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Naissance | Quimperlé |
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Nom de naissance | Jean-Yves Simon |
Nationalité | |
Activité | peintre, écrivain, voyageur |
Jean-Yves Simon, né enBretagne en 1961, est un peintre, écrivain et voyageur français.
Il passe son enfance enbanlieue parisienne. Son père, Robert Simon, dentiste, l'initie tout petit au dessin et à la peinture. Sa mère, Anne-Marie Simon, est orthophoniste. Éveillé aux arts dès l'enfance par ses parents et lecteur précoce deJules Verne[1], il prend goût au voyage lors d'un séjour familial en Algérie lors de ses treize ans.
Il fait ses études au lycée Lakanal deSceaux, passe sa terminale et son bac à Londres, puis intègre l'école des Beaux-Arts de Paris avant d'entrer, un an plus tard, à l'Idhec. Durant ses années d'étude, il écrit son premier roman, publié en 1984 sous le titreLes Passions impatientes (Editions La Découverte).
Simon voyage en Europe :Pologne,Portugal etItalie. Il ramène son premier carnet de voyage deRome en 1986[1]. Il rentre en France et s'installe quelques années àSoissons tout en continuant ses voyages, notamment auSahara avec Lakhdar Khellaoui, unTargui deDjanet (Algérie)[2]. Il part ensuite six mois en Inde du Sud, visitantMadras,Hampi,Pondichéry,Trivandrum etCochin[3].
Philippe Montillier, photographe et éditeur de la Boussole, publieAu Corps de l'Inde (Editions de la Boussole) en 1999. Avec d'autres carnettistes, Simon fonde l'association Les carnettistes tribulants, un collectif d’artistes qui publie des livres sur la banlieue, l'amour, la vieillesse, laChine, les paysannes[réf. nécessaire]. Il expose, enseigne, publie ses carnets et deux livres avec son ami le poète Patrick Dufossé. Ses carnets sont loués dans les médias[4][source insuffisante] et il est l'invité de radios[5] etFrance Info[6].
Pendant ces années, il découvre la Chine « réelle, pas celle des médias »[7]. En 2009, il expose une série de grands portraits-sculptures,Têtes à têtes, consacrés aux « personnes qui m’ont fait, formé et transformé.Cette exposition sera montrée à Cachan, àSeptmonts et au Musée d’art sacré de lacathédrale d'Évry[réf. nécessaire].
Il obtient, avec Lakhdar Khellaoui, le grand prix Michelin du carnet de voyage àClermont-Ferrand pourSahara, marche avec moi[8][source insuffisante].
En 2012, il quitte en famille la banlieue parisienne pourPékin. Tandis que sa femme multiplie les projets culturels avec les Chinois et les Français, il se consacre entièrement à la peinture dans son atelier pékinois[7]. Une vie à Pékin qu'il relatera dansLe Principe de Brume,reste une « Aventure avec un grand A »[Interprétation personnelle ?]. Avec l'aide de sa femme et de quelques collectionneurs, il est invité à plusieurs reprises à participer à des voyages de peintres chinois[9]. L'aventure chinoise se termine avec la publication deVoyages d'encre (Editions Akinomé, 2015), qui obtient le grand prix du carnet de voyage à Clermont-Ferrand (2015)[10] et le prix Pierre-Loti (2016)[11].
En 2016, de retour en France où il se consacre à l'écriture :Amours de Chine (roman) (éditions Akinomé, 2016) succède àVoyages d’encre. À la suite de plusieurs voyages auCambodge, il rédige un roman,L'hypothèse du baiser (qui a pour toile de fondAngkor),Où cours-tu, Phany ? (un album pour enfants) (éditions Akinomé, 2018) etAngkor, le sourire du temps (éditions Akinomé, 2018), un carnet de voyage écologique. Il se consacre désormais aussi aux publications pour la jeunesse, avecLe petit arbre voyageur (éditions Akinomé, 2017),Le petit loup qui a peur de tout etZiglou, la petite otarie (éditions Akinomé, 2019). En 2020, il publie le carnet de voyage de son confinement, hommage au jardin potager :Apologie de l’Arrosoir (éditions Akinomé).