Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Jaych al-Islam

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirArmée de l'islam.

Page d’aide sur l’homonymie

Ne doit pas être confondu avecArmée de l'islam (Gaza).

Jaych al-Islam
Image illustrative de l’article Jaych al-Islam

IdéologieIslamismesunnite
Salafisme
Nationalisme syrien
ObjectifsRenversement du régimebaasiste deBachar el-Assad
Instauration enSyrie d'unÉtat islamique régi par lacharia
Statutdissout, intégré en 2025 dans les forces armées du nouveau gouvernement
Site webwww.jaishalislam.comVoir et modifier les données sur Wikidata
Fondation
Date de formation2011
Pays d'origineSyrie
Fondé parZahran Allouche
Date de dissolution
Actions
Zone d'opérationGouvernorats deRif Dimachq,Damas,Homs etAlep
Organisation
Chefs principauxZahran Allouche(2011-2015)
Abou Hammam Bouyadani (en)(2015-2025)
Membres9 000 à 25 000[1],[2]
Fait partie deFront islamique de libération syrien
(2012-2013)
Front islamique
(2013-2016)
Conseil de commandement de la révolution syrienne (en)(2014-2015)
Commandement militaire unifié de la Ghouta orientale (en)(2014-2015)
Fatah Halab(2015-2017)
Armée nationale syrienne(depuis 2017)
Soutenu parArabie saoudite,Qatar
Répression
Considéré comme terroriste parSyrie,Russie
Guerre civile syrienne
modifier 

Jaych al-Islam (arabe :جيش الإسلام, « L'Armée de l'islam ») — Liwa al-Islam (« La Brigade de l'islam ») jusqu'en2013 et sa fusion avec plusieurs autres mouvements — est un groupe rebelle de laguerre civile syrienne, formé en2011 et dissous en2025.

De2013 à2018, il forme le groupe rebelle le plus puissant dans legouvernorat de Rif Dimachq lors de labataille de la Ghouta orientale. Il se fond ensuite dans l'Armée nationale syrienne.

Drapeaux et logos

[modifier |modifier le code]
  • Logo de Liwa al-Islam puis de Jaych al-Islam.
    Logo de Liwa al-Islam puis de Jaych al-Islam.
  • Logo de Jaych al-Islam.
    Logo de Jaych al-Islam.
  • Drapeau de Jaych al-Islam.
    Drapeau de Jaych al-Islam.
  • Drapeau de Jaych al-Islam (variante).
    Drapeau de Jaych al-Islam (variante).

Affiliations et alliances

[modifier |modifier le code]

L'organisation a rejeté l'adhésion à l'Armée syrienne libre[3],[4]. En septembre2012, elle rejoint leFront islamique de libération syrien[5], puis leFront islamique le[6].

Enseptembre 2013, après avoir bénéficié de nombreux ralliements, le Liwa al-Islam se rebaptise Jaych al-Islam[7]. Le groupe rassemble alors 43 factions (60 en 2016)[8],[9]. Il reçoit plusieurs millions de dollars de financement en armement et entraînement militaire par l'Arabie Saoudite[8].

Le, il fait partie des mouvements qui intègrent la chambre d'opérationsFatah Halab[10].

En, une nouvelle coalition baptisée Jund al-Malahim (les Soldats de l'aventure) est formée à Damas : elle regroupe leFront al-Nosra,Ahrar al-Cham et l'Union islamique Ajnad al-Cham, mais Jaych al-Islam refuse de l'intégrer[11].

Le, le chef du groupe Mohamed Allouche est élu négociateur en chef duHaut Comité des négociations (HCN), aussi appelée « opposition de Riyad » en référence à sa formation dans la capitale saoudienne, représentant une alliance de groupes d'opposition aux discussions de paix de Genève. Il démissionne de sa fonction de négociateur en chef le[9].

Le,Ansar al-Cham se rallie à Jaych al-Islam[12]. Puis, le, Ansar al-Cham se désolidarise du groupe et préfère rallier leHayat Tahrir al-Cham[13],[14].

Le, la branche de Jaych al-Islam à Idleb rallieAhrar al-Cham[15].

Fin2017, le groupe intègre l'Armée nationale syrienne[16].

Idéologie

[modifier |modifier le code]
Zahran Allouche, le chef de Jaych al-Islam, le 29 avril 2015.

Pour la plupart des journalistes et observateurs du conflit syrien, Jaych al-Islam est essentiellementsalafiste[17],[18],[11],[19],[4] etnationaliste[11]. Le groupe inclut aussi une tendance plus proche desFrères musulmans[4]. Fortement lié à l'Arabie saoudite, Jaych al-Islam estantichiite, anti-alaouite et très hostile à l'Iran, mais aussi à l'État islamique[20],[21]. Selon le chercheurZiad Majed, Jaych al-Islam« est une formation salafiste qui peut aller d'un extrémisme au regard du contrôle social, envers les femmes, jusqu'à un certain opportunisme utilitaire, notamment envers le régime, la bourgeoisie de Damas et l'Occident »[22]. Le groupe prône l'instauration de lacharia, mais contrairement auxdjihadistes il s'oppose à toute action en dehors de la Syrie[23].

Le chercheurRomain Caillet nuance cependant l'idéologie de Jaych al-Islam, en estimant que les membres de ce groupe sont« proches du salafisme » mais qu'ayant communiqué en faveur« d'un état civil, pas religieux, pluraliste, on ne peut pas les dire salafistes comme ça », malgré le fait que le groupe entretienne un« double discours »[24]. Joshua Landis, professeur à l'université d'Oklahoma et journaliste à Syria Comment, écrit au sujet de Zahran Allouche :« Il est apparu à la télévision libanaise disant qu’il n’était pas favorable à la démocratie et qu’il n’en voulait pas. Il voit la démocratie comme une importation européenne visant à tromper le peuple syrien et il pense que l’islam et la charia forment un système meilleur »[9].

Le chef de Jaych al-Islam,Zahran Allouche, tient initialement un discours sectaire : il appelle notamment à « nettoyer Damas de ces ordures de chiites et d’alaouites »[23]. Au printemps2015, il change cependant son discours, probablement pour des raisons tactiques, et se déclare favorable à un « gouvernement technocratique » respectueux de toutes les minorités[23].

D'après l'universitaireFabrice Balanche, après son classement comme organisation terroriste par les États-Unis fin 2012, leFront al-Nosra« a créé de nouveaux groupuscules avec des fausses dénominations afin de capter les financements américains. Le groupe Jaych al-Islam (Armée de l'Islam) a par exemple été financé par les États-Unis avant que son affiliation avecAl-Qaïda ne soit démontrée »[25]. Mais pour l'universitaire Thomas Pierret, au contraire, le Front al-Nosra et Jaych al-Islam« se détestent cordialement »[26]. SelonZiad Majed, universitaire et politologue :« L'Armée de l'islam coopère avec le Front al-Nosra, branche d'al-Qaëda en Syrie, tant que ce dernier n'est pas important dans laGhouta. Mais il a liquidé tous les autres groupes rebelles qui pouvaient concurrencer son autorité dans cette région »[27]. Pour Aron Lund, chercheursuédois à laFondation Carnegie pour la paix internationale, les relations entre Jaych al-Islam et al-Nosra sont très mauvaises et des affrontements les opposent dans la Ghouta orientale en 2016[28]. En2017, après une intensification des combats avec l'ex-Front al-Nosra —Hayat Tahrir al-Cham — Jaych al-Islam annonce son intention de« mettre fin à la présence d'al-Qaïda dans la Ghouta »[29].

Effectifs et organisation

[modifier |modifier le code]
Des rebelles de Jaych al-Islam à al-Marj, dans laGhouta orientale, le 13 février 2017.
Des rebelles de Jaych al-Islam à al-Marj, dans laGhouta orientale, le 13 février 2017.

Les effectifs du groupe sont estimés entre 9 000 et 25 000 combattants[1],[30],[6],[2],[31],[21]. Fin2015, le chercheur américain Charles Lister donne le chiffre de 12 500 combattants[32]. Début 2017, les services de renseignement occidentaux estiment le nombre de combattants du mouvement entre 15 000 et 20 000[20]. Début 2018,Le Monde chiffre ses effectifs à 10 000 hommes dans la Ghouta orientale[33].

Le fondateur de Jaych al-Islam estZahran Allouche, également chef militaire duFront islamique[34]. Il est tué le à Al-Marj dans un bombardement[7]. Quelques heures plus tard, Jaych al-Islam annonce qu'Abou Hammam Bouyadani (en) prend la tête du groupe[35],[36]. Cependant, selon Lina Kennouche, journaliste deL'Orient-Le Jour, Bouyadani, chef sans poigne ni charisme, n'exerce qu'une autorité de façade et laisse le champ libre au guide religieux Samir Ali Kaaka (aussi orthographié Kaakeh) pour s'imposer[37],[7].

Mohamed Allouche, membre du bureau politique de Jaych al-Islam et cousin de Zahran Allouche, est également le négociateur en chef choisi par le Haut comité des négociations (HCN) pour diriger la délégation de l’opposition àGenève en2016, puis àAstana en 2017[31],[38],[20].

Majdi Mustafa Nameh, dit Islam Allouche, ex-capitaine de l'armée syrienne, est porte-parole du groupe jusqu'en[39],[40],[41]. Il est arrêté àMarseille, enFrance, le et estmis en examen et placé endétention provisoire le 31 janvier 2020 pour « actes de torture et complicité », « crimes de guerre » et « complicité de disparitions forcées »[42],[43],[44].

Zones d'opérations

[modifier |modifier le code]

Le groupe est actif dans legouvernorat de Rif Dimachq, région dans laquelle il forme la principale force rebelle qui affronte le régime syrien pendant labataille de la Ghouta orientale[6],[45],[2],[20]. Il contrôle la ville deDouma et la partie est de la poche de laGhouta orientale[19]. Il est également présent àAlep[46].

Actions

[modifier |modifier le code]
Des rebelles de Jaych al-Islam à Qasmya, dans laGhouta orientale, le 30 janvier 2017.

Jaych al-Islam prend essentiellement part à labataille de la Ghouta orientale[19]. Il aurait conclu une alliance tactique avec l'Armée syrienne libre dans la région deDamas[47]. Mais le, des affrontements éclatent dans la Ghouta orientale entre Jaych al-Islam etFaylaq al-Rahmane, la plus importante brigade de l'Armée syrienne libre de la région[28]. Jaych al-Islam entre également en guerre avec Jaych al-Foustate, une alliance formée par leFront al-Nosra et leLiwa Fajr al-Umma[28]. Du au, les combats entre groupes rebelles font plus de 500 morts dans la Ghouta orientale[48]. Jaych al-Islam tient l'est de la région, les autres groupes tiennent l'ouest[37]. Le, un cessez-le-feu est conclu entre les différentes factions rebelles[49]. De nouveau combats meurtriers éclatent en[50], mais en février 2018, face aux offensives du régime syrien, Jaych al-Islam et Faylaq al-Rahmane reprennent leur coopération[19]. Le, vers la fin de labataille de la Ghouta orientale, Jaych al-Islam capitule àDouma[51],[52],[53]. Le groupe est chassé de laGhouta et après la conclusion d'un accord avec le régime ses combattants sont transférés vers le nord-ouest de la Syrie[54].

Soutiens et financement

[modifier |modifier le code]

Jaych al-Islam bénéficie d'un flot de donations récoltées dans les milieux salafistes despays du Golfe par le père deZahran Allouche, le chef du groupe[23]. Ces aides permettent à Jaych al-Islam de s'imposer sur les autres groupes rebelles de laGhouta[23].

Jaych al-Islam est soutenu essentiellement par l'Arabie saoudite[20],[55], mais il a aussi bénéficié d'aides duQatar[56],[47]. Des instructeurs duPakistan seraient aussi utilisés pour aider à former le groupe[57]. Il a notamment critiqué leHamas et surtout son chefKhaled Mechaal pour ses liens avec l'Iran[3].

Exactions

[modifier |modifier le code]

Selon Laure Stephan, journaliste auMonde : les hommes de Jaych al-Islam« ont imposé leur hégémonie d’une main de fer, n’hésitant pas à emprisonner ou à combattre leurs rivaux. Même si ce groupe jouit d’un ancrage local, sa popularité s’est érodée du fait de ses pratiques autoritaires (racket sur la gestion des tunnels, enrôlement forcé…) »[19].

Le groupe est notamment suspecté d'être responsable de l'enlèvement, 9 décembre 2013, et de la disparition depuis lors, de quatre militants des droits humains et opposants syriens, membres et fondateurs duVDC, Centre de documentation des violations en Syrie : l'avocate syrienneRazan Zaitouneh, son mari Wael Hamadeh, la militante des droits humainsSamira al-Khalil, et l’avocat et poète Nazem Hammadi[19],[41].

Le, le groupe Jaych al-Islam publie une vidéo intitulée« représailles des moudjahidine opprimés contre les rebelleskharidjites d'aujourd'hui » dans laquelle 18 hommes de l'État islamique (EI) sontexécutés par balle[58]. Cette vidéo constitue une réponse à la vidéo« repentez-vous avant que l'on ne vous défasse », publiée le et dans laquelle l'EI avaitdécapité 12 hommes de Jaych al-Islam et deJabhat al-Nosra capturés près deTell Dakwa (ceb)[59]. Les codes sont inversés : les prisonniers sont vêtus d'habits noirs tandis que les bourreaux sont vêtus des mêmescombinaisons orange dont sont vêtus les captifs de l'EI[60],[61].

Le, en représailles à un bombardement loyaliste ayant fait la veille 70 morts et 550 blessés àDouma selonMédecins sans frontières, les hommes de Jaych al-Islam rassemblent plusieurs dizaines, voire plusieurs centaines de prisonniers — soldats du régime et civils, dont des femmes — et les dispersent dans des cages à Douma et dans plusieurs villages de la Ghouta orientale, afin de servir deboucliers humains contre les frappes aériennes du régime[62],[63].

Le, après des bombardements effectués le jour même par les rebelles contreCheikh Maqsoud, tenu par lesYPG àAlep, un porte-parole de Jaych al-Islam, Islam Allouche, admet l'usage d'armes « interdites » lors d'« d'affrontements avec des YPG pour le contrôle du quartier deSheik Maksoud (...) un des leaders de Jaysh al-Islam d'Alep a utilisé des armes qui ne sont pas autorisées dans ce genre de confrontations, ce qui est constitutif d'une violation des règles internes du groupe Jaysh al-Islam »[64]. Le lendemain, laCroix Rouge kurde accuse également Jaych al-Islam d'avoir effectué une attaque chimique à Cheikh Maqsoud et estime que les symptômes laissent penser à une utilisation duchlore[65],[66]. Jaysh al-Islam a plus tard clarifié que l'usage d'armes « interdites » se référait à des « missiles Grad modifiés » et non pas à des armes chimiques[67],[68].

Selon des témoignages d'habitants, Jaych al-Islam a détourné àAlep en 2016 des colis d'aide humanitaire à son propre usage sans les distribuer aux civils[69].

Avec la chute de laGhouta orientale, les détenus enfermés dans les prisons officielles ou clandestines tenues par les rebelles de Jaych Al-Islam sont libérés. Durant plusieurs années, le groupe salafiste y avait enfermé dissidents ou combattants de factions rivales ainsi que des prisonniers, assimilés au régime. Des militants de l'opposition ont alors dénoncé les méthodes d’intimidation de Jaych al-Islam et sa pratique de la torture[70]. Des civils sont notamment détenus dans ces prisons, dont des femmes et des enfants enlevés en zone loyaliste, pour la plupart àAdra en[71],[72],[70]. Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), 3 500 personnes étaient détenues par Jaych al-Islam début[51].

Communication

[modifier |modifier le code]

En, après d'intenses bombardements loyalistes qui ont fait au moins 120 morts parmi la population civile de la Ghouta orientale, des rebelles de Jaych al-Islam réalisent une mise en scène àDouma ; pour interpeller la communauté internationale et dénoncer les bombardements du régime contre les civils, des enfants tendant des pancartes et vêtus d'uniformes orange sont montrés enfermés dans une cage, près de laquelle est approchée une torche enflammée. Cette vidéo renvoie à l'exécution du pilote jordanienMouath al-Kassaesbah, brûlé vif dans une cage par l'État islamique[73],[74].

Le, Jaych al-Islam publie un communiqué avec 48 autres brigades rebelles dans lequel il condamne lesattentats du 13 novembre à Paris[75],[76].

Désignation comme organisation terroriste

[modifier |modifier le code]

Jaych al-Islam est classé comme organisation terroriste par laRépublique arabe syrienne, laRussie[77],[78], l'Iran et l'Égypte[79].

Justice

[modifier |modifier le code]

En janvier 2020,Madji Naameh, ancien cadre du groupe, sous le pseudonyme Islam Allouche, est arrêté en France. Il est suspecté d'être impliqué dans des exactions, dont l'enlèvement le 9 décembre 2013, des « Quatre de Douma », dontRazan Zaitouneh. Les familles des activistes, ainsi que deux autres Syriens, dont l'un aurait été torturé par Madj Naameh, avaient porté plainte en France, en s'appuyant sur le principe de compétence universelle. Trois ONG, dont leCentre syrien pour les médias et la liberté d’expression, fondé parMazen Darwish, et laFédération internationale des droits humains, se constituent partie civile[41].

Le procès de Madji Nema s'ouvre le 29 avril 2025 devant lacour d'assises de Paris, où il sera jugé pour complicité decrime de guerre commis entre 2013 et 1016[80].

Notes et références

[modifier |modifier le code]
  1. a etbBBC :Syria crisis: Guide to armed and political opposition
  2. ab etcTalal el Atrache,L’armée mène une vaste opération dans les faubourgs de la capitale,L'Humanité, 28 août 2013.
  3. a etbMissile blast wounds Syrian rebel commander: activists
  4. ab etcAlexis Feertchak,Syrie : qui sont les rebelles dans la Ghouta orientale ?,Le Figaro,1er mars 2018.
  5. (en)The Free Syrian Army, Understanding War,mars 2013, consulté le
  6. ab etcL'orient Le jour :Des militants anti-régime sur le terrain ont vu dans cette annonce une "mauvaise nouvelle" pour le président Assad.
  7. ab etcBenjamin Barthe,Le chef rebelle salafiste Zahran Allouche a été tué en Syrie,Le Monde, 28 décembre 2015.
  8. a etb« Syria crisis: Saudi Arabia to spend millions to train new rebel force »,The Guardian,‎(lire en ligne, consulté le)
  9. ab etc« Démission d’un salafiste négociateur en chef de l’opposition »,L'Humanité,‎(lire en ligne, consulté le)
  10. "Infographic: "Fatah Halab" military operations room – coalition of 31 rebel factions",Archicivilians, 18 juin 2015.
  11. ab etcEléonore de Vulpillières,Daech, al-Nosra, Armée de l'Islam : les sept familles du djihad en Syrie,Le Figaro, 4 novembre 2015.
  12. (en) « استجابة للمطالب الشعبية.. "أنصار الشام" تندمج بـ"جيش الإسلام" - شبكة بلدي الإعلامية »
  13. Hassan Ridha,Ansar al-Sham Battalion joins Tahrir al-Sham. Al-Qaeda still swallowing up other groups + occasional defection from Ahrar al-Sham, twitter, 7 février 2017.
  14. InfosWars MENA,La Katiba Ansar al-Sham rejoint l'organisation Hayat Tahir Sham #HTS #Syria #Syrie, twitter, 7 février 2017.
  15. Caroline Hayek,En Syrie, une trêve aux accents de guerre intestine rebelle,OLJ, 27 janvier 2017.
  16. انفوغراف | فصائل الجيش الحر المشاركة في عملية غصن الزيتون,NORS Studies, 30 juillet 2018.
  17. Benjamin Barthe,L’opposition syrienne à Genève : une union de façade,Le Monde, 28 novembre 2017.
  18. Laure Stephan et Benjamin Barthe,Syrie : échec des tractations secrètes sur la Ghouta orientale,Le Monde, 27 février 2018.
  19. abcde etfLaure Stephan,Syrie : quelles sont les forces en présence dans la Ghouta orientale ?,Le Monde,1er mars 2018.
  20. abcd eteMarc Daou,Qui est Mohammad Allouche, le chef de la délégation rebelle syrienne à Astana ?,France 24, 24 janvier 2017.
  21. a etbAndrés Allemand,«Notre Armée de l’islam est tout sauf criminelle»,La Tribune de Genève, 24 novembre 2014.
  22. Alexis Feertchak,Guerre en Syrie : qui sont les responsables de la tragédie ?,Le Figaro, 18 octobre 2016.
  23. abcd eteBenjamin Barthe,La Ghouta orientale, tombeau de la révolution syrienne,Le Monde, 13 avril 2018.
  24. Cécile De Sèze,Syrie : quels sont les groupes rebelles assiégés dans la Ghouta ?,RTL, 7 mars 2018.
  25. « Le Qatar : "valet des Américains" ou "club Med des terroristes" ? », surwww.challenges.fr,Challenges,(consulté le).
  26. Céline Lussato,SYRIE. Pourquoi des rebelles syriens rejettent la Coalition nationale,Le Nouvel Observateur, 25 septembre 2013.
  27. Anthony Samrani,L’Armée de l’islam dans l’attente du feu vert pour lancer la bataille de Damas,OLJ, 26 août 2015.
  28. ab etcAron Lund,Showdown in East Ghouta,Fondation Carnegie pour la paix internationale, 4 mai 2016.
  29. Aron Lund,Syria: East Ghouta Turns on Itself, Again,The Century Foundation,1er mai 2017.
  30. Catherine Gouëset,Djihadistes, islamistes, rebelles... La guerre dans la guerre en Syrie,L'Express, 9 janvier 2014.
  31. a etbRené Backmann, « Syrie: et si l’opposition avait aussi un projet d’Etat islamique? », surMediapart,(consulté le).
  32. Charles Lister,Yes, there are 70,000 moderate opposition fighters in Syria. Here’s what we know about them,The Spectator, 27 novembre 2015.
  33. Syrie : « Washington s’en tient à des déclarations musclées, sans sortir du registre diplomatique »,Le Monde, 28 février 2018.
  34. Hassane Zerrouky,En Syrie, sept groupes armés constituent un Front islamique,L'Humanité, 26 novembre 2013.
  35. Un chef rebelle syrien tué dans un raid aérien près de Damas,Le Monde avec AFP, 25 décembre 2015.
  36. Syrie: le principal groupe rebelle de la région de Damas décimé par un raid,AFP, 25 décembre 2015.
  37. a etbLina Kennouche,La bataille de la Ghouta, un affrontement de longue durée,OLJ, 20 mai 2016.
  38. Premier jour de négociations directes entre rebelles et régime syrien à Astana,AFP, 23 janvier 2017.
  39. Un djihadiste syrien, ancien porte-parole de Jaysh Al-Islam, arrêté à Marseille et mis en examen,Le Monde avec AFP, 31 janvier 2020.
  40. Un ex-responsable islamiste interpellé fin janvier présent en France grâce à un visa,L'Obs, 6 février 2020.
  41. ab etcThomasClerget, « Un Syrien poursuivi en France pour la disparition d’opposants à Bachar al-Assad », surMediapart(consulté le)
  42. Romain Capdepon, « Marseille : le présumé criminel de guerre syrien vivait à Noailles »,La Provence,(consulté le)
  43. Timothée Boutry et Eric Pelletier, « Un djihadiste syrien soupçonné de torture et crime de guerre arrêté à Marseille »,Le Parisien,(consulté le)
  44. « Crimes de guerre : un ex-cadre d’un groupe salafiste syrien arrêté en France »,Sud-Ouest,(consulté le)
  45. Reuters :Syrie: un missile blesse un chef rebelle
  46. Syrie : calme relatif à Alep après l'accord de trêve,Le Figaro avec AFP, AP et Reuters, 5 mai 2016.
  47. a etbRené Backmann, « Syrie: marginalisée, l’Armée syrienne libre accumule les défaites », surMediapart,(consulté le).
  48. Syrie: plus de 300 morts dans des combats entre des factions rebelles près de Damas,AFP, 15 mai 2016.
  49. Syrian rebels agree in Qatar to stop fighting each other,Reuters, 25 mai 2016.
  50. Syrie: des combats entre insurgés ont fait 169 morts en une semaine,L'Orient Le Jour avec AFP, 5 mai 2017.
  51. a etbPremier départ de rebelles de Douma en vertu d'un accord avec les Russes,Reuters, 8 avril 2018.
  52. In conjunction with preparations for getting out of Ghouta, Jaysh al-Islam informs Douma people about the exit of its fighters and leaders from Douma in response to “popular pressure”,OSDH, 8 avril 2018.
  53. Hala Kodmani,La Ghouta à l’agonie, l’Occident de nouveau au pied du mur,Libération, 9 avril 2018.
  54. Syrie : l'armée annonce la reprise totale de la Ghouta,Le Point avec AFP, 15 avril 2018.
  55. Sammy Ketz,Face à la crise Arabie-Qatar, la rébellion syrienne dans l'embarras,OLJ avec AFP, 18 juin 2017.
  56. Julien Abi Ramia, Caroline Hauyek, Lina Kennouche, Samia Medawar et Anthony Samrani,Syrie : qui combat qui, et où,OLJ, 17 octobre 2015.
  57. Syria crisis: Saudi Arabia to spend millions to train new rebel force
  58. (ar) « "القصاص من الخوارج".. تنظيم الدولة تحت مقصلة الإعدام », Al Jazeera,‎(consulté le)
  59. (ar) « فيديو.. #داعش يذبح 12 من "جيش الإسلام" بغوطة دمشق » [« Vidéo... #Daech égorge 12 membres de Jaych al-Islam dans la Ghouta de Damas »], Al-Arabiya,‎(consulté le)
  60. Luc Mathieu,Dix-huit hommes de l'État islamique exécutés par des rebelles syriens,Libération,1er juillet 2015.
  61. Romain Caillet, twitter
  62. Des civils en cage utilisés comme bouclier humain en Syrie,AFP,1er novembre 2015.
  63. En Syrie, bombardement aérien meurtrier contre un marché de Douma,Le Monde avec AFP, 31 octobre 2015.
  64. Bruno Rieth,Syrie : quand les "alliés" modérés de la coalition usent "d'armes prohibées" contre les Kurdes,Marianne, 11 avril 2016.
  65. "Kurdish Officials: Rebels May Have Used Chemicals in Aleppo",VOA, 8 avril 2016.
  66. <Express, Rebel group accusing Assad of gas attack 'USED CHEMICAL WEAPONS' against Kurds
  67. "One Kurdish Neighborhood in the Crossfire", Sam Heller,Daily Beast, 15 avril 2016.
  68. "Mapping militant crossfire: Jaish al-Islam", Stanford University, 31 août 2017.
  69. « Dans le QG déserté par les rebelles, une caverne d'Ali Baba », sureuronews,(consulté le)
  70. a etbLaure Stephan,Avec la chute de la Ghouta orientale, les prisons rebelles commencent à livrer leurs secrets,Le Monde, 28 mars 2018
  71. Ignace Dalle et Wladimir Glasman,Le cauchemar syrien,p. 61
  72. Syrie : un groupe rebelle utilise des civils comme "boucliers humains",Le Point avec AFP,1er novembre 2015.
  73. L'Obs :VIDEO. Syrie : des enfants en cage pour interpeller le monde
  74. France 24 :Non, l'EI n'a pas brûlé vifs des enfants enfermés dans une cage
  75. Rebelles et militants syriens dénoncent eux aussi les attentats de Paris,AFP, 15 novembre 2015.
  76. Borzou Daragahi, twitter.
  77. Georges Malbrunot,Syrie : la présence des Kurdes aux pourparlers de Genève est gelée,Le Figaro, 2 février 2016.
  78. Paul Antonopoulos,Russia adds two more Islamist groups to terrorist list,Al-Masdar news, 31 décembre 2015.
  79. MattDrake, « Rebel group accusing Assad of gas attack 'USED CHEMICAL WEAPONS' against Kurds »,Express,‎(lire en ligne, consulté le)
  80. « Un ex-rebelle syrien était étudiant à l’université d’Aix, il sera jugé pour complicité de crimes de guerre à Paris », surSudOuest.fr,(consulté le)
v ·m
Belligérants de laguerre civile syrienne
Régime syrien et alliés
République arabe syrienne
Iran et milices chiites
Russie
Milicespalestiniennes
Soutiens
Rebelles
Coalitions rebelles
Chambres d'opérations
Groupes rebelles islamo-nationalistes
Groupes salafistes djihadistes
Opposition politique
Soutiens
Kurdes et alliés
État islamique
Coalition
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Jaych_al-Islam&oldid=226431675 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp