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Italie (époque romaine)

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Carte des provinces de l'Empire romain après120. L'Italie romaine est en rouge.

À l'époque de laRome antique, dans les derniers siècles de laRépublique, puis sous l'Empire, la notion d'Italie évolua pour parvenir à désigner lapéninsule italienne dans sa totalité, deBrindisi jusqu'auxAlpes, mais elle ne concerna les îles majeures (Corse,Sardaigne etSicile) que pendant la période qui suivit laTétrarchie (IVe siècle).

Extension du toponyme

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Selon les témoignages d’Hécatée de Milet, sans doute, puis d’Antiochos de Syracuse[1] et deTimée de Tauroménion[2], le terme d’Italie, appelée aussiOenôtrie, renvoyait à l’origine à une partie très limitée duBruttium antique, d’abord à la région qui se trouve au sud de l’isthme séparant legolfe de Skylletion etcelui d’Hipponion (aujourd’hui golfes de Squillace et de Sainte-Euphémie), puis à celle qui s’étend entreLaos, sur le versant tyrrhénien, etMétaponte[3], sur le versantionien, et enfin à l’ensemble de laGrande-Grèce.

Le terme d'Italie désigna ensuite la partie de lapéninsule italienne au sud de l'Aesis (Esino), borne de laGaule cisalpine. La limite entre l'Italie et la Gaule cisalpine fut plus tard portée auRubicon.

SousAuguste, le terme d'Italie désigna l'ensemble de la péninsule jusqu'auxAlpes. Plus précisément, l'Italie désigna la partie de la péninsule divisée en régions. LesAlpes cottiennes en étaient exclues.

AuBas-Empire, le terme d'Italie fut utilisé pour qualifier lediocèse d'Italie, comprenant, outre la péninsule, les provinces insulaires deCorse, deSardaigne etSicile ainsi que les provinces alpestres des Alpes cottiennes et deRhétie. L'Italie désigna aussi une préfecture : la préfecture d'Italie, composé des diocèses d'Italie, d'Illyrie et d'Afrique.

L'Italie romaine : une exception face aux provinces

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Une portion de laTable de Peutinger, copie d'époque renaissance d'une carte romaine duIVe siècle, montrant au centre le sud de l'Italie.

Sous laRépublique et pendant leHaut-Empire, on ne considérait jamais que la Sicile, la Sardaigne et la Corse faisaient partie de l'Italie. De même, sous l'Empire, une partie de l'Italie actuelle dépendait des provinces des Alpes :Alpes cottiennes ouRhétie. Les limites de l'Italie, dans le nord de la péninsule ont, en effet, été changeantes. De nombreux peuples s'en disputaient le territoire :Italiotes,Ligures,Étrusques, puisCeltes etRomains. La présence celte fut suffisamment forte et influente pour que lenord de l'Italie actuelle fût longtemps considéré comme une partie du monde celtique et nomméGaule cisalpine[4] ou Gaule transpadane[5]. À ce titre, ce fut la seule partie de la péninsule qui fut effectivement uneprovince romaine, la province de Gaule cisalpine. Après César cependant, cette province disparaît, devenant à part entière un morceau de l'Italie.

Le territoire de l'Italie, qui fut le premier champ d'expansion de la puissance romaine, fut intégré à l'empire naissant selon des modalités variables :colonies romaines et latines, traités d'alliance (Fœdus), confiscation du territoire. Jamais cependant l'Italie ne fut considérée comme une province, ce terme étant réservé à l'administration des territoires non italiques. Si le motprovincia est parfois utilisé par certaines de nos sources en relation avec des fonctions en Italie, ce n'est jamais dans son sens administratif ou technique mais dans son sens le plus large, celui de « district relevant d'un magistrat ». Ainsi à l'époque tardive leDigeste parle-t-il de laprovincia dupréfet de la Ville ; ainsi trouve-t-on aussi sous la République le termeprovincia utilisé pour la gestion des forêts de la péninsule. Même lorsque l'Italie n'eut plus aucun privilège par rapport aux provinces, après laTétrarchie, le pouvoir romain évita toujours le mot province, lui substituant celui de région (regio,regiones).

En effet, après laGuerre sociale, les destins des Italiens et des Romains ne font plus qu'un, et la péninsule se distingue fortement des autres territoires contrôlés par Rome. L'avènement de l'Empire renforce dans un premier temps cette situation, l'Italie jouissant d'un prestige inégalé et de privilèges forts, en même temps que d'une position hégémoniquemilitaire mais aussiéconomique dans laMéditerranée. Seuls les Italiens, en effet, sont tous citoyens romains grâce au droit du sol (Jus soli), mais ce privilège est accordé aussi aux colonies romaines dans les provinces et aux villes bénéficiant duJus italicum. L'intégration progressive des provinces à l'Empire, leurromanisation juridique et culturelle, et leur développement économique et social relativisent auIIIe siècle cette exception italienne. LeIIe siècle marque un tournant puisque, dans certains domaines, le poids des provinces commence à dépasser celui de l'Italie, et l'administration de l'Italie se rapproche de celle des provinces. Les difficultés duIIIe siècle et les réformes post-tétrarchiques mettent définitivement fin à l'exception, même si le poids du prestige passé reste. L'éloignement desempereurs, la fondation deConstantinople, nouvelle capitale en Orient, et les divisions nées desinvasions barbares voient une Italie à nouveau divisée entrer dans leHaut Moyen Âge.

L'œuvre d'Auguste

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Les onze régions augustéennes.
Carte historique de l'Italie à l'époque d'Auguste.

La réorganisationaugustéenne parachève l'intégration de l'ancienne Gaule cisalpine dans l'Italie. Les régions nord de la péninsule, de la Ligurie à la Transpadane (actuelle Lombardie), entrent pleinement dans l'Italie. La ville de Rome et son pourtour sur un rayon de centmilles, formant le « diocèse urbain », sont sous l'administration dupréfet de la Ville, le reste de l'Italie, divisé en 11 régions, dépend dupréfet du prétoire.Pline l'Ancien est le seul auteur antique à donner la liste de ces régions administratives qui servaient de cadre aurecensement mais qui ne semblent pas avoir eu d'autres fonctions connues[6] :

NuméroDénomination usuelleComposantes
Regio ILatium et Campania (Latium et Campanie)
  • Le Latium, comprenant :
    • leLatium vetus (Vieux Latium) ;
    • leLatium novum (Nouveau Latium) ouLatium adiectum (Latium ajouté) ;
  • la Campanie, comprenant :
    • la Campanie proprement dite ;
    • la Picentine.
Regio IIApulia et Calabria (Apulie etCalabre)L'Apulie, partie de l'ancienne Grande-Grèce, comprenant l'Apulie proprement dite (Daunienne et Peucetienne) et la Messapie (Calabri et Salentini)
Regio IIILucania et Bruttium (Lucanie etBruttium)L'Œsnotrie, partie de l'ancienneGrande-Grèce, comprenant :
  • LaLucania (Lucanie) ;
  • le Bruttium (actuelle Calabre).
Regio IVSamnium (Samnium)-
Regio VPicenum (Picenum)-
Regio VIUmbria (Ombrie) etAger gallicus
  • L'Umbria (Ombrie proprement dite), en deçà de l'Apennin ;
  • laVolumbria (Volonbrie), par-delà l'Apennin ;
  • l'Ager gallicus.
Regio VII[Note 1]Etruria (Étrurie)-
Regio VIIIAemilia (Emilie)-
Regio IXLiguria (Ligurie)-
Regio XVenetia et Histria (Vénétie et Istrie)-
Regio XITranspadana (Transpadane)-

L'Italie est alors la partie la plus privilégiée de l'empire puisque tous ses habitants libres sont citoyens romains et exemptés de l'impôt direct, à l'exception du nouvel impôt sur les héritages créé pour financer les besoins militaires (retraite des vétérans).

Sous l'Empire

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À partir duIIe siècle

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La place de l'Italie dans l'Empire auIIe siècle commence à perdre de sa prépondérance. La romanisation des provinces, et, pour certaines, l'intégration bien entamée de leurs élites au sein des ordres équestre et sénatorial amoindrissent le caractère exceptionnel de l'Italie. Même si les Italiens restent majoritaires au sénat jusqu'à la fin du siècle, l'entrée de provinciaux change la donne politique. LeIIe siècle voit l'Empire gouverné par des empereurs issus de familles provinciales, bien qu'ils soient d'origine italienne :Trajan etHadrien issus de l'Hispanie,Antonin le Pieux deNarbonnaise. Dès les premières années du siècle, Trajan doit réglementer la présence des sénateurs en Italie en les obligeant à posséder une partie importante (un tiers) de leurs terres en Italie. SelonPline le Jeune (VI, 19), certains sénateurs habitaient en effet en Italie comme dans une hôtellerie, tels des voyageurs. La mesure n'a qu'un effet limité et est réitérée parMarc Aurèle mais dans une moindre mesure (un quart des terres).

D'autres facteurs qui assuraient sa prééminence sur l'Empire changent peu à peu en une inflexion, qui dure tout au long du siècle et a commencé auIer siècle. Leslégions, désormais fixées aux frontières, dans des provinces éloignées, régionalisent peu à peu leur recrutement. La part des Italiens dans l'armée diminue, et celle des provinciaux augmente, même si les Italiens n'ont jamais abandonné les postes d'officiers comme ceux decenturions. Les régions traditionnelles de recrutement militaire en Italie ne sont plus mises à contribution qu'exceptionnellement, à l'occasion de la création de nouvelles légions par exemple, comme est le cas sous Marc Aurèle.

Pendant longtemps. ces observations étaient appuyées par le tableau d'une Italie romaine sur le déclin, touchée par une grave crise économique, la dépopulation et finalement incapable de s'opposer à la concurrence des provinces. S'il est vrai que dans certains domaines des provinces savent capter des marchés assurés auparavant par l'Italie comme lacéramique sigillée, il est difficile d'extrapoler une situation générale. Le déplacement des productions de sigillées de l'Italie en Gaule correspond aussi à l'émergence sur le Rhin de la demande des légionnaires. Par ailleurs, on peut, avec Moses Finley, minimiser l'importance globale de ces productions dans l'économie antique. Inversement, une partie des chercheurs les considèrent comme un marqueur de déplacements économiques plus importants mais moins visibles dans nos sources. Dans cette perspective, quelques chantiers de fouilles exemplaires reçoivent une exposition très forte et semblent parfois résumer le destin de l'Italie et de son économie auIIe siècle. C'est le cas de la villa de Settefinestre vers Cosa, qui voit ses productions décliner et abandonnées vers 160-170.

Là encore, il est risqué de généraliser l'histoire, même brillamment reconstituée, d'une seule région, et de vouloir en tirer des enseignements pour toute l'Italie. D'autres régions montrent, au contraire, un dynamisme agraire et économique, comme la région d'Aquilée. Il semble aussi qu'il faut comprendre les nombreuses importations venant des provinces non comme le signe d'un déclin de l'Italie mais plutôt comme la résultante de la taille disproportionnée du marché romain et d'une situation technologique, certains transports maritimes à longue distance étant plus économiques que des transports terrestres à moyenne distance. L'Italie seule ne peut nourrir Rome, les importations rendent compte de ce fait plus que d'un déclin que l'on peine de plus en plus à voir auIIe siècle. De même, le déclin démographique n'est plus placé avant laPeste antonine, et les conséquences de cette dernière sont discutées et peu claires.

La place symbolique de l'Italie n'est guère atteinte non plus et est l'objet de la sollicitude des empereurs qui résident pour la plupart sur son territoire à l'exception des empereurs engagés dans des guerres (Trajan, Marc Aurèle) et d'Hadrien, voyageur par goût et peut-être par volonté politique. L'institution des fondations alimentaires par Trajan, tout autant que le besoin d'aider certains Italiens peu fortunés, témoignent de la sollicitude de l'empereur pour la terre italienne et ses citoyens. Néanmoins, cette sollicitude a aussi un revers : un contrôle approfondi sur l'autonomie municipale des nombreuses cités de la péninsule. C'est à travers l'institution des curateurs qu'il se manifeste. On n'interprète plus cependant le curateur comme l'expression d'une volonté impériale de mainmise sur les cités, et on connaît mieux, depuis les travaux de F. Jacques, la distance qu'il peut avoir avec la cité qu'il doit surveiller ponctuellement. Le principe d'une surveillance par l'administration impériale s'impose, cependant.

Hadrien voulut-il l'approfondir encore ? Il confie l'Italie à quatre consulaires portant le titre de légats d'auguste propréteur, titre utilisé pour lesgouverneurs de province. Le tollé soulevé dans le Sénat cause l'annulation de la mesure par son successeur. Elle répond pourtant à un réel besoin. Les régions d'Italie avaient besoin d'une administration plus hiérarchisée, en particulier dans le domaine de la justice civile (droit des tutelles). Marc Aurèle crée donc en 165 les juridiques (iuridici), qui exercent dans des districts au découpage géographique assez changeant. La zone située dans les 100 milles autour de Rome dépend du préfet de la ville, qui voit ses prérogatives augmentées sous lesSévères. Hors de cette zone, pour des affaires graves ou touchant aux intérêts de l'empereur ou à des questions de maintien de l'ordre, lepréfet du prétoire peut intervenir, comme il fait vers 168 en forçant la cité de Saepinum à respecter le droit des pasteurs transhumants. Vers 214-217,Caracalla institue des correcteurs investis de pouvoirs analogues à ceux des gouverneurs de provinces. La fonction reste, cependant, exceptionnelle et concerne l’Italie entière, qui conserve son indivisibilité traditionnelle[13].

À bien des égards, leIIe siècle est pour l'Italie un siècle de transition, de recul de sa prééminence mais en aucun cas le déclin qu'a voulu voir une historiographie dépassée jusque dans les années 1970 en s'appuyant entre autres sur les thèses de M. Rostovtseff.

Italia suburbicaria sous le gouvernement deRomeItalia annonaria, avec pour capital Mediolanum (Milan)

À partir de la fin duIIIe siècle

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Article connexe :Italie médiévale.

Entre 268 et 273,Aurélien transforme la correcture, instituée par Caracalla en une fonction permanente[14].

À partir de lacrise duIIIe siècle, la situation de l'empire se détériore constamment. Les problèmes économiques, les incursions barbares et lesguerres civiles ont mené à une désintégration presque complète de l'Empire. Des réformes drastiques sont mises en œuvre parDioclétien (284-305), et ladivision de l'Empire romain est consommée sousConstantinIer. En 293,Milan est déjà devenue la capitale de l'Empire romain d'Occident, mais en 330,Constantinople devient la capitale de l'Empire romain d'Orient, et, de fait, l'administration et la cour impériale se déplacent vers Constantinople. Constantin fait également déplacer laflotte italienne basée àMisenum (Misène) etRavenne pour le Pont. Il favorise aussi la diffusion de la religionchrétienne (313,édit de Milan) en supprimant les freins à cette diffusion, et il s'allie réellement avec l'Église.

Le christianisme devient la seule religion officielle de l'Empire en 380, sousThéodoseIer. Après la mort de ce dernier en 395, l'Empire romain d'Occident n'est plus constitué que de l'Italie. La capitale occidentale est déplacée deMediolanum (Milan) à Ravenne en 402.Alaric, roi desWisigoths,met à sac Rome en 410, pour la première fois depuis 800 ans. Quelques décennies plus tard, le nord de l'Italie est attaqué par lesHuns d'Attila.

D'après leNotitia Dignitatum, après les années 420, l'Empire d'Occident, avec l'Afrique et l'Illyrie, est géré par unpraetorio Prefectus Italiae, unvicarius et uncomes rei militaris. Les régions sont gouvernées par huitconsulares, deuxcorrectores et quatrepraesides.

consularescorrectorespraesides
  • Venetiae et Histriae
  • Aemiliae
  • Liguriae
  • Flaminiae et Piceni annonarii
  • Tusciae et Umbriae
  • Piceni suburbicarii
  • Campaniae
  • Siciliae
  • Apuliae et Calabriae
  • Lucaniae et Bruttiorum
  • Alpium Cottiarum
  • Samnii
  • Sardiniae
  • Corsicae.

Les empereurs, dirigeant des forces barbares, contrôlent peu leurs frontières et leurs côtes, qui sont perpétuellement attaquées. En 476, avec la chute deRomulus Augustule, l'Empire d'Occident disparaît. L'Italie reste gouvernée parOdoacre quelques années jusqu'à l'invasion des Goths. Un siècle plus tard, après les invasions successives des Byzantins et desLombards, l'Italie est divisée en plusieurs royaumes. Laréunification de l'Italie ne se reproduira qu'auXIXe siècle.

Notes et références

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Notes

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  1. Ce territoire correspond, peu ou prou, à l'actuelle région deToscane. De nombreux historiens modernes, grâce auxécrits des anciens à répercuter l'intégration à l'empire romain, en27av. J.-C., de l'ancienterritoire étrusque sous la forme de« Regio »[7],[8],[9],[10],[11],[12].

Références

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  1. D'après Denys d'Halicarnasse,Antiquités romaine, I, 12, 3 ; I, 35 et I, 73, 3 ; Strabon,Géographie, VI, 1, 4, 254 ; et Étienne de Byzance, s. v.Bρέttoς.
  2. D'après Denys d'Halicarnasse,op. cit., I, 73 ; et Strabon,op. cit., III, 136 et V, 24 ; Pseudo-Aristote,De mir. ausc., 78.
  3. L'actuel Metaponto, hameau de la commune deBernalda.
  4. la Gaule d'avant les Alpes
  5. Gaule d'au-delà du Pô.
  6. SebastianRuciński,Praefectus urbi : le Gardien de l'ordre public à Rome sous le Haut-Empire Romain, Wydawnictwo Naukowe,, 290 p.(ISBN 978-8360251317,lire en ligne), « 4: Étendue territoriale »,p. 72-78
  7. BertrandGoffaux, « La construction publique en Étrurie à l'époque augustéenne. »,L'antiquité classique,vol. Tome 66,‎, page 208(DOI 10.3406/antiq.1997.1275,lire en ligne, consulté le).
  8. (en) Collectif,The Building Blocks of Empire : Civic Architecture, Central Italy, and the Roman Middle Republic, Proquest,, 358 p.(lire en ligne), page 152.
  9. (en) LisbethBredholt Christensen, OlavHammer et DavidWarburton,The Handbook of Religions in Ancient Europe,Routledge,, 512 p.(lire en ligne), page 413.
  10. (en) RalphHaeusseler,Becoming Roman? : Diverging Identities and Experiences in Ancient Northwest Italy,Routledge,, 386 p.(lire en ligne).
  11. (en) JoanneBerry (dir.) et RayLawrence (dir.),« Territory, Toponyms and Geography », dans Joanne Berry, Ray Lawrence,Cultural Identity in the Roman Empire, Routledge,, 224 p.(lire en ligne), Geographer's ethnicities.
  12. Jean-MarcIrollo,Histoire des étrusques : L'antique civilisation toscaneVIIe-Ier siècle av. J.-C., Paris,Perrin,coll. « Tempus »,, 212 p.(ISBN 978-2-262-02837-4), page 187.
  13. Léon Homo,Nouvelle histoire romaine,Fayard,(présentation en ligne).
  14. Camille Jullian,Les transformations politiques de l'Italie sous les empereurs romains : 43 av. J.-C. - 330 ap. J.-C., Thorin,(présentation en ligne).

Annexes

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Sources antiques

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  • StrabonGeografia, IV, 6 ; V, 1-4 ; VI, 1

Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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