Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Jules Moch

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirMoch.

Jules Moch
Illustration.
Jules Moch en 1950.
Fonctions
Ministre de l'Intérieur

(15 jours)
PrésidentRené Coty
Président du ConseilPierre Pflimlin
GouvernementPflimlin
PrédécesseurMaurice Faure
SuccesseurÉmile Pelletier

(2 ans, 2 mois et 14 jours)
PrésidentVincent Auriol
Président du ConseilRobert Schuman
André Marie
Robert Schuman
Henri Queuille
Georges Bidault
GouvernementSchuman I
Marie
Schuman II
Queuille I
Bidault II
PrédécesseurRené Pleven
SuccesseurHenri Queuille
Ministre de la Défense nationale

(1 an et 30 jours)
PrésidentVincent Auriol
Président du ConseilRené Pleven
Henri Queuille
GouvernementPleven I
Queuille III
SuccesseurGeorges Bidault
Vice-président du Conseil des ministres

(3 mois et 10 jours)
AvecHenri Queuille
PrésidentVincent Auriol
Président du ConseilGeorges Bidault
GouvernementBidault II
Ministre des Travaux publics,
des Transportset de la Reconstruction

(2 ans et 3 jours)
Président du ConseilCharles de Gaulle
Félix Gouin
Georges Bidault
Léon Blum
Paul Ramadier
Gouvernementde Gaulle II
Gouin
Bidault I
Blum III
Ramadier I
PrédécesseurRené Mayer
SuccesseurChristian Pineau
Député français

(4 ans, 3 mois et 27 jours)
Élection25 novembre 1962
Circonscription3e de l'Hérault
LégislatureIIe(Cinquième République)
Groupe politiqueSOC
PrédécesseurCerf Lurie
SuccesseurPierre Arraut

(13 ans et 29 jours)
Élection21 octobre 1945
Réélection2 juin 1946
10 novembre 1946
17 juin 1951
2 janvier 1956
CirconscriptionHérault
LégislatureIre Constituante
IIe Constituante
Ire,IIe etIIIe(Quatrième République)
Groupe politiqueSOC

(4 ans, 6 mois et 17 jours)
Élection
CirconscriptionHérault
LégislatureXVIe(Troisième République)
Groupe politiqueSOC
PrédécesseurLucien Salette
SuccesseurCirconscription supprimée

(7 ans, 11 mois et 30 jours)
Élection29 avril 1928
Réélection1er mai 1932
CirconscriptionDrôme
LégislatureXIVe etXVe(Troisième République)
Groupe politiqueSOC
PrédécesseurCirconscription créée
SuccesseurRené Pécherot
Ministre des Travaux publics

(28 jours)
PrésidentAlbert Lebrun
Président du ConseilLéon Blum
GouvernementBlum II
PrédécesseurJean-Alexis Jaubert
SuccesseurLudovic-Oscar Frossard
Sous-secrétaire d'État à la présidence du Conseil

(26 jours)
PrésidentAlbert Lebrun
Président du ConseilLéon Blum
GouvernementBlum I
PrédécesseurFrançois de Tessan
SuccesseurWilliam Bertrand
Biographie
Nom de naissanceJules Salvador Moch
Date de naissance
Lieu de naissanceParis (France)
Date de décès (à 92 ans)
Lieu de décèsCabris (France)
NationalitéFrançaise
Parti politiqueSFIO -Parti socialiste

Signature de
modifier 

Jules Salvador Moch (prononcer/ʒyl mɔk/), né le àParis16e et mort le àCabris (Alpes-Maritimes), est unhomme politiquefrançais. Il estministre à plusieurs reprises sous laTroisième République et surtout laQuatrième République.

Biographie

[modifier |modifier le code]

Milieu familial et formation

[modifier |modifier le code]
Jules Moch en 1932.

D'origine juive, son père, le capitaineGaston Moch[1], avait été le condisciple àPolytechnique du capitaineAlfred Dreyfus[2].

Lui-même est polytechnicien (promotion X 1912) et ingénieur en chef duGénie maritime militaire. À la déclaration de la guerre de 1914, il est incorporé dans leGénie. Il se bat en première ligne et reçoit lacroix de Guerre. Il participe à laguerre des mines, est cité quatre fois mais, gazé, il finit la guerre dans un centre d'instruction. La paix revenue, il choisit legénie maritime.

Il adhère à laSection française de l'Internationale ouvrière (SFIO) en octobre 1924 et est élu député de laDrôme de 1928 à 1936. Il s'impose comme l'un des meilleurs techniciens de la SFIO. Foncièrementanticommuniste, depuis un voyage enURSS en 1921, il n'hésite pas à écrire qu'une bonne partie de la doctrinemarxiste est dépassée. En 1931, il se fait remarquer en suggérant, dans le cadre de l'affaire de l'Aéropostale, la liquidation de la compagnie aérienne éponyme, prise dans un scandale de corruption[3]. Les autres députés se rallient à sa position.

Ministre de Léon Blum et opposant aux accords de Munich

[modifier |modifier le code]

Ayant perdu, aux législatives de, son mandat de député de la Drôme[4], Jules Moch ne participa pas officiellement au premier gouvernement duFront populaire, maisLéon Blum le nomme Secrétaire général du gouvernement. À ce titre il participe à tous les Conseils des ministres et conseils de Cabinet[5]. Il coordonne les actions transversales comme l'aide à l'Espagne républicaine (ventes fictives d'armes vers d'autres pays, qui se retrouvaient enEspagne et transit des brigades internationales). Il préside un petit comité qui groupeGaston Cusin représentantVincent Auriol, ministre des Finances, etJean Moulin représentantPierre Cot, ministre de l'Aviation[6].

En1937, à la faveur d'une élection partielle, il retrouve un siège de député, dans l'Hérault, et Léon Blum l'appelle au gouvernement, le, commesous-secrétaire d'État à la présidence du Conseil, puis, en mars-avril1938, dans lesecond cabinet, comme ministre des Travaux publics et des Transports.

En octobre1938, il s'oppose auxaccords de Munich, et ne vote leur ratification à la Chambre des députés que par discipline de parti, cédant notamment à l'insistance de Léon Blum. Il fut ensuite, avec Léon Blum, un des animateurs de la tendance de la SFIO prônant la fermeté face àHitler ; il s'oppose ainsi àPaul Faure[7].

Seconde Guerre mondiale

[modifier |modifier le code]

En 1938, officier de marine et convaincu que toutes les reculades devant Hitler ne feront que convaincre ce dernier de faire la guerre, et, voulant être combattant, il demande à l'amiral Darlan, chef d'état-major de la Marine, d'être mobilisable malgré ses45 ans. Il accepte d'effectuer une période militaire d'un mois, mi, pour sa formation sur les matériels modernes. Il y devient alorscapitaine de corvette.

La guerre déclarée, il est incorporé dans la Marine, sa première mission est de superviser la démagnétisation de la flotte (pour éviter lesmines magnétiques), puis il est affecté au navire amiral de la flotte de Méditerranée, le croiseurÉmile Bertin.

Cette flotte est transférée en Écosse pour soutenir le débarquement en Norvège. Il est muté sur l'escorteurMaillé-Brézé (ces deux navires sont très endommagés alors qu'il n'est pas à bord). Pour son action pour la démagnétisation de la Flotte il est nommécapitaine de frégate[8].

Muté au Centre de recherche de la Marine de Toulon, il passe à Bordeaux où le gouvernement s'est replié et rencontre Darlan qui, devenu défaitiste, le déçoit. Il va à Alger pour mettre à l'abri les documents secrets du Centre de recherche. De retour à Toulon, il apprend l'Armistice.

Le, il fait partie desquatre-vingts parlementaires qui votent contre les pleins pouvoirs aumaréchal Pétain. Il est pour cette raison surveillé parVichy, qui le fait même arrêter le. Il est incarcéré àPellevoisin (Indre), en compagnie deVincent Auriol,Marx Dormoy,Georges Mandel etPaul Reynaud, puis transféré àAubenas et àVals-les-Bains.

Au début de1941, il est libéré par l'amiral Darlan. Il entre alors dans laRésistance, participe àX-Libre[9], un groupe de résistants de Polytechnique, et crée le mouvement 1793, qui se livre à des sabotages dans l'Aude et l'Ardèche.

Ayant demandé son transfert à Londres pour être intégré dans lesForces navales françaises libres, de nombreux contretemps l'obligent à passer par l'Espagne et il perd4 mois. Il est déçu par de Gaulle car il estime que celui-ci n'a pas bien compris ce qu'était la Résistance intérieure. Il expose au Général que leComité d'action socialiste est derrière lui « non parce qu'il est général mais bien qu'il le soit[10]. »

L'amiral Auboyneau lui demande de créer une école de formation accélérée à l'artillerie de marine. Il effectue au nom du général de Gaulle des missions au Liban et en Afrique noire, ce qui lui vaut d'être nommécapitaine de vaisseau.

Informé du futurdébarquement en Provence, il obtient, sans en parler au général de Gaulle, son incorporation sur le croiseurÉmile Bertin remis en état, comme directeur de l'artillerie. Instruit sur les procédures d'appui-feu américaines, cette incorporation permet l'inclusion du croiseur dans la division navale américaine désignée pour soutenir la vague d'assaut de la plage deSaint-Raphaël (zone CAMEl,36e division d'infanterie américaine)[11],[12].

Son fils André, lieutenant au6e bataillon dechasseurs alpins et dirigeant un groupe de résistants, meurt en combattant en àCorenc en Isère[13],[14].

Député et ministre de la Quatrième République

[modifier |modifier le code]

Il est membre de l'Assemblée consultative àAlger et Paris (1944), puis des deux Assemblées nationales constituantes (1945-1946) puis de l'Assemblée nationale (1946-1958 et 1962-1967). À huit reprises, il est ministre pendant laQuatrième République : Travaux publics et Transports (1945-1947), Intérieur (1947-1950), Défense (1950-1951). Jules Moch est vice-président du conseil de 1949 à 1950.

De1951 à1960, Jules Moch est le délégué de la France à la Commission du désarmement de l'ONU et refuse, pour cette raison, d'entrer dans un gouvernement.

Il fait exception à ce principe pour entrer dans l'éphémèregouvernement Pflimlin de, comme ministre de l'Intérieur. Cependant, le gouvernement se heurte auputsch d'Alger, et Jules Moch ne peut que constater l'impuissance de son action sur une administration policière soumise aux pressions et émotions putschistes. Ainsi échoue-t-il à faire reprendre laCorse par lesCRS qu'il y a envoyés.

Fonctions ministérielles

[modifier |modifier le code]

Au ministère des Transports

[modifier |modifier le code]

Comme ministre des Transports, il contribue à la reconstruction des chemins de fer, des ports, des routes et de l'aviation.

Ministre de l'Intérieur

[modifier |modifier le code]
Jules Moch (à droite) avecLevi Eshkol en Israël (1957).

En 1947, il est nommé ministre de l'intérieur en vue de se confronter auxgrèves de novembre-, qui font suite à l'arrestation de militants communistes à Marseille puis l'assassinat d'un jeune manifestant par des mafieux du quartier « chaud ». Dans un contexte de pénurie générale, de stagnation des salaires et de répression syndicale dans le bassin minier du Nord, la majorité « unitaire » de la CGT reprend ce mouvement sous son égide, et la confrontation s'amplifie. Jules Moch montre une grande fermeté pour assurer la reprise du travail[15],[16]. Le point d'orgue des troubles se situe dans la nuit du 2 au, lorsque des saboteurs provoquent ledéraillement du train Paris-Tourcoing, occasionnant ainsi 16 morts et environ trente blessés[15],[17],[18]. Pour l'historien Philippe Robrieux,« l'initiative de ce déraillement revient à d'anciens activistes de la clandestinité qui croyaient ainsi arrêter un train de CRS »[19]. Quelle que soit l'origine de cette attaque, elle est dénoncée par tous les partis.

Lecoup de Prague de suscite de vives inquiétudes et fait craindre des événements comparables en France[20]. Pour rationaliser son dispositif, Jules Moch crée grâce à la loi du les inspecteurs généraux de l'administration en mission extraordinaire (IGAME), qui préfigurent les premiers préfets régionaux et la mise en place ultérieure d'une administration territoriale au niveau régional[21].

Le,Henri Queuille, président du Conseil (de tendance radicale) depuis le — il forme le cinquième cabinet de laTroisième Force depuis l'éviction des ministres communistes en mars 1947 et la fin dutripartisme —, dénonce le« caractère insurrectionnel » desgrèves en cours dans les mines. Ces nouvelles grèves, qui prennent des allures révolutionnaires notamment dans lescharbonnages du Nord, sont déclenchées enoctobre 1948 par la CGT en raison d'un retard des salaires sur les prix de plus de 30 % — l'inflation étant alors un mal chronique malgré l'aide américaine — et de la suppression des avantages acquis à la Libération, décidée par le ministre de l'Industrie,Robert Lacoste[22].

Pour contrer la grève, Jules Moch mobilise 60 000 CRS et soldats, qui se heurtent aux 15 000 grévistes retranchés dans les puits, et leur imposent, fin novembre une cuisante reprise du travail. À la faveur de la lassitude des travailleurs et des divisions des syndicats, la répression est sévère, avec plus de 3 000 licenciements, six morts et de nombreux blessés[23]. Lescommunistes gardent contre Jules Moch un profond ressentiment[24].

Règlement judiciaire des grèves de 1948
[modifier |modifier le code]
Article détaillé :Grève des mineurs de 1948.

Très tardivement, en 2011, plus de vingt ans après le décès de Jules Moch, lacour d'appel de Versailles[25] a reconnu l’illégalité de ces licenciements pour faits de grève. Dix-sept mineurs, survivants de la grande grève de 1947, ont obtenu, chacun, une indemnisation de  30 000 euros[26],[27]. Lepourvoi en cassation demandé parChristine Lagarde, alors ministre de l'Économie, a abouti à l'annulation de la condamnation desCharbonnages de France pour licenciements abusifs[28].

En,Christiane Taubira, ministre de la Justice, demande au ministre des Finances,Michel Sapin, l'indemnisation des mineurs grévistes et de leurs ayants droit[29].

À la Défense et aux Affaires étrangères

[modifier |modifier le code]

Au ministère de la Défense, il contribue à la modernisation de l'armée, met sur pied la participation française à laguerre de Corée et contribue à la mise en œuvre de l'OTAN. Alors qu'il est rapporteur de laCommission des affaires étrangères, il s'oppose cependant à laCommunauté européenne de défense, ce qui lui vaut d'être exclu temporairement de la SFIO le.

Acteur de l'alliance diplomatique et militaire franco-israélienne

[modifier |modifier le code]

En 1947, comme ministre de l'Intérieur, il fait autoriser les escales en Corse des avions américains alimentant clandestinement en armes laHaganah et l'Irgoun[30], organisations paramilitaires sionistes en Palestine. Il facilite, par ailleurs, le transit par la France des Juifs en partance pour Israël. Combattant la tendance qu'il décèle de la part duQuai d'Orsay à ménager laLigue arabe, Jules Moch prône le soutien à l'État d'Israël, et contribue à façonner l'un des traits dominants de la diplomatie de la Quatrième République.

C'est Jules Moch, qui, en, dans le cadre de son mandat à l'ONU, rend publique la secrète et intense coopération militaire franco-israélienne dans le domaine du nucléaire[31].

Au même moment, et aligné en cela sur la position dePierre Mendès France, Jules Moch prend ses distances avec lacampagne franco-britannique de Suez, menée parGuy Mollet en coordination avec le gouvernement israélien, estimant notamment queNasser n'est pas « le nouvel Hitler »[32].

Dirigeant de la Troisième Force

[modifier |modifier le code]

Il combat à la fois les gaullistes (RPF) et les communistes (PCF) et est un des chefs de file de laTroisième Force, sous la Quatrième République et dans les premières années de la Cinquième.

Battu par un candidatUNR aux élections législatives de1958, il redevient député en1962 grâce à un accord départemental[33] passé entre le PCF et la SFIO qui retire son candidatRaoul Calas (député de l'Hérault de 1946 à 1951 et de 1956 à 1958) arrivé en tête[34] au premier tour du scrutin. Jules Moch se justifie en déniant à ce soutien toute portée politique stratégique, au-delà de la coalition des « non » au gaullisme[35].

En1967, il ne se représente pas et se retire de la vie politique. La circonscription est reprise par le PC. Jules Moch se consacre notamment à ses livres, à des conférences internationales scientifiques et au projet de pont sur la Manche, plus coûteux mais plus rentable qu'un tunnel.

Opposant à l'Union de la gauche

[modifier |modifier le code]

Issu de la génération socialiste qui est marquée par lestalinisme, laguerre froide et les combats anticommunistes, Jules Moch prend une position hostile à l'Union de la gauche dans les années 1970 ; il démissionne pour ces raisons duParti socialiste le. En 1977, alors queFrançois Mitterrand engrange les succès de sa stratégie d'union, Jules Moch affiche sa position d'opposant irréductible en publiant son dernier ouvrage politique :Le Communisme, jamais ![36].

Vie privée

[modifier |modifier le code]

Il se marie en 1917 à la militante féministe et socialiste Germaine Picard-Moch, membre duComité national des femmes socialistes[37].

Détail des mandats et fonctions

[modifier |modifier le code]

Au gouvernement

[modifier |modifier le code]

À l’Assemblée nationale

[modifier |modifier le code]
  • Député (SFIO) de laDrôme (1928-1936)
  • Député (SFIO) de l'Hérault (1937-1941, 1945-1958, 1962-1967)

Publications

[modifier |modifier le code]
  • La Russie des Soviets, Paris : éd. Île-de-France, 1925.
  • Socialisme et rationalisation, L'Eglantine, Bruxelles, 1927.
  • Le Rail et la Nation, Paris : Librairie Valois, 1931.
  • Capitalisme et Transports, Paris : Librairie Valois, 1932.
  • L'Espagne républicaine : l'œuvre d'une révolution, Paris : éd. Rieder, 1933 (avec Germaine Picard-Moch).
  • Arguments socialistes, éd. de la Liberté, 1945.
  • Le Communisme et la France, Société parisienne d'imprimerie, 1948.
  • Confrontations (Doctrines - Déviations - Expériences - Espérances), éd. Gallimard, 1952 ; nouv. éd.,Socialisme à l'ère atomique. Nouvelles confrontations, éd. Plon, 1974.
  • Yougoslavie, terre d'expérience, éd. du Rocher, Monaco, 1953.
  • Alerte, le problème crucial de la Communauté Européenne de défense, éd. Robert Laffont, 1954.
  • La Folie des hommes (au sujet de la bombe atomique), éd. Robert Laffont, 1955.
  • URSS : les yeux ouverts, éd. Robert Laffont, 1956.
  • Washington D. Smith, banquier de Wall Street, éd. Robert Laffont, 1957.
  • En retard d'une paix, éd. Robert Laffont, 1958.
  • Socialisme vivant : dix lettres à un jeune, éd. Robert Laffont, 1960.
  • En 1961, paix en Algérie, éd. Robert Laffont, 1961.
  • Le Pont sur la Manche, Paris, éd. Robert Laffont, 1962, 248 pages.
  • Non à la force de frappe, éd. Robert Laffont, 1963.
  • Histoire du réarmement allemand depuis 1950, éd. Robert Laffont, 1965.
  • Rencontres avec Darlan et Eisenhower, éd. Plon, 1968.
  • Destin de la paix, Le Mercure de France, 1969.
  • Rencontres avec Léon Blum, éd. Plon, 1970.
  • Le Front populaire : grande espérance, éd. Perrin, 1971.
  • Rencontres avec Charles de Gaulle, éd. Plon, 1971.
  • Une si longue vie, éd. Robert Laffont, 1976.
  • Le Communisme, jamais !, éd. Plon, 1977.

Notes et références

[modifier |modifier le code]
  1. Archives numérisées de l'état civil de Paris, acte de naissanceno 16/326/1893, avec mention marginale du décès (consulté le 5 juillet 2012).
  2. Jean-Claude Maitrot, « Moch Jules (1893-1985) », suruniversalis.fr,Encyclopædia Universalis(consulté le).
  3. NicolasNeiertz, « Argent, politique et aviation. L'affaire de l'aéropostale (1931-1932) »,Vingtième Siècle. Revue d'histoire,vol. 24,no 1,‎,p. 29–40(DOI 10.3406/xxs.1989.2183,lire en ligne, consulté le).
  4. Battu par le candidat radical, M. Pecherotnotice biographique sur le site de l'Assemblée nationale.
  5. Jules Moch,Une si longue vie, Paris,Robert Laffont,, page 113.
  6. Une si longue vie,p. 132.
  7. MOCH Jules, Salvador, dansLe Maitron
  8. Une si longue vie, pages 156-160.
  9. Bernard Lévi, « Une racine d'X-Résistance : le groupe X-Libre (1941-1944) »,La Jaune et la Rouge,no 601,‎,p. 52-53(lire en ligne).
  10. Une si longue vie, page 168.
  11. « Dragoon »,Magazine 39-45, N°97/98,‎.
  12. « Emile-Bertin ».
  13. « Corenc en 1939-1945 » sur le site de l'AJPN.
  14. Une place porte le nom d'André Moch àCorenc, en Isère où un monument commémoratif rappelle le combat.
  15. a etbMencherini 2017.
  16. Méchoulan 1999,p. 239.
  17. Méchoulan 1999,p. 240.
  18. « “Un sabotage” : en 1947, à Agny, l’attentat du train postal coûtait la vie à vingt personnes », surLa Voix du Nord(consulté le).
  19. Philippe Robrieux,Histoire intérieure du Parti communiste (tome 2),Fayard,, 253 p.
  20. Méchoulan 1999,p. 251.
  21. Méchoulan 1999,p. 248-249.
  22. « La face obscure du socialisme », entretien,marianne.net, 4 mai 2014.
  23. Pierre Outteryck, « La grève des mineurs de 1948 », site CGT[PDF].
  24. Les députés communistes l'accueillent à l'Assemblée au cri de « Heil Hitler » : Joël Kotek, Dan Kotek,L'Affaire Lyssenko, Paris, Éditions Complexe, 1986(ISBN 978-2870271872),p. 126-127.
  25. CA de Versailles, jugement du 10 mars 2011.
  26. Laurence Mauriaucourt, « Grève de 1948 : charbons gagnants »,humanite.fr, 21 mars 2011.
  27. Delphine Saubaber, « Justice pour les mineurs grévistes de 1948 »,lexpress.fr, 2 avril 2011.
  28. Camille Raad, « Nouveau coup dur pour les mineurs grévistes de 1948, qui résistent encore », surlavoixdunord.fr,La Voix du Nord,(consulté le).
  29. AFP, « Mme Taubira veut indemniser des mineurs grévistes de 1948 », surlemonde.fr,Le Monde,(consulté le).
  30. Charles Reich « Jules Moch », sur le site du judaïsme alsacien.
  31. Jérémy Sebbane,Pierre Mendès France et la question du Proche-Orient : (1940-1982)lire en ligne.
  32. Site du judaïsme alsacien.
  33. L'accord, motivé par « la gravité de la situation politique et des menaces précises qui pèsent sur les libertés fondamentales des citoyens en raison des visées dictatoriales du régime gaulliste » (affiche reproduite dansLes Cahiers du communisme de décembre 1962), concerne le désistement du socialiste Alfred Crouzet en faveur dePaul Balmigère dans la circonscription de Béziers-Bédarieux et de Raoul Calas en faveur de Jules Moch dans la circonscription de Sète-Pézenas.
  34. « Notes sur le second tour des élections législatives de novembre 1962 »,Revue française de science politique, année 1963,no 2,p. 320[1].
  35. Dans l'interview qu'il accorde au quotidien communisteLa Marseillaise entre les deux tours de scrutin (édition du 22 novembre 1962), Jules Moch déclare notamment :« Si je veux remercier Calas et ses amis pour leur geste politique, ce ne sont pas ses conséquences locales immédiates qui doivent retenir notre attention. Peu importe ce qui se passe dans une circonscription : ce qui compte, c'est l'évolution sur le plan national. Or en de multiples coins du pays des ententes de formes d'ailleurs diverses se nouent qui ont toutes un trait commun : il s'agit de faire échec au plus grand nombre possible de candidats de l'U.N.R. » (Cahiers du communisme, décembre 1962,p. 48).
  36. « Avant-propos », Jules Moch,Le communisme, jamais !, Plon, 1977
  37. « PICARD-MOCH Germaine », dansLe Maitron, Maitron/Editions de l'Atelier,(lire en ligne)

Voir aussi

[modifier |modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier |modifier le code]

Articles connexes

[modifier |modifier le code]

Liens externes

[modifier |modifier le code]

v ·m
Ministère de l'Intérieur
IIIe République
(1871 -1940)
Régime de Vichy
(1940 -1944)
France libre
(1941 -1944)
Gouvernement provisoire
(1944 -1946)
IVe République
(1946-1959)
Ve République
(depuis1959)
v ·m
Gouvernement Blum I (4 juin 1936 - 21 juin 1937)
Sous la présidence d’Albert Lebrun
Vice-président du ConseilÉdouard Daladier


Léon Blum
Président du Conseil
Ministres d'État
Défense nationale et GuerreÉdouard Daladier
JusticeMarc Rucart
Intérieur
Affaires étrangèresYvon Delbos
FinancesVincent Auriol
MarineAlphonse Gasnier-Duparc
AirPierre Cot
Éducation nationaleJean Zay
Économie nationaleCharles Spinasse
Travaux publicsAlbert Bedouce
CommercePaul Bastid
AgricultureGeorges Monnet
ColoniesMarius Moutet
TravailJean-Baptiste Lebas
PensionsAlbert Rivière
Postes, Télégraphe et TéléphoneRobert Jardillier
Santé publiqueHenri Sellier
Liste des sous-secrétaires d’État
(← SARRAUT II) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (CHAUTEMPS III →)
v ·m
Gouvernement Blum II (13 mars 1938 - 8 avril 1938)
Sous la présidence d’Albert Lebrun
Vice-président du ConseilÉdouard Daladier


Léon Blum
Président du Conseil
Ministres d'État
Coordination des servicesVincent Auriol
TrésorLéon Blum
Défense nationale et GuerreÉdouard Daladier
Affaires étrangèresJoseph Paul-Boncour
PropagandeLudovic-Oscar Frossard
Éducation nationaleJean Zay
IntérieurMarx Dormoy
JusticeMarc Rucart
BudgetCharles Spinasse
AgricultureGeorges Monnet
Travaux publicsJules Moch
ColoniesMarius Moutet
TravailAlbert Sérol
Postes, Télégraphe et TéléphoneJean-Baptiste Lebas
Santé publiqueFernand Gentin
Marine militaireCésar Campinchi
AirGuy La Chambre
CommercePierre Cot
Liste des sous-secrétaires d’État
(← CHAUTEMPS IV) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (DALADIER III →)
v ·m
GouvernementsCharles de Gaulle I etII(10 septembre 1944 - 20 janvier 1946)
Ministres d'État


Charles de Gaulle
Justice
Affaires étrangèresGeorges Bidault
IntérieurAdrien Tixier
Guerre
MarineLouis Jacquinot
AirCharles Tillon
Économie nationale
Finances
Production industrielle
AgricultureFrançois Tanguy-Prigent
Ravitaillement
Colonies
Éducation nationale
Travail et Sécurité sociale
Transports et Travaux publics
PTT
Information
Prisonniers, Déportés et RéfugiésHenri Frenay
SantéFrançois Billoux
Afrique du NordGeorges Catroux
Reconstruction et UrbanismeRaoul Dautry
PopulationRobert Prigent
(← LAVAL VI) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (GOUIN →)
v ·m
Gouvernement Gouin(26 janvier - 12 juin 1946)
Vice-présidents du Conseil


Félix Gouin
JusticePierre-Henri Teitgen
Affaires étrangèresGeorges Bidault
IntérieurAndré Le Troquer
ArméesEdmond Michelet
ArmementCharles Tillon
Économie nationale etFinancesAndré Philip
AgricultureFrançois Tanguy-Prigent
Production industrielleMarcel Paul
Éducation nationaleMarcel-Edmond Naegelen
Transports etTravaux publicsJules Moch
PTTJean Letourneau
Outre-MerMarius Moutet
Travail et Sécurité socialeAmbroise Croizat
Santé publique et PopulationRobert Prigent
RavitaillementHenri Longchambon
Reconstruction et UrbanismeFrançois Billoux
Liste des sous-secrétaires d’État
(← DE GAULLE II) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (BIDAULT I →)
v ·m
Gouvernement Bidault I(24 juin - 28 novembre 1946)
Vice-présidents du Conseil


Georges Bidault
Ministres d'État
Affaires étrangèresGeorges Bidault
JusticePierre-Henri Teitgen
IntérieurÉdouard Depreux
ArméesEdmond Michelet
ArmementCharles Tillon
FinancesRobert Schuman
Économie nationaleFrançois de Menthon
AgricultureFrançois Tanguy-Prigent
Production industrielleMarcel Paul
Éducation nationaleMarcel-Edmond Naegelen
Transports etTravaux publicsJules Moch
Outre-MerMarius Moutet
Travail et Sécurité socialeAmbroise Croizat
PTTJean Letourneau
Reconstruction et UrbanismeFrançois Billoux
Santé publiqueRené Arthaud
PopulationRobert Prigent
Anciens combattants et Victimes de la guerreLaurent Casanova
RavitaillementYves Farge
Liste des sous-secrétaires d’État
(← GOUIN) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (BLUM III →)
v ·m
Gouvernement Blum III(16 décembre 1946 - 16 janvier 1947)
Affaires étrangèresLéon Blum


Léon Blum
Ministres d'État
JusticePaul Ramadier
IntérieurÉdouard Depreux
Défense nationaleAndré Le Troquer
Économie nationale etFinancesAndré Philip
AgricultureFrançois Tanguy-Prigent
Production industrielleRobert Lacoste
Éducation nationaleMarcel-Edmond Naegelen
Transports,Travaux publics etReconstructionJules Moch
Outre-MerMarius Moutet
Travail et Sécurité socialeDaniel Mayer
PTTEugène Thomas
Santé publique et PopulationPierre Ségelle
Anciens combattants et Victimes de la guerreMax Lejeune
Liste des sous-secrétaires d’État
(← BIDAULT I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (RAMADIER I →)
v ·m
GouvernementsRamadier I etII(22 janvier 1947 - 19 novembre 1947)
Sous laprésidence de Vincent Auriol
Ministres d'État


Paul Ramadier
JusticeAndré Marie
Affaires étrangèresGeorges Bidault
IntérieurÉdouard Depreux
Défense nationale
Guerre
Marine
Air
FinancesRobert Schuman
Économie nationale
Agriculture
Production industrielleRobert Lacoste
Reconstruction et Urbanisme
Commerce
Éducation nationaleMarcel-Edmond Naegelen
Transports etTravaux publicsJules Moch
Outre-Mer
Travail et Sécurité sociale
Santé publique et Population
Jeunesse, Arts et LettresPierre Bourdan
Anciens combattants et Victimes de la guerre
PTTEugène Thomas
Liste des hauts-commissaires et sous-secrétaires d’État
(← BLUM III) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (SCHUMAN I →)
v ·m
Gouvernement Schuman I(24 novembre 1947 - 19 juillet 1948)
Sous laprésidence de Vincent Auriol
JusticeAndré Marie


Robert Schuman
Affaires étrangèresGeorges Bidault
IntérieurJules Moch
Forces arméesPierre-Henri Teitgen
Finances etAffaires économiquesRené Mayer
Industrie etCommerceRobert Lacoste
AgriculturePierre Pflimlin
Éducation nationale
Outre-MerPaul Coste-Floret
Travaux publics etTransportsChristian Pineau
Travail et Sécurité socialeDaniel Mayer
Santé publique et PopulationGermaine Poinso-Chapuis
Reconstruction et UrbanismeRené Coty
Anciens combattants et Victimes de la guerreFrançois Mitterrand
Liste des hauts-commissaires et sous-secrétaires d’État
(← RAMADIER III) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (MARIE →)
v ·m
Gouvernement Marie(26 juillet - 28 août 1948)
Sous laprésidence de Vincent Auriol
Vice-présidents du Conseil


André Marie
Ministres d'État
JusticeRobert Lecourt
Affaires étrangèresRobert Schuman
IntérieurJules Moch
Finances etAffaires économiquesPaul Reynaud
Forces arméesRené Mayer
Éducation nationaleYvon Delbos
Travaux publics etTransportsChristian Pineau
Industrie etCommerceRobert Lacoste
AgriculturePierre Pflimlin
Outre-MerPaul Coste-Floret
Travail et Sécurité socialeDaniel Mayer
Reconstruction et UrbanismeRené Coty
Anciens combattants et Victimes de la guerreAndré Maroselli
Santé publique et PopulationPierre Schneiter
Liste des hauts-commissaires et sous-secrétaires d’État
(← SCHUMAN I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (SCHUMAN II →)
v ·m
Gouvernement Schuman II(5 septembre - 7 septembre 1948)
Sous laprésidence de Vincent Auriol
Affaires étrangèresRobert Schuman


Robert Schuman
Vice-président du ConseilAndré Marie
JusticeRobert Lecourt
IntérieurJules Moch
Finances etAffaires économiquesChristian Pineau
Défense nationaleRené Mayer
Éducation nationaleMichel Tony-Révillon
Travaux publics etTransportsHenri Queuille
Industrie etCommerceRobert Lacoste
AgriculturePierre Pflimlin
Outre-MerPaul Coste-Floret
Travail et Sécurité socialeDaniel Mayer
Reconstruction et UrbanismeRené Coty
Anciens combattants et Victimes de la guerreJules Catoire
Santé publique et PopulationPierre Schneiter
Liste des sous-secrétaires d’État
(← MARIE) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (QUEUILLE I →)
v ·m
Gouvernement Queuille I(11 septembre 1948 - 5 octobre 1949)
Sous laprésidence de Vincent Auriol
Finances etAffaires économiquesHenri Queuille


Henri Queuille
Vice-président du Conseil etJustice
Affaires étrangèresRobert Schuman
IntérieurJules Moch
Défense nationalePaul Ramadier
Éducation nationaleYvon Delbos
Travaux publics,Transports etTourismeChristian Pineau
Industrie etCommerceRobert Lacoste
AgriculturePierre Pflimlin
Outre-MerPaul Coste-Floret
Travail et Sécurité socialeDaniel Mayer
Reconstruction et UrbanismeEugène Claudius-Petit
Anciens combattants et Victimes de la guerreRobert Bétolaud
Santé publique et PopulationPierre Schneiter
Marine marchandeAndré Colin
Liste des sous-secrétaires d’État et hauts-commissaires
(← SCHUMAN II) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (BIDAULT II →)
v ·m
GouvernementsBidault II etIII(28 octobre 1949 - 24 juin 1950)
Sous laprésidence de Vincent Auriol
Vice-présidents du Conseil


Georges Bidault
Intérieur
Ministre d'État et InformationPierre-Henri Teitgen
JusticeRené Mayer
Affaires étrangèresRobert Schuman
Défense nationaleRené Pleven
Finances etAffaires économiquesMaurice Petsche
Éducation nationaleYvon Delbos
Travaux publics,Transports etTourisme
Industrie etCommerce
Agriculture
Outre-MerJean Letourneau
Travail et Sécurité sociale
Reconstruction et UrbanismeEugène Claudius-Petit
Anciens combattants et Victimes de la guerreLouis Jacquinot
Santé publique et PopulationPierre Schneiter
PTT
Liste des sous-secrétaires d’État
(← QUEUILLE I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (QUEUILLE II →)
v ·m
Gouvernement Pleven I(12 juillet 1950 - 28 février 1951)
Sous laprésidence de Vincent Auriol
Ministres d'État


René Pleven
JusticeRené Mayer
Affaires étrangèresRobert Schuman
IntérieurHenri Queuille
Défense nationaleJules Moch
Finances etAffaires économiquesMaurice Petsche
BudgetEdgar Faure
Éducation nationalePierre-Olivier Lapie
Travaux publics,Transports etTourismeAntoine Pinay
Industrie etCommerceJean-Marie Louvel
AgriculturePierre Pflimlin
Outre-MerFrançois Mitterrand
Travail et Sécurité socialePaul Bacon
Reconstruction et UrbanismeEugène Claudius-Petit
Anciens combattants et Victimes de la guerreLouis Jacquinot
Santé publique et PopulationPierre Schneiter
PTTCharles Brune
Marine marchandeGaston Defferre
InformationAlbert Gazier
Ministre sans portefeuillePaul Giacobbi
Liste des sous-secrétaires d’État
(← QUEUILLE II) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (QUEUILLE III →)
v ·m
Gouvernement Queuille III(10 mars - 10 juillet 1951)
Sous la présidence deVincent Auriol
IntérieurHenri Queuille


Henri Queuille
Vice-présidents du Conseil
Ministres d'ÉtatJean Letourneau
JusticeRené Mayer
Défense nationaleJules Moch
Finances etAffaires économiquesMaurice Petsche
BudgetEdgar Faure
Éducation nationalePierre-Olivier Lapie
Affaires étrangèresRobert Schuman
Travaux publics,Transports etTourismeAntoine Pinay
Industrie etCommerceJean-Marie Louvel
AgriculturePierre Pflimlin
Outre-MerFrançois Mitterrand
Travail et Sécurité socialePaul Bacon
Reconstruction et UrbanismeEugène Claudius-Petit
Anciens combattants et Victimes de la guerreLouis Jacquinot
Santé publique et PopulationPierre Schneiter
PTTCharles Brune
Marine marchandeGaston Defferre
InformationAlbert Gazier
Liste des sous-secrétaires d’État
(← PLEVEN I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (PLEVEN II →)
v ·m
Gouvernement Pflimlin(13 mai - 28 mai 1958)
Sous la présidence deRené Coty
Vice-président du ConseilGuy Mollet


Pierre Pflimlin
Ministres d'État
JusticeRobert Lecourt
Affaires étrangèresRené Pleven
Intérieur
AlgérieAndré Mutter
Défense nationale et Forces arméesPierre de Chevigné
Finances,affaires économiques et PlanEdgar Faure
Éducation nationaleJacques Bordeneuve
Travaux publics,Transports etTourismeÉdouard Bonnefous
Industrie et CommercePaul Ribeyre
AgricultureRoland Boscary-Monsservin
Outre-MerAndré Colin
Travail et Sécurité socialePaul Bacon
SantéAndré Maroselli
Reconstruction et UrbanismePierre Garet
Anciens combattants et Victimes de la guerreVincent Badie
InformationAlbert Gazier
Institutions européennesMaurice Faure
(← GAILLARD) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (DE GAULLE III →)
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Jules_Moch&oldid=230485243 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp