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Juba II

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Pour les articles homonymes, voirJuba.

Juba II
Illustration.
Buste en marbre du roi Juba II duIer siècle, exposé àCopenhague.
Titre
Roi deNumidie

(5 ans)
PrédécesseurJuba Ier
SuccesseurAnnexion par l'Empire romain
Roi deMaurétanie

(48 ans)
PrédécesseurInterrègne romain
SuccesseurPtolémée de Maurétanie
Biographie
DynastieNumide
Date de naissance-48 ou 46 av. J.-C.[1]
Lieu de naissanceHippone
Date de décès23 ap. J.-C.
Lieu de décèsCésarée de Maurétanie
PèreJuba Ier
Grand-père paternelHiempsal II
ConjointCléopâtre Séléné II
Glaphyra
EnfantsPtolémée de Maurétanie
Drusilla de Maurétanie
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Juba II (enlatin :Gaius Iulius Iuba[2] ; en amazigh : ⵢⵓⴱⴰ ⵡⵉⵙ ⵙⵉⵏ ;grec ancien :Ἰóβας,Ἰóβα ouἸούβας[3]) est un roi deNumidie de 30 à 25av. J.-C. puis deMaurétanie, de 25av. J.-C. à 23 ap. J.-C.. Outre son règnetrès réussi[Combien ?], il était un érudit et un auteur très respecté. Sa première épouse étaitCléopâtre Séléné II, fille de la reineCléopâtre VII d'Égypte ptolémaïque et dutriumvir romainMarc Antoine.

Juba II est le fils du roi numideJuba Ier. Après la défaite de son père face auxPopulares, il est emmené àRome comme otage parJules César et recevra une éducation dorée et lacitoyenneté romaine par César etOctavie, la sœur du futur empereurAuguste. Il règne à partir de 30av. J.-C. sur la Numidie et est installé sur le trône de Maurétanie en 25av. J.-C.. Il prend pour capitaleIYOL, qu'il renommeraCaesarea (actuelleCherchell, enAlgérie). La date de son mariage avecCléopâtre Séléné n'est pas connue, mais celui-ci est attesté dès 20 av. J.-C. avec la mention de la reine sur certaines pièces de monnaie.

Biographie

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Statue de Juba II, découverte àVolubilis, auMaroc.

Jeunesse

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Après la défaite deJuba Ier[4],César fait une entrée triomphale àZama. L'année46 av. J.-C. est celle d'un triomphe total pour Rome, notamment contre les Numides et les Pompéiens[5].

C'est dans l'habitation de l'Aguellid (qui signifie "roi" en berbère) défunt qu'il décide du partage de l'Afrique et du sort de la famille royale. Juba II, alors âgé de cinq ans à peine, est envoyé en otage àRome où il figure, par la suite, au triomphe de César[4],[6], derrièreVercingétorix deGaule etArsinoé, sœur deCléopâtre d'Égypte. Juba II est alors le butin le plus précieux de César, issu d'une lignée illustre de rois nord-africains. En effet ce dernier en tant que fils de Juba Ier, roimassyle de Numidie et deGétulie, est un descendant de Massinissa et Jugurtha[5], il est donc de la dynastie numide[7].

Nous ne savons pas ce qu'il advint des autres membres de la famille de Juba. Toujours est-il que Juba II fut élevé dans une captivité dorée parOctavie la sœur d'Octave, le futur empereurAuguste.

Selon certains auteurs[réf. nécessaire], le jeune Juba n'aurait pas été élevé par Octavie mais parCalpurnia Pisonis, la dernière épouse deCésar[8]. Juba s'attira l'amitié de son protecteur qui lui offrit des occasions de se distinguer et de s'élever au rang des autres princes. Octave lui accorda le droit de cité romain. Juba prit alors les noms et prénoms de son protecteur (Gaius Iulius) qu'il transmettrait plus tard à ses affranchis, mais qu'il allait s'abstenir de porter après avoir reçu le titre de roi[réf. nécessaire].

Juba Ilparticipe probablement à la campagne d'Orient[réf. souhaitée] de 31 29av. J.-C. contreCléopâtre etMarc Antoine, etsûrement à celle d'Espagne[réf. souhaitée] de 26 à 25av. J.-C. oùOctave apprécie sa fidélité et son adresse.

Règne

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Après la mort deJuba Ier, leroyaume de Numidie est partagé par Octave (le futur Auguste). Ce dernier installe sur le trône Juba II. Plus tard, mettant fin au royaume numide, il propose à Juba II d'échanger ce qui reste de son royaume contre le trône deMaurétanie, qu’a laissé vacant la mort du dernier Bocchus[9]. Empereur romain,Auguste modifie sa position vis-à-vis de la question des protectorats, pour adopter la politique de souplesse appliquée en Orient. Ainsi, le prince numide est placé sur le trône maurétanien[10].

À la sixième année de son règne, en 19av. J.-C., Juba II épousaCléopâtre Séléné II, fille deCléopâtre, reine d'Égypte, et deMarc Antoine. Cette dernière avait été élevée en compagnie de son frère jumeauAlexandre Hélios par la sœur d'Octave,Octavie, épouse répudiée deMarc Antoine. Cléopâtre Séléné fut couronnée à son tour en raison de son ascendance maternelle et fut officiellement associée au pouvoir sans qu'il y ait toutefois partage territorial d'autorité. Ce territoire, malgré certaines amputations au profit des colonies romaines, s'étendait donc de l'Atlantique à l'ouest, à l'embouchure de l'Ampsaga (Oued-el-Kebir) à l'est et comprenait les régions deSétif au sud ainsi qu'une partie des territoires desGétules du sud-estalgérien ettunisien.

Le rétablissement de ce vaste royaume, supérieur en superficie à celui deMassinissa à son apogée, ne constitue pas pour autant un recul dans la politique coloniale romaine. Il marque seulement une pause.Auguste abandonne moins à Juba la propriété que l'usufruit de son royaume, disposant des territoires, les divisant, les morcelant à sa guise, sans que le roinumide ne manifeste la moindre résistance, tellement son esprit, par l'éducation qui lui avait été dispensée, était obnubilé par l'obéissance à Rome.

Juba II implante sa capitale dans l'ancien comptoir phénicienIol ou Jol qui est renomméCaesarea (actuellementCherchell, en Algérie)[11]. Il a alors 25 ans lors de sa prise de pouvoir en 25 av. J.-C. et les monnaies sont frappées en son nom avec la mention « IVBA REX8 ». La date du mariage entre Juba et Séléné n'est pas connue[11], cependant l'effigie de la reine apparaît à l’année 20 av. J.-C. sur les pièces de monnaie avec la légende « ΚΛΕΟΠΑΤΡΑ ΒΑΙΛΙΑ »[11].

Les projets de constructions et de sculptures àCésarée etVolubilis ont présenté un riche mélange de styles architecturaux égyptiens, grecs et romains.Cléopâtre Séléné II a influencé Juba II pour exercer une bonne politique gouvernementale. Juba II a promu et soutenu lesarts du spectacle, larecherche scientifique , lamétrique[12], la linguistique, la mathématique et laconnaissance del'histoire naturelle. Il a aussi favorisé le commerce enNumidie. LaMaurétanie échangeait à travers la Méditerranée, en particulier avec l'Espagne et l'Italie, exportant du poisson, des raisins, des perles, des figues, des céréales, du bois de meubles et de la teinture violette pour les vêtements sénatoriaux.

Juba II a envoyé une expédition dans lesîles Purpuraires afin de rétablir les anciens processusphéniciens de fabrication de colorants ("violet glucique"). Tingis (aujourd'huiTanger), une ville descolonnes d'Hercule (aujourd'huidétroit de Gibraltar), est devenu un grand centre commercial. ÀGades (actuelleCadix) et Cartage la nouvelle (Cartagène actuelle) en Espagne, Juba II a été nommé parAugusteduumvir honoraire. Unduumvir était un magistrat d'une colonie ou ville romaine fondamentalement liée au trafic commercial et était également unPatronus Colonaie[réf. nécessaire].

Il a également exploré d'autres zones géographiques, telles que les montagnes del'Atlas,Madère et lesîles Canaries. De même, la valeur et la qualité de la monnaie maurétanienne ont été reconnues dans le monde antique. L'historien grecPlutarque le décrit comme l'un des meilleurs hommes d'État de son temps.

Juba II s'est intéressé aux origines de son royaume comme à l'étude du libyque et du punique, langues de culture de ses habitants. En renonçant à l'annexion de laMaurétanie, Auguste savait ce qu'il faisait avec Juba II à la tête de ces vastes territoires où se sont enracinées de nombreuses colonies romaines indépendantes du roi ; il pouvait, sans crainte, confier l'administration des indigènes à un chef « indigène » qui, plus habilement que des fonctionnaires romains, saura maintenir la paix. L'Afrique continuera donc à fournir à Rome ses productions, principalement agricoles.

Vers l'an 5apr. J.-C., le roi Juba II a fait le tour de la Méditerranée orientale avecCaius Julius Caesar Vipsanianus, neveud'Auguste ; pendant le voyage, il a rencontréGlaphyra ;Cléopâtre Séléné II était probablement déjà morte.Glaphyra (v. 35 av. J.-C., v. 7 ap. J.-C.?), fille du roi deCappadoceArchélaos de Cappadoce, était une princesse anatolienne, liée à la dynastiehérodienne ; elle devint reine deMauritanie en épousant Juba II. Elle sera plus tard épouse d’Hérode Archélaos.

En19apr. J.-C., Juba II a nommé son filsPtolémée de Maurétanie co-régent, avant de mourir en l'an23apr. J.-C., enterré avec sa première femme aumausolée royal de Maurétanie. Son fils et successeur poursuivit en partie la politique de son père, mais n'hérita pas des vertus de celui-ci.Ptolémée règne jusqu'en 40apr. J.-C., lorsque son cousin au deuxième degré, l'empereur Caligula, le fait assassiner lors d'une visite à Rome. La Mauritanie a ensuite été annexée à l'Empire, devenant une province romaine. Mais son fondberbère ne disparut pas.

Les Grecs érigèrent à Juba II une statue auprès de la bibliothèque du gymnase deClaude Ptolémée àPausanias.Rédaction du paragraphe mal formulée ; "à* Pausanias" n'est pas un lieu, mais un auteur. Source manquante.[Lequel ?] On en trouve peu de traces écrites , une inscription qui lui est dédiée a cependant été trouvée à Athènes :

« Val βουλή καί [ό δ] ήμος [Β] ασίλισαν [Γλυφύραν] βασιλέω [ς] Άρχέλάου θυρ [ατέρα], βασιλέως δβο [ά]. »

(Boulé et Demos honorent la reine Glaphyra, fille du roi Archélaos et épouse du roi Juba pour sa vertu.)

Un homme de science et de lettres

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Royaume de Maurétanie, Denier à l'effigie de Juba II. Date : c. 20 AC. - AD. 20. Nom de l'atelier/ville : Maurétanie, Césarée.

Juba II consacra les loisirs que lui laissait l'administration de son royaume à l'étude et acquit une réputation de lettré dans le domaine des sciences et des lettres.

Toujours désireux de prouver l'ancienneté de ses origines, il fit remonter sa généalogie àHercule qui épousa la Libyenne Tingis (à l'origine de l'étymologie de la ville deTanger), fille d'Atlas et veuve d'Antée dans lamythologie grecque[réf. nécessaire].

Il fit construire de nombreux édifices publics, des places ouforums, desthéâtres, desthermes, des temples, des jardins publics… Beaucoup de ces vestiges confirment la grandeur de Juba II, qui possédait une grande puissance de travail et d'assimilation (sculpture,architecture…).

Juba II a écrit des livres engrec et enlatin sur l'histoire, l’histoire naturelle, lagéographie, lagrammaire (latine,grecque,berbère,assyrienne,égyptienne), la peinture et le théâtre. Seuls des fragments de son œuvre ont survécu, laissant des témoignages de celui-ci dans les œuvres d'autres auteurs (Voir citations et références). Il a également compilé une importante bibliothèque avec une multitude de thèmes, qui ont sans aucun doute complété sa propre production prolifique.

Son guide sur l'Arabie a eu beaucoup de succès àRome, écrivant également sur lesAssyriens, sur laLibye et une histoire de Rome. Concernant la grammaire, il a écrit sur la corruption du lexique et les similitudes. Dans l'art, à propos de la peinture et une histoire du théâtre. Quant à la faune, sur les animaux toxiques et les physiologies[réf. nécessaire].


Juba II était considéré par les écrivains de l’Antiquité comme un lettré et un érudit. Malheureusement, son abondante œuvre ne nous est parvenue que sous forme de fragments[13]. Il est très souvent cité dans les sources anciennes, en particulier parPline l'Ancien[14] qui considérait que« sa réputation de savant est encore plus mémorable que son règne » etPlutarque[15] qui voit en lui un très grand historien grec. Juba II avait lui-même réuni une bibliothèque dans la tradition des rois hellénistiques et envoyé des copistes dans les plus grandes bibliothèques de son temps. On sait même que des escrocs lui vendirent de faux livres de Pythagore[16]. Il écrivait, semble-t-il, exclusivement en grec, la langue de la culture en son temps, et ses sujets d’intérêts étaient très variés : philologie, théâtre, poésie, peinture, botanique (il nomma l'euphorbe du nom de son médecin personnel grec Euphorbos). Il rédigea[17] aussi uneHistoire de Rome, une autre sur les Assyriens, ainsi que desArabica qu’il dédia au jeune princeCaius, le petit-fils d’Auguste. Il traita des réalités africaines dans deux ouvrages, lesLibyca et un traité sur lesErrances d’Hannon. Pour ces derniers, il puisa ses informations sans doute dans des documents anciens, leslibri punici, hérités de son grand-pèreHiempsal II[18] : le sénat les confie aux rois africains après la chute de Carthage) et peut-être rédigés par lui (ou traduits en grec) à partir d’une tradition ancienne. Il s’appuyait aussi sur le résultat d’explorations aux îles Canaries[19] et en quête des sources du Nil[20]. De l’une de ces expéditions, Juba ramena un crocodile, signe à ses yeux que le Nil prenait bien sa source en Maurétanie.

Citations chez divers auteurs

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Archéologie

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Tombeau de la Chrétienne

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LeMausolée royal de Maurétanie aujourd'hui.

On[Qui ?] pense que leMausolée royal de Maurétanie, surnomméTombeau de la Chrétienne, enarabeKbour-er-Roumia, situé enAlgérie, sur l'actuelle commune deSidi Rached, à une soixantaine de kilomètres à l'ouest d'Alger a pu être le tombeau de Juba II et de son épouseCléopâtre Séléné mais ce n'est qu'une hypothèse puisque le monument est vide de tout mobilier et qu'aucune chambre secrète n'y a, à ce jour, été identifiée. La date de sa construction et la fonction réelle de ce monument ne sont pas connues avec certitude. Sur la date, on sait qu'il est mentionné dans un texte du géographePomponius Mela[24], daté des années40 ap. J.-C., époque où leroyaume de Maurétanie fut annexé parRome.Certains historiens[Lesquels ?] pensent qu'il s'agit d'un mausolée royal construit par le roi Juba II qui régna de 25 av. J.-C. à 23 ap. J.-C et son épouse, la reineCléopâtre Séléné[réf. nécessaire].Pour d'autres[Qui ?], l'étude architecturale du monument permettrait de le dater approximativement duIer ou duIIe siècle av. J.-C. et donc antérieurement à la domination romaine sur l'Afrique du Nord.Stéphane Gsell a dit à son sujet : « C'est une construction de type indigène, couverte d'une chemise grecque. »

Pseudo archéologie

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En 1982, un chasseur de trésors nommé Burrows a affirmé avoir trouvé un site archéologique de première importance dans l'Illinois, laGrotte de Burrows. Malgré l'absence de preuves, les artefacts prétendument issus de ce site ont suscité l'écriture du livreThe Lost Treasure of King Juba: The Evidence of Africans in America before Columbus (2003), par l'auteurFrank Joseph, spécialiste de l'archéologie mystérieuse, qui y affirme qu'une flotte numide du roi Juba II a traversé l'Atlantique pour accoster aux actuelsÉtats-Unis d'Amérique bien avant Christophe Colomb ou les Vikings. Malgré sa fragilité, cette hypothèse a rencontré un certain succès populaire.

Iconographie

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Statue

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11 portraits du souverain sont connus.

Galerie de portraits sculptés

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Numismastique

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Notes et références

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  1. (en) Duane W.Roller,The world of Juba II and Kleopatra Selene : royal scholarship on Rome's African frontier, Routledge,(ISBN 0-203-32192-8,978-0-203-32192-8 et978-0-415-30596-9,OCLC 252869091,lire en ligne),p. 59.
  2. Coltelloni-Trannoy 2003.
  3. Roller, Duane W. (2003)The World of Juba II and Kleopatra Selene "Routledge (UK)".p. 1–3.(ISBN 0-415-30596-9).
  4. a etb« Livre II », surremacle.org(consulté le).
  5. a etbToniMaraini, « Juba de Maurétanie et l'héritage antique »,Horizons Maghrébins - Le droit à la mémoire,vol. 39,no 1,‎,p. 43–61(DOI 10.3406/horma.1999.1770,lire en ligne, consulté le).
  6. « Plutarque - Vie de César »,chap. 50, surbcs.fltr.ucl.ac.be(consulté le).
  7. PolTrousset,Productions et exportations africaines: Actualités archéologiques, Editions du CTHS,(ISBN 978-2-7355-0309-4,lire en ligne).
  8. Zakya Daoud,Juba II : roi, savant et mécène, Rabat, Art-Dif,, 270 p.(ISBN 978-9954-9113-5-8),p. 19-20, note 14.
  9. PierreMorizot,Romains et Berbères face à face, Errance,(ISBN 978-2-87772-858-4,lire en ligne),p. 20.
  10. Michèle Coltelloni-Trannoy 1997,p. 29-30.
  11. ab etc« Les portraits de Juba II, roi de Maurétanie, et de Ptolémée, son fils et successeur »,Revue archéologique,‎,p. 65-100(lire en ligne).
  12. a etbMoniqueClavel-Lévêque et PierreLévêque,Villes et structures urbaines dans l'Occident romain. Seconde édition,vol. 288, Persée - Portail des revues scientifiques en SHS,(lire en ligne),p. 276 et 310.
  13. C. et Th. Müllier [éds],Fragmenta Historicorum Graecorum, 1841-1884, p. 465-484), Paris, 1841-1884, 465-484 p.
  14. Historia naturalis,L.V, 16, 2.
  15. (César,55, 3.
  16. Elias,Commentaria in Aristot.Graeca, Berlin,,p. XVIII, 1, 128.
  17. « Juba de Maurétanie et l'héritage antique », surpresse.fr(consulté le),p. 49.
  18. (Salluste,Guerre de Jugurtha, 17,7 ;Pline,Historia naturalis,XVIII, 22[réf. à confirmer].
  19. Pline,Historia naturalis,VI, 37-2.
  20. Pline,Historia naturalis,V, 10-1.
  21. O'Brien, Sally.,Canary Islands, Lonely Planet Publications,(ISBN 1-74059-374-X et978-1-74059-374-8,OCLC 55676463,lire en ligne).
  22. AiméBonpland, Alexander vonHumboldt et Karl SigismundKunth,Nova genera et species plantarum :quas in peregrinatione ad plagam aequinoctialem orbis novi collegerunt /descripserunt, partim adumbraverunt Amat. Bonpland et Alex. de Humboldt ; ex schedis autographis Amati Bonplandi in ordinem digessit Carol. Sigismund. Kunth ..., sumtibus Librariae Graeco-Latino-Germanico,,(lire en ligne).
  23. ToniMaraini, « Juba de Maurétanie et l'héritage antique »,Horizons Maghrébins - Le droit à la mémoire,vol. 39,no 1,‎,p. 43–61(DOI 10.3406/horma.1999.1770,lire en ligne, consulté le).
  24. Il parle de « monumentum commune regiae gentis »,Gabriel Camps, « Nouvelles observations sur l'architecture et l'âge du Medracen, mausolée royal de Numidie »,CRAI, 117-3, 1973,p.  470.
  25. « [Monnaie : Denier, Argent, Incertain, Maurétanie, Juba II] », surGallica(consulté le).

Annexes

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Bibliographie

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Ouvrages

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Articles

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Articles connexes

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Liens externes

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