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Karine Espineira

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Karine Espineira
Biographie
Naissance
Nom dans la langue maternelle
Karine EspiñeiraVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalités
Formation
Activités
Conjoint
Autres informations
A travaillé pour
Université Paris-VIII(depuis le)Voir et modifier les données sur Wikidata
Membre de
Association du syndrome de Benjamin(-)
Sans Contrefaçon(d)(-)
Observatoire des transidentités(d)(-)Voir et modifier les données sur Wikidata
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Karine Espineira, née le àSantiago du Chili, est une sociologue des médias franco-chilienne.

Chercheuse associée au Laboratoire interdisciplinaire récits cultures et sociétés (LIRCES) de l'université Nice-Sophia-Antipolis membre d'université Côte d'Azur, depuis 2012, elle est aussi membre associée au Laboratoire d'études de genre et de sexualité (UMR LEGS), à l'université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis, depuis 2017.

Ses travaux ont ouvert la voie à d'autres sujets et objets de recherche dans le champ des représentations, à en mesurer les enjeux, et à poser les premières pierres desétudes trans francophones avecMaud-Yeuse Thomas depuis 1996 avec leurs premières collaborations durant lesséminaires Q deSam Bourcier notamment.

Elle exerce une activité militante dans différentes associations, projets et actions ayant pour but la promotion et la défense des droits des personneslesbiennes, gaies, bisexuelles et trans.

Biographie

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Jeunesse

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Karine Espineira naît àSantiago du Chili le,assignée garçon à sa naissance[1], d’une mère française d'origine gréco-russe et d’un père chilien[2]. Dès l'âge de six ans, elle prend conscience qu'elle est une fille[1]. Sa famille fuit le Chili en 1974, et s'installe à Marseille, puisManosque[2]. En 1987, elle se sort miraculeusement d'un accident de la route ayant occasionné une trentaine d'opérations chirurgicales[1].

Débuts universitaires

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En 1988, elle poursuit des études enlettres modernes et ensciences de l'information et de la communication à l’université Stendhal-Grenoble 3 en travaillant sur la mise en scène télévisée de discours politiques, puis en 1993 à l'université autonome de Barcelone enCatalogne, où elle entame un doctorat, mais l'abandonne[1].

Pigiste

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En 1993-1994, elle travaille comme journaliste pigiste dans l'hebdomadaireGrenoble Info et en 1995-1996 au quotidienLa Provence[3].

Premiers engagements et transition

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En 1996, elle s'engage comme bénévole dans l'Association du syndrome de Benjamin, dirigée par Tom Reucher (où elle rencontre sa future compagneMaud-Yeuse Thomas[1]) tout en menant satransition de genre, une« transition express », parce qu'elle refuse le suivi psychiatrique[2]. C'est en Belgique, en 1998, qu'elle se fait opérer, et elle change d'état civil quelques mois plus tard[1]. AvecMaud-Yeuse Thomas, elle rejoint l'association le Zoo, du sociologueSam Bourcier, et participe auxSéminaires Q qui sont publiés dans l'ouvrageQ comme Queer aux éditions GayKitchCamp en 1998[1].

Durant la période 1996-1999, elle écrit dans la revue3 Keller duCentre Gay et Lesbien de Paris[1] ; elle travaille sur la maquette deLesbia Magazine[1], participe à la communication de la première marcheExistrans etcrée le journal associatif trans intituléL'Identitaire[réf. souhaitée] [le terme n'a rien en commun avec l'usage qui en fait aujourd'hui par des mouvements conservateurs] de l'ASB avec Maud-Yeuse Thomas, Tom Reucher et Ionna Mayhead.

Engagement à Marseille

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Durant les années 2000, elle occupe les postes de chargée de communication et de formatrice multimédia dans le domaine de l'insertion sociale et professionnelle àMarseille[1] à Champs Visuels puis Transition.

En 2003, elle participe au projet européenEqual SolimarLes Discriminations raciales à l'embauche[3].

En 2005, elle est cofondatrice de l'association trans Sans Contrefaçon avecMaud-Yeuse Thomas[2]. L'association s'engage dans la production de courts-métrages dans l'esprit DIY (Do it yourself) et milite avec leGroupe Activiste Trans (GAT). Elle entre aux conseils d’administration desUniversités d’été euroméditerranéennes des homosexualités (2005-2008) et du Centre Évolutif Lilith (2006-2007) de Marseille. Elle coorganise la journée du à Marseille, dans le cadre de la Journée internationale de solidarité avec les Lesbiennes Gais Bi et Trans d’Iran[4],[5].

Courts-métrages

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Durant la période 2005-2008, elle réalise des montages de courts métrages :Le Kissing (un kiss-in), court-métrage demin 38 s, 2005 ;Gare aux trans !, court-métrage demin 51 s, 2006 ;Transgénérations, court-métrage de16 min 57 s, 2006 ;Transgénérations - version 2, court-métrage de19 min, 2008[réf. souhaitée]. Elle est aussi consultante (créditée au générique) pour le documentaireL'Ordre des mots de Cynthia Arra et Mélissa Arra[6].

Deuxième période d'études universitaires

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Reprenant ses études universitaires en 2007 à l'université de Provence, elle prépare unethèse de doctorat à l'université Nice-Sophia-Antipolis[7]. Sa thèse intitulée « La construction médiatique des transidentités : une modélisation sociale et médiaculturelle », soutenue le, reçoit la mention très honorable avec félicitations du jury à l'unanimité et se voit récompensée par le2e prix jeune chercheur francophone en SIC - 2014, décerné par laSociété française des sciences de l'information et de la communication (SFSIC) en 2014. Elle est aussi médaillée de l'université Nice-Sophia-Antipolis[8] la même année.

Engagement mondial

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De 2010 à 2020, elle enseigne à l'étranger, comme en Argentine à l'université nationale de Córdoba (UNC) dans le cadre du Doctorado en Estudios de Género (2017)[9] et donne de nombreuses conférences comme conférencière invitée (Argentine, Allemagne, Belgique, Canada, Espagne, Italie, Suisse), et/ou dans le cadre de missions culturelles duministère de la culture via sesambassades de France (Chine, Cuba, Japon, Québec)[3].

Observatoire des transidentités

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En 2010, elle est cofondatrice de l'Observatoire des transidentités (ODT), un site indépendant d’information, de productions de savoirs et d’analyses sur les questions trans, inter et les questions de genre[1]. Le site et la revueCahiers de la transidentité sont fondés par Maud-Yeuse Thomas, Arnaud Alessandrin et Karine Espineira. L'ODT s’appuie sur un réseau d’acteurs-actrices de terrain, d’associations-partenaires et d’universitaires ; Maud-Yeuse Thomas et Karine Espineira sont responsables du site et de la revue. La même année, elle participe au tournage du documentaireMes questions sur les trans (2011)[10],[11],[12] deSerge Moati, diffusé le1 surFrance 5.

Stop Trans Pathologization

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En 2011, elle rejoint l'équipe de la coordination de campagne internationale Stop Trans Pathologization (STP 2012)[13],[14]. Les objectifs de campagne sont le retrait du trouble d’identité de genre des nomenclatures internationales. En 2013, la campagne compte 370 groupes et réseaux répartis en Afrique, en Amérique Latine, en Amérique du Nord, en Asie, en Europe et en Océanie. En 2014, les groupes GATE (Action globale pour l'égalité trans) et STP, se sont rapprochés dans un travail commun face à l'OMS, afin de discuter les éventuels changements de la CIM-11[15].

Paris-VIII

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De 2015 à 2017, elle a bénéficié de l'allocation de recherche « Genre Inégalités Discrimination - Île-de-France[16] »,Institut Émilie-du-Châtelet, Alliance de recherche sur les discriminations, d'une recherche post-doctorale intitulée « Politiques transféministes : alliances et conflits entre mouvements trans et féministes », en sociologie et science politique au LEGS, UMR 8238[17],CNRS/université Paris-VIII Vincennes Saint-Denis, sous la direction d'Éric Fassin. Elle est actuellement membre associée au LEGS, université Paris 8.

Engagements 2019-2022

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En 2019, sa première recherche sur les représentations (publiée en 2008[18]), figure dans les 15 textes cultes pour comprendre les questions LGBT[19] parLes Inrocks.

À partir de 2019, elle est membre du conseil scientifique de laDélégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l'antisémitisme et la haine anti-LGBT[20], dont elle démissionne à l'été 2022, pour dénoncer l'appartenance de son président, le sociologueSmaïn Laacher[21], au comité scientifique de l’Observatoire de la petite sirène.

En 2022, elle publie avecMaud-Yeuse Thomas, l'ouvrageTransidentité et transitudes. Se défaire des idées reçues auxéditions du Cavalier bleu. L'ouvrage revient sur des idées reçues pour les déconstruire, avec l'objectif, d'être accessibles au plus grand nombre[22], pour compenser et revenir sur une suite de nombreuses tribunes, articles (Marianne[23],[24],Figarovox[25],[26],Valeurs actuelles[27]) et ouvrages (La Question trans, deClaude Habib[28] ;La Fabrique de l’enfant transgenre, deCaroline Eliacheff et Céline Masson) hostiles aux personnes trans, ayant motivés des réactions (Le Parisien[29] etLibération[30],Le Monde[31]) pour informer le public.

Domaines de prédilection

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Ses travaux s'inscrivent dans les champs desétudes de genre, desétudes culturelles, desétudes transgenre (transgender studies), de lasociologie des mouvements sociaux[32] et dessciences de l'information et de la communication[33]. Ses recherches portent sur les constructions médiatiques destransidentités[34], sur les modèles de genre dans les médias les enjeux de représentations et lestransféminismes[35], sous des approchesintersectionnelles, sociohistoriques et communicationnelles[36].

Elle distingue études transgenres[37],[38] (études trans) etétudes sur la transidentité sur la base du soclehistorique et théorique de ce nouveau champ d'études initié par l'universitaire et artiste-performeuseSandy Stone, entre autres.

Dans ses activités académiques comme dans des entretiens donnés à des médias (télévision[39],[40], radio[41],[42],[43] et presse écrite[44],[45],[46]), elle rend compte des conditions de vie des personnes trans, des dichotomies entre représentations et réalité des vécus trans, des effets desdiscriminations, ducissexisme et de lacisnormativité.

Vie privée

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Elle vit dans leFinistère[2].

Récompenses et distinctions

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Le, elle est lauréate duprix Pierre Guénin[47] contre l'homophobie aux côtés d'Arnaud Alessandrin et de l’associationHomosexuels musulmans de France (HM2F) récompensantJean-Paul Cluzel.

Le 16 novembre 2019, elle reçoit le Grand Prix du Gala Arc-en-Ciel[48],Conseil québécois LGBT, reconnaissant la contribution de personnes à la promotion et à la défense des droits des personnes lesbiennes, gaies, bisexuelles et trans sur la scène internationale.

Publications

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Ouvrages

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Ouvrages collectifs

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Articles

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  • KarineEspineira et Maud-YeuseThomas, « Les trans comme parias. Le traitement médiatique de la sexualité des personnes trans en France »,Genre, sexualité & société,no 11,‎(DOI 10.4000/gss.3126Accès libre,lire en ligne)
  • « L'inscription médiatique de l'intersexuation et de la transidentité dans la thématique des tests de féminité en télévision », dans Laetitia Biscarrat et al. (dir.),Quand la médiatisation fait genre. Médias, transgressions et négociations de genre., Cahiers de la transidentité, hors-série, Paris, L'Harmattan, coll. « Cahiers de la transidentité », 2014, p. 164-179.

Chapitres

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Notes et références

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  1. abcdefghij etkChristine Bard et Sylvie Chaperon (Notice rédigée par Arnaud Alessandrin),Dictionnaire des féministes : France,XVIIIe – XXIe siècle, Paris,Presses universitaires de France,, 1700 p.(ISBN 978-2-13-078720-4,OCLC 972902161,BNF 45220443,lire en ligne),p. 519 à 522
  2. abcd ete« Les luttes trans pour déconstruire les "normes de genre" », surMarsactu,(consulté le).
  3. ab etc« Karine S N Espineira », suruniv-paris8.academia.edu(consulté le).
  4. Communiqué d'Act Up Paris,Journée internationale de solidarité avec les Lesbiennes Gais Bi et trans d’Iran, 19 juillet 2006. Appel à manifestation et à signatures, initialement sur le site de La Coordination InterPride.
  5. Journée internationale de solidarité avec les Lesbiennes Gais Bi et Trans d’Iran, Coordination InterPride France, rassemblement du 19 juillet 2006 (Marseille).
  6. Un film de Cynthia Arra & Mélissa Arra, documentaire, France,75 min,4:3, 2007. Site du film :« L'ordre des mots ».
  7. Karine Espineira,La construction médiatique des transidentités (thèse de doctorat en sciences de l'information et de la communication), Nice, Université Nice Sophia Antipolis,(présentation en ligne).
  8. « L'UNS fière de récompenser ses lauréats et médaillés 2014 de la recherche », surUniversité Nice-Sophia-Antipolis.
  9. « Lo Trans en la cultura », surrednosotrasenelmundo.org,Red Nosotras en el Mundo(consulté le).
  10. « Mes questions sur les trans… », surSensCritique(consulté le).
  11. « Mes questions sur les trans… », surIMDB(consulté le).
  12. Avec Camille Barré,Olivia Chaumont, Karine Espineira, Anne-Gaëlle Duvauchel,Hélène Hazéra, David Latour, Florian.
  13. AmetsSuess, KarineEspineira et Pau CregoWalters, « Depathologization »,TSQ: Transgender Studies Quarterly,vol. 1,nos 1-2,‎1er mai 2014,p. 73–77(ISSN 2328-9252 et2328-9260,DOI 10.1215/23289252-2399650,lire en ligne, consulté le).
  14. (es) « Stop trans pathologisation worldwide », surAmnistía Internacional(consulté le).
  15. (es) NaomhánO'Connor, « Declaración Conjunta sobre el Proceso de la CIE-11 para las Identidades Trans y de Género Diverso », surGATE,(consulté le).
  16. « Genre, Inégalités, Discrimination - Ile-de-France », surInstitut Émilie-du-Châtelet(consulté le).
  17. « Laboratoire d'études de genre et de sexualité ».
  18. La transidentité : de l'espace médiatique à l'espace public.
  19. « 15 textes cultes pour comprendre les luttes LGBTQ+ », surLes Inrocks(consulté le).
  20. « Installation du nouveau Conseil scientifique de la DILCRAH », surGouvernement.fr,.
  21. Rozenn LeCarboulec, « Mineurs trans : la délégation interministérielle contre la transphobie en pleine crise », surMediapart(consulté le).
  22. ClovisMaillet, « Quitter le cis-tème/ Transidentités et transitudes : se défaire des idées reçues de Karine Expineira et Maud-Yeuse Thomas »,Spirale : arts • lettres • sciences humaines,no 280,‎,p. 73–76(ISSN 0225-9044 et1923-3213,lire en ligne, consulté le).
  23. PaulineArrighi, « Trans : suffit-il de s’autoproclamer femme pour pouvoir exiger d’être considéré comme telle ? », surmarianne.net,(consulté le).
  24. La PetiteSirène, « Inciter les enfants à changer de sexe : un scandale sanitaire à venir ? », surmarianne.net, 2022-02-04utc11:21:32+0200(consulté le).
  25. « Nous, féministes, soutenons J.K. Rowling contre le lynchage des activistes trans », surLEFIGARO,(consulté le).
  26. « Marie-Jo Bonnet: "Ce que provoque la peur d’être traité de “transphobe”" », surLEFIGARO,(consulté le).
  27. « Quand la folie transgenre s'attaque aux enfants… », surValeurs actuelles,(consulté le).
  28. « La question trans », surFrance Culture,(consulté le).
  29. Par Le Parisien Le 28 mai 2021à 09h55, « Valeurs Actuelles : des associations portent plainte pour injure transphobe », surleparisien.fr,(consulté le).
  30. un collectif de femmes féministes, trans oucis, « Le débat sur la place des femmes trans n’a pas lieu d’être », surLibération(consulté le).
  31. « Laissez-nous vivre, nous trans, et cessez de distiller la peur »,Le Monde.fr,‎(lire en ligne, consulté le).
  32. KarineEspineira, « Le mouvement trans : un mouvement social communautaire ? »,Chimères,vol. 87,no 3,‎,p. 85(ISSN 0986-6035 et2111-4412,DOI 10.3917/chime.087.0085,lire en ligne, consulté le).
  33. KarineEspineira, « Les constructions médiatiques des personnes trans - Un exemple d’inscription dans le programme « penser le genre » en SIC: »,Les Enjeux de l'information et de la communication,vol. n° 15/1,no 1,‎1er novembre 2015,p. 35–47(ISSN 1778-4239,DOI 10.3917/enic.016.0035,lire en ligne, consulté le).
  34. KarineEspineira, « La sexualité des sujets transgenres et transsexuels saisie par les médias »,Hermès,vol. n° 69,no 2,‎,p. 105(ISSN 0767-9513 et1963-1006,DOI 10.3917/herm.069.0105,lire en ligne, consulté le).
  35. KarineEspineira et Marie-Hélène/SamBourcier, « Transfeminism »,TSQ: Transgender Studies Quarterly,vol. 3,nos 1-2,‎1er mai 2016,p. 84–94(ISSN 2328-9252 et2328-9260,DOI 10.1215/23289252-3334247,lire en ligne, consulté le).
  36. KarineEspineira, « La médiatisation des politiques transgenres : du statut de contre-public à l’inégalité de la représentation »,Revue française des sciences de l’information et de la communication,no 4,‎(ISSN 2263-0856,DOI 10.4000/rfsic.695,lire en ligne, consulté le).
  37. KarineEspineira et Maud-YeuseThomas, « Études TransInterroger les conditions de production et de diffusion des savoirs »,Genre, sexualité & société,no 22,‎(ISSN 2104-3736,DOI 10.4000/gss.5916,lire en ligne, consulté le).
  38. Karine Espineira, "Enjeux et tensions entre savoirs trans et savoirs sur les trans : Savoirs situés et injustices épistémiques", dans Thérèse Courau, Julie Jarty et Nathalie Lapeyre (dir.),Le genre des sciences Approches épistémologiques et pluridisciplinaires, 2022, p. 121-132.(ISBN 9782356878649).
  39. « Débat : Transgenre, la fin d’un tabou ? », plateau débat, émissionLa soirée continue,France Télévisions,France 2, 22 novembre 2017.
  40. « Mon fils voudrait être une fille », reportage,Les maternelles : Les enfants transgenres,France Télévisions,France 5, 22 octobre 2016.
  41. « Les mauvais genres : trans et féministes », Un podcast à soi épisode 25,Arte Radio, 16 avril 2020.
  42. « Les transidentités, racontées par les trans »,LSD, La série documentaire,France Culture, 4 épisodes : « Histoire inédite d'une mobilisation », 27 août 2018 ; « Sous le joug médical : l'invention d'un symptôme », 28 août 2018 ; « Uniques en leur genre », 29 août 2018 ; « libertés, égalités, transidentités », 30 août 2018.
  43. « Nuit trans »,Tous les chats sont gris,France Inter, 6 mai 2014.
  44. « Nous connaissons depuis très longtemps le visage de la transphobie »,Le Monde, tribune avecMaud-Yeuse Thomas, 9 avril 2019.
  45. « À quand un #MeToo des femmes transgenres ? », TV5Monde, Terriennes, 8 novembre 2019.
  46. « La révolution du genre » (dossier),Le Nouvel Obs, n° 2838, p. 23-26, 27 mars 2019.
  47. « Prix Pierre Guénin : Les discours en vidéo », surYagg,.
  48. Denis-DanielBoullé, « Une spécialiste des questions trans dans les médias grand prix du Gala Arc-en-ciel 2019 », surFugues,(consulté le)

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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