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Jacques Roubaud

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Pour les articles homonymes, voirRoubaud.

Jacques Roubaud
Jacques Roubaud en 2008.
Fonction
Président du Centre international de poésie Marseille
-
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Nom de naissance
Jacques Denis RoubaudVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Père
Lucien Roubaud(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Conjoints
Sylvia Roubaud(d)(à partir de)
Alix Cléo Roubaud(de à)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Membre de
Distinctions
Tombe de Jacques Roubaud aucimetière de Montmartre (division 25).

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Jacques Roubaud, né le àCaluire-et-Cuire (Rhône) et mort le àParis[1], est unpoète,écrivain etmathématicienfrançais.

Membre de l'Oulipo[2], il développe une œuvre abondante, qui comprend des ouvrages deprose, depoésie, des écritsautobiographiques et desessais. Il s'intéresse également à l'utilisation desmathématiques et de l'informatique pour l'écriture à contraintes oulipienne.

Jacques Roubaud reçoit plusieursprix littéraires couronnant l'ensemble de son œuvre, notamment legrand prix national de la poésie (1990) et legrand prix de littérature Paul-Morand de l'Académie française (2008)[3].

Biographie

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Fils de Lucien etSuzanne Roubaud, Jacques Roubaud a une sœur et deux frères, dont Jean-René, qui s'est suicidé en 1961, à 22 ans. Il passe son enfance àCarcassonne puis àParis après laSeconde Guerre mondiale ; il se dit un élève moyen[4]. Reconnu très tôt parLouis Aragon, il publie un premier recueil de poésies en 1944 sous le titrePoésies juvéniles, puis un second en 1952, intituléVoyage du soir.

Véritablement fasciné par les formes fixes des poèmes comme lesonnet (il dit en avoir lu plus de cent cinquante mille), lerenga et lasextine (L'Oulipo qualifie de « n-ine » ou encore « quenine » les généralisations de la sextine à des nombres autres que 6[5]), il apprend depuis tout jeune des milliers de vers et des centaines de poèmes par cœur[6]. En 1961, il se consacre exclusivement à la composition de sonnets, entamant dès lors une démarche expérimentale dans la plupart de ses travaux littéraires. La série des « pseudo-romans » autour du personnage de « la Belle Hortense », de même que ses nombreux livres de poèmes pour enfants, ou la majeure partie de ses contes, pour enfants ou adultes, ne relèvent cependant pas à proprement parler, ou seulement à la marge, de cette démarche.

Étudiant enhypokhâgne, l'expérience ne lui plaît pas. Il y met fin à la suite d'un commentaire d'un poème desChimères deGérard de Nerval. Il dit détester les concours et les examens. Vouant une grande admiration à l'œuvre dugroupe Bourbaki, aux études de lettres il préfère les mathématiques, qu'il enseigne à partir de1958,« pour des raisons utilitaires[7] », commeassistant délégué puismaître assistant à l'université de Rennes.

À Rennes, il rencontre le mathématicienJean Bénabou (cousin de l'oulipienMarcel Bénabou), avec qui il se lie d'amitié et qui apparaît dans plusieurs de ses textes poétiques[8]. Ensemble, ils démontrent un théorème important dethéorie des catégories, qui porte leur nom[9],[10]. Il est professeur de mathématiques à l'université Paris-Nanterre[11] de 1970 à 1991[12],[13]. En 1990, il publie ses travaux destinés initialement à une thèse non soutenue[14] :« La forme du sonnet français de Marot à Malherbe. Recherche deseconde rhétorique »[15],[16].

Les mathématiques ont une grande influence sur son activité littéraire, poétique (comme dans) ou de fiction (voir la série desHortense[17] basée sur lasextine — 6 volumes prévus, dont 3 publiés). Il serait l'auteur d'un passage d'inspiration mathématique deLa Disparition, deGeorges Perec, qui cite notammentJean Bénabou sous les traits du « cousin d'Ibn Abbou »[18].

En décembre 1965, il fait partie des six poètes pour lesquelsLouis Aragon organise une soirée baptisée « Six poètes et une musique de maintenant » authéâtre Récamier, à Paris[19].

En 1966, Jacques Roubaud est invité d'honneur de l'Ouvroir de littérature potentielle (Oulipo)[20]. La même année il y est coopté parRaymond Queneau. Il devient l'inventeur de nombreuses contraintes telles que le « baobab » et le « haïku oulipien généralisé ». Il est le cofondateur, avecPaul Braffort, de l'Atelier de littérature assistée par les mathématiques et les ordinateurs (Alamo) en 1981[21].

En 1968, il est, avecJean-Pierre Faye etMaurice Roche, le cofondateur de la revueChange, qui accueillera des textes d'oulipiens. Auparavant, il avait fourni de nombreuses contributions à la revueAction poétique. En 1969, il est à l'origine de la création du Cercle Polivanov, qui publiera lesCahiers de poétique comparée[22].

Il épouse en première noces Sylvia Bénichou (1935-2025), fille de l'universitairePaul Bénichou[23].

Il épouse en 1980 la photographe et écrivaine d'origine canadienneAlix Cléo Roubaud ; gravementasthmatique depuis l'enfance, elle meurt à trente et un ans en 1983 d'une embolie pulmonaire. Jacques Roubaud évoque sa disparition dansQuelque chose noir etLe Grand Incendie de Londres.

Jacques Roubaud obtient leprix France Culture en1986. En 1989, il publieLe Grand Incendie de Londres, début d'un cycle en prose qu'il appelle son « projet ».

Jacques Roubaud a été directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS) jusqu'en 2001. Il a travaillé en collaboration avec de nombreux artistes, notamment Micaëla Henich,Christian Boltanski et le compositeur françaisFrançois Sarhan, pour lequel il écrit laGrande Kyrielle du sentiment des choses en 2002. La compositriceKaija Saariaho a par ailleurs mis en musique des extraits desÉchanges de la lumière dans son œuvre pour chœurNuits, Adieux (1991) et donné à son concerto pour violon (1994) le titreGraal Théâtre, en référence à l'œuvre de Roubaud et Delay. Le premier opéra de Saariaho,L'Amour de loin (2000), est d'ailleurs inspiré des ressources sur le troubadourJaufré Rudel traduites et présentées par Jacques Roubaud dansLa Fleur inverse.

Il a présidé leCentre international de poésie Marseille de 1992 à 1997.

En, il reçoit leprix Goncourt de la poésie pour l'ensemble de son œuvre[24].

Il meurt le àParis,jour de son92e anniversaire[25],[26]. Il est inhumé aucimetière de Montmartre (division 25).

Analyse de l'œuvre

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Jacques Roubaud revendique plusieurs influences à travers ses nombreux et divers centres d'intérêt :littérature médiévale, en particulier l'énorme corpus de lamatière de Bretagne, en français et en anglais[27] ; poésie des troubadours, dont il est sans doute un des plus grands connaisseurs en France (reprise par exemple de la forme extrêmement complexe de lasextine dansQuelque chose noir) ;poésie japonaise ancienne ; prose japonaise ancienne (leGenji Monogatari) ;jeu de go (il a publiéun traité sur ce sujet en collaboration avec Pierre Lusson etGeorges Perec) ; ou encore littérature de langue anglaise : écrivains britanniques, notammentLewis Carroll etAnthony Trollope, poètes britanniques jusqu'à la fin duXIXe siècle, parmi lesquelsGerard Manley Hopkins ; poètes américains duXXe siècle.

Il est ainsi réputé pour ses nombreuses traductions, dont il a rassemblé une partie dans un volume intituléTraduire, journal, où ne figure aucun des poèmes en version originale : il estime que le poème cible est une œuvre à part entière, distincte du poème-source et autonome. Pourtant, son anthologie de la poésie des troubadours parue chez Seghers comporte les œuvres originales en langue d'oc.

Il a déclaré :

« Un poème est un objet artistique de langue à quatre dimensions : pour la page (c’est-à-dire pour l’œil), pour l’oreille (ce que nous entendons), pour la voix (ce que nous prononçons) et pour une vision intérieure[28],[29]. »

Les principes de Roubaud

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Il est l'auteur de deux principes oulipiens qui portent maintenant son nom :

  • « Un texte écrit suivant une contrainte parle de cette contrainte. »
  • « Un texte écrit suivant une contrainte mathématisable contient les conséquences de la théorie mathématique qu'elle illustre[30]. »

Œuvres

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Poésie

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  • , Gallimard, Paris, 1967
  • Trente et un au cube, Gallimard, Paris, 1973
  • Mezura, Éditions d'Atelier, Paris, 1975
  • Dors, précédé deDire la poésie, Gallimard, Paris, 1981
  • Les Animaux de tout le monde, Paris,Ramsay, 1983 ; réédité en 1990 parSeghers.
  • Les Animaux de personne, Paris, Seghers, 1991
  • La pluralité des mondes de Lewis, Gallimard, Paris, 1991
  • La forme d'une ville change plus vite, hélas, que le cœur des humains. Cent cinquante poèmes (1991-1998), Gallimard, Paris, 1999
  • Churchill 40 et autres sonnets de voyage, Gallimard, Paris, 2004
  • Quelque chose noir, recueil de poèmes, Gallimard, Paris, 1986Ce recueil a été inscrit au programme d'admission de l'École normale supérieure de Fontenay-Saint-Cloud[31] en 2007-2008 et au programme de la session 2026 desagrégations externesde lettres classiques,de lettres modernes etde grammaire.
  • Poésie, etcetera, ménage, Stock, Paris, 1995
  • La Fenêtre veuve. Prose orale, Théâtre Typographique[32], Courbevoie, 1996
  • Kyrielle,NOUS, Caen, 2003
  • Ode à la ligne 29 des autobus parisiens, Attila, 2012(ISBN 978-2-917084-58-8)[33]
  • Octogone. Livre de poésie, quelquefois prose, Gallimard, Paris, 2014
  • C et autre poésie (1962-2012), NOUS, Caen, 2015(ISBN 978-2-370840-21-9)
  • Je suis un crabe ponctuel. Anthologie personnelle (1967-2014), Gallimard, Paris, 2016(ISBN 978-2-910227-95-1).
  • Tridents, NOUS, Caen, 2019(ISBN 978-2-370840-72-1)
  • Strophes reverdie, L'Usage, Paris, 2019(ISBN 978-2-9566481-0-9)
  • Chutes, rebonds et autres poèmes simples, Paris, Gallimard, 2021[34],[35]
  • Cent sept plantes, L'Usage, Paris, 2023(ISBN 978-2-9566481-7-8)

Prose

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  • L'Abominable Tisonnier de John McTaggart Ellis McTaggart, et autres vies plus ou moins brèves, Seuil, Paris, 1997
  • Ma vie avec le docteur Lacan,L'Attente, 2004
  • Nous, les moins-que-rien, fils aînés de personne. 12 (+1) autobiographies, Fayard, Paris, 2006

Essais

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Conte

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Écrits autobiographiques

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Bibliothèque oulipienne

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Préface

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Anthologies

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  • Les troubadours : anthologie bilingue, Seghers, Paris, 1971
  • Soleil du soleil : anthologie du sonnet français de Marot à Malherbe, Gallimard, Paris, 1990
  • Quasi-Cristaux, Martine Aboucaya & Yvon Lambert, Paris, 2013 ;également disponible en ligne
  • Esprit de résistance, dir.Jean-Yves Reuzeau pour la sérieL'Année poétique : 118 poètes d'aujourd'hui,Seghers, Paris, 2025(ISBN 9782232148095)[42],[43]

Traductions

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  • Mono no aware. Le Sentiment des choses. Cent quarante-trois poèmes empruntés au japonais, Paris, Gallimard, 1970.
  • Lewis Carroll,La Chasse au Snark, Paris, Garance, 1981 (réédition : Paris, Ramsay, 1986).
  • Charles Reznikoff,Testimony : the United States, 1885-1890 / Témoignage : les États-Unis, 1885-1890 : récitatif, Paris, hachette, 1981.
  • Traduire, journal, Paris,éditions NOUS, 2000(ISBN 2-913549-03-9).
  • « Yhwh convoque » et « Dans le désert » (avec Marie Borel et Jean l'Hour), « Livre de Joël » (avec Jean l'Hour), « Paroles de Qohélet » et « Esther (grec) » (avec Marie Borel et Jean l'Hour), dansLa Bible, Paris, Bayard, 2001.

En collaboration

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Thèses

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Prix et distinctions

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Prix

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Décoration

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Notes et références

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  1. Relevé des fichiers de l'Insee
  2. Jacques Roubaud suroulipo.net.
  3. Grand prix de littérature Paul-Morand,Académie française, consulté le 26 décembre 2019.
  4. Autobiographie chapitre X, p. ?
  5. Voirl'article sur les sextines.
  6. Le Grand Incendie de Londres, p. ?
  7. Nicolas Bergeron, « Quelques vies plus ou moins brèves de Jacques Roubaud », surImages des mathématiques,.
  8. Jacques Roubaud, « Esquisse d’un portrait de Jean Bénabou, catégoricien », surImages des mathématiques, CNRS,(consulté le).
  9. Jean Bénabou et Jacques Roubaud, « Monades et descente »,Comptes rendus de l'Académie des sciences,vol. 270,‎,p. 96-98(lire en ligneAccès libre).
  10. (en) « Bénabou-Roubaud theorem », surnLab(consulté le).
  11. Notice d’autorité de la Bibliothèque nationale de France.
  12. Jacques Roubaud,Mathématique :, Seuil, 1997 (aperçu surGoogle Livres).
  13. Jacques Roubaud, « Les phrases ne sont pas des vers », surLibération,.
  14. Jean-CharlesMonferran, « Le sonnet français, "machine à penser" ou "poème stationnaire" ? Étude de l'agencement rimique du sizain autour de 1550 »,L'information grammaticale,vol. 75,no 1,‎,p. 29–32(DOI 10.3406/igram.1997.2900,lire en ligne, consulté le).
  15. « La forme du sonnet français de Marot à Malherbe : recherche de seconde rhétorique / Jacques Roubaud », sursudoc.fr(consulté le).
  16. UneAnthologie en sera également publiée la même année chezP.O.L sous le titreSoleil du soleil : Le sonnet français de Marot à Malherbe(ISBN 2-86744-175-7).
  17. Alain Schaffner, « Le romanesque dans la trilogie d’Hortense de Jacques Roubaud », revuetemps zéro,no 8.
  18. Marc Parayre, « Traces directes ou indirectes de Jacques Roubaud dans La Disparition de Georges Perec », surLes Cahiers Jacques Roubaud,(consulté le).
  19. Carré d'Art,Jean-Pierre Thiollet, Anagramme éditions, 2008,p. 77.
  20. « Invités d'honneur de l'Oulipo », suroulipo.net(consulté le)
  21. Les premières réalisations de l'ALAMO sont présentés dans la revueAction poétique,no 95.
  22. Camille Bloomfield,Raconter l'Oulipo, Honoré Champion,(ISBN 978-2-7453-3598-2),p. 299-318
  23. Jacques Roubaud, « Lire, écrire ou comment je suis devenu collectionneur de bibliothèques »(consulté le)
  24. a etbValérie Oddos,« Emilienne Malfatto prix Goncourt du premier roman pourQue sur toi se lamente le Tigre »,AFP-France TV Info,.
  25. Guillaume Lecaplain, « Mort de Jacques Roubaud, la poésie dans toutes ses formes »,Libération,‎(lire en ligne)
  26. « Jacques Roubaud, poète et mathématicien des mots, est mort », surLe Monde,
  27. BaptisteFranceschini,L'oulipien translateur : la bibliothèque médiévale de Jacques Roubaud (thèse de doctorat en Littérature française, francophone et comparée -Université Bordeaux 3 etUniversité de Montréal),(lire en ligneAccès libre).
  28. Françoise Siri, « Je suis un crabe ponctuel »,La Croix,‎(lire en ligne).
  29. Nathalie Crom, « Jacques Roubaud : “Je construis des livres qui ont une organisation interne réfléchie” »,Télérama,‎(lire en ligne, consulté le).
  30. Oulipo,Atlas de littérature potentielle, Folio Essais/Gallimard, 1988,p. 90.
  31. Programme du concours 2008 sur le site de l'ENS-LSH..
  32. Voir surthty.fr.
  33. Thierry Clermont, « Ôde à la ligne 29 des autobus parisiens, la magie de Paris »,Le Figaro,‎(lire en ligne, consulté le).
  34. Jean-Didier Wagneur, « Jacques Roubaud, carpes diem »,Libération,‎(lire en ligne, consulté le).
  35. Thierry Clermont, « Chutes, rebonds, etc: les derniers feux de Jacques Roubaud »,Le Figaro,‎(lire en ligne, consulté le).
  36. « Le romanesque dans la trilogie d?Hortense de Jacques Roubaud - temps z?ro », surtempszero.contemporain.info(consulté le)
  37. Jean-BaptisteHarang, « Maître Roubaud »,Libération,‎(lire en ligne, consulté le).
  38. « Jacques Roubaud : « La poésie dit ce qu’elle dit en le disant » », surhumanite.fr,(consulté le).
  39. Eric Loret, « Jacques Roubaud, autobiografiction »,Le Monde,‎(lire en ligne, consulté le).
  40. Christine Marcandier, « Jacques Roubaud : « Qu’est-ce que cela peut être, une autobiographie ? » (Le grand entretien) »,Diacritik,‎(lire en ligne, consulté le).
  41. Voir sureditionsducanoe.fr.
  42. VéroniqueRivière, « Esprit de résistance : l’année poétique », surStrophe,(consulté le)
  43. Muriel Steinmetz, « « Esprit de résistance », une anthologie de cent poètes qui explorent les désordres du monde »Accès payant, surL'Humanité,(consulté le)
  44. Fabienne Darge, « La folle quête du Graal théâtralJacques Roubaud et Florence Delay ont décliné en dix pièces les aventures des chevaliers de la Table ronde »,Le Monde,‎(lire en ligne, consulté le).
  45. « À Lorient de Jacques Jouet et Jacques Roubaud »,Le Monde,‎(lire en ligne, consulté le).
  46. a etb« Page de Jacques Roubaud », surwww.academie-francaise.fr(consulté le).
  47. « Page de Jacques Roubaud », surwww.academie-francaise.fr(consulté le).
  48. Arrêté du 9 juillet 2014 portant nomination et promotion dans l'ordre des Arts et des Lettres

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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