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Institut d'optique Graduate School

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Pour les articles homonymes, voirESO etIOTA.

Institut d'Optique Graduate School
Université Paris-Saclay
Logo de l'Institut d'Optique Graduate School.
Histoire
Fondation
Statut
Type
Forme juridique
Fondation reconnue d'utilité publique en France(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom officiel
Institut d'Optique Théorique et Appliquée (IOTA)
Régime linguistique
Fondateur
Président
Directeur général
Devise
A Lumine Motus (Animés par la Lumière)
Membre de
Site web
Chiffres-clés
Étudiants
450 élèves-ingénieurs
Enseignants
250 enseignants et industriels intervenant dans la formation
Chercheurs
120
Localisation
Pays
Campus

Paris-Saclay :

Saint-Étienne (Campus Manufacture)

Bordeaux (Domaine universitaire de Talence Pessac Gradignan)
Ville
Localisation sur la carte de l’Essonne
voir sur la carte de l’Essonne

modifier -modifier le code -modifier WikidataDocumentation du modèle

L’Institut d'Optique Graduate School (officiellementInstitut d'Optique théorique et appliquée ouIOTA, aussi connu sous le nom d'École supérieure d'Optique,SupOptique ouSupOp) est l'une des204écoles d'ingénieursfrançaises accréditées au à délivrer undiplôme d'ingénieur[1] et est un « établissement-composante » de l'université Paris-Saclay[2]. Il est également membre deParisTech[3].

Considérée comme l'une des meilleuresécoles d'ingénieur deFrance, elle fut historiquement uneécole d'application de l’École Polytechnique à l'origine du corps d'ingénieurs-opticiens.

Sa spécialité est laphysique quantique, l'optique, laphotonique et leurs applications industrielles et scientifiques.

L'École d'ingénieurs[4] de l'Institut d'Optique Théorique et Appliquée, l'École Supérieure d'Optique, fut ouverte en 1920 dans le but de former des ingénieurs et des cadres pour l'industrie de l'optique française. Comme pour les autresgrandes écoles fondées après guerre, son concours de recrutement est mixte dès sa création[5]. L'Institut d'Optique Théorique et Appliquée constitue le plus ancien établissement d'enseignement supérieur et de recherche en optique et en photonique du monde[6] et le plus important en nombre annuel de diplômés.

Réputée pour son enseignement, l'école dispense un enseignement supérieur scientifique et technique s'adressant à des étudiants issus principalement desclasses préparatoires aux grandes écoles. Elle forme desingénieurs destinés à prendre en charge le développement des techniques optiques dans les domaines des solutions durables pour l’énergie, de la société numérique, des avancées médicales, des mobilités nouvelles, de l'aéronautique, de l'électronique et de l'opto-électronique, des systèmes de mesure, de contrôle et de sécurité innovants. Elle forme également des chercheurs et des enseignants dans les domaines de l'optique et de la physique de la matière.

Depuis la rentrée 2006, le nom d'usage de l'établissement dans toutes ses composantes est « Institut d'OptiqueGraduate School », l'École étant également connue sous le nom de SupOptique.

En 2020, l’Institut d'Optique Graduate School fait son entrée dans l'édition duclassement de Shanghai[7][source insuffisante], qui récompense l'Université Paris-Saclay dans plusieurs disciplines.

Le classement établit notamment l'Université Paris-Saclay comme1er établissement français et14e mondial[8], mais également1er mondial en mathématiques[9] et9e en physique[10].

Présentation générale

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Historique

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Les locaux de l'Institut d'Optique àPalaiseau (Paris-Saclay).

L’Institut d’Optique Théorique et Appliquée est créé en 1917. Il s’agissait de former des ingénieurs en optique à des fins militaires. L’Institut commence à avoir une activité en 1920. La même année, l’École estreconnue d’utilité publique[11]. L’établissement est installé 140boulevard du Montparnasse àParis, son activité consiste à produire des études pour l’industrie. En 1926, l’Institut d’Optique déménageboulevard Pasteur, et la recherche devient plus fondamentale. Pendant laSeconde Guerre mondiale, en 1942, la durée de la scolarité passe d'un à deux ans[12].

En 1966, les laboratoires de l’Institut sont associés auCNRS. Du côté de l’École, la durée des études passe à trois ans en 1952 et le recrutement se fait sur concours. Une partie de l’Institut s’installe àOrsay (inauguration le)[13].

Entre 1999 et 2006, le nombre d’ingénieurs augmente fortement. Une antenne de l’Institut ouvre àSaint-Étienne[14]. Le, les nouveaux locaux de l’École àPalaiseau sont inaugurés et l'Institut prend comme nom d’usage « Institut d’OptiqueGraduate School ». En 2008, il s’engage dans le pôleParisTech[15]. Et en 2012, un troisième campus est inauguré àBordeaux.

Liste des directeurs

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Présidents du conseil d'administration :

logotype de l’Institut d'Optique Théorique et Appliquée en 1968.

Directeurs généraux :

Directeurs généraux adjoints :

  • Raphaël Clerc (depuis 2022) directeur général adjoint à l'enseignement
  • Riad Haidar, (2019-2021) directeur général adjoint à l'enseignement
  • Philippe Bouyer, (depuis 2017) directeur délégué de l’Institut d’Optique Graduate School en Aquitaine.
  • François Balembois, (2014 - 2019), directeur général adjoint à l'enseignement
  • Jean-Michel Jonathan, (1999 - 2013) directeur adjoint de l'École puis responsable du secteur formation puis directeur général adjoint à l'enseignement
  • Pierre Chavel, (1998 - 2014) directeur du laboratoire Charles Fabry de l'Institut d'Optique, responsable du secteur recherche et valorisation puis directeur général adjoint à la recherche
  • Alain Aspect, (1992 - 1994) directeur adjoint de l'École, membre de l'Académie des sciences,médaille d'or du CNRS 2005,Prix Nobel de physique 2022
  • Christian Imbert, (1979 - 1984) directeur adjoint de l'École
  • Albert Arnulf, (1945 - 1968) directeur des laboratoires
  • Pierre Fleury, (1940 - 1945) directeur délégué
  • Georges Guadet, (1936 - 1939) directeur
  • Charles Dévé, (1919 - 1936) directeur adjoint puis directeur

Campus

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L’École est installée à Palaiseau, dans des bâtiments de 12 200 m2, sur le territoire deParis-Saclay près de l'École polytechnique. L’école nationale supérieure de techniques avancées s'y est également installée en 2012, ainsi que l’école nationale de la statistique et de l'administration économique en 2017,Telecom Paris en 2018 et l'ENS Paris-Saclay en 2020.

L'Institut d'Optique Graduate School dédie un bâtiment de 10 000 m2 au 503, centre d'entrepreneuriat et d'innovation en photonique, situé sur le campus de l'Université Paris-Saclay, à Orsay.

L’École a ouvert une antenne àSaint-Étienne au sein du pôle optique Rhône-Alpes duCampus de Carnot. Les élèves peuvent suivre leurs deuxième et troisième années d'étude d'ingénieur en double diplôme avec le master en sciences et technologie à finalité recherche, mention Optique, Image et Vision délivré par l'université de Saint-Étienne. L'observatoire astronomique de l'école a été installé sur ce site.

Depuis 2012, l'Institut d'Optique a ouvert une antenne àBordeaux sur ledomaine universitaire de Talence Pessac Gradignan.

Enseignement

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Admission

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Le recrutement des élèves-ingénieurs se fait majoritairement sur leconcours Centrale-Supélec après lesclasses préparatoires aux grandes écoles (filière de classes préparatoires MP, PSI, PC, PT, TSI). Les barres d'admission sont révisées annuellement. Les admissions parallèles sont possibles en première ou en deuxième année. Il est également possible d'accéder au cursus d'ingénieur par la voie universitaire avec leconcours GEI-univ.

SupOptique étant une des 18 écoles d'application de l'École polytechnique, certains élèves polytechniciens intègrent SupOptique en dernière année après des cours de mise à niveau. C'est aussi le cas de certains élèves de l'École Normale Supérieure de Paris-Saclay souhaitant obtenir un titre d'ingénieur diplômé.

Le recrutement pour la préparation du diplôme national de master se fait sur dossier.

Cycle ingénieur

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La formation des ingénieurs dure trois ans. Trois filières sont proposées aux élèves :

  • Filière classique
  • Filière Innovation-Entrepreneur
  • Filière par apprentissage (CFA SupOptique)

L'effectif total du cycle ingénieur est de 450 élèves environ[16].

Titre d'ingénieur diplômé

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L'École est habilitée à délivrer des diplômes conférant le titre d'ingénieur. À la suite de la promulgation de la loi du relative aux conditions de délivrance et à l'usage du titre d'ingénieur diplômé, le titre d'ingénieur diplômé de l'école a été immédiatement reconnu par l'État du fait de la formation d'ingénieurs des corps de l'État au sein de celle-ci[17].

Ce titre d'ingénieur permet notamment de se présenter à différents concours de la fonction publique (corps des ingénieurs de recherche desEPST, corps des ingénieurs hospitaliers en chef, corps des ingénieurs des travaux publics de l'État) et offrait la possibilité, d'exercer la profession réglementée d'opticien lunetier détaillant[18].

SupOptique fut une des premières écoles d'ingénieurs mixtes[5]. Sa première diplômée est Suzanne Lévy-Bloch, faisant partie de la promotion 1922, promotion qui comprend les quatre premiers élèves diplômés de l'École. Suzanne Lévy-Bloch a exercé son métier d'ingénieur en étant chargée de la conception des optiques au sein des Établissements Boyer, spécialisés dans les objectifs photographiques[19].

Masters

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L'Institut d'Optique Graduate School propose de nombreux masters en doubles diplômes avec les universités des trois campus (l'université Paris-Saclay, l'université Jean Monnet à Saint-Étienne et l'université de Bordeaux).

Un quart des élèves-ingénieurs prépare en parallèle le diplôme de master, de nombreux cours étant communs aux deux formations.

Formation continue

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La formation continue dans tous les domaines de l'optique et de la photonique est l’une des missions majeures de l’Institut d’Optique Graduate School depuis sa création en 1917.

Les formations s'appuient sur plus de 70 montages expérimentaux et travaux pratiques de haut niveau de l’École d'ingénieur.

Recherche

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Laboratoire Charles Fabry

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Le Laboratoire Charles Fabry a été créé en 1998. Il constitue uneunité mixte de recherche (UMRno 8501) entre l'Institut d'Optique Graduate School et leCNRS et en partenariat avec l'Université Paris-Saclay. Organisé en huit groupes de recherche aux thèmes bien définis, il est le pilier historique de la recherche au sein de l'Institut d'Optique Graduate School. La recherche du laboratoire couvre un large spectre de l'optique-photonique et de ses applications.

Le laboratoire Charles Fabry est de ce fait un laboratoire d'interface entre deux instituts du CNRS. Principalement rattaché à l'Institut de Physique, il est également rattaché à l'Institut des sciences de l'ingénierie et des systèmes. Depuis, il est dirigé par Patrick Georges.

Les miroirs de la missionSTEREO de laNASA ont été réalisés par l'atelier d'optique et l'équipe Surfaces optiques de l'école[20][source insuffisante]

Laboratoire Photonique, Numérique et Nanosciences (LP2N)

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Le Laboratoire Photonique, Numérique et Nanosciences (LP2N) est uneUnité Mixte de Recherche (UMR 5298) entre l’Institut d’Optique Graduate School, l’Université de Bordeaux et leCNRS. Elle a été créée le. Elle forme une des composantes du site bordelais de l’Institut d’Optique au sein de l’Institut d’Optique d’Aquitaine où formation, recherche et innovation cohabitent. Sa recherche se concentre autour des systèmes complexes intégrant l’optique et l’informatique.

Le LP2N est une jeune structure dynamique déjà plusieurs fois récompensée[réf. nécessaire]. Elle est impliquée dans plusieurs grands projets nationaux et internationaux.

Laboratoire Hubert Curien

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Le laboratoire Hubert Curien est une unité mixte de recherche (UMR 5516) de l'Université Jean Monnet deSaint-Étienne, duCentre National de la Recherche (CNRS) et de l'Institut d'Optique Graduate School. Ses activités de recherche sont organisées selon deux départements scientifiques : Optique, photonique et micro-ondes et Informatique, télécom et image. L'activité de recherche est structurée en projets scientifiques au sein de 6 équipes principales.

Rayonnement de la recherche

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L'Institut d'Optique a été en 2006 parmi les vingt premiers établissement de recherche français à obtenir lelabel Carnot du ministère de la Recherche. Il fait partie deSystem@tic Paris-Région, un des sixpôles de compétitivité mondiaux choisis en par le Comité interministériel de l’aménagement et du développement du territoire. L'établissement fait également partie duTriangle de la physique un des treizeréseaux thématiques de recherche avancée choisis en par le ministre de la recherche pour former les fers de lance de la recherche française. Il participe, via son antenne stéphanoise, au programmeMINimage, un des douze programmes financés par l'Agence de l'innovation industrielle.

Vingt brevets ont été déposés ces cinq dernières années[21].

De nombreux chercheurs de l'école ont obtenu des prix et récompenses prestigieuses en optique, physique et sciences :

En 2021, leCNRS et l'Institut d'Optique d'Aquitaine (Bordeaux) fondent le Naquidis Center[22], ayant pour but de stimuler et de développer la filière quantique[2],[3].

Historique des activités de recherche

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L'activité de recherche de l'Institut d'Optique a été contractualisée avec le CNRS dès la création des URA (unité de recherche associée) en 1966. À cette époque, l'établissement comprenait, sous la direction d'Albert Arnulf, 9 groupes de recherche :

Doctorat

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L'Institut d'Optique est uneGraduate School au sens international du terme : c'est une formation « graduate » puisque les formations couvrent toutes les études du master audoctorat.

35 % des diplômés continuent en thèse, que ce soit dans les laboratoires dont l'Institut est tutelle ou ailleurs dans le monde.

Établissement

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Partenaires

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Organismes académiques

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LeCentre national de la recherche scientifique est depuis sa création le principal partenaire pour les activités de recherches, 24 chercheurs et 30 ingénieurs, techniciens et agents administratifs sont affectés à l'établissement par le CNRS.L'Institut d'Optique entretient des liens étroits avec l'université Paris-Sud 11 à laquelle il est rattaché par décret[23]. Une convention permet en particulier l'affectation du personnel de l'Éducation nationale. À la suite du déménagement de l'établissement, l'École polytechnique est également amenée à devenir un partenaire de tout premier plan que ce soit au niveau de l'enseignement, de la recherche ou des infrastructures.

L'Institut d'Optique est membre associé de deuxpôles de recherche et d'enseignement supérieur :Université Paris-Saclay[24] etParisTech[25] et a passé en 2013 une convention de collaboration entre son site de Bordeaux et l'ENSC.

Association des anciens

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L'AssociationSupOptique Alumni a été créée en 1924. Son premier président futAlbert Arnulf. Elle a pour mission d'établir et d'animer le réseau d'anciens élèves, d'apporter un soutien aux élèves, de contribuer à l'évolution de SupOptique et de promouvoir l'optique. L'association publie une revue trimestrielle intituléeOpto, maintenant remplacée par une infolettre mensuelle.

Bibliothèque

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Partie intégrante du projet initial de l'établissement, la bibliothèque de l'École étaitdevenue à la veille de la Seconde Guerre mondiale la bibliothèque la plus riche en périodiques scientifiques de France[source secondaire souhaitée]. Elle demeureune des plus fournies au monde dans le domaine de l'optique[source secondaire souhaitée] avec six milliers d'ouvrages, dont plus d'un millier de thèses de doctorat, et possède un certain nombre de cours manuscrits témoins des cours pionniers des années 1920, notamment ceux d'Henri Chrétien et d'André Broca.

À la suite du déménagement de l'établissement à Palaiseau, la bibliothèque est maintenant associée avec celle de l'École polytechnique[source secondaire souhaitée].

Éditions et revues

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L'École a été dès sa création étroitement liée à la Revue d'optique théorique et instrumentale et sa société d'édition qui étaient placées sous son patronage. L'association des élèves de l'École publie depuis de nombreuses années une revue annuelle scientifique intituléeSupOptique Avenir.

Corps enseignant

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250 enseignants et industriels interviennent dans les formations aux niveaux ingénieur et master. Les premiers enseignants de l'école furent :

Professeurs

  • Henri Chrétien (Calcul des combinaisons optiques)
  • Louis Dunoyer (Instruments d'optique)
  • Charles Fabry (Introduction générale à l'étude de l'optique appliquée : 1°) Appareils spectroscopiques, photométrie ; 2°) Propriétés des plaques photographiques)

Chargés de cours

Conférenciers

Classements

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Article connexe :Classement des écoles d'ingénieurs françaises.
Lapertinence de cette section est remise en cause. Considérez son contenu avec précaution.Améliorez-le oudiscutez-en, sachant quela pertinence encyclopédique d'une information se démontre essentiellement par des sources secondaires indépendantes et de qualité qui ont analysé la question.(juillet 2025)
Motif avancé : Cette section présente des résultats pouvant être appuyés par des sources gérées par des entreprises dont l’activité principale consiste à proposer des prestations commerciales auprès des établissements d’enseignement .

Classements nationaux (classée en tant qu'Institut d'optique Graduate School au titre de son diplôme d'ingénieur)

NomIntituléAnnéeRangNombre d'écoles
DAUR Rankings[26]Classement des écoles d'ingénieurs 2024202429[27]185
DAUR RankingsClassement des écoles d'ingénieurs 2023202318[28]176
DAUR RankingsClassement des écoles d'ingénieurs 2022202217 ea[29]174
DAUR RankingsClassement des écoles d'ingénieurs 2021202118[30]171
DAUR RankingsClassement des écoles d'ingénieurs 2020202014[31]170
L’ÉtudiantClassement 2024 des écoles d'ingénieurs202460[32]170
L’Usine NouvelleLe classement des écoles d'ingénieurs 2024202443[33]128
Le Figaro ÉtudiantClassement des écoles d'ingénieurs post-prépa 2025202413[34]87

Classements internationaux (classée en tant qu'Université Paris-Saclay)

NomAnnéeRang (monde)Rang (France)
CWUR[35]2022-2023322
QS Top Universities[36]2023694
Shanghai Ranking[37]2021161
Times Higher Education[38]20221174

Quelques SupOpticiennes et SupOpticiens

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Lesite des anciens de SupOptique (MaintenantSupOptique Alumni) fournit une consultation de l'annuaire des anciens diplômés et diplômées, ce qui permet de vérifier l'année d'obtention du diplôme[39].

Grands ingénieurs et inventeurs

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  • Lucien Roux (1894-1956) et Armand Roux (ESO 23 et 29), inventeurs duRouxcolor[40]
  • Pierre Angénieux (ENSAM Cluny 125 et ESO 29), 2Oscars pour ses objectifs de caméra cinématographique[41]
  • Jean Blosse (ESO 34), inventeur du bloscope (œil de bœuf - judas optique)[42]
  • Bernard Maitenaz (ENSAM Paris 143 et ESO 47), inventeur duverre progressif (Varilux) et ancien président directeur général de la sociétéEssilor[43]
  • Raymond Dudragne (ESO 38) et Roger Bonnet (ESO 43), pionniers deslentilles de contact[44],[45]
  • André Masson (ESO 48), concepteur des caméras sur les missions Apollo et ancien directeur adjoint de la société Angénieux[46]
  • Roger Cuvillier (ESO 49), inventeur du zoom optique[47],[48]
  • Antoine Labeyrie (ESO 65), inventeur des étoiles guides laser et de l'interférométrie à plusieurs télescopes.
  • Pernelle Bernardi (ESO 2001), ingénieure française, médaille de cristal du CNRS en 2020[49],[50], décorée de la légion d'honneur en 2022[51]

Grands scientifiques

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Dirigeants d'entreprises

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  • Georges-Olivier Reymond (ESO 98), cofondateur et directeur dePasqal, entreprise spécialisée dans l'informatique quantique, qui travaille sur le développement d'unordinateur quantique[57].
  • Nicolas Brusson (ESO 2000), cofondateur et directeur général deBlaBlaCar, une importante entreprise de covoiturage[58].
  • Julien Laurat (ESO 2001) et Jean Lautier-Gaud (ESO 2010), cofondateurs de WeLink, entreprise développant une mémoire quantique fiable[59].
  • Cécile Schmollgruber (ESO 2008) , fondatrice de l'entrepriseStereolabs, spécialisée dans la conception de caméra 3D, d'abord pour le monde du cinéma puis pour l'industrie[60].
  • Anaïs Barut (ESO 2014), cofondatrice et CEO de DAMAE Medical, nommée parmi les dix meilleurs innovateurs français de moins de 35 ans par le MIT Technology Review[61]

Autres

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Vie associative

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Comme toutes les écoles d'ingénieurs, les élèves se regroupent en de nombreux clubs et associations.

Bureau des élèves

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Le Bureau des Élèves (en abrégé BDE Institut Optique), est l'organe central et fédérateur qui organise la vie associative de l'école en coordinant les différents clubs et associations. Depuis sa création en 1961, il s'occupe aussi de lever des fonds .

Bureau des arts

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Le Bureau des arts de l'Institut d'optique (en abrégé BDA), association créée en 2007, a pour but de promouvoir les arts en organisant des concerts, des scènes ouvertes, des expositions, des représentations théâtrales etc.

Forum de la photonique

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Le Forum de la Photonique est unforum annuel réunissant les entreprises de l'école, permettant aux étudiants de développer leur réseau professionnel tant vis-à-vis des alumni que des entreprises. Une grande partie des bénéfices engendrés est reversé aux associations étudiantes de l'école.

Notes et références

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  1. Arrêté du 25 février 2021 fixant la liste des écoles accréditées à délivrer un titre d'ingénieur diplômé.
  2. a etb« La nouvelle université Paris-Saclay vient d’être créée par décret | CentraleSupelec », surwww.centralesupelec.fr(consulté le)
  3. a etb« Portail | ParisTech rassemble douze des plus prestigieuses grandes écoles françaises. », surwww.paristech.fr(consulté le)
  4. Une école des métiers du verre fut parallèlement ouverte au sein de l'Institut d'Optique Théorique et Appliquée pour former des ouvriers d'art opticiens.
  5. a etbStevanovic Biljana et Mosconi Nicole,L'École Polytechnique Féminine : une mixité paradoxale. In:Revue française de pédagogie,vol. 150,no 1, 2005,p. 19-29
  6. Son homologue des États-Unis,The Institute of Optics, composante de l'Université de Rochester, fut fondé en 1929.
  7. Kenza Cherkaoui, « La physique dans le classement de Shanghai »,Institut d'Optique Graduate School Newsletter,‎(lire en ligne)
  8. Soazig Le Nevé, « Paris-Saclay, première université française à percer dans le classement de Shanghaï »,Le Monde.fr,‎(lire en ligne)
  9. (en) « ShanghaiRanking's Global Ranking of Academic Subjects 2020 - Mathematics », surshanghairanking.com,
  10. (en) « ShanghaiRanking's Global Ranking of Academic Subjects 2020 - Physics », surshanghairanking.com,
  11. « Histoire : la création », surwww.institutoptique.fr(consulté le).
  12. « 1919 - 1945 avec Charles Fabry », surwww.institutoptique.fr(consulté le).
  13. « 1945 - 1968 avec Pierre Fleury », surwww.institutoptique.fr(consulté le).
  14. « 1999 - 2003 avec André Ducasse », surwww.institutoptique.fr(consulté le).
  15. « 2006 à nos jours avec Jean-Louis Martin », surwww.institutoptique.fr(consulté le).
  16. « Chiffres clés », surle site de l'Institut d'Optique Graduate School(consulté le).
  17. Article 13 : Seront considérés comme reconnus par l'État les titres d'ingénieurs délivrés par les écoles techniques privées dont les cours et les travaux pratiques étaient fréquentés, à la date du, par des ingénieurs et élèves ingénieurs de l'État. La seule autre école ayant bénéficié de l'application de l'article 13 de cette loi est l'École supérieure d'électricité.
  18. « Arrêté du 8 décembre 1954 Agrément du brevet de technicien opticien lunetier et du diplôme d’ingénieur opticien de l'Institut d'optique théorique et appliquée de Paris »,Journal Officiel de la République Française,‎,p. 139(lire en ligne[PDF])
  19. Dan Fromm, Eric Beltrando, « Optiques Boyer : Une brève histoire de l’entreprise et un catalogue (incomplet) des objectifs produits. Partie 1 : l’entreprise Boyer »,(consulté le)
  20. (en) Howard et al, « Sun Earth Connection Coronal and Heliospheric Investigation(SECCHI) » (Article scientifique),Lockeed Martin Solar and Astrophysics Laboratory,‎,p. 6-11(lire en ligneAccès libre[PDF]) :

    « The EUVI mirrors were figured and coated at (IOTA) »

    .
  21. EnquêteUsine Nouvelle 2006.
  22. [1].
  23. « Décret du 9 décembre 1974 portant rattachement de l’école supérieure d’optique à l’université Paris-XI ».
  24. Membre associé regroupé dans un consortium avec l'École des hautes études commerciales et l'École polytechnique.
  25. Membre associé, décision du conseil d'administration de ParisTech du, inLa lettre de ParisTechno 6,[2].
  26. « Le classement 2022 des écoles d'ingénieurs », surdaur-rankings.com
  27. « Classement des écoles d'ingénieurs 2023 DAUR », surdaur-rankings.com(consulté le)
  28. « Classement des écoles d'ingénieurs 2023 DAUR », surdaur-rankings.com(consulté le)
  29. « Classement des écoles d'ingénieurs 2022 DAUR », surdaur-rankings.com(consulté le)
  30. « Classement des écoles d'ingénieurs 2021 DAUR », surdaur-rankings.com(consulté le)
  31. « Classement des écoles d'ingénieurs 2020 DAUR », surdaur-rankings.com(consulté le)
  32. « Classement 2024 des écoles d'ingénieurs - Page 3 - L'Etudiant », surwww.letudiant.fr(consulté le)
  33. « Comparatif des écoles d'ingénieurs 2024 - Usine Nouvelle », surwww.usinenouvelle.com(consulté le)
  34. « Classement des écoles d'ingénieurs post-prépa 2025 », suretudiant.lefigaro.fr(consulté le)
  35. « GLOBAL 2000 LIST BY THE CENTER FOR WORLD UNIVERSITY RANKINGS », surCWUR
  36. « QS World University Rankings 2023 », surQS Top Universities
  37. « 2022 Academic Ranking of World Universities », surShanghai Ranking
  38. « World University Rankings 2022 », surTimes Higher Education
  39. « SupOptique Alumni », surSupOptique Alumni(consulté le)
  40. Alain J.Roux, « Armand Roux et le Rouxcolor : des années 1930 aux années 1970 »,1895. Mille huit cent quatre-vingt-quinze. Revue de l'association française de recherche sur l'histoire du cinéma,no 71,‎1er décembre 2013,p. 211–228(ISSN 0769-0959,DOI 10.4000/1895.4792,lire en ligne, consulté le)
  41. « Pierre ANGENIEUX », surjaninetissot.fdaf.org(consulté le)
  42. « Espacenet - Données bibliographiques », surworldwide.espacenet.com(consulté le)
  43. Essilor, « Hommage à Bernard Maitenaz, inventeur du verre progressif Varilux », surEssilor(consulté le)
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