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Jean Richepin

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Pour les articles homonymes, voirRichepin.

Jean Richepin
Portrait photographique de Richepin par l’atelier Nadar.
Fonctions
Maire de Montchauvet
-
Fauteuil 2 de l'Académie française
-
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Nom de naissance
Auguste-Jules RichepinVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Enfants
Autres informations
Membre de
Conflit
Condamné pour
Outrage aux bonnes mœurs(d)()Voir et modifier les données sur Wikidata
Distinctions
Œuvres principales
signature de Jean Richepin
Signature de Richepin.

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Auguste-Jules Richepin, ditJean Richepin, né le àMédéa[1],[2] et mort le dans le16e arrondissement de Paris[3], est unpoète,romancier etdramaturgefrançais.

Biographie

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Jean-Désiré Ringel d'Illzach,Jean Richepin (1892).

Né le en Algérie où son père est chirurgien militaire à la garnison deMédéa[4], Jean Richepin part vivre enPicardie en 1852 à l'âge de trois ans, àOhis[5] enThiérache, dans l'Aisne, département dont son père est originaire[note 1]. Dans sa jeunesse, ce poète turbulent a une réputation de « fort en thème[8] » qui lui permet de faire de brillantes études secondaires d'abord au lycée deDouai, puis aulycée Charlemagne àParis[5]. En 1866, il découvre lequartier latin, où il se lie d'amitié avecJules Vallès, et se fait très vite remarquer par ses excentricités. Il fait la connaissance deLéon Bloy,Paul Bourget,Maurice Rollinat et, surtout, deRaoul Ponchon qui deviendra son ami inséparable. Il intègre l'École normale supérieure[2] en 1868, avant d'obtenir unelicence ès lettres[2] en 1870.

Avec laguerre de 1870, il prend goût à l'aventure en s'engageant dans un corps defrancs-tireurs[2] et, faisant alors l'expérience de la liberté, il mène pendant quatre ans une vie d'errance, gagnant sa vie en s'engageant successivement comme journaliste, professeur, matelot, docker à Naples, Gênes[9]:340, et à Bordeaux[10].

Dans ces années 1871-1872, au cœur de la bohème parisienne, Richepin croiseArthur Rimbaud. Selon son propre récit, il l'aurait séparé du photographeÉtienne Carjat lors d'une rixe au cours d'un des dîners desVilains Bonshommes. Il évoque Rimbaud dans son texteGrisaille (dansLe Pavé). Il semble avoir été par la suite un des – rares – amis de Rimbaud, lequel lui offrira un exemplaire d’Une saison en enfer[11].

Par la suite, en 1875, il fonde avec Raoul Ponchon etMaurice Bouchor leGroupe des Vivants, petit cénacle poétique[12] qui se réunissait au Quartier latin et auquel viendra se rallier, plus tard, le poèteTancrède Martel. Fortement inspiré par les œuvres dePetrus Borel,Baudelaire etJules Vallès, qu'il considérait comme le réfractaire par excellence, il se décide à rejeter le joug des conventions sociales et culturelles, à célébrer l’instinct[13]. Vantant, non sans humour, sa force physique, sa virilité, sa prétendue hérédité bohémienne, il se crée une biographie imaginaire et riche en couleurs[14].

Les succès poétiques

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Jean Richepin chez lui photographié parDornac.

En 1876, le public découvre Jean Richepin avecLa Chanson des gueux, parue fin mai-début juin et qui vaut immédiatement (juillet-août) à son auteur un procès pour outrage aux bonnes mœurs[9] : le recueil poétique est saisi, des passages et des poèmes sont censurés et le poète est condamné à une amende, à la privation de ses droits civils et politiques et même à un mois de prison àSainte-Pélagie, ce qui va contribuer à sa notoriété[15]. Le recueil est republié en 1881 sous une forme très différente dite « définitive » chez Dreyfous, mais il y aura bien d'autres éditions jusqu'à aujourd'hui, dont une « nouvelle édition » à partir de 1890-1891 à la Bibliothèque-Charpentier et une édition d'art dite « intégrale » en 1910 chez Édouard Pelletan (illustrations deSteinlen)[16].

Jean Richepin abordera sa mésaventure carcérale avec humour en remplaçant dès 1881 deux passages censurés par des vers ironiques : « Ici deux gueux s'aimaient jusqu'à la pâmoison, / Et cela m'a valu trente jours de prison » dans le poème « Idylle de pauvres » ; « Mais faut croir' que ça doit pas s'dire, / Puisque, pour s'êt' fait mon écho, / On l'a fourré dans la tir'lire / Avec les pègres d' Pélago » dans le poème « Voyou ».

L'apparition dunaturalisme lui fait découvrir, après sa libération, de nouveaux horizons, mais si, dans sesCaresses (1877), il emploie un langage cru, argotique, populaire, l'étalage de sensualité affectée, souvent grotesque ou vulgaire, laisse trop facilement transparaître son désir de scandaliser la bourgeoisie, ce qui vaut au recueil d'être considéré comme manquant de sincérité poétique. Le matérialisme grandiloquent et le nihilisme fanfaron desBlasphèmes (1884) lui valent le surnom de « Lucrèce de foire[17] ».

En 1890 il se rend en Savoie àAix-les-Bains et aubelvédère de la Chambotte.

L'infatigable

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Dès 1873, il avait fait avecL'Étoile des débuts simultanés d'acteur et de dramaturge. Il paraît encore en 1883 aux côtés deSarah Bernhardt dans le premier rôle de son drame,Nana-Sahib, qui se heurte à une semi-indifférence du public[18]. Mais, à force de persévérance, il connaît un véritable succès théâtral avecLe Chemineau en 1897. Il collabore de plus activement auGil Blas et publie plusieurs romans très populaires, telsLa Glu (1881) etMiarka, la fille à l'ourse (1883). Voyageur invétéré, on le voit souvent à Londres, ou parcourant des contrées plus ou moins éloignées, l'Italie, l'Espagne, l'Allemagne, la Scandinavie, l'Afrique du Nord, où il ne cherche pas plus à rencontrer des personnalités littéraires que des espaces « exotiques », le grand air, lenouveau enfin.

Reconnaissance

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Théophile Alexandre Steinlen,Portrait de Jean Richepin (1910).

Le, son élection, en remplacement d’André Theuriet, à l'Académie française[2], où il est reçu parMaurice Barrès le, consacre en quelque sorte une carrière de révolté que les honneurs ont rendu inoffensif[19].

Jean Richepin écrit jusqu'à la fin de sa vie. Il collabore àLa Bonne Chanson, revue du foyer, littéraire et musicale, dirigée parThéodore Botrel, et on voit paraître en 1922 et 1923 encore deux recueils de vers,Les Glas etInterludes.

Il s'était tout d'abord imposé par une remarquable truculence verbale. Il était d'un caractère violent, exalté et romantique, d'un romantisme dont il ne retint que la « parure », le pittoresque et surtout la recherche de mots nouveaux. C'était là ce que l'on pourrait appeler le « domaine » de Richepin, maître incontestable de son métier poétique et fort de sa culture de normalien lettré. Mais, victime de sa prodigieuse facilité à trouver des mots et des images, ce révolté est surtout considéré de nos jours comme un « très grand rhétoricien[20] ».

Il habita le château des Trois-Fontaines àMontchauvet[21], et fut élu maire de cette commune le, mais ne sera pas réélu le.

Lors desélections législatives de 1914, Richepin est le candidat de l'Alliance démocratique et de laFédération des gauches[22] dans la première circonscription deVervins[23]. Au terme d'une campagne très rude[24],[25], il obtient 6 583 voix mais ne parvient pas à mettre en ballotage le députéradical-socialiste sortant,Pascal Ceccaldi, réélu au premier tour de scrutin avec 7 718 suffrages[22].

Uneplaque commémorative lui rend hommage au 85,rue de la Tour sur la façade de l’immeuble où il est mort[26].

Jean Richepin est enterré àPléneuf-Val-André, où il venait souvent passer des vacances dites « bretonnes » avecRaoul Ponchon, qui reposera à ses côtés en 1937[27],[28].

Postérité

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Jean Richepin et ses enfants vers 1890.

Le, il avait épousé en premières noces à Marseille Eugénie Adèle Constant (née le à Manosque), dont il a eu deux fils et une fille :

  • Jacques Richepin (1880-1946), poète, auteur de chansons et directeur de théâtre, époux de la comédienneCora Laparcerie,
  • François-Denis Richepin, ditTiarko Richepin (1884-1973), compositeur d'opérettes[29].
  • Sacha Richepin (née en 1892, et morte le à Paris, à 14 ans)

Divorcé, il a épousé en secondes noces, le à la mairie duVe arrondissement de Paris, Marianne Emanuele Justine Stempowska (née le à Lamberg, en Autriche et morte en 1953).

Distinctions

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Hommages

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Plaque commémorative au 85,rue de la Tour.

Réception critique

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DeLa Chanson des Gueux (première édition de mai 1876 avant la censure de juillet-août) :

« Dans ses couplets chantés, M. Jean Richepinpatoise, supprime, en les remplaçant par des apostrophes, les syllabes muettes qui ralentiraient le mouvement ; ainsi faisait M. Scribe en ses vaudevilles. Il fait dire à ses Gueux de Paris des mots d’argot d’une couleur amusante et farouche ; ainsi faisait le bon Villon ; ainsi a fait Eugène Sue en ses romans, après que Victor Hugo l’avait fait déjà dansLe dernier jour d’un condamné, et tout est éternellement nouveau sous le soleil. Enfin le poëte deLa Chanson des Gueux a pitié de tout ce qui souffre, de tout ce qui a faim, de tout ce qui a froid ; il est l’ami des mendiants, des déshérités, des gueux sans coiffe et sans semelle, de la fille du peuple qui va à son ouvrage, transie et pâle, de la petite guitariste à la voix grêle, et même du pauvre chien errant ; il n’y a là encore aucune nouveauté, et tout vrai poëte est cela,qu’il le veuille ou non. »

— Théodore de Banville, Le National (29 mai 1876)

« En réalité, vous vous foutez de tout, excepté de deux choses : jouir le plus possible et faire du bruit dans le monde. Vous êtes naturellement un cabotin, comme d'autres sont naturellement des magnanimes et des héros. Vous avez ça dans le sang. Votre rôle est d'épater le bourgeois. L'applaudissement, l'ignoble claque du public imbécile, voilà le pain quotidien qu'il faut à votre âme fière. »

— Léon Bloy, Lettre à Jean Richepin (1877)

Selon la formule du même Léon Bloy, Richepin était la« chrysalide du bourgeois vertueux[30] ».

Œuvres

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Poésie

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  • La Chanson des gueux (1876), Librairie Illustrée (Georges Decaux), reproduction de l'édition avant censure parDenis Delaplace. L'édition Hachette Livres & BnF de 2012 reproduit la deuxième édition de 1876 après la censure de juillet-août 1876 (sans les textes et passages censurés).
  • La Chanson des gueux (1876)Réédition partielle :La Chanson des gueux, choix et présentation parMarcel Paquet,Éditions de la Différence, coll. « Orphée », Paris, 1990.
  • Les Caresses (1877)
  • La Chanson des gueux (1881), édition dite "définitive" chez Dreyfous (avec suppression des passages et pièces censurés, mais ajout de nouvelles strophes et de nouvelles pièces, ainsi que d'une préface et d'un "Glossaire argotique").
  • La Chanson des gueux, pièces supprimées, éditionsHenry Kistemaeckers, Bruxelles, 1881
  • Les Blasphèmes (1884)
  • La Mer (1886)
  • Les Litanies de la mer (1894), illustré parHenri Caruchet
  • Mes Paradis (1894)
  • La Bombarde (1899)
  • Poèmes durant la guerre (1914-1918) (1919)
  • Allons enfants de la patrie[31] (1920)
  • Les Glas (1922)
  • Interludes (1923)
  • Choix de poésies (1926), Eugène Fasquelle éditeur; 11, rue de Grenelle.
  • Les Petits Gagne-pain parisiens (1927)

Romans

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  • Madame André (1878)
  • La Glu (1881), réédition en 2010 chez José Corti
  • Quatre petits romans (1882)
  • Miarka la fille à l'ours (1883)
  • Braves Gens (1886)
  • Césarine (1888)
  • Le Cadet (1890)
  • L'Aimé (1893)
  • Flamboche (1895)
  • Lagibasse (1900)
  • L'Aile (1911)

Récits, contes et nouvelles tragi-comiques

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  • Les Morts bizarres (1877)Réédition : 1980, 2009 chez L'Arbre Vengeur.
  • Le Pavé, croquis parisiens (1883)
  • Truandailles (1890)Réédition en 2012 chez Le Vampire Actif Éditions.
  • Cauchemars (1892)
  • La Miseloque (1893)
  • Sophie Monnier, maîtresse deMirabeau, coll. « Les grandes amoureuses », C. Marpon et E. Flammarion - Paris, 1896Étude historique sur Sophie de Ruffey, marquise de Monnier.
  • Contes de la décadence romaine (1898)Réédition Séguier, « Bibliothèque Décadente », 1994(ISBN 2-84049-023-4).
  • Paysages et coin de rue (1900)
  • Contes espagnols (1901)
  • Prose de guerre (1915)
  • La Clique (1917)
  • Le Coin des fous, Histoires horribles (1921)Réédition : 1996.
  • Contes sans morale (1922)

Théâtre et spectacles

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Préface

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  • Le Calepin d'Amour de la Brinvilliers, de Paul Olivier, Paris Librairie Molière.

Scénario original

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Adaptations

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Cinéma

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Musique classique

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Chanson

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  • Georges Brassens a mis en musique et interprété deux textes de Jean Richepin,Les Oiseaux de passage (album de 1969 ; le titre original du poème estOiseaux de passage) etLes Philistins (album de 1957 ; le titre original du poème estChanson des cloches de baptême).
  • Jean-Michel Piton a mis en musique 24 titres deLa Chanson des gueux en 1991, présentés dans un tour de chant,De l'hiver à l'hiver.
  • Jean-Guy Barkan a sorti en 1976 un album de 10 titres deLa Chanson des gueux chez RCA ; il a aussi produit pour FR3 une dramatique de 52 min sur le sujet, avec Jean-Marie Koltès, Nicole Mouton, Pierre Blondé et lui-même. En 1977, il est le producteur d'un opéra rock de 1 h 30 avec la moitié du philharmonique de Lorraine, 30 figurants et dans les rôles Alain Bert, Michelle Bernard, Michel Grange et lui-même.
  • Rémo Gary a mis en chanson de nombreux textes de Jean Richepin auquel il consacre un disque entier intituléDans la rade des lits ; notamment il interprète dans son intégralité le poèmeLes Oiseaux de passage (Même pas foutus d'être heureux, 2007, second disque de son double CD-livre). Il avait dans un précédent album intituléLe Petit Matin (2005) interprété un autre texte de Richepin,Les Trois Matelots de Groix.
  • Patrice Pertuit a mis en chanson le texte du poème de laMort de l'automne.
  • Eric Mie a mis en musique et interprété deux poèmes de Richepin : "Nativité" et "Le vin triste".

Varia

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  • Le livre audioLes Morts bizarres paraît en 2011 aux éditions Des oreilles pour lire, avec la voix du comédien Bertrand Suarez-Pazos.

Notes et références

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Notes

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  1. Auguste-Jules Richepin, officier de laLégion d'honneur, est né àOhis le[6]. Sa mère, Rose-Pauline Béchepoix, est née àCrécy-Couvé le et morte àLa Fère le[7].

Références

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  1. Base Léonore
  2. abcd eteD'après la notice de« Jean Richepin – Élu en 1908 au fauteuil 2 », surAcadémie française.
  3. Acte de décès (avec date et lieu de naissance) à Paris16e, n° 2238, vue 25/31.
  4. Sutton 1961,p. 21.
  5. a etb« Histoire », surLe Nouvion-en-Thiérache(consulté le)
  6. Arch. dép. Aisne, état civil d'Ohis, 1816, acte 23, vue 92
  7. G. Gillard, « Jean Richepin et ses ascendants maternels »,Procès-verbaux de la Société archéologique d'Eure-et-Loir, Chartres, imprimerie Ed. Garnier,vol. xiii,‎,p. 4(lire en ligne surGallica, consulté le).
  8. Jules Lemaître,« Jean Richepin », dansLes Contemporains : études et portraits littéraires, Paris, Good Press,, 291 p.(lire en ligne),p. 224.
  9. a etb(en) Sisley Huddleston,Bohemian, Literary and Social Life in Paris, Londres, Harrap,(lire en ligne),p. 408-9.
  10. Sutton 1961,p. 52.
  11. Voir l'article Jean Richepin dans leDictionnaire Rimbaud, dir. Jean-Baptiste Baronian, Robert Laffont/Bouquins, 2014. Voir également la biographie de Rimbaud par Jean-Jacques Lefrère, rééd. Bouquins, 2020 et Steve Murphy, « Richepin lecteur de Vallès », préface à la réédition desÉtapes d'un réfractaire, Champ Vallon, 1993.
  12. Jean-Didier Wagneur, « Hydropathes et buveurs d'eau »,Libération,‎(lire en ligne).
  13. Jean Richepin,Le Chef-d’œuvre du crime, Paris, République des Lettres,, 64 p.(ISBN 978-2-82490-137-4,OCLC 1268630761,lire en ligne), PT38.
  14. (en) Mary Burke,'Tinkers' : Synge and the Cultural History of the Irish Traveller, Oxford, OUP Oxford,, 329 p.(ISBN 978-0-19956-646-4,lire en ligne),p. 102.
  15. Denis Delaplace,La Chanson des Gueux de Jean Richepin, première édition de 1876 avant la censure, par Denis Delaplace, e-book Kindle-Amazon, 2020, 570 p.
  16. Denis Delaplace,150 ans d’éditions de la Chanson des Gueux de Jean Richepin, e-book Kindle-Amazon,, 108 p.
  17. Robert Sabatier,Histoire de la poésie française : Poésie duXIXe siècle,t. 2 La Naissance de la poésie moderne, Paris, Albin Michel,, 656 p.(ISBN 978-2-22629-895-9,lire en ligne),p. 579.
  18. Voir(en) anon., « La Glu: Richepin lived this terrible romance at Le Croisic »,Spirit of the Times,‎ cité par Sutton,op. cit.,p. 64.
  19. Steve Murphy (éd.),Les étapes d’un réfractaire : Jules Vallès, Paris, Champ Vallon,, 200 p.(ISBN 978-2-87673-156-1,lire en ligne),p. 17.
  20. Catulle Mendès,Le Mouvement poétique français de 1867 à 1900 : l’esprit poétique de France, Paris, Impr. nat.,(lire en ligne),p. 248.
  21. « Dans le Monde des Lettres »,L’Opinion,vol. 1,no 2,‎,p. 5(lire en ligne, consulté le)
  22. a etbHenry Cossira, « M. Pascal Ceccaldi triomphe deM. Jean Richepin »,Excelsior, 27 avril 1914,p. 3.
  23. Journal des débats, 14 avril 1914,p. 4.
  24. Journal des débats, 15 avril 1914,p. 5.
  25. Journal des débats, 27 avril 1914,p. 6.
  26. Jacques Hillairet,Dictionnaire historique des rues de Paris,Les Éditions de minuit, septième édition, 1963,t. 2 (« L-Z »), « Rue de la Tour »,p. 563-564.
  27. Ensemble funéraire de Jean Richepin et Raoul Ponchon (Pléneuf-Val-André).
  28. France Culture -Raoul Ponchon (1848-1937), Le veau réchauffé est meilleur froid- 26/10/2019.
  29. (en) Sue Lloyd et Susan M. Lloyd,The Man who was Cyrano : A Life of Edmond Rostand, Creator of Cyrano de Bergerac, Paris, Unlimited Publishing LLC,, 376 p.(ISBN 978-1-58832-072-8,lire en ligne),p. 314.
  30. Léon Bloy,Propos d'un entrepreneur de démolitions, cité parPierre Glaudes, « Ni Dieu, ni Diable : La figure de Jules Vallès dans la politique délirante de Léon Bloy »,AJV,no 3,‎,p. 32.
  31. Texte en ligne.

Bibliographie

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Liens externes

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Jean Richepin
1908-1926
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Par date
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Composition de l'Académie française au jour de sa mort(12 décembre 1926)
Par numéro
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