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Jezainville

48° 52′ 18″ nord, 6° 02′ 31″ est
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Jezainville
Jezainville
Blason de Jezainville
Héraldique
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionGrand Est
DépartementMeurthe-et-Moselle
ArrondissementNancy
IntercommunalitéCommunauté de communes du Bassin de Pont-à-Mousson
Maire
Mandat
Marc Mouzin
2020-2026
Code postal54700
Code commune54279
Démographie
GentiléJezainvillois, Jezainvilloises[1]
Population
municipale
1 016 hab.(2022en évolution de +7,06 % par rapport à 2016)
Densité56 hab./km2
Géographie
Coordonnées48° 52′ 18″ nord, 6° 02′ 31″ est
AltitudeMin. 183 m
Max. 352 
m
Superficie18,19 km2
TypeCeinture urbaine
Unité urbainePont-à-Mousson
(banlieue)
Aire d'attractionNancy
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesCanton de Pont-à-Mousson
LégislativesSixième circonscription
Localisation
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Jezainville
Géolocalisation sur la carte :France
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Jezainville
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Jezainville
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Jezainville
Liens
Site webwww.jezainville.mairie54.frVoir et modifier les données sur Wikidata
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Jézainville est unecommune française située dans ledépartement deMeurthe-et-Moselle enrégionGrand Est. Les habitants s'appellent les Jézainvillois et Jézainvilloises.

Géographie

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Carte
Les limites communales de Jezainville et celles de ses communes adjacentes.

Localisation

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Jézainville est située au nord-est de la France entrePont-à-Mousson etNancy près deBlénod-lès-Pont-à-Mousson etDieulouard, dans la vallée de l'Esch. Lorsque l'on quitte la vallée de la Moselle pour s'engager dans cette dernière, Jézainville est le premier village de la petite Suisse lorraine, dont les collines et les vallons se succèdent le long du ruisseau jusqu'à Martincourt. Il est implanté entre la côte de Cuite, qui le sépare de Dieulouard au sud-est, et la côte de Puvenelle à l'ouest, couverte d'un vaste massif forestier.

Fig. 1 - Jezainville (ban communal).

D’après les donnéesCorine land Cover, le ban communal de 1838 hectares comportait en 2011, 15 % de zones agricoles, 79 % de forêts, 4 % de prairies et 2 % de zones urbanisées. Le territoire communal est arrosé par le Ruisseau d'Esche sur 4,737 km[2].

Communes limitrophes

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Rose des ventsMontauville ;MaidièresPont-à-Mousson
Blénod-lès-Pont-à-Mousson
AttonRose des vents
MameyNLoisy
O   Jezainville   E
S
Martincourt,GézoncourtGriscourtDieulouard

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est dans lebassin versant du Rhin au sein dubassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau d'Esche[3],[Carte 1].

L'Esch, d'une longueur de 46 km, prend sa source dans la commune deGeville et se jette dans laMoselle àBlénod-lès-Pont-à-Mousson, après avoir traversé19 communes[4]. Les caractéristiqueshydrologiques de l'Esch sont données par lastation hydrologique située sur la commune. Le débit moyen mensuel est de 1,38 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 34,9 m3/s, atteint lors de la crue du. Ledébit instantané maximal est quant à lui de 37,3 m3/s, atteint le même jour[5].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Jezainville[Note 2].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par leschéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Rupt de Mad, Esch, Trey ». Ce document de planification concerne lesbassins versants duRupt de Mad, de l’Esch et duTrey. Le périmètre a été arrêté le 2 juin 2014, lacommission locale de l'eau (CLE) a été créée le, puis modifiée le0. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est leParc naturel régional de Lorraine[6].

La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par lesagences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat du Grand Est etClimat de Meurthe-et-Moselle.

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat des marges montargnardes, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[7]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[8]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat semi-continental[9] et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[10]. Elle est en outre dans lazone H1b au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[11],[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de9,8 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 832 mm, avec12,6 jours de précipitations en janvier et8,9 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deNonsard-Lamarche à21 km àvol d'oiseau[13], est de10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 690,8 mm[14],[15]. La température maximale relevée sur cette station est de40,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de−17 °C, atteinte le1er mars 2005[Note 3].

Urbanisme

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Typologie

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Au, Jezainville est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16].Elle appartient à l'unité urbaine de Pont-à-Mousson[Note 4], une agglomération intra-départementale regroupant six communes, dont elle est une commune de labanlieue[Note 5],[17],[18]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[18]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19],[20].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (78,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (78,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (65,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,3 %),terres arables (8,3 %), prairies (4 %), zones agricoles hétérogènes (3,8 %), cultures permanentes (2,6 %), zones urbanisées (2,4 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Au cours de son histoire, le village a vu sa dénomination fluctuer :Gedanis villa. 915. Recueil des actes de Charles III le Simple, roi de France.Gissainville. 1270. Trésor des chartes, 1. Pont fiefs III,no 3.Inservila juxta Pontem à Monsson. 1276. Antonistes de Pont-à-Mousson.L'hôpital de Gezainville. 1289. Ib.Gisienville. 1304. Trésor des chartes, 1. Pont dom. II,no 13.Gizainville. 1359. Abb. de Saint Epvre.Iußeinville.1641. Lotharingiae nova descriptio. Abraham Ortelius.Jeuzainville. 1710. Pouillé Dioc. Toul.Juzainville. 1724. Abb. de Saint-Epvre.Gezainville.Jaizainville. 1749. Pouillé Barrois. Plusieurs orthographes peuvent être identifiées simultanément à une même époque.

Le nom deJézainville est formé sur le prénom d'origine dialectale germaniqueGisa(n) et le substantifvilla :le domaine de Gisa[22].

Écarts et lieux-dits

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Les historiens[23],[24] recensent trois écarts dont seul LA PAPETERIE, écart, au nord de Jezainville subsiste.

COUR-EN-HEYS (LA), fief et justice foncière au village de Jezainville, indiqué par Maillet dans sesMémoires sur le Barrois.[25]

MAISON-HAUTE, petit hameau, à 100 m de Jezainville.

Histoire

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Antiquité

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Époque gallo-romaine

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La localité se situe à la limite du pays desLeuques, dont la principale cité estToul (Tullum), et desMédiomatrices, ayantMetz (Divodurum Mediomatricorum) comme capitale. Elle se situe plus précisément dans le Scarponensis Pagus, le pays deScarponne.

Le village de Jezainville situé dans le pays deScarponne à l'époque gallo-romaine[26].

Elle est protégée des incursions venues de la vallée de laMoselle (Mosella) par les fortifications de la colline formant un éperon et au-delà de laquelle prospère la cité deScarponne (Scarponna), enserrée dans ses murs. Cette colline porte trois noms distincts[27], parce qu'elle est distribuée en trois zones de fortifications. Celles-ci sont édifiées exactement sur la crête qui contourne l'éperon, de sorte que la contre-escarpe se raccorde avec la pente abrupte de la colline. Les noms actuels des lieux-dits ont guidé l'historien dans la reconstitution des lieux. Du côté deScarponne, la colline se nomme la côte de Trême (Tri-mas : troisième maçonnement). Le camp, du midi au nord, y développe ostensiblement ses lignes de fortification jusqu'à la côte de Cuite (Cocta). Alors le camp romain s'élève puis il s'étend vers le couchant jusqu'à la pointe de l'éperon qu'il contourne. De nouveau au midi, du côté de Toul (Tullum), le camp est d'un accès facile, mais il reste inabordable sur les trois autres fronts. Enfin, depuis les confins de Scarponne et plus au sud, c'est la terrasse de Billon (c'est-à-dire, du bois des mines). Elle domine à la gauche de la grande route romaine.

À l'opposé de la côte de Cuite, la côte de Puvenelle se couvre de bois de chênes et de hêtres, dans laquelle est installée, au milieu d'une grande clairière, une forge[28], vraisemblablement temporaire, établie sur un gisement de fer affleurant le sol. Cet endroit est très favorable pour le genre de forges que les Romains emploient. Initialement, le terrain faisait un long repli en forme de gradin entre deux grandes plates-formes. En haut du gradin jaillissait une source abondante (Jonc Fontaine). Il a suffi de creuser ce repli en amphithéâtre comme la moitié d'un cône renversé, et l'on a obtenu une chute d'eau utilisée pour la ventilation de laforge catalane, dont le procédé est couramment employé dans l'empire. Les fouilles réalisées en 1870 dans les monceaux de scorie laissés sur place permettent de penser qu'étaient fabriqués là des outils et objets servant à l'agriculture (fragments de chaînes, fers de mulet). La découverte d'un denier en argent deConstantinIer fixe l'époque de l'activité de cet établissement auIVe siècle.

Époque mérovingienne

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Les habitants du village ensevelissent leurs morts dans un lieu situé au bord du chemin qui remonte la vallée et surplombe les méandres du ruisseau (route deGriscourt ; lieu-ditla Croix des Morts). Les défunts sont déposés en terre, avec leurs bijoux[29] ou une pièce de monnaie (follis duBas-Empire)[30], séparés les uns des autres par des petits murets de pierre sèche. Les tombeaux sont recouverts de grandes dalles de pierre brute maçonnées[31].

Moyen Âge

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Jézainville appartient à la seigneurie dePont-à-Mousson et audiocèse de Toul.

Le village est le siège d'unecommanderie deTempliers[32],[33], dont les biens sont ensuite repris par lesantonistes dePont-à-Mousson. La commanderie contient une chapelle dédiée àsainte Élisabeth. Il y a une partie de la rivière de Rudesse (ruisseau d'Esch) compris dans son enclos. Des jardins potagers et fruitiers entourent la maison[34].

Jézainville aujourd'hui, avec au loin, la butte deMousson, couronnée par les vestiges du château descomtes de Bar.
Borne desAntonistes dans le bois de Cuite.

En 1245,Thiebaut de Bar,comte de Bar et seigneur deMousson, déclare qu'il fonde et établit un hôpital ouMaison-Dieu[35] à Jézainville, pour le salut de son âme et celle de ses père et mère, de son épouse et de ses ancêtres. Il dote l'hôpital des terres nécessaires à la pâture de bestiaux et à la production de la nourriture. Il charge Garnier (ou Varnier), son châtelain deMousson, de la garde de l'établissement.

En 1255, Renaut, fils de Varnier, fait donation de l'hôpital de Jézainville et de la chapelle à l'hôpital de Saint-Antoine de Viennois de Pont-à-Mousson, dont les religieux sont plus simplement dénommésAntonistes.

Le[36]Robert, duc de Bar, accorde aux commandeur et frères de l'hôpital Saint-Antoine de Pont-à-Mousson de pouvoir pêcher par eux-mêmes ou leurs gens, pour leur usage seulement, sans rien vendre, en la rivière de Jézainville, le long des maisons et jardins appartenant audit hôpital de Saint-Antoine et joignant ladite rivière, toutes les fois qu'il leur plaira, à perpétuité.

Temps modernes

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Révolution française et Empire

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Époque contemporaine

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Politique et administration

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Administration municipale

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La commune de Jézainville est administrée par un conseil municipal de quinze membres, présidé par son maire.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Maires avant 1953
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
     
1790 Sébastien Maxé Vigneron
  François Franquet Vigneron
  Jean M.  
  Sébastien Maxé Vigneron
18131814Claude Maxé le jeune Vigneron
18141815Nicolas Franquet Vigneron
1821 Aubin Maxé Arpenteur
  Léopold Aubin Robert Vigneron
  Aubin Maxé Arpenteur
1831 Joseph Husson Propriétaire
 1834Claude Thomas l'aîné Vigneron
18341848Claude Alexandre Vuébat Propriétaire
18481883Joseph Parisot Distillateur
18841906Joseph Thomas dit "Tailly" Vigneron
19061919Paul Parisot Propriétaire
19191928Victor Thomas Propriétaire
19281930M. Portmann  
19301945André Maxé  
19451947Jules Mangin  
19471953Emilien Chalot  
 
19531957Fritz Emmonot  
19571963Benoît Lartillot  
1963mars 2008Hubert DardaineDVD 
mars 2008juillet 2020Gilbert Marchal  
juillet 2020en coursMarc Mouzin[37]  
Les données manquantes sont à compléter.

Situation administrative

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Jézainville fait partie, avec les collectivités d'Atton,Blénod-lès-Pont-à-Mousson,Maidières,Montauville,Morville-sur-Seille,Mousson,Norroy-lès-Pont-à-Mousson,Pont-à-Mousson etPort-sur-Seille, d'une communauté de communes créée par arrêté préfectoral le. La communauté de communes du Pays de Pont-à-Mousson intervient pour l'entretien des voiries, la culture (à Jézainville : bibliothèque communautaire du pressoir), le développement économique, l'accueil des gens du voyage, la gestion d'un système d'information géographique, la collecte et la gestion des ordures ménagères, l'amélioration de l'habitat et les ravalements de façades ; elle gère une piscine communautaire.

Population et société

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Démographie

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Les plus anciennes données datent du début duXVIIIe siècle[23]. Le village a été quasiment déserté pendant laguerre de Trente Ans, au siècle précédent. En 1702, le village compte 56 habitants, 77 en 1710 et 125 en 1773. Depuis laRévolution, les données sont régulières.


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[39].

En 2022, la commune comptait 1 016 habitants[Note 7], en évolution de +7,06 % par rapport à 2016 (Meurthe-et-Moselle : −0,13 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
522606621622641683673673671
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611872187618811886189118961901
639659643688649670667643648
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190619111921192619311936194619541962
728741634653707656684692716
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196819751982199019992004200620092014
773750768806889916942931950
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
20192022-------
9831 016-------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puisInsee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Les historiens s'accordent à décrire une économie essentiellement agricole etviticole auXIXe siècle :

« Surf. territ. 1838 ha dont 150 hect. en terres lab., 100 en prés, 150 en vignes, 250 en bois. L'hectare semé en blé peut rapporter 18 hectol., en orge 22, en seigle 20, en avoine 25 ; planté en vignes 50. Principale culture : la vigne. On y élève surtout des brebis. Deux moulins à grains »[42],[24]

Lemoulin de Jezainville (céréales) est transformé enscierie équipée d'unhaut-fer au début duXXe siècle (bois de menuiserie et bois de calage des tuyaux en fonte pour l'usine dePont-à-Mousson) ; lehaut-fer est démonté en 1977 ; l'activité de la scierie est arrêtée au début duXXIe siècle ; il ne reste qu'une infime partie du moulin d'origine, fortement transformé au fil du temps.

Lemoulin de la papeterie, sur le territoire de Jezainville (céréales,papier puis céréales). Au Moyen Âge, un moulin à grain, construit à l'aval de Jezainville, à l'endroit où le ruisseau se sépare en deux bras à proximité deBlénod-lès-Pont-à-Mousson, appartient aux bénédictins de l'abbaye de Saint-Epvre deToul. Au début duXVIIe siècle, l'université de Pont à Mousson, fondée en 1572, accueille environ deux mille élèves. La consommation de papier étant devenue très importante, tant pour les écritures que pour les thèses (argumentabor) et les impressions, ce moulin est transformé en 1602 ou 1604 en papeterie. En ce début duXVIIe siècle, la ville dePont-à-Mousson compte une douzaine d'imprimeurs. Le, l'université de Pont à Mousson est transférée àNancy. La papeterie continue de fonctionner jusqu'en 1771, puis elle est démantelée et l'établissement redevient un moulin à grains. Aujourd'hui, les vestiges du moulin sont conservés dans le cadre de la réalisation d'un complexe d'activités de plein air et sportives par la municipalité deBlénod-lès-Pont-à-Mousson, sous la dénomination de « centre Michel -Bertelle ».

Secteur primaire ouAgriculture

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Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.

D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[43]), la commune deJezainville était majoritairement orientée[Note 8] sur la production decéréales etd'oléagineux sur une surface agricole utilisée[Note 9] d'environ 325 hectares (au delà de la surface cultivable communale) en légère hausse depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est réduit de 2 à 0 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 2 exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune employant 2 unit() de travail[Note 10].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Édifices civils

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La maison Renaissance.
  • La maison Renaissance derrière la mairie
Par son architecture, elle paraît être la plus ancienne maison du village ayant résisté, avec la maison-haute aux destructions de l'histoire.
  • La maison-haute
La maison haute présente une architecture ancienne. Son implantation à l'écart du village figure déjà sur la carte desNaudin établie auXVIIIe siècle. AuXIXe siècle, la maison-haute est mentionnée comme un hameau, situé à un hectomètre de la dernière maison du village, dans sa partie la plus élevée, à l'ouest. En 1922[44], il compte 26 individus. Dans la seconde moitié duXXe siècle, la maison haute a été intégrée dans le bâti à l'extrémité de la rueJean-Mermoz, qui se termine une centaine de mètres au-delà, à la lisère de la forêt de Puvenelle. Elle conserve son porche en plein cintre, menant dans une cour, et une sculpture en bas relief, située au-dessus d'une porte piétonne ouvrant dans cette même cour.
  • Le petit lavoir
C'est le dernier lavoir subsistant à Jézainville, parmi les trois que comptait le village jusque dans les années 1980. Il est situé à la sortie du village, le long d'un sentier, en retrait de la rue principale menant vers Griscourt.
  • Le pont de pierre et l'ancienne scierie
C'est le pont principal situé au milieu du village, au niveau d'un ancien gué permettant d'accéder au chemin deToul. Il franchit l'Esch et l'ancienbief assurant l'entrainement de la machinerie de la scierie. Cet établissement a fonctionné au début duXIXe siècle et jusqu'en 1977 avec unhaut-fer, actionné par la force de l'eau. La scierie a été en activité, avec un équipement renouvelé fonctionnant à l'énergie électrique, jusque dans les années 1990. Elle avait succédé à un moulin, mentionné sur les cartes duXVIIIe siècle.
Il relie au bout d'une petite rue à la sortie du village, la route principale menant versGriscourt et le chemin deToul, au lieu-ditle Patural. On y trouve la station de mesure de hauteur d'eau et de débit du ruisseau d'Esch.
  • La maison forestière et la source de Jonc Fontaine
  • La maison Renaissance. Détail : fenêtre trilobée et gouttière d'évacuation d'eau.
    La maison Renaissance. Détail : fenêtre trilobée et gouttière d'évacuation d'eau.
  • Le porche du passage de la Maison Haute.
    Le porche du passage de la Maison Haute.
  • Le petit lavoir.
    Le petit lavoir.
  • L'ancienne scierie et le pont sur l'Esch.
    L'ancienne scierie et le pont sur l'Esch.
  • Le pont des Patureaux et la station hydraulique.
    Le pont des Patureaux et la station hydraulique.
Elle démarre de l'église et se dirige versGriscourt.Saint Aubin est le saint patron de la paroisse de Jézainville. Il est fêté le1er mars. Traditionnellement et jusqu'au début duXIXe siècle, les habitants du village faisaient bénir le vin par le curé de la paroisse ce jour-là[45]. Cette tradition en rappelle une autre attachée à l'histoire de l'abbaye Saint-Èvre deToul (Jézainville a longtemps dépendu de l'évêché deToul). On y célébrait, le1er mars, la fête desaint Albaud, son huitième évêque. Ce jour-là, on exposait ses reliques à la vénération du peuple, et on lui distribuait du vin béni, qu'on appelait le vinage deSaint Albaud[46].
  • La rue du Ruisseau
Elle tient son nom, non pas du ruisseau d'Esch, mais du ruissellement permanent qui s'y écoulait jusqu'au milieu duXIXe siècle, lorsque a été installé le réseau d'assainissement qui l'a capté. Les eaux descendaient depuis la vau du rucher, en lisière du bois de Puvenelle, vers la vallée de l'Esch.
Sondage de Jézainville : l'équipe de sondage (1905).
Les courses de Jezainville (1906).
  • La rue de la Cour
Elle tient son nom d'une ancienne justice foncière dont le siège se trouvait au village de Jézainville, appelée la Cour en Haye (ou Heys). Les propriétés qui étaient de son ressort, situées à Jézainville mais aussi dans d'autres villages environnants, constituaient également un fief. Ce fief est passé dans de nombreuses mains, dont celles des seigneurs d'Apremont (village situé en Meuse). Elle commence en face de l'église, entre la rue du Moulin et la rueSaint-Aubin.
  • La rue du Moulin
Elle est située entre l'église et le pont de la scierie (ancien moulin).
  • La rue du Saule
Elle suit le ruisseau d'Esch et prend le nom de sa végétation emblématique.
Jusque dans la première moitié duXIXe siècle, la rueJean-Mermoz s'appelait rue Chavetrée (ou Chavetrie). Ce mot est une déformation de "savetrie". À une époque reculée devait s'y tenir lesavetier du village.
Sentier à flanc de coteau du sud au nord, parallèle à la route venant deGriscourt poursuivant ensuite versBlénod-lès-Pont-à-Mousson. Il passe au-dessus du village, mais en dessous de la maison-haute. Il rejoint la rueJean-Mermoz, se confond avec elle sur une quinzaine de mètres puis « emprunte » la rue du ruisseau, qu'il quitte après deux virages successifs pour reprendre son nom et la direction du nord. Il tient sa dénomination de l'époque où lesPays-Bas étaient sous domination espagnole, auxXVIe et XVIIe siècles. Lechemin d'Espagne oucamino español[47],[48] était une route militaire permettant d'assurer l'envoi et la réception des ordres, des nouvelles, des armes, des troupes et de l'argent, le plus rapidement possible et en toute sécurité entre la capitale espagnole et ses possessions à l'est et au nord de la France (Franche-Comté etPays-Bas).
  • Le chemin de la mine
Au début de la grande rue en venant deBlénod-lès-Pont-à-Mousson, la rue de Pierre-Fontaine, sur la droite, monte vers la forêt. Après les dernières maisons, elle se transforme en un sentier, dit « chemin de la mine ». Cette dénomination date du début duXXe siècle alors que les ingénieurs des mines recherchent le prolongement du bassin houiller deSarrebruck vers le sud-ouest, espérant retrouver des ressources minières à la suite de l'annexion du bassin houiller de laSarre mosellane par laPrusse en 1870. En 1905, une quinzaine de sondages sont en cours[49], dont trois dans la vallée de l'Esch : Jézainville (no 12), Greney,Martincourt. À Jézainville, lacompagnie de Mokta-el-Hadid[50],[Note 11], créée par le groupe financierTalabot et l'ingénieur des minesAlphonse Parran[51] en 1854, effectue son forage à plus de 1 000 mètres de profondeur et atteint alors la couche de houille : d'abord deux veines de 0,20 et 0,30 mètre vers 1 000 mètres puis 0,60 mètre à 1 037 mètres[52]. Elle poursuit le sondage jusqu'à 1 200 mètres puis abandonne. La découverte est sans intérêt pour l'exploitation.

Édifices religieux

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L'église Saint-Aubin.
  • L'église.
    L'église.
  • Presbytère : le père éternel.
    Presbytère : le père éternel.
  • Calvaire du chemin de Verzelle.
    Calvaire du chemin de Verzelle.
  • La croix d'Auoué.
    La croix d'Auoué.
  • Détail de la croix d'Auoué.
    Détail de la croix d'Auoué.
  • La croix des morts.
    La croix des morts.
  • Vierge à l'Enfant sur la côte de Cuite.
    Vierge à l'Enfant sur la côte de Cuite.

Patrimoine naturel

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  • Le saut du Dragon
Sur la route deGriscourt, après la croix des morts et le centre équestre, la route amorce des virages serrés. Elle offre une vue plongeante vers les prairies qui s'étendent de part et d'autre du ruisseau. Les anciens du village nomment cet endroit le saut du Dragon en souvenir des entraînements que réalisaient à la fin duXIXe siècle et au début duXXe siècle les militaires du12e régiment de dragons, stationnés à la caserne Duroc de Pont-à-Mousson[53], et surtout des manifestations qui s'y tenaient sous le nom de "courses de Jézainville".
  • La pelouse calcaire des Pontances (site Natura 2000 de la vallée de l'Esch[54])

Les panneaux d'informations se situent sur le chemin deDieulouard. Le site surplombe également la vallée de l'Esch, sensiblement en face du saut du Dragon, d'où l'on peut en observer le panorama.

Jézainville s'inscrit dans la partie ouest duparc naturel régional de Lorraine, lequel fédère 200 communes environ.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique, logotype et devise

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Blason de JezainvilleBlason
D'argent à la croix de gueules, cantonné de quatre Taus de sable et chargé en abîme d'un livre ouvert d'argent.
Détails
La croix rouge et les Taus, ou croix de Saint Antoine, rappellent qu'il y avait à Jézainville un hôpital fondé en 1245 par les antonistes de Pont-à-Mousson. Le livre indique que les papeteries de Jézainville travaillaient pour l'université, installée dans cette même ville de 1572 à 1769.

Voir aussi

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • G. Hamm, Carte Archéologique de la Gaule. 54. La Meurthe-et-Moselle, Paris, 2005.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes

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  1. Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 21/05/2024 à 02:05 TU à partir des 639 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/09/1969 au 01/04/2024.
  2. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  3. Les records sont établis sur la période du au.
  4. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  5. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Pont-à-Mousson comprend une ville-centre et cinq communes de banlieue.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  8. Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
  9. Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
  10. Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.
  11. Mokta-el-Hadid : mine de fer magnétique située enAlgérie, aux environs du port deBône (aujourd'hui,Annaba).

Cartes

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  1. « Réseau hydrographique de Jezainville » surGéoportail(consulté le 4 juin 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », surqualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/(consulté le).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).

Références

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  1. « Meurthe-et-Moselle », surhabitants.fr(consulté le).
  2. « Fiche Ma Commune - SIGES Rhin-Meuse - ©2019 », sursigesrm.brgm.fr(consulté le).
  3. « Fiche communale de Jezainville », surle système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse(consulté le).
  4. Sandre, « l'Esch »
  5. « Station hydrométrique L'Esch à Jezainville », surl'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires,(consulté le).
  6. « SAGE Rupt de Mad, Esch, Trey », surgesteau.fr(consulté le).
  7. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155).
  8. Vincent Dubreuil, « Le changement climatique en France illustré par la classification de Köppen »,La Météorologie,no 116,‎(DOI 10.37053/lameteorologie-2022-0012).
  9. « Le climat en France hexagonale et Corse. », surmeteofrance.com(consulté le).
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le).
  11. « Réglementation environnementale RE2020 », surecologie.gouv.fr,(consulté le).
  12. « Répartition des départements par zone climatique »[PDF], surecologie.gouv.fr(consulté le)
  13. « Orthodromie entre Jezainville et Nonsard-Lamarche », surfr.distance.to(consulté le).
  14. « Station Météo-France « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche - fiche climatologique - période 1991-2020. », surobject.files.data.gouv.fr/meteofrance/(consulté le).
  15. « Station Météo-France « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  16. « La grille communale de densité », surle site de l'Insee,(consulté le).
  17. « Unité urbaine 2020 de Pont-à-Mousson », surle site de l'Insee(consulté le).
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  19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nancy », surle site de l'Insee(consulté le).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surle site de l'Insee,(consulté le).
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  22. Toponymie générale de la France. Étymologie de 35 000 noms de lieux. Volume II. Ernest Nègre. Librairie DROZ. 1991.
  23. a etbLe Département de la Meurthe. Statistique historique et administrative - Henry LEPAGE - 1843
  24. a etbE. Grosse,Dictionnaire statistique du departement de la meurthe : contenant une introduction historique..., Nabu Press (réimpr. 2012) (1re éd. 1836)(ISBN 1278248951 et9781278248950,OCLC 936241814,lire en ligne).
  25. Maillet, Claude de.,Memoires alphabetiques pour servir à l'histoire, au pouillié, et à la description générale du Barrois : contenant les noms des villes, bourgs, villages, censes & hameaux de tout ce duché, leurs diocèses, l'Office, le Bureau de recette... et les traits d'histoire les plus interessans & les plus curieux, Chez R. Briflot,(OCLC 887847203,lire en ligne).
  26. Civitas Leucorum sive Pagus Tullensis, aujourd’hui le diocèse de Toul, pour servir à l'histoire de ce Diocèse. Par Guillaume de l'Isle. À Amsterdam, chez J. Covens et C. Mortier. 1742
  27. Les marches de l'Ardenne et des Woëpvres, seconde partie. Marches barro-woëpvriennes. Nancy. Imprimerie de veuve Raybois et comp. 1854. Par Jean François Louis Jeantin, p. 288.
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  29. Bulletin monumental, Volume 96. Société française d'archéologie - 1937
  30. Revue des questions historiques, volumes 131 à 132, Gaston Louis Emmanuel Du Fresne Beaucourt (marquis de), Jean Guiraud - 1938.
  31. Édouard Salin,La Civilisation mérovingienne d'après les sépultures, Paris, A. et J. Picard, 1952.
  32. Pouillé de Toul de 1402
  33. La Cathédrale de Toul. Pierre Étienne Guillaume p. 303 et suivantes.
  34. Les Communes de la Meurthe. Henri Lepage. 1853.
  35. Archives de Meurthe-et-Moselle. H 1646-1255
  36. Annales historiques du Barrois de 1352 à 1411 ou Histoire politique, civile, militaire et ecclésiastique du duché de Bar sous le règne de Robert, duc de Bar. Par Victor Servais, chez Contant-Laguerre-Editeur, Bar-le-Duc, 1867. Page 155.
  37. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », surle portail des données publiques de l'État(consulté le).
  38. L'organisation du recensement, surinsee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, surinsee.fr.
  40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  41. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
  42. Henri Lepage,Le département de la Meurthe. Deuxième partie : statistique historique et administrative,(lire en ligne),p. 266.
  43. « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », suragreste.agriculture.gouv.fr(consulté le) :« Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 -http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
  44. MICHEL,Statistique administrative et historique du département de la Meurthe, 1822
  45. Histoire des diocèses de Toul, de Nancy et de Saint-Dié. Eugène MARTIN. Ed. Crépin-Leblond. 1900
  46. Histoire de la ville de Toul et de ses évêques. Volume 1. D. Thiery. Imprimerie Veuve Bastien à Toul. 1841
  47. El ejercito de Flandes y el camino español. 1567-1609. Geoffrey PARKER.
  48. LaFranche-Comté espagnole. À travers les archives de Simancas, une autre histoire des Francs-Comtois et leurs relations avec l'Espagne, de 1493 à 1678. François PERNOT. Presses universitaires deFranche-Comté. 2003
  49. Le Travail à l'époque contemporaine. Dominique BARJOT. Comité des travaux historiques et scientifiques. Éditions du CTHS. 2005
  50. Mois scientifique et industriel, Volume 8
  51. Biographie par R. Samuel Lajeunesse, publiée en 1948 dans "Grands Mineurs Français", Dunod.
  52. Comptes rendus mensuels des réunions de la Société de l'industrie minérale. Saint-Etienne. 1906
  53. « Le manège de la caserne Duroc », noticeno PA00106332, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mérimée,ministère français de la Culture.
  54. Le site Natura 2000 de la vallée de l'Esch
v ·m
Partie ouest :
côtes de Meuse,
plaine deWoëvre,
étangs etforêt de la Reine,
vallées de l'Esch
et duRupt de Mad
Partie est :
Pays des étangs
etSaulnois.
v ·m
Communes deMeurthe-et-Moselle de 500 à 2 000 hab.
Plus de 1 900 habitantsBlason de la Meurthe-et-Moselle
Plus de 1 800 habitants
  • Aucun
Plus de 1 700 habitants
Plus de 1 600 habitants
Plus de 1 500 habitants
Plus de 1 400 habitants
Plus de 1 300 habitants
Plus de 1 200 habitants
Plus de 1 100 habitants
Plus de 1 000 habitants
Plus de 900 habitants
Plus de 800 habitants
Plus de 700 habitants
Plus de 600 habitants
Plus de 500 habitants
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