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Date de naissance | |
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Lieu de naissance | Mytholmroyd,Angleterre |
Date de décès | (à 63 ans) |
Lieu de décès | Reading,Angleterre |
Nationalité | ![]() |
Années d'activité | 1957 - 1967 |
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Qualité | Pilote automobile |
Années | Écurie | |
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Team Lotus UDT Laystall Racing Team British Racing Partnership Reg Parnell Racing Bernard White Racing |
Nombre de courses | 53 (50 départs) |
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Pole positions | 0 |
Podiums | 4 |
Victoires | 1 |
Champion du monde | 0 |
Robert McGregor Innes Ireland ditInnes Ireland, (né le àMytholmroyd dans leYorkshire de l'Ouest,Angleterre - mort le d'uncancer àReading dans leBerkshire,Angleterre) est unpilote automobile, uningénieur et unjournalistebritannique.
Innes Ireland grandit et étudie dans la campagneécossaise, àKirkcudbright dans le comté deDumfries and Galloway, où le conduisent les responsabilités de son père. Rapidement, il s'intéresse à uneBentley biplace3 litres, remisée dans une grange et propriété d'une vieille voisine et questionne souvent le chauffeur chargé de l'entretien de la voiture. Plus tard, alors que la vieille dame s'est prise d'affection pour Ireland, elle lui offre un exemplaire du livre autobiographique deHenry "Tim" Birkin, vainqueur des24 Heures du Mans 1929, sur BentleySpeed Six et des24 Heures du Mans 1931, surAlfa Romeo8C 2300 LM. Ireland, après moult lectures de l'ouvrage, décide de devenir pilote de course. Son père souhaite néanmoins qu'il embrasse, tout comme lui, une carrière de vétérinaire et lui impose d'obtenir un diplôme « sérieux » avant de s'engager en compétition.
En1946, Innes Ireland est embauché dans le service des moteurs d'avionsRolls-Royce deGlasgow où il demeure six ans. La vieille voisine des Ireland, entre-temps décédée, lui a légué sa Bentley qu'il utilise au quotidien pour venir travailler. En1952, il est muté àLondres au service de réparation des voitures. Cette mutation lui permet d'assister à sa première course automobile àSilverstone, où le Grand Prix, sous lapluie, est remporté parReg Parnell surAlfa Romeo. Ireland doit encore patienter avant d'entamer une carrière de pilote de course car laconscription militaire le réclame.
Ireland sert au sein du régimentThe King's Own Scottish Borderers où il devient parachutiste. Il ressort nomméélève-officier, à ce titre, legouvernement de Sa Majesté lui offre un séjour enÉgypte.
Retourné à la vie civile en1955, Innes Ireland ouvre un garage de préparation-moteur dans leComté de Surrey. Afin de s'affûter, il engage saBentley dans des courses de club, puis achète uneRiley qu'il échange contre uneLotusEleven 1500 plus moderne et performante.
En1956, Ireland se lance véritablement dans la compétition automobile. Lors d'une course de club àGoodwood, la semaine précédant l'épreuve du lundi de Pâques, il engage sa Lotus et, désireux de bien paraître, se lance dans des attaques généreuses qui lui font visiter les bas-côtés de la piste par trois reprises à pleine vitesse. Ces écarts lui valent d'être réprimandé par le secrétaire adjoint du BARC qui le menace de l'empêcher de participer à la prochaine course de Pâques à sa prochaine sortie de piste. La semaine suivante, sur le même circuit, Ireland commet les mêmes erreurs, sans être remarqué et peut donc prendre le volant lors de la course de Pâques. Ireland court face aux pilotes Lotus d'usine :Keith Hall etAlan Stacey, qui deviendra un de ses grands amis. Son moteurCoventry ClimaxFWB le trahit et il ne peut terminer la course. Quelques belles performances dans des épreuves de voitures de sport lui permettent d'attirer l'attention duTeam Endeavour enFormule 2.
En1957, Ireland intègre le Team Endeavour où il court sur uneCooper T43-Climax. Il débute àBrands Hatch le, puis àSnetterton,Goodwood etOulton Park. Chacune de ses premières courses se conclut par un abandon. Le déclic a lieu le, àSilverstone où sont présents les ténors du sport automobile. Il gagne la première manche de l'International Trophy, mais abandonne lors de la seconde manche sur rupture de demi-arbre. Impressionné,Colin Chapman, fondateur deLotus Cars, lui propose alors de courir enFormule Sport au sein de son écurie dès la saison suivante.
En1958, Ireland découvre la compétition au niveau international et affronte entre autresGraham Hill, Alan Stacey ouCliff Allison. Sur uneLotus Eleven 1100, il remporte une victoire de classe aux 12 Heures de Reims. Aux3 Heures d'Auvergne, àCharade, il remporte la victoire absolue et réalise un temps-scratch. Il court enFormule 2 sur uneCooper T45 d'Alan Brown auCrystal Palace Trophy, sans parvenir à se qualifier et sur uneLotus Eleven qu'il engage sous son nom pour courir à l'United States Air Force Trophy où il est contraint à l'abandon. Cette même année, il participe comme pilote officiel, avecMike Taylor, aux24 Heures du Mans sur uneLotus Eleven 1100, et remporte le premierTrophée d'Auvergne Sport.
En1959,Colin Chapman propose à Innes de piloter pour lui enFormule 2. Coup de chance, le deuxième pilote deFormule 1,Pete Lovely quitte l'écurie et Ireland se voit proposer le deuxième baquet, comme coéquipier deGraham Hill. Ireland prend le départ de son premier Grand Prix de Formule 1 sur uneLotus 16 àZandvoort auxPays-Bas où il décroche la quatrième place, compensant la compétitivité moyenne de sa monoplace par son pilotage. Sa monoplace ne lui permet guère de jouer les premiers rôles le reste de l'année. Cependant, peu avant leGrand-Prix des États-Unis, Hill quitte l'écurie et est remplacé parAlan Stacey qui abandonne dès le premier tour sur casse d'embrayage. La cinquième place d'Ireland lui permet de décrocher la place de premier pilote pour 1960. Chapman propose également à Ireland de participer au développement de la nouvelleLotus 18.
En1960, laLotus 18 fait ses débuts auGrand Prix d'Argentine. La 18 d'Ireland a été acheminée en pièces détachées par avion puis assemblée dans les paddocks alors que lesLotus 16 de Stacey et deRodriguez sont arrivées en retard et par bateau. Ireland se classe second sur la grille de départ, passe le premier virage en tête mais part en tête à queue, il repart en sixième position et la conserve jusqu'au terme de la course[1].
L'apparition de laLotus 18, permet à Ireland de décrocher ses premières victoires en Formule 1 dans des courses hors-championnat, à Silverstone, Goodwood et Snetterton. Le favori du championnat estStirling Moss qui, au volant de Lotus privées duRob Walker Racing Team, remporte deux Grands Prix. Ireland respecte profondément Moss qui lui a donné la « plus belle leçon de pilotage de sa vie » lors des essais duGrand Prix de Monaco. Moss lui propose ce jour-là de lui ouvrir la route et de le suivre pour mieux comprendre les trajectoires. En course, Ireland doit pousser sa monoplace en panne depuis le Casino jusqu'à la ligne d'arrivée et termine épuisé à la neuvième place.
La semaine suivante, Ireland se classe second duGrand Prix des Pays-Bas. Peu après, les essais du funesteGrand Prix de Belgique voient deux incidents graves se dérouler : la Lotus de Moss perd uneroue dans la descente de Burnenville, s'écrase à200 km/h et provoque de multiplesfractures et un traumatisme facial au pilote. Puis Mike Taylor décolle sur un talus après que sa colonne de direction s'est brisée. Secoués par ces deux accidents impliquant leurs monoplaces, les pilotes du Team Lotus, Ireland, Stacey etJim Clark demandent un examen approfondi de leurs moyeux de roues : celui de Stacey est à demi fêlé et un autre est prêt à casser sur la monoplace de Ireland. Chapman fait venir de nuit des pièces pour réparer les monoplaces mais, en course, Ireland sort de la piste sur une erreur de pilotage et sans gravité. Lorsqu'il rentre aux stands, il apprend la mort deChris Bristow après une passe d'armes face àWilly Mairesse. Quelques minutes plus tard, il apprend que son coéquipier et ami Alan Stacey vient de mourir sur sortie de piste après avoir été heurté au visage par un oiseau.
Après une importante remise en question, Ireland décide de continuer la compétition mais le moral n'est plus là. En dépit d'une troisième place auGrand Prix de Grande-Bretagne, il doit attendre septembre et le Grand Prix d'Oulton Park pour retrouver son niveau où il se maintient en tête une bonne partie de l'épreuve avant d'abandonner surboîte de vitesses bloquée. Il termine la saison deuxième duGrand-Prix des États-Unis et ses trois podiums lui permettent de se classer quatrième du classement général. EnFormule 2, il triomphe surLotus 18 à Goodwood et Oulton Park.
En1961, malgré l'apparition de laLotus 21, les résultats peinent à décoller pour l'équipe officielle tandis que Moss continue à briller avec laLotus 18 duRob Walker Racing Team. Si Ireland fait pâle figure face àStirling Moss et sa Lotus privée, il n'a pas à rougir de la comparaison avec son jeune coéquipierJim Clark. Lors du premier Grand Prix de la saison, àMonaco, Ireland, perturbé par la nouvelleboîte de vitessesZF placée non plus à gauche mais à droite du cockpit et disposant désormais de cinq vitesses commet une erreur de pilotage : en croyant enclencher la quatrième, il passe la seconde et sa Lotus part en toupie aux abords du tunnel du Tir au Pigeons. Son passé de parachutiste lui permet d'amortir au mieux sa chute et d'avoir la vie sauve. Blessé à la jambe, il reste en convalescence trois semaines auSt Thomas' Hospital deLondres où, à la suite d'une fête, il est photographié par un journaliste duDaily Express entouré de bouteilles de whisky et de paquets de cigarettes.
Ireland renoue avec les victoires, hors championnat toujours, auGrand Prix de Solitude et auGrand Prix d'Autriche àZeltweg. Ireland fêta sa victoire à laSolituderennen, avec un ami, qui, en lançant des pétards depuis saMercedes, provoqua l'intervention de la police. Cet incident a failli lui coûter sa participation auGrand Prix d'Allemagne car le patron de l'hôtel où il logeait (et qui refusait de lui servir à boire, le pilote étant déjà passablement éméché) déclara à la presse qu'Ireland avait tiré au pistolet depuis le toit de son hôtel. LeRoyal Automobile Club dut intervenir pour permettre à Ireland de participer à la course. À la suite des conséquences du dramatiqueGrand Prix d'Italie à Monza oùWolfgang von Trips, leader du championnat et quatorze spectateurs périssent dans la Parabolica,Ferrari etPhil Hill, nouveaux champions du monde pilote et constructeur renoncent à participer au dernier Grand Prix de la saison. Face à une concurrence affaiblie, Ireland s'élance àWatkins Glen, leGrand-Prix des États-Unis. Aux essais, l'Écossais emboutit son réservoir d'essence qui perd de sa capacité et ne s'élance qu'en huitième position. En course, alors qu'il est en tête, il doit ralentir pour économiser son carburant bien que menacé parRoy Salvadori sur saCooper. Quand Salvadori est trahi par son moteur à quatre tours du terme, Ireland remporte sa seule victoire en championnat du monde de Formule 1.
Cette victoire, la première de l'histoire duTeam Lotus, est insuffisante pour lui éviter d'être limogé quelques semaines plus tard parColin Chapman. Les raisons de celicenciement ne sont pas parfaitement claires. Chapman n'aurait pas apprécié qu'à l'occasion du Grand Prix d'Italie, Ireland, de sa propre initiative, échange saLotus 21 officielle plus rapide avec la Lotus 18-21 privée deStirling Moss qui conservait une chance de titre jusqu'à ce qu'un porte moyeu cède en course. Il se dit surtout que le caractère d'Ireland, réputé pour apprécier les plaisirs de la vie et notamment les femmes et l'alcool, cadrait mal avec le professionnalisme que Chapman entendait insuffler à son écurie. Ireland avait son propre avis sur la question et a toujours eu la conviction queJim Clark, qui n'appréciait pas son style de vie, avait intrigué pour obtenir son limogeage.
En1962, Ireland trouve refuge dans l'écurieBritish Racing Partnership soutenue par le consortiumUDT-Laystall Racing Team de Ken Gregory etAlfred Moss qui engage des Lotus privées. Il n'obtient comme résultat notable qu'une troisième place auGlover Trophy de Goodwood, hors-championnat. Lors de cette course, Stirling Moss se blesse gravement, ce qui a pour conséquence de mettre à mal l'écurie. Les problèmes s'aggraverent avec la présentation de la nouvelleLotus 25. Tour à tour trahi par sesfreins auxPays-Bas, par sa pompe à essence àMonaco, par sasuspension arrière àSpa-Francorchamps, par une roue endommagée àRouen et enfin par sa suspension enItalie, Ireland ne termine que trois Grands Prix, enAngleterre, auxÉtats-Unis et enAfrique du Sud où il marque ses seuls points de l'année en se classant cinquième.
EnSports par contre, la saison se révèle plus faste pour Ireland qui remporte, surLotus 19, les épreuves de Goodwood, Oulton Park, Silverstone et Nassau ainsi que leRAC Tourist Trophy sur uneFerrari 250 GTO. En fin d'année, une proposition de l'écurieBritish Racing Motors lui offre la possibilité de relancer sa carrière mais, par respect de la parole donnée, il reste chez BRP qui accède en 1963 au statut de constructeur.
En1963, Ken Gregory et Alfred Moss décident de construire leur propre monoplace, la BRP Mk1, sur laquelle pourront être intégrés des éléments périphériques (freins, suspension, etc.). Cependant, la mise au point est longue et la voiture n'est disponible que pour leGrand Prix de Belgique, deuxième manche du championnat. En attendant, Ireland commence la saison hors-championnat avec uneLotus 24-BRM grâce à laquelle il se classe troisième duLombank Trophy et remporte leGlover Trophy à Goodwood. En championnat, les problèmes s'accumulent à cause de retards dans l'approvisionnement des pièces périphériques d'origine Lotus 25, destinées à être greffées sur la monoplace. De plus, la fragilité de la boite Colotti, qui casse plus souvent que les Hewland ouZF, nuit aux résultats. Au volant de la Mk1, Ireland ne décroche deux quatrièmes places auxPays-Bas et enItalie et une neuvième place enFrance. Il termine sa saison sportive peu après à cause d'un grave accident au volant d'uneLotus 19-V12 Ferrari, créée par un ami, dont il sort avec la hanche détruite nécessitant une rééducation de trois mois.
En1964, six mois après son accident, il remporte hors-championnat leDaily Mirror Trophy àSnetterton sur une BRP Mk1, victoire due à l'abandon des principaux favoris. Il abandonne ensuite à Goodwood, Aintree et à Silverstone où il détruit la nouvelle BRP Mk2. Ireland doit ainsi commencer la saison officielle sur une Lotus 24 vieillissante. Aux essais duGrand Prix de Monaco, il détruit la Lotus à cause de freins défaillants. Quand il retrouve le volant d'une BRP Mk1, puis Mk2, les soucis se confirment : les monoplaces souffrent de problèmes de conception notamment au niveau de la suspension arrière. Ces événements mettent à mal son plaisir de courir, d'autant plus que la Formule 1 prend une tournure affairiste qui ne lui plaît pas. En dépit de deux cinquièmes places enAutriche et enItalie, il décide de ne plus piloter de monoplace pour 1965.
Malgré cela, il rejoint en1965 leReg Parnell Racing qui engage desLotus 25. Son engagement est lié à une pressante demande de Tim Parnell, le fils deReg Parnell disparu fin 1964. Innes Ireland fait pâle figure en queue de peloton. Seule sa prestation auGrand-Prix d'Italie est digne d'être évoquée mais, trahi par l'alimentation de son moteur, il rétrograde de la cinquième à la neuvième place, hors des points.
En1966, Ireland décide de se consacrer exclusivement à l'endurance. Il court surFordGT 40 MkI 289 ci (4,7 litres), sauf aux24 Heures de Daytona associé àMike Hailwood, sur uneFerrari275 LM avec laquelle ils abandonneront sur bris de boîte. Toujours sur GT 40, Ireland participe aux12 Heures de Sebring avecPeter Sutcliffe pour le compte deFord Advanced Vehicles. Il dispute les1 000 km de Monza sur une GT 40 engagée par leColonel Ronnie Hoare, associé àChris Amon et abandonne mais prend sa revanche aux1 000 km de Spa, où il termine cinquième.
Associé à Mike Salmon aux1 000 km du Nürburgring sur la GT 40 du Colonel, il abandonne après avoir coulé une bielle. ÀZeltweg enAutriche, sur une GT 40 duBernard White Racing, il reçoit le drapeau noir pour une portière ne fermant plus. Sa dernière course en endurance se solde par une victoire à la coupe de Monthléry. En raison d'un engagement pris avec leBernard White Racing, il participe sans succès en1966 à deux courses sur BRM avant de quitter laFormule 1 définitivement.
Encouragé parBill France (en), fondateur de laNASCAR, il participe à la première épreuve de la saison :500 miles de Daytona[2], l'une des dernières courses de sa carrière, où lemoteur V8 de saDodge explose devant les tribunes.Ireland reprendra le volant en1969 sur uneLancia Fulvia HF aux 12 Heures de Sebring.
Ireland ne quitte pas pour autant le milieu de l'automobile puisqu'il se reconvertit dans lejournalisme. En1967[3] il intègre le journalAutocar qu’il quitte en1970 pour courir la même année aurallyeLondres-Sydney. De ce rallye, il écrit le livreMarathon in the dust publié en 1970. Plus tard, il collabore aumagazineaméricainRoad & Track. De1992 jusqu’à la fin de sa vie en1993, il siège comme président duBritish Racing Drivers' Club.
Pour son rôle en tant que pilote d'usine avecAston Martin, Innes Ireland s'est vu gratifié en1966[4] d'un des deux exemplaires dubreak de chasseAston Martin DB6 carrossé par Panelcraft.
Ireland, bien qu'attaché aux valeurs familiales, était connu pour son tempérament jovial et festif. Il est photographié par le photographe sportifBernard Cahier, touchant la poitrine de Joan Cahier, la femme de ce dernier, sous l'œil deMaurice Trintignant.
Saison | Écurie | Châssis | Moteur | Pneus | GP disputés | Victoires | Pole positions | Meilleurs tours | Points inscrits | Classement |
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1959 | Team Lotus | Lotus 16 | Climaxl4 | Dunlop | 6 | 0 | 0 | 0 | 5 | 14e |
1960 | Team Lotus | Lotus 18 | Climaxl4 | Dunlop | 8 | 0 | 0 | 1 | 18 | 4e |
1961 | Team Lotus | Lotus 21 Lotus 18-21 | Climaxl4 | Dunlop | 6 | 1 | 0 | 0 | 12 | 6e |
1962 | UDT Laystall Racing Team | Lotus 24 | ClimaxV8 | Dunlop | 8 | 0 | 0 | 0 | 2 | 16e |
1963 | British Racing Partnership | Lotus 24 BRP Mk1 | BRMV8 | Dunlop | 7 | 0 | 0 | 0 | 6 | 9e |
1964 | British Racing Partnership | Lotus 24 BRP Mk1 BRP Mk2 | BRMV8 | Dunlop | 7 | 0 | 0 | 0 | 4 | 12e |
1965 | Reg Parnell Racing | Lotus 25 Lotus 33 | BRMV8 | Dunlop | 6 | 0 | 0 | 0 | 0 | Nc. |
1966 | Bernard White Racing | BRM P261 | BRMV8 | Dunlop | 2 | 0 | 0 | 0 | 0 | Nc. |
Légende :ici
no | Année | Manche | Grand Prix | Circuit | Grille | Écurie | Voiture | Résumé |
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1 | 1961 | 08/08 | États-Unis | Watkins Glen | 8e | Team Lotus | Lotus 21 | Résumé |
Saison | Écurie | Châssis | Moteur | Pneus | GP disputés | Victoires | Pole positions | Meilleurs tours |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1959 | Team Lotus | Lotus 16 | Climaxl4 | Dunlop | 2 | 0 | 0 | 0 |
1960 | Team Lotus | Lotus 18 | Climaxl4 | Dunlop | 5 | 3 | 0 | 1 |
1961 | Team Lotus | Lotus 21 Lotus 18-21 | Climaxl4 | Dunlop | 11 | 2 | 2 | 2 |
1962 | UDT Laystall Racing Team | Lotus 18-21 Ferrari 156 Lotus 24 Lotus 24 | Climaxl4 FerrariV6 BRMV8 ClimaxV8 | Dunlop | 12 | 1 | 0 | 1 |
1963 | British Racing Partnership | Lotus 24 BRP Mk.1 | BRMV8 | Dunlop | 7 | 1 | 1 | 1 |
1964 | British Racing Partnership | BRP Mk.1 BRP Mk.2 | BRMV8 | Dunlop | 6 | 1 | 0 | 0 |
1965 | Reg Parnell Racing | Lotus 25 Lotus 33 | BRMV8 | Dunlop | 3 | 0 | 0 | 0 |
1966 | Reg Parnell Racing | Lotus 33 | BRMV8 | Dunlop | 2 | 0 | 0 | 0 |
Notes :* AuLombank Trophy 1961 Innes Ireland est considéré comme un pilote de Formule Inter Continentale.
Saison | Écurie | Châssis | Moteur | Pneus | GP disputés | Victoires | Pole positions | Meilleurs tours |
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1957 | Team Endeavour | Cooper T43 | Climaxl4 | Dunlop | 5 | 0 | 0 | 0 |
1958 | Alan Brown Privé | Cooper T45 Lotus 11 | Climaxl4 | Dunlop | 1 | 0 | 0 | 0 |
1959 | Team Lotus | Lotus 16 | Climaxl4 | Dunlop | 5 | 0 | 0 | 0 |
1960 | Team Lotus | Lotus 18 | Climaxl4 | Dunlop | 9 | 2 | 1 | 2 |
Notes :
Saison | Épreuve | Manche | Écurie | Châssis | Moteur |
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1962 | RAC Tourist Trophy | 11/15 | ![]() | Ferrari 250 GT-SWB | FerrariV12 |
Saison | Course disputée | Châssis | Moteur | no | Départ | Tours | Résultat | Classement | Points inscrits |
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1967 | Daytona 500 | Dodge | V8 | 31 | 20e | 126 tours | Abandon | 27e | 0 |
Innes Ireland participe à sept reprises aux24 Heures du Mans mais ne reçoit le drapeau à damier qu'à une seule reprise.
Année | Équipe | no | Voiture | Moteur | Catégorie | Équipier | Tours | Résultat |
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1958 | ![]() | 38 | Lotus 11 | Coventry Climax FWA1,1 Ll4 | S 1.1 | ![]() | 162 tours | Abandon |
1959 | ![]() | 3 | Jaguar D-Type | Jaguar XK3,0 Ll6 | S 3.0 | ![]() | 70 tours | Abandon |
1962 | ![]() | 20 | Ferrari 250 GTO | Ferrari3,0 LV12 | GT 3.0 | ![]() | 165 tours | Abandon |
1963 | ![]() | 8 | Aston Martin DP214 | Aston Martin3,7 Ll6 | GT +3.0 | ![]() | 59 tours | Abandon |
1964 | ![]() | 25 | Ferrari 250 GTO | Ferrari3,0 LV12 | GT 3.0 | ![]() | 328 tours | 6e |
1965 | ![]() | 14 | Ford GT 40 MkI | Ford4,7 LV8 | GT 5.0 | ![]() | 72 tours | Abandon |
1966 | ![]() | 12 | Ford GT 40 MkI | Ford4,7 LV8 | S 5.0 | ![]() | 8 tours | Abandon |
Innes Ireland | ||||||
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