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Jonquerettes

43° 56′ 53″ nord, 4° 56′ 01″ est
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Jonquerettes
Jonquerettes
Place de l'Église.
Blason de Jonquerettes
Blason
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionProvence-Alpes-Côte d’Azur
DépartementVaucluse
ArrondissementAvignon
IntercommunalitéGrand Avignon
Maire
Mandat
Daniel Bellegarde
2020-2026
Code postal84450
Code commune84055
Démographie
GentiléJonquerettois, Jonquerettoises
Population
municipale
1 597 hab.(2022en évolution de +7,61 % par rapport à 2016)
Densité621 hab./km2
Géographie
Coordonnées43° 56′ 53″ nord, 4° 56′ 01″ est
Altitude120 m
Min. 38 
m
Max. 119 
m
Superficie2,57 km2
TypeCeinture urbaine
Unité urbaineAvignon
(banlieue)
Aire d'attractionAvignon
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesCanton du Pontet
LégislativesDeuxième circonscription
Localisation
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Jonquerettes
Géolocalisation sur la carte :France
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Jonquerettes
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Jonquerettes
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Jonquerettes
Liens
Site webwww.jonquerettes.frVoir et modifier les données sur Wikidata
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Jonquerettes est unecommune française située dans ledépartement deVaucluse, enrégionProvence-Alpes-Côte d'Azur. Elle fait partie duGrand Avignon.

Ses habitants s'appellent les Jonquerettois et les Jonquerettoises.

Géographie

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Le village est au milieu des champs de vigne, à la lisière du bois de Saint-Jean. Situé à 8 km à l'est d'Avignon, il est essentiellement résidentiel.

Communes limitrophes deJonquerettes
Saint-Saturnin-lès-Avignon
Morières-lès-AvignonJonquerettesLe Thor
Châteauneuf-de-Gadagne

Accès et transports

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La commune est accessible par laroute nationale 100, puis la route départementale 6. Route et chemin de fer marquent la frontière avec le coteau sur lequel est bâti le village et la plaine inondable.

L'autoroute la plus proche est l'autoroute A7 et la gare TGV la plus proche est lagare d'Avignon TGV.

Relief

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La commune est composée d'une plaine alluviale marécageuse, arrosée par les eaux desSorgues. C'est sur le coteau est que s'est développé le village, tout d'abord en cercle autour du château et de l'église, puis le long de l'avenue principale orienté est-ouest.

Géologie

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La commune est constituée d'une plaine alluviale récente recouvrant un épandagedurancien sur plusieurs mètres d'épaisseur. Sa partie est où est installé le village est un coteau decalcaire urgonien.

Sismicité

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Les cantons deBonnieux,Apt,Cadenet,Cavaillon, etPertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Tous les autres cantons du département de Vaucluse, dont celui de l'Isle-sur-la-Sorgue auquel appartient la commune, sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments[1].

Hydrographie

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Carte de Brun cadet prévoyant « l'arrosement d'une partie des terres du Comtat Venaissin »,1771.

La ville est traversée par l'est par laSorgue d'Entraigues, un des bras de la rivière et se dirigeant versSaint-Saturnin-lès-Avignon avant de rejoindre leRhône.

Quelque 10 000 ans avant notre ère, laDurance se jetait dans leRhône, non pas en aval, mais en amont d'Avignon. Son cours partait deCheval-Blanc pour se diriger versVedène, coupant le lit de la Sorgue et rejoignait le fleuve au nord durocher des Doms. Seuls émergeaient alors la colline de Thouzon et l'oppidum d'Entraigues[2]. Cela a été mis en évidence par des forages àSaint-Saturnin-lès-Avignon, Jonquerettes etEntraigues-sur-la-Sorgue qui ont révélé un épandage alluvial typiquement durancien sur plusieurs mètres d'épaisseur dans toute la plaine de la Sorgue[3].

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat de Provence-Alpes-Côte d'Azur etClimat de Vaucluse.

En 2010, le climat de la commune est de typeclimat méditerranéen franc, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant lapériode 1971-2000[4]. En 2020,Météo-France publie une typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents >5 m/s) et peu de brouillards[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de14,1 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 678 mm, avec 5,8 jours de précipitations en janvier et 2,5 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, « Avignon », sur la commune d'Avignon à 10 km àvol d'oiseau[6], est de15,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 648,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de42,8 °C, atteinte le ; la température minimale est de−9,9 °C, atteinte le[Note 1],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différentsscénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvellesprojections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié parMétéo-France en novembre 2022[10].

Le mistral

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Article détaillé :Mistral (vent).

Dans cette commune qui produit descôtes-du-rhône[11] aucun vigneron ne se plaint du mistral - même violent, car celui-ci a des avantages bénéfiques pour le vignoble. Appelé le « mango-fango », le mangeur de boue, il élimine toute humidité superflue après lesorages, dégage le ciel et lui donne sa luminosité, préserve les vignes de nombre demaladies cryptogamiques et les débarrasse d'insectes parasites.

Urbanisme

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Typologie

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Au, Jonquerettes est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12].Elle appartient à l'unité urbaine d'Avignon[Note 2], une agglomération inter-régionale regroupant59 communes, dont elle est une commune de labanlieue[Note 3],[13],[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Avignon, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[14]. Cette aire, qui regroupe 48 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (66,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (60,4 %), zones urbanisées (35 %), cultures permanentes (4,4 %), forêts (0,2 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire

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Moyen Âge

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La plus ancienne mention de Jonquerettes apparaît sur une donation de853 par laquelle Gosselin et sa femme remettent à l'évêque d'Avignon et son église celle de « Santae Mariae in villa de Joncariis, in Comitatu Avennico ».

En1050, Rostang,évêque d’Avignon, donne, ou plutôt restitue, l’égliseSantae Mariae de Juncariis à l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, qui la possédait dès le milieu duIXe siècle[18]. Au milieu duIXe siècle, il existait là un vaste domaine, ou un simple hameau non défendu, issu peut-être d'un vicus gallo-romain qui fut à l'origine de l'agglomération actuelle.

En1162, Giraud Amic est cité comme seigneur. En1371, Amic, de la branche de Sabran, vend à Guirand de Sabran. En1412, Bérenger de Simiane en rend hommage.

Renaissance

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Jonquerettes fut ensuite partagée en co-seigneuries si l'on en juge par la qualification de seigneur en partie concernant Melchior de Siminae en1506. Plus Tard, en1655, J.B. du Roure, abbé de Saint-André, vend le domaine à François d'Honoraty qui en fait hommage à la chambre apostolique dès le 12 juin. Cette famille le conserva près de quatre-vingts ans.

Période moderne

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La chapelle Saint-Roch construite en remerciement après lagrande peste de 1720 borne le développement de la commune en ce milieu duXVIIIe siècle. Selon le cadastre napoléonien la population, tout comme la physionomie du village ne bougent guère jusqu'à l'après-guerre.

C'est l'abbé d'Honoraty qui demanda, et obtint du vice-légat l'autorisation de vente pour la terre, fief seigneurie et juridiction de Jonquerettes et les céda en décembre1735 à Jean-Noël Limojon de Saint-Didier qui mourut neuf ans plus tard. Sa veuve, en se remariant en1760 avec le marquis de Savigny lui apporta la seigneurie, puis en1789, par testament, la légua à la marquise de Varennes.

Le fut créé le département de Vaucluse, constitué des districts d'Avignon et de Carpentras, mais aussi de ceux d'Apt et d'Orange, qui appartenaient auxBouches-du-Rhône, ainsi que ducanton de Sault, qui appartenait auxBasses-Alpes.

Article détaillé :Histoire de Vaucluse.

En1807, Augustine de Varènes, par son mariage avec le marquis de Baroncelli-Javon le lui apporta en dot. Par héritage, il parvint entre les mains des barons de Montrond auxquels il appartient encore vers1960.

Période contemporaine

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Une micro-centrale hydro-électrique est programmée pour fournir une centaine de kilowattheures ainsi qu'une zone artisanale de douze lots à la limite de Saint-Saturnin-lès-Avignon[19].

Toponymie

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Le nom de la commune est lié à la présence dejoncs dans la plaine. Lejoncus latin auquel s'est ajouté le diminutif-ittum est donc à l'origine de ce toponyme[20].

Héraldique

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Article détaillé :Armorial des communes de Vaucluse.

Les armes peuvent seblasonner ainsi :

D'azur à la bande d'or remplie de gueules, accompagnée en chef d'un sautoir alésé d'or et en pointe d'un jonc du même[21].

Le blason de la commune symbolise de la dualité du terroir : d'un côté le jonc, plante marécageuse qui a donné le toponyme ; de l'autre la croix de Saint-André, le clocher à l'origine de l'implantation humaine.

Politique et administration

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Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
     
mars 2001aout 2011Jacky Buis  
octobre 20115 avril 2014Robert Boyer Professeur des écoles retraité[22]
5 avril 2014en coursDaniel BellegardeSE 

Jacky Buis est décédé en cours de son second mandat[23], à l'âge de 74 ans.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].

En 2022, la commune comptait 1 597 habitants[Note 5], en évolution de +7,61 % par rapport à 2016 (Vaucluse : +1,73 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
143159157214234255275311312
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
319358323310310235250253238
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
236234210180187215201223219
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200520062010
2132534778121 0881 2361 2511 2391 358
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
201520202022------
1 4621 5711 597------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puisInsee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Revenus de la population et fiscalité

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En 2010, lerevenu fiscal médian par ménage était de 40 428 €, ce qui plaçait Jonquerettes au 2 287e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole, en faisant la commune la plus riche duVaucluse[28].

Agriculture

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Le coteau fut tout d'abord planté en céréales, olivier et vigne, puis se développa lasériciculture avec des mûriers plantés le long de la voie principale, qui ne survécut pas à lapébrine. Jadis était cultivée en garance. Avec les teintures artificielles (alizarine), l'ancienne usine ferma ses portes au début duXXe siècle. Des vergers d'arbres fruitiers (pomme et poire) remplacèrent la culture de la garance devenue obsolète après laPremière Guerre mondiale.

L'irrigation était faite par quelques sources, fioles, et roubines qui coulaient le long des coteaux. Aujourd'hui, bien que classé encôtes-du-rhône, le vignoble de la commune souffre de lapériurbanisation et dumitage du terroir. À partir desannées 1970, la poussée démographique importante due à des nouveaux arrivants modifia une partie de l'aspect du village avec les mouvements pendulaires journaliers des nouveaux « rurbains ».

Tourisme

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Avec sa proximité d'Avignon et de son riche patrimoine, duLuberon, desAlpilles, la présence de laSorgue, etc. le tourisme occupe directement ou indirectement une place importante dans l'économie de la commune.

Pour accueillir les touristes, la commune dispose de chambres d'hôtes et locations vacances.

Équipements ou services

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Transports urbains

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La ligne 11 du réseau TCRA du Grand Avignon dessert la ville matin, midi et soir à destination d'Avignon centre (Poste).

Enseignement

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La commune possède uneécole maternelle et uneécole primaireLes Javonnes[29]. Ensuite les élèves sont dirigés vers lecollègeAnne-Frank deMorières-lès-Avignon[30], puis leslycées d'Avignon.

Sports

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La commune compte plusieurs associations sportives sur sa commune (boxe, gym, tennis...).

Randonnée pédestre.

Santé

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Cabinet de soins infirmiers.

Centre médical regroupant médecins, acupuncteur, kinésithérapeute, thérapeute, vétérinaire, dentiste, podologue, ostéopathe, psychomotriciens.

Les centres d'analyses médicales et les hôpitaux les plus proches sont surL'Isle-sur-la-Sorgue etAvignon.

Vie locale

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Un commerce : Le jardin de Jonquerettes.

Cultes

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L'église paroissiale Saint-André.
Église Saint-André de Jonquerettes.

Catholique (église).

Écologie et recyclage

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Lacollecte et traitement des déchets des ménages et déchets assimilés et le contrôle de laqualité de l'air se fait dans le cadre de lacommunauté d'agglomération du Grand Avignon, elle-même adhérente au syndicat mixte pour la valorisation des déchets du pays d'Avignon.

Lieux et monuments

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Au cœur du bourg, les maisons sont regroupées autour de l'église Saint-André et du château.

Le château, toujours habité, date duXIVe siècle dans sa grande majorité avec toutefois des éléments plus anciens.

L'église paroissiale Saint-André, d'origineromane, fut partiellement détruite lors desguerres de religion. Relevée avec les matériaux provenant de sa ruine et l'utilisation de murs encore debout, elle fut reprise sur un plan différent, désorientée. Quelques vestiges de l'ancien édifice roman ont été intégrés dans l'ancien presbytère, ce qui semble être le cas des deuxcolonnes àcannelures et chapiteaux ouvragés à feuillages de l'entrée.

Fontaine d'eau potable en face de la petite mairie.

Personnalités liées à la commune

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  • Famille de Giraud Amic, branche cadette de la famille deSabran.
  • Famille deSimiane.
  • Pierre-Henri Requin (1851-1917), abbé, historien et érudit local.

Notes et références

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Notes

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  1. Les records sont établis sur la période du au.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Avignon comprend une ville-centre et58 communes de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

Cartes

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  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).

Références

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  1. Zonage sismique réglementaire de la France, classement des cantons (découpage fin 1989) de la région PACA, page 48
  2. Histoire de la Sorgue
  3. * Georges Truc,L'eau en Vaucluse. Origine, fonctionnement, potentiel et qualité des réservoirs aquifères, Éd. Conseil Général de Vaucluse, Avignon, 1991,p. 70-71.
  4. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le).
  6. « Orthodromie entre Jonquerettes et Avignon », surfr.distance.to(consulté le).
  7. « Station Météo-France « Avignon », sur la commune d'Avignon - fiche climatologique - période 1991-2020. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  8. « Station Météo-France « Avignon », sur la commune d'Avignon - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », surdrias-climat.fr(consulté le).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », surmeteofrance.com,(consulté le).
  11. Références sur la façon d'orthographier les appellations d'origine
  12. « La grille communale de densité », surle site de l'Insee,(consulté le).
  13. « Unité urbaine 2020 d'Avignon », surle site de l'Insee(consulté le).
  14. a etbInsee, « Métadonnées de la commune de Jonquerettes ».
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Avignon », surle site de l'Insee(consulté le).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surle site de l'Insee,(consulté le).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », surle site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique.(consulté le).
  18. Guy Barruol, Michèle Bois, Yann Codou, Marie-Pierre Estienne, Élizabeth Sauze, « Liste des établissements religieux relevant de l’abbaye Saint-André duXe au XIIIe siècle »,in Guy Barruol, Roseline Bacon et Alain Gérard (directeurs de publication),L’abbaye de Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, histoire, archéologie, rayonnement, Actes du colloque interrégional tenu en 1999 à l'occasion du millénaire de la fondation de l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, Éd. Alpes de Lumières, Cahiers de Salagon no 4, Mane, 2001, 448 p.(ISSN 1254-9371),(ISBN 2-906162-54-X),p. 219.
  19. Jonquerettes commune du Grand Avignon
  20. Albert Dauzat et Charles Rostaing,Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Éd. Larousse, 1968,p. 1818.
  21. Source : l'armorial des communes de Vaucluse.
  22. Robert Boyer,26e maire de Jonquerettes
  23. Décès de Jacky Buis
  24. L'organisation du recensement, surinsee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, surinsee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
  28. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », surle site de l'Insee(consulté le).
  29. Enseignement publique primaire en Vaucluse
  30. Carte scolaire du Vaucluse

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Robert Bailly,Dictionnaire des communes du Vaucluse, A. Barthélemy, Avignon,, 475 p.(ISBN 2-903044-27-9)
  • Jules Courtet,Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique des communes du département de Vaucluse, Avignon, Seguin Ainé,, 400 p.(lire en ligne)

Articles connexes

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Liens externes

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v ·m
Vaucluse
Gard
v ·m
v ·m
CA Grand Avignon
CA Ventoux-Comtat Venaissin
CA Luberon Monts de Vaucluse
CC Pays d'Orange en Provence
CC Les Sorgues du Comtat
CC du Pays des Sorgues et des Monts de Vaucluse
CC Pays d'Apt-Luberon
CC Rhône Lez Provence
CC Enclave des Papes-Pays de Grignan
CC Aygues Ouvèze en Provence
CT Sud Luberon
CC Vaison Ventoux
CC Ventoux Sud
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