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John Major

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Pour les articles homonymes, voirMajor (homonymie).

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Ne doit pas être confondu avecJohn C. Major.

John Major
Illustration.
John Major en 1993.
Fonctions
Chef de l'opposition officielle du Royaume-Uni
Secrétaire d'État des Affaires étrangères du cabinet fantôme
Secrétaire d'État à la Défense du cabinet fantôme

(1 mois et 17 jours)
MonarqueÉlisabeth II
Premier ministreTony Blair
GouvernementMajor (fantôme)
PrédécesseurTony Blair(chef de l'opposition)
Robin Cook(Affaires étrangères)
David Clark(Défense)
SuccesseurWilliam Hague(chef de l'opposition)
Michael Howard(Affaires étrangères)
George Young(Défense)
Premier ministre du Royaume-Uni

(6 ans, 5 mois et 4 jours)
MonarqueÉlisabeth II
Vice-Premier ministreMichael Heseltine(1995-1997)
GouvernementMajor I etII
Législature50e, et51e
PrédécesseurMargaret Thatcher
SuccesseurTony Blair
Chef du Parti conservateur

(6 ans, 6 mois et 23 jours)
Élection27 novembre 1990
Réélection4 juillet 1995
Chef adjointWilliam Stephen Whitelaw(1990-1991)
PrédécesseurMargaret Thatcher
SuccesseurWilliam Hague
Chancelier de l'Échiquier

(1 an, 1 mois et 2 jours)
Premier ministreMargaret Thatcher
GouvernementThatcher III
PrédécesseurNigel Lawson
SuccesseurNorman Lamont
Secrétaire d'État aux Affaires étrangères et du Commonwealth

(3 mois et 2 jours)
Premier ministreMargaret Thatcher
GouvernementThatcher III
PrédécesseurGeoffrey Howe
SuccesseurDouglas Hurd
Secrétaire en chef du Trésor

(2 ans, 1 mois et 11 jours)
Premier ministreMargaret Thatcher
GouvernementThatcher III
PrédécesseurJohn MacGregor
SuccesseurNorman Lamont
Ministre d'État chargé de la Sécurité sociale

(9 mois et 3 jours)
Premier ministreMargaret Thatcher
GouvernementThatcher II
PrédécesseurTony Newton
SuccesseurNicholas Scott
Sous-secrétaire d'État parlementaire à laSanté publique et à la Prévention

(1 an et 8 jours)
Premier ministreMargaret Thatcher
GouvernementThatcherII
PrédécesseurJean Barker
SuccesseurNicholas Lyell
Lord commissaire du Trésor

(1 an et 29 jours)
Premier ministreMargaret Thatcher
PrédécesseurAlastair Goodlad
SuccesseurTim Sainsbury
Député britannique

(22 ans et 11 jours)
Élection3 mai 1979
Réélection9 juin 1983
11 juin 1987
9 avril 1992
1er mai 1997
CirconscriptionHuntingdonshire (en)(1979-1983)
Huntingdon(1983-2001)
Législature48e,49e,50e,51e, et52e
PrédécesseurDavid Renton(Huntingdonshire)
SuccesseurJonathan Djanogly(Huntingdon)
Biographie
Nom de naissanceJohn Roy Major
Date de naissance(82 ans)
Lieu de naissanceSutton (Grand Londres,Royaume-Uni)
NationalitéBritannique
Parti politiqueParti conservateur
ConjointNorma Major
ProfessionBanquier
Homme d'affaires
ReligionAnglicanisme
Site webjohnmajorarchive.org.uk

Image illustrative de l’article John Major
Premiers ministres du Royaume-Uni
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John Major ([ˈdʒɒnˈmeɪdʒə(ɹ)])[a], né le àSutton (Grand Londres), est unhomme d'État ethomme d'affairesbritannique, membre duParti conservateur etPremier ministre du Royaume-Uni du au.

Secrétaire en chef du Trésor de 1987 à 1989, il devient pour trois moissecrétaire d'État aux Affaires étrangères avant d'être nomméchancelier de l'Échiquier parMargaret Thatcher, à qui il succède commePremier ministre. À la surprise générale, il remporte deux ans plus tard lesélections générales de 1992, mais avec une majorité affaiblie. Peu après, en, la dégradation de la conjoncture l'oblige à sortir lalivre sterling dusystème monétaire européen.

Son mandat est marqué par d'importantes dissensions au sein de son parti, en particulier sur la politique européenne. Il se fait réélire en 1995 à la tête de sa formation, mais ne retrouve jamais l'autorité nécessaire pour gouverner sans difficultés. En 1997, il est largement défait par lestravaillistes deTony Blair et se retire quatre ans plus tard de la vie politique.

Situation personnelle

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Origines et famille

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John Major est appelé John Roy Major, mais seul le prénom « John » apparaît sur son certificat de naissance. Il utilise le prénom Roy jusqu'au début desannées 1980.

Bien qu'il soit né dans le quartier riche deSutton dans la banlieue deLondres, la famille de Major doit déménager vers le quartier plus pauvre deBrixton, après que son père a fait faillite. Il fréquente l'école de Rutlish (en) sans se faire remarquer et quitte l'école à16 ans en 1959 avec quelques attestations de niveau (O-level) en histoire, langue anglaise et littérature anglaise ; il a ensuite obtenu les mêmes attestations pour les mathématiques et l'économie, ayant suivi des cours par correspondance.

Le premier travail de Major est celui d'employé de bureau chez un courtier en assurances, en 1959, dont il démissionne ayant peu de goût pour ce travail. Il adhère auxJeunes Conservateurs (en) à Brixton à la même époque[1].

Major a19 ans quand son père meurt en 1962, à l'âge de82 ans[b].

Le, il épouseNorma Johnson, avec laquelle il a ensuite deux enfants : James et Elizabeth.

Carrière professionnelle

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Major fait une demande pour être chauffeur debus, mais est refusé en raison de sa grande taille[2],[3],[c]. Après une période sans emploi, Major commence à travailler auLondon Electricity Board (en) en 1963[d]. Il décide ensuite de suivre des cours par correspondance pour la maîtrise du métier de banquier. Ceci lui permet d’obtenir un poste de responsabilité à laStandard Chartered Bank (en), au sein de laquelle il gravit rapidement les échelons. Il est notamment envoyé travailler àJos au Nigeria en 1967 où il manque de peu de mourir dans un accident de voiture[4],[5].

Il ne quitte la Standard Chartered Bank qu'en 1979, après son élection auParlement, mais reste ensuite membre de l'Association des banquiers.

Parcours politique

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Débuts

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John Major montre un intérêt pour la politique dès son plus jeune âge, faisant des discours juché sur un carton sur le marché deBrixton. En 1964, à l'âge de21 ans, il se présente à l'élection duconseil deLambeth, un borough de Londres, mais n'est élu qu'en 1968, contre toute attente, lors d'un basculement en faveur des conservateurs. Il siège au conseil en tant que vice-président du comité au logement et est responsable de la construction de plusieurs résidences municipales. En 1971, Major se présente dans un autre quartier londonien où la victoire semble plus facile pour le Parti conservateur, mais il est battu.

Il se présente au Parlement à St. Pancras North, dans le borough londonien deCamden, aux deux élections générales de 1974, mais ne peut s'imposer à ce poste traditionnellement occupé par lestravaillistes. En, il obtient l'investiture du parti conservateur dans leHuntingdonshire et se trouve facilement élu au Parlement aux élections générales de 1979. En 1983, Major devient membre du Parlement pourHuntingdon grâce à un changement dans le tracé des circonscriptions. Il y est réélu en 1987, 1992 et 1997. Il ne se représente pas auxélections générales de 2001.

Il devient secrétaire particulier auParlement en 1981 etassistant whip[e] à partir de 1983. Il est nommésous-secrétaire d'État à la Sécurité sociale en 1985 et devient ministre pour la même fonction en 1986. Il entre au cabinet ministériel en tant que secrétaire en chef au Trésor en 1987, puis est nommé secrétaire aux Affaires étrangères en 1989. Il ne reste que trois mois à ce poste avant de devenirchancelier de l'Échiquier après la démission deNigel Lawson en. Major présente son unique budget auprintemps 1990. Il le présente comme « budget pour l’économie » et annonce le TESSA (Tax Exempt Special Saving Account) pour inciter les foyers britanniques à placer leur argent en banque après les fortes chutes enregistrées au cours des années précédentes.

En,Michael Heseltine, un conservateur mécontent de la politique deMargaret Thatcher, demande à ce qu'un nouveau dirigeant du parti conservateur soit élu. Lorsque Thatcher se retire de l'élection au second tour, John Major etDouglas Hurd s'y présentent. Bien qu’il lui manque deux voix pour atteindre les187 votes nécessaires à la victoire lors du second tour, les résultats de Major sont suffisants pour forcer ses rivaux à lui faire des concessions et il devientPremier ministre le.

Premier ministre

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Articles connexes :Gouvernement Major (1) etGouvernement Major (2).

Major est le Premier ministre du Royaume-Uni pendant laguerre du Golfe. Pendant ses premières années àDowning Street, l’économie mondiale qui s’était bien portée au cours desannées 1980 subit une récession. Alors que tout le monde s’attendait à ce qu’il perde les élections de 1992 face àNeil Kinnock, Major fait sa campagne dans la rue, déclamant de nombreux discours sur une tribune comme il le faisait dans sa jeunesse. Cette touche populiste, contrastant avec la campagne lisse destravaillistes, toucha l’électorat et offre à Major un deuxième et inattendu mandat, avec une majorité très affaiblie au Parlement. Cette situation devient vite insurmontable, surtout après que leRoyaume-Uni est forcé de se retirer duSystème monétaire européen, le mercredi Noir (le), seulement cinq mois après les élections. Il affirme avoir chanté dans sa douche le jour de la sortie du SME.

Cependant le parti conservateur s’effondre, victime de luttes internes. Major essaie de régler cette crise par une approche modérée, mais il se trouve confronté à la droite du parti et au Cabinet ministériel.

Politique européenne

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Sa politique concernant l’Union européenne dresse l’opposition contre le gouvernement qui essaie alors de ratifier letraité de Maastricht. Bien que le Parti des travaillistes soutienne le traité, ils sont prêts à faire des choix tactiques dans le seul but d’affaiblir le gouvernement. Les travaillistes déposent un amendement demandant un vote sur le chapitre social du traité. Plusieurs députés conservateurs votent contre le gouvernement et le vote est perdu. Major contre-attaque en demandant un second vote le lendemain () qu’il déclare vote de confiance (c'est-à-dire qu’il démissionne s’il perd). Il gagne par40 voix, mais son autorité a été atteinte.

Plus tard le même jour, Major accorde un entretien àMichael Brunson pourITN. Lors d’un moment d’inattention et alors qu’il pense que les micros sont éteints, Brunson demande à Major pourquoi il n’a pas limogé les ministres qui ont conspiré contre lui. Il répond « Nous ne voulons pas de trois bâtards de plus dehors. Quelle était la maxime deLyndon Johnson déjà[f] ?... ». Major explique plus tard qu’il a utilisé le chiffre trois par hasard, mais de nombreux journalistes identifient immédiatement les trois ministres comme étantPeter Lilley,Michael Portillo etMichael Howard, troiseurosceptiques importants. Un enregistrement de la conversation est récupéré parThe Daily Mirror et distribué par le journal, incommodant Major au passage.

Irlande du Nord

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À la suite de l'assassinat de l’avocat irlandaisPat Finucane par des paramilitaires loyalistes agissant de concert avec le service de renseignements britannique, il fit pression en 1992 sur le procureur, l'obligeant à accepter de conclure avec l'assassin, Brian Nelson, un plaider-coupable lui permettant d’être libéré au bout de quatre ans et de ne pas être confronté à un contre-interrogatoire lors de son procès[6].

John Major donne en une vigueur nouvelle aux discussions secrètes menées avec l'IRA depuis plusieurs années. Une note confidentielle transmise à ce moment-là auSinn Féin, après une vague d'attentats, témoigne de dispositions à la négociation : « Tous les protagonistes de ce conflit ont la responsabilité d'y mettre fin. Personne n'a le monopole de la souffrance. Un processus d'apaisement est nécessaire ». (Matthew Carr,La Mécanique infernale). Le, John Major etAlbert Reynolds, lePremier ministre irlandais, publient laDowning Street Declaration, ce qui entraîne l'année d'après un premier cessez-le-feu de l'IRA.

L'accord du Vendredi saint est signé bien après que John Major a quitté Downing Street, par son successeur Tony Blair. Mais John Major a contribué à ouvrir la voie à la paix enIrlande du Nord, après des dizaines d'années de violences féroces. Son rôle exact dans le tournant d'un conflit qui semblait inextricable reste à préciser, et peut-être à mettre en valeur.

Politique étrangère

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Il entretient de bons rapports avec lesmonarchies du Golfe, félicitant même le sultan d'Oman,Qabus ibn Saïd, pour l'adoption en 1996 d'une loi destinée à renforcer ses pouvoirs[7].

Fin de mandat

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À la conférence du parti conservateur de 1993, Major commence sa campagne « Retour aux sources ». Celle-ci doit répondre entre autres aux problèmes dans les domaines de l’économie, de l’éducation ou de la police. Cependant, elle est interprétée par certains (parmi lesquels des membres du cabinet conservateur) comme une campagne moralisatrice. Cette campagne a des effets désastreux pour le parti conservateur et le cabinet.

En 1995, John Major démissionne de la tête du parti conservateur afin d’organiser de nouvelles élections et de rassembler les conservateurs autour de lui.John Redwood, le secrétaire d’État duPays de Galles se présente contre lui. Major gagne avec218 votes contre89 pour Redwood (8 abstentions et12 blancs), ce qui est suffisant pour s’imposer au premier tour, mais seulement trois voix de plus que l’objectif qu’il s’est lui-même fixé.

Sa réélection à la tête du parti ne suffit pas à restaurer son autorité. En, les conservateurs perdent la majorité à laChambre des communes. Major réussit à tenir malgré tout, mais doit organiser de nouvelles élections pour le Parlement en alors que son mandat arrive à terme.

Retraite

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La défaite de Major aux élections générales de 1997 face àTony Blair ne surprend presque personne, mais l’ampleur de cette défaite n’était pas prévisible. Major démissionne de la tête du parti conservateur après cet échec. Par la suite, et contrairement àMargaret Thatcher, il garde un profil bas et reste un peu à l’écart de la politique, donnant simplement quelques conseils de temps en temps. Il se livre aussi aucricket, sa passion, en tant que président duSurrey County Cricket Club.

John Major est un membre du comité consultatif européen duCarlyle Group à partir de 1998 et est en outre nommé directeur de Carlyle Europe en.

Major ne se présente pas aux élections générales de 2001 et refuse la place, à vie, à laChambre des lords offerte habituellement aux anciensPremiers ministres.

Cette retraite tranquille n'est dérangée que par la révélation en d’une relation extra-conjugale antérieure avec une autre membre du Parlement,Edwina Currie, pendant quatre ans.

Relations avec les médias

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Pendant sa présidence du parti conservateur, John Major est présenté comme quelqu'un d'honnête (« Honest John ») mais ennuyeux et incapable de mettre fin aux querelles intestines des conservateurs. DansSpitting Image (équivalent anglais desGuignols de l'info), sa marionnette, d'abord un artiste de cirque, est remplacée par un homme grisâtre dînant avec sa femme, lui disant « Délicieux, ces petits pois, ma chérie » de temps en temps. Le journalPrivate Eye, parodieL’Agenda secret d’Adrian Mole, 13 ans et trois quarts deSue Townsend pour écrireL’Agenda secret de Johnny Major, 54 ans un quart, avec « ma femme Norman » et « Monsieur Docteur Mawhinney » comme personnages récurrents.

Parce qu’il a grandi àBrixton, souvent appelée la « capitale de la communauté jamaïcaine à Londres », certains journalistes de télévision et de radio lui ont prêté des surnoms tels que « Johnny Reggae ».

Principaux membres de son cabinet

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Réunion du cabinet de John Major au10 Downing Street.

Son premier ministre des Affaires étrangères a étéDouglas Hurd, qui était déjà à ce poste depuisfin 1989 et qui a été candidat à l'élection du nouveau chef du parti conservateur en 1990 : il a démissionné vers et a été remplacé par l'ÉcossaisMalcolm Rifkind.

Son premier ministre des Finances(chancelier de l'Échiquier) a étéNorman Lamont. Ce dernier était assez démuni devant l'indécision de Major dans la crise monétaire de l'ERM (Major refusait de retirer le sterling du serpent monétaire). Des sommes énormes ont été consacrées à soutenir la monnaie... sans résultat.

De plus, Major n'a pas modifié son équipe de conseillers économiques. Ces sept mois ont été fatals pour la suite de sa carrière malgré une légère amélioration économique, due à une dévaluation trop tardive.

Après sept mois de « tempête monétaire », d'indécision, et de divergences avec Lamont, il le remplace parKenneth Clarke. La droite du parti et des membres de cabinet s'opposent alors à sa politique de refus dutraité de Maastricht. Des députés conservateurs votent contre lui à laChambre des communes. Ses principaux ministres sont alorsMichael Portillo,Michael Howard etPeter Lilley, deseurosceptiques.

Au Congrès du Parti, en 1993, des scandales éclaboussant d'autres ministres éclatent.Ainsi,David Mellor,Tim Yeo,Tim Smith etNeil Hamilton doivent démissionner.Cependant Major a été très actif dans ses négociations secrètes avec l'IRA provisoire pour finalement parvenir à la paix. Cela a été sa plus grande réussite. Malgré ses tentatives pour maintenir son hégémonie, il perd les élections de 1997.

Résultats électoraux

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Chambre des communes

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ÉlectionCirconscriptionPartiVoix%Résultats
Février 1974St Pancras NorthConservateur7 92628,3Échec
Octobre 1974St Pancras NorthConservateur6 60227,3Échec
1979HuntingdonshireConservateur40 19355,3Élu
1983HuntingdonConservateur34 25462,4Élu
1987HuntingdonConservateur40 53063,6Élu
1992HuntingdonConservateur48 66266,2Élu
1997HuntingdonConservateur31 50155,3Élu

Élections locales

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DateConseilDistrictPartiVoixRangRésultats
1968Lambeth London Borough CouncilFerndaleConservateur9913eÉlu
1971Lambeth London Borough CouncilThorntonConservateur2 0615eÉchec

Dans la fiction

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Distinctions

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Notes et références

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Notes

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  1. Prononciation enanglais britannique (Received Pronunciation)retranscrite selon lanorme API.
  2. Sa mère meurt huit ans plus tard en 1970, âgée de65 ans.
  3. Il a souvent été rapporté à tort que c’était en raison d’un niveau insuffisant enarithmétique.
  4. Fait dû au hasard,Tony Blair, son successeur au poste de Premier ministre a également travaillé pour la même compagnie lorsqu'il était jeune.
  5. Celui qui veille à la discipline au sein de son groupe parlementaire.
  6. La maxime de Johnson expliquait, en parlant deJ. Edgar Hoover, qu’il était préférable de l’avoir « sous la tente pissant à l’extérieur qu'en dehors de la tente pissant à l’intérieur ».

Références

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  1. (en) John Major, « Mr Major’s Speech to Young Conservatives Conference », surjohnmajor.co.uk, 9 février 1991.(consulté le).
  2. Major 2000,p. 30.
  3. Seldon 1998,p. 18.
  4. Major 2000,p. 35.
  5. (en)« John Major car crash in Nigeria »,Channel 4 News(version du surInternet Archive).
  6. DanielFinn, « La sale guerre du gouvernement britannique », surLe Monde diplomatique,
  7. (en) PhilMiller, « John Major praised Gulf ruler’s power grab, newly declassified files show », surDaily Maverick,
  8. The London Gazette :no 55354,p. 25, 31-12-1998
  9. « Embassy of Japan in the UK – Japanese Government honours The Rt. Hon Sir John Major »,Uk.emb-japan.go.jp(consulté le)

Annexes

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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(1727-1760)
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George V
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(1936)
George VI
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Charles III
(depuis 2022)
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