À l’ouest, à son entrée sur le territoire communal, la rivière est divisée en deux bras.
Un bras naturel au nord qui parcourt le parc des Bas Près, longe l’avenue Jean-Jaurès en passant à proximité de la gare.
Un bras artificiel surélevé qui passe sous la voie ferrée puis sous le pont d’Austerlitz sous la route des Loges, puis longe la rue de la Libération de l’autre côté du domaine du château qui fait partie du campus d’HEC et passe sous la voie ferrée près du passage à niveau de la rue Oberkampf. Ce bras surélevé alimentait deux moulins, le moulin Saint-Martin et le Vieux Moulin rue Oberkampf. Ces deux moulins furent rachetés par l'industriel Oberkampf.
Les deux bras se rejoignent près de la Mairie. Le bras unique longe le côté nord de la rue Jean-Jaurès et pénètre dans le domaine de l’INRA où il se divise encore. La partie sud du territoire communal est parcourue par un affluent de la Bièvre, le ru Saint-Marc ou ru de Saint-Mard, qui prend sa source à Toussus-le-Noble au lieu-dit le Trou salé, alimente plusieurs étangs, traverse le golf de Saint-Marc et le campus HEC également par des étangs et se jette dans la Bièvre par une petite chute à la limite du domaine du château (HEC)[1].
Le confluent du ru de Saint-Marc et de la Bièvre.
La Bièvre près de l'entrée du domaine de l'INRA.
La Bièvre dans les Bas Prés.
La Bièvre le long de l'avenue Jean-Jaurès.
Bras artificiel de la Bièvre vu sur le vieux moulin.
Statistiques 1991-2020 et records TOUSSUS LE NOBLE (78) - alt : 154m, lat : 48°45'02"N, lon : 2°06'48"E Records établis sur la période du 01-01-1965 au 03-12-2023
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Jouy-en-Josas en 2021 en comparaison avec celle des Yvelines et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion derésidences secondaires et logements occasionnels (3 %) supérieure à celle du département (2,6 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %).
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %)
3
2,6
9,7
Logements vacants (en %)
5,2
6,3
8,1
La commune respecte les obligations qui lui sont faites par l'article 55 de laloi SRU de disposer d'au moins 25 % de son parc de résidences principales constituées delogements sociaux[13]
L'A86 borde le nord du territoire communal et par Paris avec laRN 118.
La ville est reliée à Versailles par leTransilien V (ex-branche C8 duRER C) grâce aux gares deJouy-en-Josas,Vauboyen etPetit Jouy - Les Loges. Ces deux dernières ont la particularité d'être à cheval sur les communes de Jouy-en-Josas et de Bièvres ou des Loges-en-Josas. Ainsi pour la gare de Petit Jouy - Les loges, la maisonnette abritant le guichet est située sur la commune des Loges, les quais se situant sur la commune de Jouy.
Avec 6 passages à niveau à Jouy-en-Josas, il s'agit d'une des communes qui concentre le plus de passages à niveau en Île-de-France[14].
Il procède, comme la plupart desJouy,Joué,Gouy,Gaugeac, etc., du type toponymique gallo-romangaudiacu, basé sur le nom de personne chrétienGaudius (latingaudium,gaudia, joie), suivi dusuffixe-acum[17], d'où le sens global de « propriété deGaudius ».
Jouy était le nom d'un des deuxvici portant ce déterminant de localisationJosas, dans l'ancien pays deHurepoix[18].
Josas était le nom d'un des deuxvici composant l'ancien pays deHurepoix, l'autre étant au nord-est le pays de Châtres (pagus Castrensis), nommé actuellementArpajon. C'était une circonscription ecclésiastique, l'un des trois (archidiaconats) de l'évêché de Paris, attestée sous les formes latiniséeArchidiaconus Josiacensis en 1352 et françaiseJosays en 1525[18]. Les deux autres archidiacres étaient ceux de Paris et deBrie, ils occupaient les premiers rang du chapitre de lacathédrale, après le doyen et le grand chantre. L'archidiaconat de Josas comprenait lui-même deux doyennés, celui deChâteaufort et celui deMontlhéry.
Diverses découvertes attestent une présencegallo-romaine en divers lieux de la commune dont le nom est celui du possesseur romain d'un domaine à l'époque de Dioclétien :Gaudiacum*, domaine deGaudius[15]. Le vocable de l'église qui estSaint-Martin pourrait être la trace d'une fondation ancienne. La première mention écrite deGaugiaco remontent au début duIXe siècle[20], époque où cette terre dépendait de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés dont les moines ont procédé au défrichement des terres. Cette église avait un chapitre en 1784, date où il décide d'abattre une statue de saint Christophe.
Avec les guerres successives, laguerre de Cent Ans, puis lapeste noire, la population fut progressivement anéantie et en1466, la paroisse ne comptait plus que trois feux. À partir de cette date, Jouy devient une terre laïque dont laseigneurie sera donnée à diverses familles s'étant illustrées par leurs services rendus au roi.
Jean Poncher, général des finances du Languedoc, de Dauphiné, puis de Provence, bailli d'Étampes, trésorier des guerres, est seigneur de Jouy en 1534. Son fils Nicolas Poncher, secrétaire du roi, lui succède comme bailli d'Étampe, devient vice-président de la Chambre des comptes, et n'ayant pas d'enfant, cède la seigneurie de Jouy en 1542.
Antoine d'Aquin (1629-1696), médecin personnel deLouis XIV, surintendant des eaux minérales de France, devientseigneur de Jouy de 1684 à 1701, date où il le revend à son gendre. Il n'est pas le premier médecin du roi possessionné à Jouy, puisque longtemps auparavant, dom Nicolas, médecin du roi, avait été prieur de Saint-Martin-en Josas[21]. Sa fille Marie-Angélique d'Aquin épouse en 1686 Louis-Roselin Rouillé (1655-1712), conseiller d'État, maître des requêtes, contrôleur général des postes du royaume qui fait reconstruire le château de Jouy parRobert de Cotte. Leur filsAntoine-Louis de Rouillé (1689-1761), est secrétaire d’État à la Marine (1751) et aux Affaires étrangères (1754-1757) deLouis XV. C'est dans son château de Jouy qu'est signé le, le traité de renversement des Alliances (appelétraité de Jouy puis traité de Versailles) qui unira la France à l’Autriche. Sa fille, Marie-Catherine de Rouillé, dame de Jouy, épouse en 1749Anne-François d'Harcourt (1727-1797), duc de Beuvron, lieutenant-général des armées du roi pour la Normandie. Dernierseigneur de Jouy, c'est lui qui loue un moulin et des terres à Oberkampf pour y établir sa manufacture.
Buste d'Oberkampf dans le jardin de la mairie.
En 1759,Christophe-Philippe Oberkampf, entrepreneur d'origineallemande, s'installe à Jouy-en-Josas pour y implanter sa manufacture detoile de Jouy qui employa jusqu'à 1200 ouvriers[22]. Il en deviendra le premier maire en1790. Le déclin de l'entreprise s'amorce en1799 et surtout en1815 avec la chute deNapoléonIer puis la mort d'Oberkampf. La faillite sera consommée en1843.
La devise d'Oberkampf étaitRecte et Vigilanter qui signifie « Avec droiture et vigilance ». Elle a été reprise par la commune qui la fait figurer sous son blason.
Après avoir été fugacement lechef-lieu d'uncanton de Jouy de 1793 à 1801, la commune est intégrée cette année-là aucanton de Versailles-Sud[24]. Dans le cadre duredécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Lors du premier tour desélections municipales de 2014 dans les Yvelines, la liste DVD menée par le maire sortant Jacques Bellier obtient lamajorité absolue des suffrages exprimés, avec2 035 voix (65,03 %, 24 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires), devançant très largement celle UDI menée par Flavien Bazenet, qui a recueillie1 094 voix (34,96 %, 5 conseillers municipaux élus). Lors de ce scrutin, 36,36 % des électeurs se sont abstenus[25].
Lors du premier tour desélections municipales de 2020 dans les Yvelines, la liste DVD menée par Marie-Hélène Aubert obtient lamajorité absolue des suffrages exprimés, avec1 570 voix (65,85 %, 24 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires), devançant largement celle MoDem menée par Grégoire Ekmekdje, qui a recueilli814 voix (34,14 %, 5 conseillers municipaux élus). Lors de ce scrutin marqué par lapandémie de Covid-19 en France, 51,99 % des électeurs se sont abstenus[26],[27].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[45].
En 2022, la commune comptait 7 985 habitants[Note 5], en évolution de −3,29 % par rapport à 2016 (Yvelines : +2,72 %,France horsMayotte : +2,11 %).
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à30 ans s'élève à 44,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à60 ans est de 21,1 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 4 047 hommes pour 4 077 femmes, soit un taux de 50,18 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,32 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[47]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,6
90 ou +
1,5
7,2
75-89 ans
8,7
11,2
60-74 ans
13,0
18,1
45-59 ans
19,8
14,9
30-44 ans
15,8
32,7
15-29 ans
26,1
15,2
0-14 ans
15,0
Pyramide des âges du département desYvelines en 2021 en pourcentage[48]
Jouy-en-Josas accueille sur son terrain des centres de recherche et de formation réputés commeHEC Paris, le CRC (Centre de recherche et d’études des chefs d’entreprise),L'ÉA Tecomah (École de l'environnement et du cadre de vie) et l'INRA (Institut national de la recherche agronomique).
Thales a également implanté un campus à Jouy-en-Josas pour aider à la transmission de savoirs et d'expériences entre les collaborateurs du groupe.
La ville accueille plusieurs commerces de proximité (boulangerie, banques, supérette, boucherie, etc.) ainsi que quelques entreprises artisanales. La zone d'activité du Petit Robinson attire des sociétés dutertiaire et des nouvelles technologies. De son côté, le domaine de la Cour Roland est devenu un centre artisanal et sportif, sous forme de relais nature et/ou de gîtes d'étapes pour ceux qui aiment les grandes randonnées.
D'après les données de1999, le taux de chômage était de seulement 5,4 %, contre un taux national de 12,9 %.
En 2004, 41 entreprises ont été créées à Jouy (1191e rang national). La ville comptait 400 entreprises, majoritairement dans le commerce aux entreprises (41 %) puis dans le commerce (20 %), l'éducation, la santé et l'action sociale (10 %) suivi des services aux particuliers (8,3 %) et de la construction (7,5 %). Le reste s'éparpille dans les secteurs restants.
Église Saint-Martin.Statue de la Vierge « la Diège » de Notre-Dame de Viltain, à l'église Saint-Martin.La vallée de Jouy-en-Josas d'Adolphe Viollet-le-Duc, 1874,musée d'Art et d'Histoire de Dreux, Eure-et-Loir.Château de Jouy, désormais propriété d'HEC Paris.
Le château de l'Églantine, édifié par lemaréchal Canrobert et devenuMusée de la toile de Jouy, au 54 de la rue Charles-de-Gaulle, expose certaines des toiles de Jouy, toiles imprimées sur coton, fabriquées jusqu'en1977 dans la manufacture, aujourd'hui fermée, de la ville.
Le château de Jouy appartenait en 1543 à Jean d'Escoubleau. Il comportait un corps d'hôtel sans doute en U puisqu'il est question de "trois galeries couvertes en terrasse le long de la cour du château". Il a été acquis en 1719 par lemarquis d'Asfeld, puis possédé par Antoine Louis Rouillé, fils aîné de Louis Rollin, conseiller, ministre de Louis XV, qui le légua à sa fille Marie Catherine, mariée au marquis de Beuvron. Il a alors connu une période faste jusqu'à la Révolution où il a été démoli, puis reconstruit au début des années 1800 par Armand Seguin, fournisseur aux armées, sur des plans de l'architecte Bienaimé. En 1841, il est acheté par le banquierJames Mallet, époux de Laure Oberkampf, qui y meurt en 1868 et il est conservé dans lafamille jusqu'à son acquisition en 1955 par la chambre de commerce de Paris pour y établir le campus d'HEC.
Le château du Petit-Jouy.
Le château de Vilvert est construit pour le baron Cabrol deMouté (1818-1883), époux de LouiseMallet (1820-1891), petite fille d'Oberkampf, et maire de Jouy de 1868 à 1879. Le château servit d'ambulance (c'est-à-dire deposte de secours) pendant la guerre de1870. Il est propriété de l'INRA depuis1946 et ne peut être visité.
le quartier des Metz, anciennement de Mé, est un ancien hameau avec une chapelle disparue qui était située près de la maison de Léon Blum et qui est entouré par plusieurs lotissements, dont une partie a été aménagé sur l'ancien parc du château à partir de 1940.
Lamaison de Léon Blum et de sa cousine et troisième épouse, Jeanne, qui s'installèrent à Jouy après laSeconde Guerre mondiale. La maison, appelée « le Clos des Metz », est sise au 4 de la rue Léon-Blum, sur le plateau des Metz et peut être visitée. Le bureau et la bibliothèque ont été conservés à l'identique. Léon Blum y passa cinq années avant de mourir en 1950.
Le château du Bois-du-Rocher,
Le château de Vauboyen,
La Cour Roland, ancien château disparu dont le domaine a été aménagé en base de loisirs,
Ferme de Viltain. Donnée par le roiCharles V auxCélestins de Paris, il s'y trouvait une chapelle d'où provient la statue de la Vierge exposée aujourd'hui à l'église paroissiale. La chapelle ayant été profanée et démolie en 1793, la fermière a caché la statue chez elle, puis donnée au curé.
Long Term Parking, œuvre monumentale d'art contemporain, édifiée en 1982, d'Arman : tour de près de20 mètres de haut constituée d'un entassement d'automobiles scellées dans du béton ; domaine du Montcel, ex-siège de la Fondation Cartier.
Le syndicat intercommunal Jouy-Vélizy (SIAJV) soutient l'association loi de 1901 « Les Ateliers de la Cour Roland »[50]. Fondéeil y a plus de trente ans[Quand ?], l'association a installé ses ateliers sur l'emplacement des ruines de l'ancien château. Elle dispense chaque année des formations et des stages dans une vingtaine de métiers d'arts à plus de 1 000 élèves de toute la région parisienne.
Léon Blum et son épouse Jeanne vinrent habiter la commune, quartier Les Metz, en1945. En1974,Jeanne Blum créa l'école éponyme où l'on applique sa méthode de complémentarité horizontale. Ils y reposent.
André Chanu (1910-2008) acteur, homme de radio, a vécu à Jouy-en-Josas.
Daniel Halévy (1872-1962), essayiste, historien a vécu aux Metz, quartier de Jouy-en-Josas ainsi que son gendreLouis Joxe (1901-1991), qui est inhumé dans la commune.
La journaliste et présentatriceAnne Depétrini a résidé dans les hauteurs jovaciennes.
Le chanteur françaisChristophe, habitant alors àJuvisy-sur-Orge, aurait composé les paroles de sa célèbre chansonAline au café-restaurantLe Robin des Bois, en face de la gare[réf. nécessaire].
↑Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et406 communes de banlieue.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑Patrick Fournier etClaire Gauge,La Bièvre La Haute vallée, Saint-Cyr-sur-Loire, Alan Sutton,, 128 p.(ISBN2-84253-858-7),p. 45 et 112.
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
↑Lucien Gallois, Paul Vidal de La Blache,Régions naturelles et noms de pays : étude sur la région parisienne, Comité des travaux historiques et scientifiques - CTHS,,p. 119.
↑Albert Dauzat,Dictionnaire étymologique des noms de lieux de France, Larousse, 1963.
↑Florie Cedolin, « Marie-Hélène Aubert loin devant à Jouy-en-Josas : Marie-Hélène Aubert l'emporte avec 65,85% des suffrages à Jouy-en-Josas (Yvelines) face à Grégoire Ekmekdje (34,14%) »,78 actu,(lire en ligne, consulté le).
↑Laurent Mauron, « Jouy-en-Josas : Marie-Hélène Aubert candidate à la succession de Jacques Bellier : Adjointe depuis 2008 et vice-présidente du conseil départemental, elle mènera une liste dans la continuité de l’actuel maire SE de la commune »,Le Parisien, édition des Yvelines,(lire en ligne, consulté le)« La nouvelle est désormais officielle. Marie-Hélène Aubert est officiellement candidate à la succession de Jacques Bellier (78 ans), l'actuel maire SE de Jouy-en-Josas, qui ne se représente pas, mais la soutient ».
↑Florie Cedolin, « A Jouy-en-Josas, Marie-Hélène Aubert entre dans ses fonctions de maire : L'installation du conseil municipal élu le 15 mars à Jouy-en-Josas (Yvelines) a eu lieu hier mercredi 27 mai »,78 actu,(lire en ligne, consulté le)« C’est une transition en douceur qui s’est faite à Jouy-en-Josas (Yvelines) entre Jacques Bellier (maire sortant) et Marie-Hélène Aubert, élue le 15 mars dernier ».
↑Stéphane Corby et Véronique Beaugrand, « Yvelines : la maire de Jouy-en-Josas jette l’éponge pour préserver sa santé »,Le Parisien,(lire en ligne, consulté le)« Son successeur sera connu le 23 mars prochain, à l’occasion d’un conseil municipal exceptionnel. Marie-Hélène Aubert, qui siégera en tant que simple conseillère de la majorité précise, en revanche, qu’elle conserve ses mandats de conseillère départementale (à l’Autonomie, à la Santé et la Coopération internationale) et première vice-présidente de l’agglomération Versailles Grand Parc. Elle continue aussi d’assurer le développement commercial du musée de la toile de Jouy qui lui est cher ».
↑Florie Cedolin, « Depuis six mois, je n'en pouvais plus » : cette maire des Yvelines a décidé de démissionner »,78 Actu,(lire en ligne, consulté le).
↑« Yvelines : Jouy-en-Josas a un nouveau maire, à un an des élections municipales »,Le Parisien, 13/3/2025 modifié le 16/3/2025(lire en ligne, consulté le)« À l’issue de son élection avec 23 voix (6 votes blancs) Didier Morin a dit « tout l’honneur et la fierté » qu’il ressentait devant « ce choix qui l’engage vis-à-vis des Jovaciens ».
↑Manon Varaldo, « Je serai le Michel Barnier de Jouy-en-Josas » : Didier Morin obtient l’écharpe de maire »,78 actu,(lire en ligne, consulté le)« Cet habitant de Jouy-en-Josas depuis 2010 a commencé la politique locale en 2013, puis a été aux côtés de l’ancien maire Jacques Bellier [...] Didier Morin est ensuite devenu le directeur de la campagne de Marie-Hélène Aubert ».