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Jérôme Carcopino

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Pour les articles homonymes, voirCarcopino.

Jérôme Carcopino
Photographie de Jérôme Carcopino publiée à l'occasion de sa nomination comme Secrétaire d'État à l'Instruction publique sous le régime de Vichy,
L'Ouest-Éclair,no 16161,.
Fonctions
Fauteuil 3 de l'Académie française
-
Directeur de l'École normale supérieure
-
Ministre de l'Instruction publique
-
Directeur de l'École normale supérieure
-
Directeur de l'École française de Rome
-1er juin 1940
Directeur intérimaire de l'École française de Rome
-
Membre de l'École française de Rome
-
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Cimetière de Laferté-sur-Aube(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Jérôme Ernest Joseph CarcopinoVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Parentèle
Francis Carco (cousin)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Membre de
Conflit
Lieu de détention
Distinctions
Vue de la sépulture.

modifier -modifier le code -modifier WikidataDocumentation du modèle

Jérôme Ernest JosephCarcopino, né le àVerneuil-sur-Avre (Eure) et mort le dans le7e arrondissement de Paris, est unhistorien spécialiste de laRome antique,haut fonctionnaire ethomme politiquefrançais.

Il est le cousin de l'écrivainFrancis Carco.

Biographie

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Jeunesse et études

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Issu d'un milieu familial républicain et progressiste, Jérôme Carcopino est le fils unique d'un médecin d'origine corse, Joseph Carcopino, qui s'est installé à Verneuil-sur-Avre où il épouse en 1880 Françoise Alphonsine Dumond, fille de propriétaires terriens, qui meurt defièvre typhoïde dix huit mois après la naissance de son fils le[1]. C'est la deuxième épouse de Joseph Carcopino, Amelina Combel, qui va éduquer le jeune Jérôme. Elle est issue d'une famille de la petite bourgeoisie paysanne normande[2].

Jérôme Carcopino estbaptisé à sa naissance mais est plutôtlibre penseur, son retour aucatholicisme s'affirmant en 1938. Lui-même aura six enfants et une de ses filles épousera le fils d'un pédagogue réputé,Georges Bertier. Deux de ses fils meurent de latuberculose.

Il fait ses études secondaires d'abord aucollège Sainte-Barbe, où il est pensionnaire à partir de 1892, puis aulycée Henri-IV[3], qu'il intègre en classe de quatrième. Entré à l'École normale supérieure en 1901, il est reçu premier à l'agrégation d'histoire et de géographie en 1904[4].

Carrière universitaire

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Membre de l'École française de Rome de 1904 à 1907, où il poursuit ses études en compagnie deLouis Halphen,Lucien Romier etLouis Hautecœur, il y séjourne quelque temps et se lie d'amitié avecAlbert Grenier[5]. Il y acquiert un début de renommée internationale par sa polémique avecMichel Rostovtzeff et surtout au sujet de l’inscription d'Ai'n-el-Djemala[6].

Il est ensuite nommé professeur d'histoire au lycée du Havre, où il enseigne de 1907 à 1911[7].

Après avoir été pendant un an secrétaire deRaymond Poincaré, il est chargé de cours en 1912 à lafaculté d'Alger. L'année suivante, il obtient le statut d'inspecteur adjoint et devient directeur du musée national des antiquités algériennes[8].

Pendant laPremière Guerre mondiale, il sert comme lieutenant de zouaves dans l’armée d'Orient et obtient deux citations et laLégion d'honneur à titre militaire. À son retour de cette guerre, il devient pacifiste, conservateur et traditionaliste[9].

En 1918, il soutient ses deux thèses (notamment une traitant des origines d'Ostie selon l'œuvre deVirgile) et est élu maître de conférences d'histoire romaine en 1920, professeur sans chaire en 1925 et professeur d'histoire romaine en 1930 à laSorbonne[10], à la suite de son maîtreGustave Bloch. À la mort deMgr Louis Duchesne, il est nommé directeur par intérim de l'école française de Rome pour l'année scolaire 1922-1923, le temps de désigner un directeur titulaire. Cet intermède lui permet de moderniser profondément cette école et également de relancer sa carrière[11]. En 1931, il est président de laSociété libre d'agriculture, sciences, arts et belles-lettres de l'Eure.En 1937, il est nommé directeur de l'École française de Rome pour six ans mais doit regagner la France après la déclaration de guerre de l'Italie.

Carrière politique

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Ministre de Vichy

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Jérôme Carcopino, au téléphone dans son bureau en décembre 1940 (Bibliothèque interuniversitaire de la Sorbonne, NuBIS).

Sous l'Occupation, il dirige l'École normale supérieure de 1940 à 1942 et assume, sans en avoir le titre, les fonctions derecteur de l'Académie de Paris après la révocation deGustave Roussy à la suite desmanifestations étudiantes du 11 novembre 1940. Catholique mais plutôt laïc, il dénonce les positions cléricales du ministre de l'Instruction publiqueJacques Chevalier.

Le, il est nommé secrétaire d’État à l'Éducation nationale et à la jeunesse dans le gouvernement de l'amiralDarlan. Tout en passant un accord avec le cardinalSuhard sur le financement de l'école privée, ce laïque modéré suspend l'introduction de la religion dans les programmes de morale de l'école primaire et notamment les « devoirs envers Dieu ». « Dieu » cède la place aux « valeurs spirituelles », la patrie, la civilisation chrétienne. Notons toutefois que Jacques Chevalier a été plus tolérant, quoi qu'on en dise, en ne parlant que de Dieu ; Carcopino avec « la civilisation chrétienne » exclut les croyants des autres cultures[12]. L'enseignement religieux n'est plus proposé aux élèves que sous forme facultative. Il attache notamment son nom à la réorganisation de l'enseignement scolaire du (qui institue notamment leDEPP). Il propose àPétain une limitation (numerus clausus) du nombre d'étudiants juifs. Les réformes Carcopino visent à lutter contre la démocratisation de l'école et l'idée d'école unique initiée quelques années plus tôt par les socialistes. Elles favorisent, voire renforcent, le principe d'une école à deux vitesses : abaissement de l'âge de scolarité obligatoire, suppression de la gratuité de l'enseignement secondaire, différenciation entre instituteurs selon la filière, etc. À l'occasion de cette réforme élitiste, le contenu des programmes est modifié[13].

Dans ses fonctions, il fait appliquer les lois du régime de Vichy, notamment les textes excluantjuifs etfrancs-maçons des fonctions publiques. Sa lettre envoyée àJean Wahl pour lui signifier en novembre 1940, un mois après lepremier statut des Juifs, son exclusion de l’École normale supérieure est ainsi considérée par la rédaction dumagazineL'Histoire comme un « sommet de cynisme et de lâcheté mêlés »[14],[15],[16]. Quatorze des cent cinquante universitaires juifs obtiennent cependant une dérogation. Dans certains cas spécifiques, surtout d’universitaires, Carcopino bataille pour obtenir une exemption du statut à des professeurs juifs[17]. Il applique lenumerus clausus aux étudiants mais refuse de l'appliquer aux lycéens. Maréchaliste et pétainiste, il édicte des mesures antisémites[18] et applique scrupuleusement la législation d'exclusion dugouvernement de Vichy[17]. Universitaire républicain à l’origine, à deux reprises son discours se teinte pourtant de considérations antisémites pendant cette période[19].

Proche de l'aile neutre desÉclaireurs de France, dont son fils a été un dirigeant, parent par alliance deGeorges Bertier, il envisage un temps un scoutisme scolaire.

Jules Isaac dit de lui que, parmi les ministres de l'Éducation nationale de Vichy, il est celui« qui a mis, au service de la Révolution nationale, le tempérament le plus autoritaire et la poigne la plus rude[20] ». On lui doit notamment l'exclusion de l'enseignement du jeune philosopheValentin Feldman (1909-1942), alors en poste au collège de Dieppe.

Au même moment, il propose sa succession en Sorbonne à son élèveHenri-Irénée Marrou, dont il n'ignore pas les activités en faveur de larésistance lyonnaise[21].

Le, il est remplacé parAbel Bonnard au poste de secrétaire d'État à l'Éducation nationale.

La Loi Carcopino

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Il est l'auteur de la loi du réglementant lesfouilles archéologiques, complétée par la loi du qui crée un service archéologique géré par leCentre national de la recherche scientifique (CNRS) et organise les circonscriptions[22] archéologiques[23]. Seule la première de ces deux « lois Carcopino » a été validée après laLibération par l'ordonnance du, loi à l'origine de l'organisation administrative de l'archéologie française encore en vigueur, pour partie, auXXIe siècle. Certains auteurs y voient une loi proprement vichyste[24], d'autres une loi de circonstance dans le but de se prémunir contre les fouilles de l'occupant nazi[25].

Retour à l'ENS et déportations au sein de l'école

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Au retour dePierre Laval aux affaires en, Carcopino démissionne et, retrouvant son poste de directeur de l'École normale supérieure, s'efforce de faire échapper ses élèves auService du travail obligatoire (STO). Il instaure une quatrième année d'études permettant aux normaliens de commencer une thèse. Il intervient pour tenter de sauver des élèves et des administrateurs de l'école, telsRaymond Croland (un agrégé-préparateur engagé dans la Résistance) ou Jean Baillou etGeorges Bruhat (le secrétaire général et le directeur adjoint, sans engagement au sein d’un réseau de résistance, ils ont couvert les activités clandestines des élèves), mais ses interventions sont inefficaces : la« famille Bruhat et Aline Baillou garderont le souvenir d’un directeur peu courageux et avant tout soucieux de préserver son sort » et« s’il s’est montré assurément hostile à la loi instaurant le STO, il n’a jamais souhaité pour autant que les normaliens s’engagent dans la Résistance. Il a même publiquement désavoué ceux qui avaient fait ce choix »[26].

Précédemment, Carcopino avait adressé le 8 mars 1944 une lettre en allemand àOtto Abetz pour solliciter, plus de six mois après l’arrestation deCavaillès, la mansuétude pour ce philosophe normalien et fondateur du réseauLibération, au regard de sa valeur intellectuelle[26]. Il rappellera en vain que Cavaillès s’était rendu en Allemagne au début des années 1930 à l’université de Göttingen pour rééditer la correspondance deCantor avecDedekind. Une copie de la lettre a été adressée à la Délégation française d'Armistice à Wiesbaden, qui sera ultérieurement versée à son dossier durant l'épuration[27].

Procès

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À laLibération, il est révoqué de ses fonctions pour sa participation au gouvernement de Vichy. Emprisonné àFresnes en, dans la même cellule queSacha Guitry, il obtient sa libération provisoire en. Le, laHaute cour de justice rend un arrêt de non-lieu pour services rendus à laRésistance, alors que son prédécesseur en tant que secrétaire d'État à l'Instruction publique,Jacques Chevalier, est condamné à vingt ans de travaux forcés, et que son successeur à cette même fonction,Abel Bonnard, est condamné à mort (par contumace)[28]. En 1951, il est réintégré dans la fonction publique.

Dans ses mémoires, il présente, selonSimon Epstein, une« apologie systématique et documentée à l'extrême dupétainisme en général et de son rôle personnel en particulier »[29].

Décès

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Il meurt le en son domicile dans le7e arrondissement de Paris[30] et est inhumé àLaferté-sur-Aube, commune de Haute-Marne où il séjournait régulièrement durant quarante ans.

Apport à l'histoire de la Rome antique

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Historien de la Rome antique, Jérôme Carcopino a publié de nombreux ouvrages parmi lesquels :Ovide et le culte d'Isis,Sylla ou la monarchie manquée (1932),Aspects mystiques de la Rome païenne,De Pythagore aux apôtres,La Vie quotidienne à Rome à l'apogée de l'Empire (1939), etc. Son ouvrage le plus connu est sonCésar (1936).

Membre de l'Académie pontificale d'archéologie romaine, docteurhonoris causa de l'université d'Oxford, membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres, Jérôme Carcopino est élu à l'Académie française le au fauteuil d'André Chaumeix[31], également pétainiste, ce qui lui permet de faire aussi à l'occasion l'éloge de Pétain (« il en admirait le réalisme minutieux et la majestueuse rectitude, la foi intacte dans les destinées du pays, l’abnégation totale et délibérée »). Il y est reçu le parAndré François-Poncet qui prononce à cette occasion un mémorable discours[32].

En 1969, son nom est donné aumusée archéologique d'Aléria, site dont il a encouragé les fouilles.Son épouse, née Antoinette Hillemacher (fille du compositeurLucien Hillemacher), meurt le à 87 ans[réf. nécessaire].

Distinctions

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Iconographie

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Une médaille posthume à l'effigie de Jérôme Carcopino a été exécutée par le graveurCarlo Sarrabezolles en 1970. Un exemplaire en est conservé aumusée Carnavalet (ND 0977).

Publications

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Notes et références

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  1. Corcy-Debray 2001,p. 401.
  2. Pierre Grimal, Claude Carcopino,Paul Ourliac,Jérôme Carcopino : un historien au service de l'Humanisme,Les Belles Lettres,,p. 7.
  3. Pierre Grimal, Claude Carcopino,Paul Ourliac,Jérôme Carcopino : un historien au service de l'Humanisme,Les Belles Lettres,,p. 31
  4. Corcy-Debray 2001,p. 414.
  5. Corcy-Debray 2001,p. 479.
  6. J. Carcopino, « L'inscription d'Ai'n-el-Djemala. Contribution à l'histoire des saltus africains et du colonat partiaire »,Mélanges d'archeologie et d'histoire de l'École française de Rome,vol. 26,‎,p. 365-381
  7. Pierre Bousquet,Histoire de l'administration de l'enseignement en France, 1789-1981,Librairie Droz,,p. 68
  8. Patrick Ferté et Caroline Barrera,Étudiants de l'exil : migrations internationales et universités refuges (XVIe-XXe s.), Presses Univ. du Mirail,,p. 149
  9. Corcy-Debray 2001,p. 469.
  10. ChristopheCharle, « 16. Carcopino (Jérôme, Ernest, Joseph) »,Publications de l'Institut national de recherche pédagogique,vol. 2,no 2,‎,p. 47–49(lire en ligne, consulté le)
  11. Louis-Napoléon Panel, "L'année des quatre empereurs": l'École française de Rome en 1922-1923,MEFRIM, 2011,no 123,p. 285-298.
  12. Emmanuel Bourel Une vision chrétienne de la Révolution nationale (été 1940 - été 1941) - Tours, 1993, p. 277.
  13. JulietteFontaine, « Réformer l’École sous Vichy. Changements et permanences de l’institution scolaire dans la France occupée (1940-1944): »,Éducation et sociétés,vol. no 36,no 2,‎,p. 67–81(ISSN 1373-847X,DOI 10.3917/es.036.0067,lire en ligne, consulté le)
  14. L’Histoire n* 346, « Archives de la vie littéraire sous l'Occupation »,
  15. Cette lettre a été présentée lors de l'exposition « Entre collaboration et résistance », sur la vie littéraire française sous l'Occupation, présentée à la New York Public Library en 2009 et dirigée parRobert Paxton. Dansune interview au journalLe Monde, R. Paxton répond que cette lettre est un des « deux documents qui [le] frappent le plus » : « sinueuse et empêtrée », elle montre que « une partie du monde universitaire et éditorial a fait appliquer le "Statut des juifs", sans grande pression de la part du gouvernement ».
  16. La lettre dit notamment ceciselon le site de Barbara Wahl, fille de Jean Wahl : « J'estime qu’il ne serait conforme ni à la dignité de l’école, ni à la simple équité, de demander à un professeur de la Sorbonne d’assurer un enseignement sans rémunération ».
  17. a etbCorcy-Debray 2001,p. 399.
  18. Décret Pétain-Carcopino du 11 juillet 1941 d’exclusion des Juifs de l’ENS.
  19. Stéphanie Corcy-Debray, « Jérôme Carcopino et les lois d'exception »,Revue d’histoire moderne & contemporaine 2002/4 (no49-4),‎(pages 91 à 100).
  20. Cité par Claude Singer,Vichy, l'Université et les Juifs, Paris, Les Belles Lettres, 1992.
  21. Louis-Napoléon Panel, "Du disciple au maître: Henri Irénée Marrou et Jérôme Carcopino, filiation, amitié et débats d'après leur correspondance (1929-1968)",Cahiers Marrou, 2013,no 6,p. 4-29.
  22. XavierDelestre,Le syndicat des directeurs de circonscriptions, Aix-en-Provence, Ministère de la Culture (DRAC PACA),, 144 p.(ISBN 978-2-11-172258-3, Hal-04081918[PDF]), p.27-42
  23. Jean-Pierre Reboul, « Les lois Carcopino et l'archéologie sous Vichy »,Les Nouvelles de l'archéologie,no 106,‎,p. 34-46
  24. Laurent Olivier, « L’archéologie française et le régime de Vichy »,Les Nouvelles de l’Archéologie,no 67,‎,p. 17-22
  25. Eve Gran-Aymerich, Jean Leclant, André Laronde,Naissance de l'archéologie moderne, 1798-1945,CNRS Editions,,p. 464
  26. a etbStéphane Israël,Les Études et la guerre, les normaliens dans la tourmente (1939-1945), Éditions Rue d’Ulm(lire en ligne), chapitre 8 (p. 241-280)
  27. « Texte d'un message de la Délégation française d'Armistice signalant l'intervention de Carcopino en faveur du professeur Jean Cavaillès, déporté en Allemagne », [s.d.], inHaute Cour de justice. Volume 3. Jérôme Carcopino. Dossier I., cote 3W/121,no 74,Archives nationales,Pierrefitte-sur-Seine.
  28. Corcy-Debray 2001,p. 276.
  29. Simon Epstein,Un paradoxe français – Antiracistes dans la Collaboration, antisémites dans la Résistance, Albin Michel, 2008,(ISBN 978-2-226-17915-9),p. 40.
  30. Archives de Paris7e, acte de décèsno 341, année 1970 (page 2/31)
  31. « Discours de réception ».
  32. « Réponse de M. André François-Poncet au discours de réception de M. Jérôme Carcopino ».
  33. « Jérôme Carcopino à propos de son livre "Les étapes de l'impérialisme romain" » (Lectures pour tous (émission de télévision), 12 min 24 s), surInstitut national de l'audiovisuel,(consulté le)
  34. « Jérôme Carcopino à propos de son livre "Profils de conquérants" » (Lectures pour tous (émission de télévision), 8 min 49), surInstitut national de l'audiovisuel,(consulté le)

Annexes

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Articles connexes

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Bibliographie

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Liens externes

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