histoire de notre temps,‎,p. 86 et 88(lire en ligne).
  19. « conseil de révision », dansWiktionnaire, le dictionnaire libre,(lire en ligne).
  20. « Conseil de révision des volontaires français pour la Waffen SS »,L’action française,‎(lire en ligne surGallica).
  21. Weber 1985,p. 515 et 517.
  22. Weber 1985,p. 515-516.
  23. Bénédicte Vergez-Chaignon, « Des maurrassiens aux prises avec le nationalisme intégral : rupture résistante ou coexistence avec l’Action française (1940-1948) ? »,In « LE MAURRASSISME ET LA CULTURE. VOLUME III », Olivier Dard, Michel Leymarie, Neil McWilliam,‎,p. 301-311(lire en ligne).
  24. Robind’Angelo, « Une scission et l’Action française ne sait plus comment elle s’appelle », surLibération.fr,(consulté le).
  25. « Eric Zemmour en meeting à Villepinte, un brun flippant », surliberation.fr,(consulté le).

Voir aussi

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Articles connexes

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Bibliographie

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Liens externes

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