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| Jean-Marie Bockel | |
Jean-Marie Bockel en 2014. | |
| Fonctions | |
|---|---|
| Sénateur français | |
| – (9 ans, 9 mois et 16 jours) | |
| Réélection | 28 septembre 2014 |
| Circonscription | Haut-Rhin |
| Groupe politique | RDSE(2010-2011) UCR(2011-2012) UDI-UC(2012-2017) UC(2017-2020) |
| Prédécesseur | Jacques Muller |
| Successeur | Ludovic Haye |
| – (2 ans, 9 mois et 18 jours) | |
| Élection | 26 septembre 2004 |
| Circonscription | Haut-Rhin |
| Groupe politique | SOC |
| Prédécesseur | Jean-Louis Lorrain |
| Successeur | Jacques Muller |
| Maire deMulhouse | |
| – (21 ans, 1 mois et 27 jours) | |
| Élection | 24 mars 1989 |
| Réélection | 18 juin 1995 18 mars 2001 16 mars 2008 |
| Prédécesseur | Joseph Klifa |
| Successeur | Jean Rottner |
| Secrétaire d'État chargé de la Justice | |
| – (1 an, 4 mois et 21 jours) | |
| Président | Nicolas Sarkozy |
| Gouvernement | Fillon II |
| Successeur | Delphine Batho(indirectement) |
| Secrétaire d'État chargé de la Défense et des Anciens Combattants | |
| – (1 an, 3 mois et 5 jours) | |
| Président | Nicolas Sarkozy |
| Gouvernement | Fillon II |
| Prédécesseur | Alain Marleix |
| Successeur | Hubert Falco |
| Secrétaire d'État chargé de la Coopération et de la Francophonie | |
| – (9 mois) | |
| Président | Nicolas Sarkozy |
| Gouvernement | Fillon II |
| Prédécesseur | Brigitte Girardin |
| Successeur | Alain Joyandet |
| Député français | |
| – (5 ans et 6 jours) | |
| Élection | 1er juin 1997 |
| Circonscription | 5e du Haut-Rhin |
| Législature | XIe(Cinquième République) |
| Groupe politique | SOC |
| Prédécesseur | Joseph Klifa |
| Successeur | Arlette Grosskost |
| – (4 ans, 11 mois et 9 jours) | |
| Élection | 12 juin 1988 |
| Circonscription | 5e du Haut-Rhin |
| Législature | IXe(Cinquième République) |
| Groupe politique | SOC |
| Prédécesseur | Proportionnelle par département |
| Successeur | Joseph Klifa |
| – (2 ans, 1 mois et 12 jours) | |
| Élection | 16 mars 1986 |
| Circonscription | Haut-Rhin |
| Législature | VIIIe(Cinquième République) |
| Groupe politique | SOC |
| – (3 ans, 1 mois et 21 jours) | |
| Élection | 21 juin 1981 |
| Circonscription | 5e du Haut-Rhin |
| Législature | VIIe(Cinquième République) |
| Groupe politique | SOC |
| Prédécesseur | Émile Muller |
| Successeur | Jean Grimont |
| Ministre du Commerce, de l'Artisanat et du Tourisme | |
| – (1 mois) | |
| Président | François Mitterrand |
| Gouvernement | Fabius |
| Prédécesseur | Michel Crépeau |
| Successeur | Gérard Longuet(Tourisme) |
| Secrétaire d'État chargé du Commerce | |
| – (1 an, 6 mois et 27 jours) | |
| Président | François Mitterrand |
| Gouvernement | Fabius |
| Prédécesseur | André Delelis(indirectement) |
| Successeur | Jean-Jacques Descamps |
| Biographie | |
| Date de naissance | (75 ans) |
| Lieu de naissance | Strasbourg (France) |
| Nationalité | Française |
| Parti politique | PS(1973-2007) LGM(depuis 2007) UDI(depuis 2012) |
| Diplômé de | Faculté de droit, de sciences politiques et de gestion de Strasbourg |
| Profession | Avocat |
| Maires de Mulhouse | |
| modifier | |
Jean-Marie Bockel, né le àStrasbourg (Bas-Rhin), est unhomme politiquefrançais, fondateur deLa Gauche moderne et membre de l'UDI.
Alors membre duParti socialiste, il estsecrétaire d'État auprès du ministre du Commerce entre 1984 et 1986, puis ministre du Commerce en 1986, dans legouvernement Laurent Fabius. Sous cette étiquette, il est aussi élu plusieurs foismaire deMulhouse,député etsénateur du Haut-Rhin.
À la suite de l'élection deNicolas Sarkozy à la présidence de la République, en 2007, il quitte le PS pour fonder le mouvementLa Gauche moderne au sein de lamajorité présidentielle. Il devient l'une des personnalités d'« ouverture » dans legouvernement François Fillon II, où il est nommésecrétaire d'État chargé de laCoopération et de laFrancophonie. Il est secrétaire d'État à laDéfense et auxAnciens combattants de 2008 à 2009, puis à laJustice de 2009 à 2010.
Il retourne ensuite au Sénat, où il siège jusqu'en.
Jean-Marie Bockel est le fils de Francis Bockel[1] (1920-2012), notaire, et le petit-fils de Louis Bockel (1883-1957),conseiller général du Haut-Rhin élu dans lecanton de Thann[2], et le neveu deMgrPierre Bockel, ancienarchiprêtre de lacathédrale Notre-Dame de Strasbourg etjuste parmi les nations.
Son père, combattant de l'Armée d'Afrique, a été blessé durant laSeconde Guerre mondiale[3].
Après une jeunesse passée àThann, il suit des études dedroit à lafaculté de droit, de sciences politiques et de gestion de Strasbourg et obtient unemaîtrise de droit puis le certificat d'aptitude à la profession d'avocat. En1976, il ouvre son cabinet àMulhouse. Parallèlement, il entame une carrière politique et prend sa carte auParti socialiste en1973. En1974, il devient secrétaire desJeunesses socialistes duHaut-Rhin. Il est alors proche duCERES[4] deJean-Pierre Chevènement, à l'aile gauche du PS. Il est éludéputé du Haut-Rhin à30 ans enjuin 1981. Il est réélu en1986 et1988. Battu lors de la« vague bleue » de1993, il retrouve son poste en1997, jusqu'en2002.
Alors qu'il aurait dû entrer au gouvernement en octobre 1983[5], il devientsecrétaire d'État auprès du ministre du Commerce,Michel Crépeau, en1984, puis brièvementministre du Commerce, de l'Artisanat et du Tourisme en1986. À la fin dugouvernement Laurent Fabius, il devient porte-parole de Jean-Pierre Chevènement au sein du courant « Socialisme et République » en1987. Mais, en 1991, il fait partie des partisans les plus affirmés de l'engagement de la France aux côtés des Américains dans laguerre du Golfe, ce qui le conduit à une rupture orageuse et définitive avecJean-Pierre Chevènement.
Jean-Marie Bockel est égalementconseiller général duHaut-Rhin pendant dix ans etmaire de Mulhouse de 1989 à 2010.
Depuis la fin desannées 1990, il se fait l'apôtre d'une rénovationblairiste du Parti socialiste, dénonçant les« archaïsme[s] d'une partie du Parti socialiste »[6]. En2001, il fonde ainsi le club « Gauche moderne » et rend un rapport sur les moyens de simplifier lacréation d'entreprises. Il présente une motion en ce sens aucongrès du Mans en2005[7] ; sa motion recueille 0,65 % des voix. Il est alors membre du Bureau national du Parti socialiste. Il avait déjà déposé une contribution générale« Pour un socialisme moderne » aucongrès de Dijon en 2003.
Le, il est élu à la présidence de l'Association des maires de grandes villes de France, présidence qu'il quitte début[8].
Auxélections législatives de, il est battu par la candidateUMPArlette Grosskost. Le, il est élusénateur du Haut-Rhin. Il continue pendant le même temps ses appels à la rénovation du PS : en, il annonce la création du courant Réformisme et Rénovation pour continuer la réflexion issue de sa motion présentée aucongrès du Mans. Le, il signe un appel de soutien à l'investiture socialiste deDominique Strauss-Kahn à l'élection présidentielle de 2007, en compagnie de 15 autres sénateurs, de 8 députés et de 2 députés européens. Après l'investiture deSégolène Royal pour l'élection présidentielle de 2007, il prend la direction du comité de soutien à Ségolène Royal dans le Haut-Rhin. D'une sensibilité politique minoritaire dans son parti, il entretient des relations avecFrançois Bayrou depuis plusieurs années[9].
Il préside laFédération des industries ferroviaires de 2005 à 2007.
Après l'élection duprésident de la RépubliqueNicolas Sarkozy et la victoire de ladroite auxélections législatives de 2007, il accepte, au nom de l'ouverture demandée par le président de la République, sa nomination en tant quesecrétaire d'État chargé de laCoopération et de laFrancophonie auprès du ministre des Affaires étrangères dugouvernement Fillon (2), le. Exclu du PS, il déclare alors[10] :« Ça fait dix ans que j'œuvre, que je milite sans grand succès pour la modernisation du PS, pour y prôner en tout cas des idées davantage sociales-libérales, blairistes, des idées qui peut-être nous auraient permis d'ailleurs de gagner la présidentielle si on avait su davantage les défendre ».

Le, il créeLa Gauche moderne, mouvement libéral decentre gauche. La Gauche moderne s'allie avec la majorité présidentielle lors des élections municipales de 2008[11]. Sa liste d'unionLa Gauche moderne-UMP-Nouveau Centre-MoDem l'emporte de peu le lors du second tour de l'élection municipale de 2008 à Mulhouse, avec seulement 168 voix d'avance sur la liste PS dirigée par son ancien adjoint municipal Pierre Freyburger[12].
Alors qu'il est chargé de la Coopération, il demande publiquement le au président, conformément aux promesses de celui-ci, d'accentuer la fin de laFrançafrique[13].
Lors du remaniement ministériel du dugouvernement François Fillon II, il passe dusecrétariat d'État à laCoopération et à laFrancophonie au secrétariat d'État à laDéfense et auxAnciens combattants. Plusieurs journalistes voient dans ce changement le résultat de pressions exercées par les présidentsOmar Bongo etDenis Sassou-Nguesso, mécontents des positions de Bockel au sujet de laFrançafrique[13],[14],[15].Robert Bourgi (qui aurait participé à cette éviction), conseiller « Afrique » de Nicolas Sarkozy, confirme cette thèse le lors d'une entrevue àRTL, expliquant que c'estOmar Bongo qui l'a appelé début 2008 pour demander son éviction, chose qui sera faite peu de temps après[16],[17].

Le, il passe du secrétariat d'État à la Défense et aux Anciens combattants au secrétariat d'État à la Justice. Quatre mois après la fondation deMulhouse Alsace Agglomération (M2A), dont il est président, il démissionne de son mandat demaire de Mulhouse en, tout en restant conseiller municipal ; son premier adjoint, l'UMPJean Rottner, lui succède à la mairie[18]. Jean-Marie Bockel occupe ses fonctions ministérielles jusqu'au, date à laquelle il n'est pas reconduit dans letroisième gouvernement Fillon. Après son départ du gouvernement, il retrouve son mandat de sénateur ; il siège au groupeRDSE puisUCR à partir de 2011.
Il se prononce, le, clairement en faveur de la candidature deNicolas Sarkozy dès lepremier tour de la présidentielle[19]. Le, il lance le « Comité national pour une France moderne avec Nicolas Sarkozy »[20].
Le, il dépose, au nom de la commission des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées du Sénat, un rapport intitulé « Lacyberdéfense : un enjeu mondial, une priorité nationale », qui préconise le renforcement de la protection et de la défense des systèmes d'information au plus haut niveau de l'État et une véritable stratégie de l'Union européenne[21].
Le, dans le cadre de l'affaire Fillon, il renonce à soutenir le candidat LRFrançois Fillon à l'élection présidentielle[22].
Il est président de La Gauche moderne jusqu'en[23].
En, il affirme n'avoir jamais quitté l'UDI et en être toujours membre[24].
Il ne se représente pas auxélections sénatoriales de 2020. Embauché par le cabinet de conseil en communication Tilder, il préside par ailleurs bénévolement l'association Solidarité-Défense, qui vient en aide aux militaires blessés[3].
Le 22 mars 2022,Emmanuel Macron le nomme par décret président de laCommission nationale indépendante de reconnaissance et de réparation des préjudices subis par les harkis. À ce titre, il s'entretient avec les présidents des associations concernées, tandis qu'est lancée une campagne de rénovation des sépultures de harkis ainsi qu'un recensement des demandes de réparations[3].
Le 6 février 2024, Jean-Marie Bockel est nommé « envoyé personnel » d’Emmanuel Macron en Afrique[25].
En novembre 2024, Jean-Marie Bockel remet au présidentEmmanuel Macron, un rapport sur la reconfiguration du dispositif militaire français en Afrique. Le rapport prône un partenariat « renouvelé » et « reconstruit » avec les pays africains[26].
Jean-Marie Bockel était perçu comme incarnant l'aile droite ou sociale-libérale duParti socialiste. Il ne cache pas sa sympathie pour les méthodes du travaillisteTony Blair et se déclare lui-mêmesocial-libéral. Il estime que le socialisme et le libéralisme peuvent se fondre pour mieux s’accomplir. Il définit ainsi sa doctrine politique :
« Oui, nous sommes des socialistes libéraux. Socialistes, car nous devons opposer aux rapports de force et à l’injustice, la nécessité d’une émancipation partagée. Car nous nous donnons pour fin la justice et la protection sociale, la réduction des inégalités et la promotion des solidarités. Car nous travaillons au partage des biens et des droits à l’échelle du continent et du monde. Socialistes, car nous défendons l’esprit public, ce qui fait société. Car nous soutenons le principe d’une action collective et volontariste. »
« Libéraux, car nous comprenons l’émancipation comme accès à la liberté. Nous défendons la liberté et la responsabilité individuelle, l’autonomie de la société civile, la délimitation de la souveraineté de l’État. L’émancipation doit être le fruit des libertés mises en commun : réunies par le débat et la négociation contractuelle, réglées par les normes du droit et l’exercice de la justice. »
Fervent défenseur dublairisme, il se déclare « blairiste, plus que jamais » en 2006[27]. Il a traduit l'expression laTroisième Voie (The Third Way) / le Nouveau Centre (Die neue Mitte) du manifeste Blair/Schröder en « Troisième Gauche », en référence au clivage entre Première et Deuxième Gauches françaises établi parMichel Rocard.
Il est considéré comme un maire« sécuritaire de gauche »[28] pour l'accent qu'il a mis sur la lutte contre la délinquance à Mulhouse. Il approuve plusieurs mesures du ministre de l'Intérieur Sarkozy[9].
Son élection au Sénat le 28 septembre 2014 sous l'étiquetteUDI après sa participation aux gouvernements Fillon sous la présidence de Nicolas Sarkozy confirme son évolution politique.
Il appartient au conseil d'administration de l'Association des amis de l'Azerbaïdjan (AAA), considérée comme le principal instrument d'influence du régime d'Ilham Aliyev en France. L'organisation a deux buts affichés : mettre en valeur ce pays et contrebalancer l'influence de la diaspora arménienne, dont le pays d'origine est en guerre avec l'Azerbaïdjan depuis les années 1990[29].
Jean-Marie Bockel est marié avec Marie-Odile Mayer. Ils ont cinq enfants (Sarah, François, Pauline, Marie et Pierre-Emmanuel).
Jean-Marie Bockel a effectué son service national au 31e Bataillon de chasseurs à pied[30].
Le, leur plus jeune fils, Pierre-Emmanuel Bockel, né en 1991, lieutenant au5e régiment d'hélicoptères de combat dePau, meurt lors d’unecollision entre deux hélicoptères dans le cadre de l’opérationBarkhane auMali, au cours de laquelle treize militaires sont tués[31],[32].
Jean-Marie Bockel a servi pendant près de 40 ans dans laréserve militaire opérationnelle de l'armée de terre, atteignant le grade decolonel de réserve[31],[33],[34].
Par ailleurs il a été auditeur à l’institut des Hautes Études de la Défense Nationale en 1998[35].
| Précédé par | Suivi par | ||||||
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| Sous laprésidence deNicolas Sarkozy | |||||||||
| Écologie, Développement et Aménagement durables |
| François Fillon Premier ministre | |||||||
| Intérieur,Outre-mer etCollectivités territoriales |
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| Affaires étrangères eteuropéennes |
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| Économie, Finances etEmploi |
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| Immigration, Intégration, Identité nationale et Codéveloppement | Brice Hortefeux | ||||||||
| Justice,garde des sceaux | Rachida Dati | ||||||||
| Agriculture et Pêche | Michel Barnier | ||||||||
| Travail, Relations sociales etSolidarité |
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| Éducation nationale | Xavier Darcos | ||||||||
| Enseignement supérieur etRecherche | Valérie Pécresse | ||||||||
| Défense |
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| Santé,Jeunesse et Sports |
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| Logement etVille |
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| Culture et Communication | Christine Albanel | ||||||||
| Budget, Comptes publics etFonction publique |
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| Secrétaires d'État et haut-commissaire auprès duPremier ministre |
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| Sous laprésidence deNicolas Sarkozy | ||||||||||||
| Écologie, Énergie, Développement durable etAménagement du territoire |
| François Fillon Premier ministre | ||||||||||
| Intérieur,Outre-mer etCollectivités territoriales |
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| Affaires étrangères eteuropéennes |
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| Économie,Industrie etEmploi |
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| Immigration, Intégration, Identité nationale et Développement solidaire | Brice HortefeuxpuisÉric Besson (4) | |||||||||||
| Justice,garde des sceaux | Rachida Dati | |||||||||||
| Agriculture et Pêche | Michel Barnier | |||||||||||
| Travail, Relations sociales,Famille etSolidarité puisTravail, Relations sociales,Famille,Solidarité etVille (4) |
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| Éducation nationale | Xavier Darcos | |||||||||||
| Enseignement supérieur etRecherche | Valérie Pécresse | |||||||||||
| Défense |
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| Santé,Jeunesse, Sports et Vie associative puisSanté etSports (3) |
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| Logement etVille puisLogement (4) |
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| Culture et Communication | Christine Albanel | |||||||||||
| Budget, Comptes publics etFonction publique |
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| Ministre,secrétaires d'État et haut-commissaire auprès duPremier ministre |
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| Sous laprésidence deNicolas Sarkozy | ||||||||||||
| Écologie, Énergie, Développement durable etMer, en charge des Technologies vertes et des Négociations sur le climat |
| François Fillon Premier ministre | ||||||||||
| Justice et Libertés,garde des sceaux |
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| Affaires étrangères eteuropéennes |
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| Intérieur,Outre-mer etCollectivités territoriales |
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| Travail, Relations sociales,Famille,Solidarité etVille puisTravail,Solidarité etFonction publique (2) |
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| Économie,Industrie etEmploi |
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| Budget, Comptes publics,Fonction publique etRéforme de l'ÉtatpuisBudget, Comptes publics etRéforme de l'État (2) | Éric WoerthpuisFrançois Baroin (2) | |||||||||||
| Éducation nationale | Luc Chatel,porte-parole du Gouvernement | |||||||||||
| Alimentation, Agriculture et Pêche | Bruno Le Maire | |||||||||||
| Culture et Communication | Frédéric Mitterrand | |||||||||||
| Espace rural etAménagement du territoire | Michel Mercier | |||||||||||
| Enseignement supérieur etRecherche | Valérie Pécresse | |||||||||||
| Défense |
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| Santé etSports |
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| Immigration, Intégration, Identité nationale et Développement solidaire | Éric Besson | |||||||||||
| Jeunesse et Solidarités actives (2) | Marc-Philippe Daubresse | |||||||||||
| Ministre,secrétaires d'État et haut-commissaire auprès duPremier ministre |
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| Présidents |
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| Autres dirigeants (vice-présidents, délégués nationaux, secrétaires généraux, porte-paroles) | |||||||||||
| Partis membres (président, nombre de parlementaires) | |||||||||||
| Anciens partis membres |
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| Groupes parlementaires |
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| Autres structures |
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