Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Josep Borrell

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirBorrel.

Josep Borrell
Illustration.
Josep Borrell en 2019.
Fonctions
Vice-président de la Commission européenne
Haut représentant de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité

(5 ans)
PrésidentUrsula von der Leyen
CommissionVon der Leyen I
PrédécesseurFederica Mogherini
SuccesseurKaja Kallas
Ministre espagnol des Affaires étrangères, de l'Union européenne et de la Coopération

(1 an, 5 mois et 23 jours)
Président du gouvernementPedro Sánchez
GouvernementSánchezI
PrédécesseurAlfonso Dastis
SuccesseurMargarita Robles(intérim)
Arancha González
Président du Parlement européen

(2 ans, 5 mois et 27 jours)
Élection20 juillet 2004
Législature6e
PrédécesseurPat Cox
SuccesseurHans-Gert Pöttering
Député européen

(4 ans, 11 mois et 23 jours)
Élection
CirconscriptionEspagne
Législature6e
Groupe politiquePSE
Porte-parole du groupe socialiste
au Congrès des députés

(1 an, 1 mois et 3 jours)
Élection26 mai 1998
LégislatureVIe
PrédécesseurJuan Manuel Eguiagaray
SuccesseurLuis Martínez Noval
Ministre espagnol des Travaux publics, des Transports et de l'Environnement

(5 ans, 1 mois et 23 jours)
Président du gouvernementFelipe González
GouvernementGonzálezIII etIV
PrédécesseurJavier Sáenz de Cosculluela(Travaux)
José Barrionuevo(Transports)
SuccesseurRafael Arias-Salgado(Équipement)
Isabel Tocino(Environnement)
Député auxCortes Generales

(17 ans, 8 mois et 18 jours)
Élection
Réélection


CirconscriptionBarcelone
LégislatureIIIe,IVe,Ve,VIe etVIIe
Groupe politiqueSocialiste
Biographie
Nom de naissanceJosep Borrell i Fontelles
Date de naissance(78 ans)
Lieu de naissanceLa Pobla de Segur (Espagne)
NationalitéEspagnole
Argentine(depuis 2019)
Parti politiquePSOE
ConjointCristina Narbona
Diplômé deUniversité polytechnique
de Madrid

Université Stanford
Institut français du pétrole
ProfessionUniversitaire
Ingénieur

Image illustrative de l’article Josep BorrellImage illustrative de l’article Josep Borrell
Ministres espagnols des Affaires étrangères
Présidents du Parlement européen
Ministres espagnols de l'Équipement
Hauts représentants de l'Union pour les
affaires étrangères et la politique de sécurité
modifier 

Josep Borrell i Fontelles (encatalan : [ʒoˈzɛp boˈreʎ i fonˈteʎes]) est unhomme d'Étatespagnol, né le àLa Pobla de Segur (province de Lérida). Il est membre duParti socialiste ouvrier espagnol (PSOE).

Après une formation universitaire en génie et en économie, il devient professeur à l'université complutense de Madrid, puis il travaille comme ingénieur.

Il intègre le PSOE en et se fait élire cinq ans plus tard au conseil municipal deMajadahonda, dans la banlieue deMadrid. Entre et, il est haut responsable auministère de l'Économie et des Finances, d'abord comme secrétaire général, puis commesecrétaire d'État. Il est élu en député de Barcelone.

En, il intègre le gouvernement deFelipe González au poste deministre des Travaux publics et des Transports. Il conserve cette fonction pendant cinq ans.

Il remporte en la primaire socialiste pour la désignation du chef de file électoral auxélections générales de 2000 face au secrétaire général du PSOEJoaquín Almunia. Il est alors promu porte-parole dugroupe parlementaire socialiste. Il renonce au bout d'un an, en raison d'un scandale lié à d'anciens collaborateurs du ministère des Finances.

À l'occasion desélections européennes de 2004, il conduit la liste socialiste, qui arrive en tête du scrutin. Il est ensuite choisi commeprésident du Parlement européen pour la première moitié de la législature. Il ne se représente pas en et abandonne alors la vie politique. Il y fait son retour en, étant l'un des principaux opposants au projet d'indépendance de la Catalogne.

Après quePedro Sánchez a renverséMariano Rajoy en, il est rappelé au gouvernement en qualité deministre des Affaires étrangères, de l'Union européenne et de la Coopération. Un peu plus d'un an plus tard, il quitte l'exécutif espagnol afin de prendre les fonctions dehaut représentant de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité etvice-président de la Commission européenne.

Biographie

[modifier |modifier le code]

Formation

[modifier |modifier le code]

Il commence ses études à l'université de Barcelone, engénie industriel, mais abandonne cette voie en1965 et intègre l'université polytechnique de Madrid, d'où il ressortingénieur aéronautique.

Il décide alors de poursuivre ses études et obtient unmaster enrecherche opérationnelle de l'université Stanford et un autre enéconomie d'énergie de l'Institut français du pétrole.

Il obtient ensuite undoctorat ensciences économiques à l'université complutense de Madrid.

Carrière

[modifier |modifier le code]

Dans cette dernière université, il devientprofesseur d'analyse économique, puisprofesseur des universités demathématiques de l'entreprise. Entre1972 et1981, il occupe un poste d'ingénieur à laCompagnie espagnole des pétroles, S.A. (Cepsa), où il fut également délégué syndical.

Il devient président de l'Institut universitaire européen deFlorence, enItalie, en. Il est forcé à démissionner de ce poste en avril 2012 à la suite d'accusations deconflit d'intérêts[1],[2]. Il avait en effet omis de déclarer, en violation des règles de l'Institut, qu'il occupait parallèlement un siège auconseil d'administration de la compagnie énergétiqueAbengoa[1]. Borrell reçevait 300 000 euros par an en tant que membre du conseil d'administration d'Abengoa, poste qu'il occupait depuis juillet 2009, date à laquelle il a quitté le Parlement européen. Des chercheurs de l'Institut l'ont accusé de vouloir favoriser les intérêts de l'industrie de l'énergie dans le cadre de ses fonctions[1].

Carrière politique

[modifier |modifier le code]

Débuts et ascension

[modifier |modifier le code]

Il adhère auParti socialiste ouvrier espagnol (PSOE) en1974[3],[4]

Cinq ans plus tard, il est élu conseiller municipal deMajadahonda, près deMadrid, et devient en même temps responsable de la politique fiscale du gouvernement pré-autonome de lacommunauté de Madrid.

En1982, lessocialistes remportent leslégislatives du 28 octobre, et Josep Borrell est nommé secrétaire général à l'Économie duministère de l'Économie et des Finances. En1984, il est promusecrétaire d'État aux Finances et se voit chargé de la lutte contre lafraude fiscale.

À l'occasion deslégislatives anticipées de 1986, il est éludéputé de laprovince de Barcelone, et se voit réélu lors duscrutin suivant, en1989.

Ministre de Felipe González

[modifier |modifier le code]

Le, à l'occasion d'un importantremaniement dugouvernement, Josep Borrell est nomméministre des Travaux publics et des Transports, poste nouvellement créé parFelipe González par la fusion des départements des Travaux publics et de l'Urbanisme, et des Transports, du Tourisme et des Communications.

Reconduit auCongrès des députés auxlégislatives de 1993, il conserve son portefeuille, avec le titre de « ministre des Travaux publics, des Transports et de l'Environnement ». C'est la première fois dans l'histoire gouvernementale espagnole qu'un département fait explicitement référence à l'environnement.

Il conserve son siège auxélections générales du, remportées par leParti populaire, puis intègre l'année suivante la commission exécutive fédérale duPSOE, formée parJoaquín Almunia, nouveau secrétaire général du parti[5].

Chef de file avorté des socialistes

[modifier |modifier le code]

Le24 avril de l'année suivante, il remporte, avec 55,1 % des voix, les primaires organisées au sein duParti socialiste ouvrier espagnol afin de choisir son candidat à laprésidence du gouvernement dans le cadre desprochaines élections législatives, battantJoaquín Almunia à la surprise générale[6].

Il est cependant contraint de renoncer tout juste un an plus tard, le, du fait du manque d'appui de l'appareil du parti et d'un scandale autour d'unefraude fiscale présumée de deux de ses anciens collaborateurs au ministère de l'Économie et des Finances[7].

Réélu auCongrès des députés lors duscrutin du, puis lors desélections du, il est choisi pour prendre la tête de listesocialiste auxeuropéennes du13 juin[8].

Président du Parlement européen

[modifier |modifier le code]

Cinq semaines plus tard, le, Josep Borrell est élu président duParlement européen au premier tour de scrutin, par388 voix contre 208 au libéral polonaisBronisław Geremek et51 suffrages au communiste françaisFrancis Wurtz[9].

Conformément à l'accord passé avec lesconservateurs, il abandonne son poste le et se voit remplacé par l'allemandHans-Gert Pöttering[10].

Depuis 2007

[modifier |modifier le code]

Dans le cadre des troubles politiques qui suivent leréférendum de 2017 sur l'indépendance de la Catalogne, il se positionne contre l'indépendance, en prenant la parole à la fin d'une manifestation[11]. En2019, alors qu'il est interviewé en tant que ministre des Affaires étrangères parDeutsche Welle, il s'emporte contre le journaliste à l'évocation de la question catalane et interrompt l'interview avant de revenir sur avis de ses conseillers[12].

Ministre des Affaires étrangères

[modifier |modifier le code]
Le secrétaire d'État américainMike Pompeo rencontre Josep Borrell au Département d'État américain à Washington, D.C., le1er avril 2019.

Le, trois jours après lerenversement de Mariano Rajoy par le socialistePedro Sánchez, Josep Borrell fait savoir qu'il accepte la proposition de ce dernier de diriger la diplomatie espagnole. Il prend ensuite le titre deministre des Affaires étrangères, de l'Union européenne et de la Coopération[13]. Il prête serment avec l'ensemble de ses collègues trois jours plus tard et prononce la formule du serment dans son énoncé officiel, c’est-à-dire qu'il dit le« consejo de ministros » alors que la plupart de ses collègues disent le« consejo de ministras y ministros » en référence à la majorité de femmes siégeant au sein du gouvernement[14].

Il s'engage contre leséparatisme catalan et ordonne aux diplomates espagnols de contre-attaquer face aux arguments séparatistes dans les médias étrangers, rompant avec la position du gouvernement précédent[15].

Chef de la diplomatie européenne

[modifier |modifier le code]
Conférence de presse de la réunion informelle des ministres de la défense de l'Union européenne, le 13 janvier à Brest.

Lors de leur réunion enConseil européen du, les chefs d'État et de gouvernements européens le proposent commehaut représentant de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité en remplacement de l'ItalienneFederica Mogherini, en fonction depuis cinq ans[16]. En tant que membre de la Commission, sa nomination et celle du collège des commissaires sera soumis à l'approbation du Parlement européen[17]. PourEUobserver, la nomination de Josep Borrell au poste de haut représentant de l'UE pour les affaires étrangères et de vice-président de la commission a été « l'une des nominations les plus surprenantes » d'Ursula von der Leyen en raison de la carrière de ce dernier « entachée par plus d'un événement controversé »[18].

Il prend ses fonctions en décembre 2019.

Condamnation pour délit d'initié

[modifier |modifier le code]

En novembre 2018, il est condamné à une amende de 30 000 euros par la Commission nationale espagnole des marchés de valeurs (CNMV) pourdélit d'initié dans le cadre de la vente en 2015, pour le compte d'un tiers, son ex-épouse selon la presse, de 10 000 actions du groupeAbengoa, au bord de la faillite et dont il était administrateur[19]. Le groupe d'énergies renouvelables avait annoncé le lendemain se diriger vers le dépôt de bilan, ce qui avait entraîné une chute de son titre en Bourse[19]. Le leader du PartiPodemosPablo Iglesias appelle alors à sa démission[20].

Par la suite, un journaliste a demandé le dossier complet via le portail Transparence pour connaître les détails de l'enquête de la CNMV. La Commission nationale du marché des valeurs mobilières a refusé de communiquer le dossier des sanctions contre Josep Borrell, l'organisation ne publiant même pas certaines parties du dossier, en dépit du fait que le Tribunal national et la Cour suprême ont donné raison à Transparency et ont jugé que celui-ci n'était pas confidentiel[21].

Déclarations polémiques

[modifier |modifier le code]

En novembre 2018, alors qu'il est ministre des Affaires étrangères de l'Espagne, il déclare que lesAméricains « n'ont eu qu'à tuer quatre Indiens pour obtenir l'indépendance », suscitant un tollé et des accusations de racisme[22],[23]. Il finit par s'excuser[15].

En décembre 2019, il critique la supposée lenteur de lajustice belge dans le cadre de la procédure d'extradition d'une activistebasque vers l'Espagne, déclarant que « si cela dure depuis des années, on ne devrait pas être surpris que d'autres choses se produisent »[24]. Le ministre de la Justice belgeKoen Geens qualifie cette déclaration de « déplacée »[24]. LaCommission européenne se distancie par la suite des propos de Borrell, les qualifiant de « personnels »[25].

Enfévrier 2020, lors d'un débat auParlement européen, il critique les jeunes mobilisés contre leréchauffement climatique, déclarant « c’est très bien de sortir manifester contre le changement climatique tant qu’on ne te demande pas de contribuer au coût », et évoque un « syndromeGreta »[26].Legroupe des Verts du Parlement européen dénonce des propos scandaleux de la part d'un haut représentant de l'Union européenne, après quoi Borrell finit par présenter ses excuses[27].

En octobre 2022, il compare l'Europe à un jardin et le reste du monde à une jungle, suscitant des accusations de racisme[28]. À la suite de ces propos, le gouvernement desÉmirats arabes unis convoque le chef de ladélégation de l'UE àAbu Dhabi pour demander des explications[29].

Le 19 janvier 2023, les eurodéputés se prononcent pour l’inscription despasdarans sur la liste des organisations terroristes de l’Union européenne. En vain. Le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell affirme étrangement : « C’est quelque chose qui ne peut être décidé sans un tribunal. Une décision de justice est nécessaire. Vous ne pouvez pas dire : “je vous considère comme un terroriste parce que je ne vous aime pas”. »[30].

Le, il est accusé d'adopter undouble standard sur leconflit israélo-palestinien à la suite d'une interview sur la chaîneAl Jazeera. Interrogé par le journalisteérythréenOsman Ayfarah (ar), qui lui demande siIsraël commet descrimes de guerre, il déclare qu'il ne peut répondre à cette question car« il n'est pasjuriste ». Quelques secondes plus tard, lorsque le même journaliste lui demande si« ce que leHamas afait le est un crime de guerre », il répond immédiatement« Oui »[31],[32].

Le 19 janvier 2024, en visite à l'Université deValladolid, J. Borrell déclare que"le Hamas a été financé par le gouvernement israélien pour tenter d'affaiblir l'Autorité palestinienne du Fatah."[33],[34]

Dans un communiqué de presse duService européen pour l'action extérieure, le 15 novembre 2024, considérant qu'Israël ne respecte pas le droit international à Gaza, Josep Borrell déclare que la stratégie adoptée par l'Union européenne dans le cadre de la guerre à Gaza nécessite une nouvelle approche et annonce avoir proposé« aux États membres de l'Union européenne d'interdire les importations en provenance des colonies illégales et de suspendre le dialogue politique avec Israël », considérant que« nous ne pouvons pas continuer comme si de rien n'était »« après une année de demandes ignorées de la part des autorités israéliennes concernant le respect du droit international dans la guerre de Gaza »[35],[36]. N'ayant pas obtenu le soutien de l'unanimité des États membres, il affirme le que« la plupart des États membres ont estimé qu’il était préférable de continuer à entretenir des relations diplomatiques et politiques avec Israël, de sorte que la proposition n’a pas été prise en considération, comme prévu »[35].

Vie privée

[modifier |modifier le code]

Divorcé de la Française Caroline Mayeur, avec qui il a eu deux enfants, Josep Borrell est actuellement le compagnon de l'ancienneministre de l'EnvironnementCristina Narbona.

Distinctions

[modifier |modifier le code]

Nationales

[modifier |modifier le code]

Étrangères

[modifier |modifier le code]

Notes et références

[modifier |modifier le code]
  1. ab etc(en)Borrell forced to resign over energy interests, politico.eu, 25 avril 2012
  2. Conflits d'intérêts, emploi fictif... Ces candidats à la Commission européenne embarrassés par des affaires, francetvinfo.fr, 2 octobre 2019
  3. (es) JuanGonzález Ibáñez, « José Borrell: " Nadie debe temer nada de mi cada día más probable victoria" en las primarias »,El País,
  4. (es) OriolSolé Altimira, « Josep Borrell, un veterano europeísta y azote del independentismo »,Eldiario.es, :« Su etapa en el PSOE, partido en el que ha militado toda su vida (no en el PSC), »
  5. (es) « Un 55% de caras nuevas en la ejecutiva del PSOE »,El País,‎(ISSN 1134-6582,lire en ligne, consulté le)
  6. (es) « Borrell vence en 16 de las 21 federaciones del Partido Socialista »,El País,‎(ISSN 1134-6582,lire en ligne, consulté le)
  7. (es) « Borrell renuncia como candidato por el escándalo de sus ex colaboradores »,El País,‎(ISSN 1134-6582,lire en ligne, consulté le)
  8. (es) « Borrell elegido por unanimidad cabeza de lista a las Europeas »,Cadena SER,‎(lire en ligne, consulté le)
  9. « Union européenne - Parlement : Josep Borrell élu président », surwww.rfi.fr,(consulté le)
  10. « Hans-Gert Poettering, nouveau Président du Parlement européen », surwww.europarl.europa.eu,(consulté le)
  11. Patrick Bèle, « Les anti-indépendantistes veulent se faire entendre »,Le Figaro,‎ samedi 7 / dimanche 8 octobre 2017,p. 8(lire en ligne).
  12. (en) Lucía Abellán, « Spain’s foreign minister stops interview on German TV over Catalonia questions »,El País,‎(lire en ligne, consulté le).
  13. (es) « Josep Borrell, ministro de Asuntos Exteriores, Unión Europea y Cooperación »,La Vanguardia,‎(lire en ligne, consulté le).
  14. (es) « El « Consejo de Ministras y Ministros » de Pedro Sánchez toma posesión ante el Rey »,Sur (es),‎(lire en ligne, consulté le).
  15. a etb(en) Diego Torres, « Josep Borrell: Europe’s undiplomatic envoy »,Politico Europe,‎(lire en ligne, consulté le).
  16. « Accord au sommet de l'UE sur les nominations clés »,Le Figaro,‎(lire en ligne, consulté le).
  17. Article 17 du TUE
  18. Borrell: from controversy to EU's top diplomat, euobserver.com, 30 septembre 2019
  19. a etbEspagne: le chef de la diplomatie sanctionné pour délit d'initié, lorientlejour.com, 27 novembre 2018
  20. (en)Spain’s Foreign Minister fined €30k over share sale, spainenglish.com, 27 novembre 2018
  21. (es) Rafael Méndez,La CNMV blinda el expediente de Borrell sobre las acciones de Abengoa pese a que el Supremo lo declaró no confidencial, eldiario.es, 13 août 2022
  22. (en) Rafael Cereceda,Spanish foreign minister says Americans only had to 'kill four Indians' to get independence, euronews.com, 28 novembre 2018
  23. (en)'America? They only killed FOUR INDIANS!’ Spain minister sparks furious row, express.co.uk, 28 novembre 2018
  24. a etbhttps://www.lalibre.be/belgique/politique-belge/le-gouvernement-n-apprecie-pas-les-declarations-de-josep-borrell-5dfba8c2d8ad58130dd5add4
  25. Le Vif, « Mandat d'arrêt UE : la Commission se distancie de propos de Borrell sur la justice belge », surLe Vif,(consulté le).
  26. https://www.20minutes.fr/planete/2714331-20200209-chef-diplomatie-ue-presente-excuses-apres-avoir-epingle-syndrome-greta
  27. (en) Laurenz Gehrke, « Josep Borrell slammed for ‘Greta syndrome’ remark »,Politico Europe,‎(lire en ligne, consulté le).
  28. Tollé. “Racistes” : les propos de Josep Borrell sur la “jungle” mondiale font polémique, courrierinternational.com, 19 octobre 2022
  29. Hala Kodmani,Josep Borrell, le maître jardinier de l’Europe se perd dans «la jungle», liberation.fr, 19 octobre 2022
  30. Emmanuel Ravazi :La face cachée desMollahs. Le livre noir de laRépublique Islamique d'Iran, 2024, éd. du Cerf,(ISBN 9782204161244)
  31. (ar) « فيديو | إزدواجية المعيار عند ساسة الاتحاد الأوروبي فيما يحصل بغزة » [« Vidéo | Le double standard des politiciens de l'Union européenne concernant ce qui se passe à Gaza »],AhlulBayt News Agency (en),‎(consulté le)
  32. (en) « Double standards? Arab journo corners EU’s Borrell on ‘war crimes’ definition »,Arab News,(consulté le)
  33. Le Monde / AFP, « Josep Borrell accuse Israël d'avoir créé et financé le Hamas », surLe Monde,
  34. TF1 Info, « Josep Borrell accuse Israel d'avoir créé et financé le Hamas », surTF1 Info,
  35. a etbNicholas Wallace, « Les ministres des Affaires étrangères de l’UE rejettent la suspension du dialogue politique avec Israël », surEuractif,
  36. RTBF/Belga, « Le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell propose de suspendre le dialogue politique entre l'UE et Israël », surRTBF Actus,
  37. « BOE-A-2024-11942 Real Decreto 560/2024, de 11 de junio, por el que se concede la Gran Cruz del Mérito Aeronáutico con distintivo blanco a las personas que se citan. », surboe.es(consulté le)
  38. (es) « Josep Borrell recibe la Legión de Honor francesa », surLa Vanguardia,(consulté le)

Voir aussi

[modifier |modifier le code]
Consultez labibliographie sur l'Union européenne

Articles connexes

[modifier |modifier le code]

Liens externes

[modifier |modifier le code]

v ·m
Ciudadanos
Bildu
ERC
IU
ICV
JuntsXCat
EAJ/PNV
PP
PSC
PSOE
Podemos
UPyD
Vox
BNG
v ·m
Vice-président
Felipe González
Président du gouvernement
Affaires étrangères
Justice
Défense
Économie & FinancesCarlos Solchaga
IntérieurJosé Luis Corcuera
Travaux publics
Éducation
Travail
IndustrieJosé Claudio Aranzadi
Agriculture & Pêche
Administrations publiques
Transports
Culture
Santé
Relations avec le ParlementVirgilio Zapatero
Affaires socialesMatilde Fernández
Porte-paroleRosa Conde
v ·m
Vice-présidentNarcís Serra (jusqu'en1995)
Felipe González
Président du gouvernement
Affaires étrangères
JusticeJuan Alberto Belloch
Défense
Économie & FinancesPedro Solbes
Intérieur
Travaux publics & TransportsJosep Borrell
Éducation
TravailJosé Antonio Griñán
IndustrieJuan Manuel Eguiagaray
Agriculture & Pêche
PrésidenceAlfredo Pérez Rubalcaba
Administrations publiques
CultureCarmen Alborch
SantéÁngeles Amador
Affaires socialesCristina Alberdi
Commerce & TourismeJavier Gómez-Navarro
Porte-paroleAlfredo Pérez Rubalcaba
v ·m
Vice-présidenteCarmen Calvo
Pedro Sánchez
Président du gouvernement
Affaires étrangères
JusticeDolores Delgado
DéfenseMargarita Robles
FinancesMaría Jesús Montero
IntérieurFernando Grande-Marlaska
ÉquipementJosé Luis Ábalos
Éducation & FormationIsabel Celaá
Travail, Migrations & Sécurité socialeMagdalena Valerio
Industrie, Commerce & TourismeReyes Maroto
AgricultureLuis Planas
Présidence & ÉgalitéCarmen Calvo
Politique territoriale & Fonction publique
Transition écologiqueTeresa Ribera
Culture & Sports
ÉconomieNadia Calviño
Santé & Consommation
SciencePedro Duque
Porte-paroleIsabel Celaá
v ·m
Assemblée commune (1952-1958)
Assemblée parlementaire (1958-1962)
Parlement européen nommé (1962-1979)
Parlement européen élu (depuis 1979)
v ·m
Travaux publics
(1977-1991)
Transports
(1977-1991 ; depuis 2023)
Équipement
(1991-2023)
Logement
(2004-2010 ; depuis 2023)
v ·m
Dictatures de Primo de Rivera et deDámaso Berenguer
(1923 -1931)
Seconde République espagnole
(1931 -1939)
État espagnol
(1939 -1977)
Monarchie parlementaire
(Depuis1977)
v ·m
PrésidenteUrsula von der Leyen
Vice-présidents exécutifs
Vice-président
Haut représentant pour les affaires étrangères
Vice-présidents
Commissaires
v ·m
Commission Delors I (1985-1989)
Commission Delors II (1989-1993)
Commission Delors III (1993-1995)
Commission Santer (1995-1999)
Commission Marín (1999)
Commission Prodi (1999-2004)
Commission Barroso I (2004-2009)Joaquín Almunia
Commission Barroso II (2010-2014)Joaquín Almunia
Commission Juncker (2014-2019)Miguel Arias Cañete
Commission von der Leyen I (2019-2024)Josep Borrell
Commission von der Leyen II (depuis2024)Teresa Ribera
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Josep_Borrell&oldid=225931856 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp