La ville est située à l'extrême nord duHaut-Bugey entre les montsBerthiand et laPlastics Vallée. On y trouve une activité industrielle importante, avec des dizaines d'usines de plastiques installées dans le sud de l'agglomération. La commune bénéficie d'une vie associative florissante : plus d'une vingtaine d'associations[2] bénévoles aident le village à se développer. Depuis 1990, la population a plus que doublé passant de 967 habitants à 2 100 habitants. Les ruines du temple gallo-romain et le musée d'archéologie sont les principales attractions touristiques de la commune.
La commune d'Izernore est le chef-lieu ducanton d'Izernore depuis 1827, elle contient septhameaux : Bussy, Cessiat, Charbillat, Intriat, Pérignat, Tignat, le Voërle mais également des fermes isolés : Beauregard, la Grange du Mont, l'Allongeon, le Moulin d'Intriat-La Tournerie, les Trablettes, Surfontaine, la Tour, la Tuilerie et la Ferme des Prés.
La commune, qui s'étend sur 2 085hectares, a son altitude qui varie entre 380 et 762 mètres au sommet du Molard aux Biches à l'est. La plaine a une altitude moyenne de 460 mètres et est le lieu des principales habitations, des industries et des terres cultivées. Les pentes aux reliefskarstiques sont recouvertes de forêt, d'espaces herbus et de masses rocheuses.
La commune est traversée par l'Oignin venant deNurieux-Volognat par l'ouest, et par le ruisseau de l'Anconnans à l'est. L'Oignin est stoppée par lebarrage d'Intriat, qui alimente l'usine électrique des Trablettes grâce à uneconduite forcée. Elle descend ensuite vers la commune deMatafelon-Granges.
Les limites communales de Izernore et celles de ses communes adjacentes.
Izernore est desservie par trois routes départementales[9]. La route départementale 18 est la voie principale du village. Elle permet de rejoindre par le sud la route départementale 979 qui permet de rejoindreBourg-en-Bresse en passant par lecol du Berthiand. Les deux autres voies sont la route départementale 11 qui relieCerdon àMatafelon-Granges en passant par le hameau Intriat, et la route départementale 85 qui permet d'aller àOyonnax par la côte de Ceyssiat.
Au, Izernore est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à7 niveaux définie par l'Insee en 2022[10].Elle appartient à l'unité urbaine de Montréal-la-Cluse, une agglomération intra-départementale dont elle estville-centre[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oyonnax, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[12]. Cette aire, qui regroupe 40 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (46,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (47,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,6 %), prairies (28,2 %), zones agricoles hétérogènes (13,8 %), zones urbanisées (3,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,1 %), mines, décharges et chantiers (1,9 %),terres arables (1,9 %), zones humides intérieures (1,4 %), eaux continentales[Note 2] (0,1 %)[15].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Le nombre total de logements dans la commune est de 666[16]. Parmi ces logements, 91,4 % sont des résidences principales, 5,7 % sont des résidences secondaires et 2,9 % sont des logements vacants. Ces logements sont pour une part de 77,8 % des maisons individuelles, 17,6 % sont d'autre part des appartements et enfin seulement 4,6 % sont des logements d'un autre type. La part d'habitants propriétaires de leur logement est de 56 %[16]. Ce qui est supérieur à la moyenne nationale qui se monte à près de 55,3 %. En conséquence, la part de locataires est de 39,7 % sur l'ensemble des logements qui est inversement inférieur à la moyenne nationale qui est de 39,8 %[16]. On peut noter également que 4,3 % des habitants de la commune sont des personnes logées gratuitement alors qu'au niveau de l'ensemble de laFrance le pourcentage est de 4,9 %. Toujours sur l'ensemble des logements de la commune, 2,6 % sont des studios, 10,2 % sont des logements de deux pièces, 15,4 % en ont trois, 38,1 % des logements disposent de quatre pièces, et 33,7 % des logements ont cinq pièces ou plus[16].
Le nom du village est attesté sous la formeIsarnodori auVIIIe siècle[17] ;Ysernodero en 1299 - 1369 ;Yzernore vers 1350[18].
Albert Dauzat a suggéré en son temps un nom d'homme gauloisIsarnos (surisarno « fer »), suivi dedurum « marché »[17]. En revanche, le toponymisteErnest Nègre et le celtisant Xavier Delamarre proposent directement le vieux celtique continental (gaulois)isarnon (*īsarno-) « fer » etduro- « forteresse » pour le premier[18] et « porte » pour le second (cf. bretondor, gallois « porte »), c'est-à-dire*Īsarnoduro- soit « porte de fer »[19]. X. Delamarre se fonde sur laglose latine : « Gallica lingua Isarnodori, id est ferrei ostii » (« en langue gauloise Isarnodore, c'est-à-dire porte de fer »)[19] et sur le fait qu’*isarno- soit particulièrement bien attesté dans la toponymie (cf.Yzernay, Isarno, etc.) et conserve descognats dans toutes les langues celtiques (vieil irlandaisíarnn, vieux bretonhoiarn, galloishaearn, tous issus d’*īsarno-), ainsi queduro-, qui possède généralement le sens de « marché enclos, place, forum, ville close, bourg », mais qui est bien attesté au sens de « porte » dans leGlossaire de Vienne en tant quedoro :osteo, c'est-à-direostium « porte »[19].
Le linguiste Jacques Lacroix émet une autre hypothèse : Izernore serait plutôt un ancien « Bourg de la Rivière du Sud » (*Īsarnoduro). La localité se situait près de l'extrémité sud-ouest du territoire desSéquanes face auxAmbarres. L'Oignin, coulant dans la zone sud frontalière des Séquanes, a pu ainsi être considérée comme l'eau de la « limite basse ». Le nom initial était composé de trois éléments gaulois : *is- (« bas »), *arno- (« eau en mouvement ») etduron (« bourg »)[20].
Remarque : la terminaison-ore s'explique plus précisément par le-o final d’isarno-, suivi de-duru-, d'où-o-duru- (ó accentué de liaison[18]), puisamuïssement régulier du [d] intervocalique.
L'histoire d'Izernore est marquée par l'époque gallo-romaine. Durant cette période, la commune était l'un des principaux bourgs duBugey. Le temple d'Izernore en est le témoin. Les érudits ont longtemps discuté sur le dieu honoré par ce temple. La thèse d'une dédicace àMars repose sur des preuves ténues : un ex-voto trouvé dans la commune voisine deMatafelon-Granges dédié à Mars[21], une autre inscription venant du village de Mornay[22], unmicrotoponyme localchamp de mare réinterprété enchamp de Mars[réf. nécessaire][Note 3]. La partie inférieure d'un autel dédié àMercure[23] a été découverte dans le périmètre du temple, ce qui justifie une attribution possible à cette divinité[24].
Des fouilles ont également permis de retrouver d'autres ruines. Un inventaire des monnaies trouvées sur le site publié en 1963 recense trente-trois monnaies gauloises, dont vingtpotins et une monnaie d'argentséquanes[25], preuve qu'il était habité à l'époque gauloise.
Izernore fait partie des sites qui prétendent au titre de lieu dusiège d'Alésia. Quelques auteurs, commeJacques Maissiat en 1865,Alexandre Bérard en 1906[26] ou Férréol Butavand en 1930 ont essayé, en vain, d'en apporter la preuve.
Isarnodurum (l'ancien Izernore) se situe au croisement desvoies romaines venant deGenève et deLyon, ce qui en fait une cité développée de l'époque. Des fouilles ont notamment permis de mettre au jour l'emplacement de plusieurs villas gallo-romaines à Bussy et à Pérignat.
La commune a été la proie de plusieurs pillages au cours des siècles[27]. À la fin duIVe siècle, lesAlamans incendièrent la ville. Cette époque est également marquée par la naissance des frèressaint Romain etsaint Lupicin au hameau de Cessiat. Ils sont entre autres les fondateurs de l'abbaye de Condat (aujourd'huiSaint Claude). Un autre habitant d'Izernore, né en 450, devint l'abbé de Condat,saint Oyand.
Inclus dans leroyaume burgonde, puisfranc, Isardonorum est le siège d'un atelier monétaire, productif auVIIe siècle[28]. Des pièces retrouvées ont permis de justifier le fait que la bourgade était encore développée à l'époquemérovingienne.
L'agriculture était la principale source d'activité de ce village auMoyen Âge. Il appartenait auxseigneurs de Bussy qui étaient lesvassaux des sires de Thoire, puis est passée entre les mains des seigneurs de Matafelon auXVe siècle vassaux desducs de Savoie.
Lors de laRévolution, le clocher de l'église fut abattu, on confisqua les cloches et détruisit le château du Voërle. De cette époque, cinq statues de bois ont été retrouvées en 1988, lors de travaux dans le tombeau des prêtres situé sous le chœur de l'église. On suppose qu'elles avaient été « mises à l'abri » pour éviter leur destruction.
La région étant montagneuse et boisée, elle fut favorable à l'implantation desrésistants et desmaquisards. C'est pour cela, qu'en 1944, les Allemands exercèrent des représailles. Le château d'Intriat fut bombardé et partiellement détruit, mais ce fut une erreur, car l'objectif était la destruction du château du Voërle situé de l'autre côté de la vallée. Peu après, il fut tout de même incendié, ainsi que plusieurs maisons du village.
Après avoir occupé divers bâtiments privés, la gendarmerie d'Izernore s'est installée dans le bâtiment actuel en 1967. Elle se situe le long de la route départementale 18 à proximité du centre du village.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].
En 2022, la commune comptait 2 262 habitants[Note 4], en évolution de +0,22 % par rapport à 2016 (Ain : +5,15 %,France horsMayotte : +2,11 %).
Après 1970, qui correspond au tournant industriel d'Izernore, le besoin de main d'œuvre a permis une forte augmentation démographique, avec une population qui a quadruplé en une quarantaine d'années. La vie associative, les habitations se sont ainsi développées[37].
En 2021, le taux de personnes d'un âge inférieur à30 ans s'élève à 36,0 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (35,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à60 ans est de 19,8 % la même année, alors qu'il est de 24,3 % au niveau départemental.
En 2021, la commune comptait 1 139 hommes pour 1 128 femmes, soit un taux de 50,24 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (49,35 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :
Pyramide des âges de la commune en 2021 en pourcentage[38]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,2
90 ou +
0,8
4,4
75-89 ans
6,8
13,7
60-74 ans
13,9
25,1
45-59 ans
25,1
17,5
30-44 ans
20,4
19,0
15-29 ans
13,2
20,0
0-14 ans
19,8
Pyramide des âges du département de l'Ain en 2021 en pourcentage[39]
Par la suite, une école est construite en1956 et comporte trois classes ainsi qu'un préau couvert. La croissance démographique de la commune a permis de développer le groupe scolaire à une dizaine de classes dont quatre sont des maternelles.
Lecollège le plus proche d'Izernore est le collègeThéodore-Rosset deMontréal-la-Cluse. Le département de l'Ain met à disposition un transport scolaire gratuit le matin et le soir qui passe par plusieurs arrêts dans les différents hameaux de la commune.
Il existe unepharmacie à Izernore, ainsi qu'unmédecin et un cabinet infirmier. Ils se situent dans la Grande Rue.
Izernore se situe dans le secteur du centre hospitalier du Haut Bugey àOyonnax. Ce bâtiment ouvert en2007 a permis le regroupement des hôpitaux d'Oyonnax et deNantua qui dataient de l'avant-guerre, mais également une mise aux normes de leurs infrastructures.
Izernore compte plus de vingt associations[41] aussi bien dans les domaines culturels que sportifs ou de loisirs. Il existe des clubs de football, de tennis, de basket, d'hippisme, de gymnastique, de pétanque.
Voici la liste des autres associations culturelles ou de loisirs :
Acti Jeunes
Amicale Pompier
Association Pédestre Monts et Vallée de l'Ain
La Cantonade
Club Photos
Comité des Fêtes
Côté BB
Creatiz
Fleurs d Automne
Histhoiria
SEP - Boute en Train
Sou des écoles
Société de Tir des Monts Berthiand
Office de Tourisme
Les Grillons
Les petits plus
Société de chasse
The Black Eagles
Le calendrier des manifestations[42] est également très rempli, ce qui fait d'Izernore une commune attractive et dynamique. On peut citer par exemple la fête artisanale chaque année en octobre ou la fête patronale aux alentours de la mi-août.
En 2005, le championnat de France decaisse à savon s'est déroulé à Izernore[43].
Le journalLe Progrès propose une édition locale aux communes du Haut-Bugey. Il parait du lundi au dimanche et traite des faits divers, des évènements sportifs et culturels au niveau local, national, et international.
Le journalLa Voix de l’Ain est un hebdomadaire qui propose des informations locales pour les différentes régions du département de l'Ain.
Saint Lupicin [Lupicin de Lauconne[44]] (Izernore v. 415 - monastère de Lauconne auj.Saint-Lupicin, Jura 480) : moine et abbé ; cofondateur, avec son frère Romain, des monastères de Condat, Lauconne et la Balme.
Saint Oyand (Izernore v. 449 - monastère de Condat auj. Saint-Claude, Jura 510) : abbé ; accrut le rayonnement du monastère de Condat.
Comme la plupart des communes de la région, l'agriculture était l'activité principale du village jusqu'à la fin duXIXe siècle. Aujourd'hui, onze exploitations agricoles existent à Izernore[45].
Après1970, avec les décentralisations des entreprisesoyonnaxiennes, la commune voit son activité industrielle ainsi que sa démographie augmenter fortement. La plupart sont des usines de travail de matières plastiques ainsi que les secteurs qui en dérivent, mécaniciens moulistes, polisseurs.
Selon l'enquête de l'Insee en1999[46], les revenus moyens par ménage sont de l'ordre de 17 362 euros par an, alors que la moyenne nationale est de 15 027 euros par an. Par contre, aucun foyer n'est soumis à l'impôt de solidarité sur la fortune.
En 1999, la population d'Izernore se répartissait à 52,3 % d'actifs, bien supérieur au 45,2 % d'actifs de la moyenne nationale, 12,1 % de retraités, un chiffre inférieur au 18,2 % national. On dénombrait également 26,6 % de jeunes scolarisés et 9 % d'autres personnes sans activité.
Les chiffres de l'emploi par secteur d'activité à Izernore démontre bien l'importance de l'industrie pour la commune, car 45 % de la population active est de la catégorie ouvrière.
Le taux dechômage, en 1999, n'est que de 5,1 % alors que la moyenne nationale est de 12,9 %.
Les principales industries[47] en2004 sont les entreprises « Plastibell » et « Goiffon » avec, respectivement, un chiffre d'affaires de 16 et 12 millions d'euros.
Sur les 109 entreprises recensées en 2004 à Izernore, le tiers, soit 36, sont des industries desbiens intermédiaires, notamment spécialisées dans les matières plastiques. Les services aux entreprises sont également répandus puisqu'il en existe 17 établissements. La part des commerces et des entreprises de construction est également importante.
Izernore possède deuxboulangeries, uneboucherie, deuxfleuristes, uneépicerie, un hôtel-restaurant et entre autres une station-service, ce qui offre aux habitants une grande quantité de services.
Le bureau de poste actuel date de1955, il a été construit à la place d'un ancien café par la mairie d'Izernore car celui-ci était sinistré depuis la guerre. La perception y était installée jusqu'en1978[40].
Lemusée archéologique d'Izernore[52] se trouve au cœur du village, dans un bâtiment communal qui abrite également l'Office du Tourisme, à proximité de l'église. Il est labellisé « Musées de France ».
Son inauguration a eu lieu en 1912, mais les Allemands l'ont pillé en 1940 et s'y sont procurés un « butin de guerre ». D'autres musées archéologiques ont également emprunté des objets de la collection.
On y retrouve les divers objets découverts sur le site du temple et répertoriés depuis 1910. Pour la période pré-romaine, les visiteurs peuvent voir des armes, des outils, des bijoux, de la vaisselle en os mais également des matériaux comme du métal ou de l'argile. Pour la période gallo-romaine les objets en exposition sont des outils métalliques à usage domestique, des céramiques, des verreries, des panneaux de fresques, des fragments de mosaïques, des bijoux ainsi qu'une collection de pièces datant des époquesséquanes àmérovingienne. Tout ceci provient de fouilles ou de découvertes fortuites.
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑LeDictionnaire topographique du département de l'Ain d’Édouard Philipon, Paris, 1911, p. 87, indique un autreLe Champ de Mars, lieu-dit de la commune deSainte-Julie dans le même département.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
↑Max Gschaid, « Inscriptions religieuses des cités des Séquanes et des Ambarres : nouvelles interprétations »,Dialogues d'histoire ancienne, vol. 20,no 2, 1994. pp. 168-171,lire en ligne
↑P.-H. Mitard, Les monnaies gauloises d'Izernore,Annales de la société d'émulation de l'Allier, LXVII, 1961-1963, pp. 157-176,Note de lecture
↑C. Baron, R. Bergeret, S. Gonnet, M. Gouilloux, P. Perruchot de la Bussière,Richesses Touristiques et Archéologiques du Canton d'Izernore, ITALIQ, 1998, p. 54(ISBN2-907656-29-5).
↑Jean Lafaurie, « Sur le trésor de Gourdon (Saône-et-Loire) (pl. VI) »,Bulletin de la Société Nationale des Antiquaires de France, 1959,lire en ligne, p. 70
↑Les résultats de ces élections ne sont disponibles que pour l'ensemble du canton d'Izernore.
↑a etbC. Baron, R. Bergeret, S. Gonnet, M. Gouilloux, P. Perruchot de la Bussière,Richesses Touristiques et Archéologiques du Canton d'Izernore, ITALIQ, 1998, p. 67(ISBN2-907656-29-5).
↑C. Baron, R. Bergeret, S. Gonnet, M. Gouilloux, P. Perruchot de la Bussière,Richesses Touristiques et Archéologiques du Canton d'Izernore, ITALIQ, 1998, p. 52 - 53(ISBN2-907656-29-5).
C. Baron, R. Bergeret, S. Gonnet, M. Gouilloux, P. Perruchot de la Bussière,Richesses Touristiques et Archéologiques du Canton d'Izernore, ITALIQ, 1998,p. 50 - 79(ISBN2-907656-29-5)
Georges Vicherd dir., « Izernore, Saint-Vulbas et Vieu-en-Valromey. Trois bourgades antiques dans l'Ain. Bilan archéologique et historiographique »,Cahiers René de Lucinge, 31, 1996, 108 p., ill.
Djamilla Fellague, Emmanuel Ferber, Daniel Parent, Izernore, retour au temple, dansArchéologia,no 529,,p. 50–57.