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Cixi

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Pour les articles homonymes, voirCixi (homonymie).

Cixi
慈禧太后
Description de cette image, également commentée ci-après
L'impératrice Cixi en 1902.
Biographie
TitulatureRégente de ladynastie Qing
DynastieDynastie Qing
Autres fonctionsConcubine
Nom de naissanceYehe-Nara Xingzhen
Naissance
Pékin
Décès (à 72 ans)
Cité interdite
SépultureTombeaux Est des Qing
PèreYehenara Huizheng
MèreDame Fuca
ConjointEmpereurXianfeng
EnfantsEmpereurTongzhi
ReligionBouddhisme

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Cixi, ouTseu-Hi, ouTs'eu-hi (chinois : 慈禧 ;pinyin :Cíxǐ ;wade-giles :Tz'u-Hsi), née le àPékin et morte le à laCité interdite, est une impératricedouairière deChine de ladynastie Qing qui exerça la réalité du pouvoir en Chine pendant 47 ans de1861 à sa mort.

Choisie adolescente par l'empereurXianfeng et sa mère pour devenirconcubine impériale, elle donne naissance à un fils, qui deviendra l'empereurTongzhi après la mort de Xianfeng. Son véritable nom est Yehenala Xingzhen[1] mais, après l'intronisation de son fils, elle prend le nom honorifique de « Cixi » (Ts'eu-hi) : « mère vénérable ». Cixi parvient à renverser le groupe de régents nommé par l'empereur défunt et assume elle-même la régence durant l'enfance de son fils aux côtés de l'impératrice douairièreCi'an. Cixi consolide ensuite son contrôle sur la dynastie et, à la mort de l'empereurTongzhi, contrairement aux règles de succession, elle installe son neveu sur le trône sous le titre d'empereurGuangxu en 1875.

Bien qu'elle refuse d'adopter un modèle de gouvernementoccidental, elle soutient néanmoins lemouvement d'auto-renforcement technologique et militaire[2]. Cixi rejette laréforme des Cent Jours de 1898 qu'elle considère impraticable et nuisible au pouvoir dynastique et place l'empereur Guangxu sous surveillance pour avoir apporté son soutien aux réformateurs. Après larévolte des Boxers et l'invasion desarmées alliées, les pressions externes et internes forcent Cixi à effectuer des changements institutionnels qu'elle avait refusés jusque-là et elle nomme des réformateurs à des postes de fonctionnaires. La dynastie est déposée par larévolution chinoise de 1911, trois ans après sa mort (et la nouvelle ère républicaine commence le).

Les historiens chinois et internationaux la représentent généralement comme un despote et comme la responsable de la chute de la dynastie, tandis que d'autres suggèrent que ses adversaires réformateurs ont réussi à en faire un bouc émissaire de problèmes qui allaient au-delà de son pouvoir, qu'elle est intervenue pour calmer les troubles, qu'elle n'était pas plus impitoyable que les autres dirigeants, et qu'elle était même résolument réformiste vers la fin de sa vie[3].

Biographie

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Concubine impériale

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Fille de sang noble de Huizheng[4], un porte-enseigne issu du clanmandchouYehe Nara (en) (pinyin :Yèhè Nālā Shì), un clan desJürchens Haixi, Cixi, née durant l'hiver1835, voit son éducation prise en charge par son oncle à la mort de ses parents. À l'âge de quinze ans, elle fait partie d'un groupe de soixante jeunes filles choisies pour devenir les concubines de l'empereur de ChineXianfeng, et se voit nommée concubine de sixième rang ou « noble dame », avec le nom honorifique « Lan » (chinois : 蘭貴人, pinyin :Lán guìrén).

Portrait de Cixi, concubine impériale.

Un jour, soneunuque personnel transgresse les règles de laCité interdite et révèle à sa maîtresse qu'il peut l'aider pour que l'empereur veuille la choisir pour la nuit. Cixi se fâche mais accepte finalement de l'écouter. Cixi use de ruse et de calculs pour entrer dans les bonnes grâces du grand eunuque de la cité impériale, lequel fit ensuite l'éloge de la beauté de Cixi à l'empereur.

En 1852, l’empereurXianfeng commence à grandement la favoriser. Au terme de trois mois entiers passés auprès de lui, elle devient la favorite impériale en titre. Le, elle donne naissance à un fils du nom deZaichun, destiné à succéder à son père sur le trône. Après avoir donné un fils à l'Empire, elle est, après l'impératrice, la femme la plus importante de l'Empire.

Toutefois, son ascension a un prix : l'éducation du prince héritier est confiée à l'impératrice, sa rivale, et aux eunuques de la Cour. Cependant Cixi, favorite de l'empereur, est sa conseillère dans les affaires de l'Empire, ce qui constitue à l'époque une attitude sacrilège en totale rupture de la répartition des rôles. Par ailleurs, contrairement à la plupart des autres concubines impériales, elle sait lire et écrire, ce qui lui permet d'assister efficacement Xianfeng. À son contact, elle apprend rapidement la gestion des affaires d'État.

Sa prise de pouvoir

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En 1860, pendant laseconde guerre de l’opium, Français et Anglais attaquentPékin et la cour doit fuir pourRehe enMandchourie.Xianfeng sombre alors dans la dépression et meurt le, à 30 ans.

Juste avant la mort de l'Empereur, deux groupes s'opposent afin de gouverner. Le premier est constitué de deux cousins favoris de l'Empereur, les princesYi (en) etZheng (en). C'est dans le second groupe que Cixi trouve sa place avec à ses côtés le commandant de la garde impériale,Rong Lu (parfois considéré comme un amant secret), et leprince Gong (en) qui garde le trône de Pékin. Cixi dispose aussi de l'appui du Grand eunuque. Quant àCi'an, la première épouse de l'Empereur et impératrice douairière, elle reste neutre. Elle est dès lors convoitée par les deux factions car elle est supposée exercer la régence à la mort de l'empereur, excepté dans le cas de dispositions contraires de ce dernier.

Un édit accordant les titres de régents et de tuteurs du jeune héritier du trône (le fils de Cixi) est arraché à l'Empereur sur son lit de mort en faveur des princes Yi et Zheng. Par ruse, Cixi dérobe le sceau impérial[5], lui permettant de valider ou non les décrets impériaux.

Alors que les funérailles de l'Empereur ont lieu, les deux princes désavoués ainsi que leur allié mandarinSu Shun (en) se préparent à remettre la main sur le sceau récemment dérobé. Le convoi doit être attaqué et le sceau récupéré sur le cadavre de l'empereur décédé. Cependant, le complot est éventé, faisant échouer la conspiration, lorsque Rong Lu s'élance à cheval et rattrape les assassins employés par le trio. Quelques jours plus tard, les instigateurs sont éliminés : Su Shun est décapité et les deux princes mandchous reçoivent l'autorisation de se pendre.Ci'an, à la personnalité peu affirmée, se range alors aux côtés de Cixi. Cette dernière, déjà impératrice mère, prend le titre d'Impératrice Mère du Palais d'Occident etCi'an, d'Impératrice Mère du Palais d'Orient. Elles détiennent désormais le pouvoir suprême en Chine. Gong est nommé conseiller de la Couronne en récompense de sa loyauté. Zaichun, âgé de six ans, est intronisé empereur sous le nom deTongzhi. Cette succession plutôt inattendue semble redonner du sang neuf à la dynastie mandchoue, jusqu'alors en perdition.

Maîtresse de l'Empire

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Portrait officiel de l'impératrice douairière Cixi.

À la mort de l’empereurXianfeng en 1861, Cixi devient impératrice douairière, associée àCi'an, alors impératrice. Cixi détient alors les pleins pouvoirs pendant que Ci'an reste dans son ombre jusqu'à sa mort en 1881[6].

À sa majorité en 1873,Tongzhi règne sur la Chine. Cependant Cixi n’a pas l’intention de le laisser changer l’ordre établi : son fils, le nouvel Empereur, règne seulement en apparence tandis qu'elle conserve la mainmise sur les décisions importantes. Les apparences sont maintenues : l'Empereur promulgue les décrets mais la décision véritable revient en fait à la toute-puissante impératrice douairière. Cette pratique est appelée par ses contemporains « régner derrière le rideau », expression à prendre au sens littéral. Cixi a en effet installé dans la salle du trône une tenture suffisamment transparente pour lui permettre de voir le dos de l'Empereur et les gens placés devant lui, mais suffisamment opaque pour qu'elle ne soit pas vue. Assise derrière le trône impérial, elle tire les ficelles de l'Empire, réduisant le « fils du ciel » au rôle de figurant.

Cixi est de religionbouddhiste et aussitaoïste. Elle vénérait en particulierbodhisattvaGuanyin, la déesse de la miséricorde[7].

À cette époque, le jeune Empereur sort de la Cité interdite presque chaque nuit pour se distraire avec des prostituées ou bien fumer de l'opium (drogue introduite d'Inde par lesBritanniques et interdite à la consommation par décret impérial). Mais ses excès et sa vie de débauche ne lui permettent pas de tenir longtemps : il meurt à dix-neuf ans à peine, en 1875[8]. À sa mort, selon les annales de la cour, Cixi se déclare bouleversée : « Je croyais pouvoir être heureuse une fois mon fils empereur ; à sa mort, je suis devenue une autre car c'en était fini de mon bonheur ». Mais Cixi n'a pas le temps de sombrer dans le chagrin car l'épouse deTongzhi est enceinte. Si elle donne naissance à un fils, ce dernier sera proclamé héritier du trône et Cixi sera évincée du pouvoir car la jeune veuve assumerait la régence à sa place. C'est pourquoi elle convoque, le jour même de la mort de son fils, les hauts dignitaires de l'Empire pour faire désigner Zaitian comme héritier — le fils, âgé d'à peine quatre ans, de sa sœur et d’un prince impérial. Cette proclamation apparaît alors comme un véritable coup d'État.

Zaitian devient le nouvel empereur sous le nom deGuangxu, mais il est soumis au même sort que son prédécesseur. Une nouvelle fois, les deux douairières sont chargées de la régence de l’enfant mineur. La mort deCi'an en 1881 laisse Cixi seule régente. Résolue à préserver la tradition impériale chinoise, Cixi dirige laCité interdite d'une main de fer. Cependant, elle ne perçoit pas les signes avant-coureurs du déclin de la Chine impériale. À sa majorité, l’EmpereurGuangxu se charge personnellement des affaires du gouvernement mais demeure dans les faits la marionnette de Cixi.

Le déclin de la dynastie

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Portrait de l'impératrice Cixi, huile sur toile deHubert Vos, 1905,musées d'Art de Harvard.

Cixi, vivant dans la Cité interdite avec ses eunuques, considère les Occidentaux comme des barbares et un danger pour la Chine.En grandissant,Guangxu gagne enfin sa place en tant qu'Empereur de Chine. Comme son prédécesseur, il reste fortement influencé par Cixi mais s'entoure peu à peu de réformateurs influencés par l'action de l'empereur japonaisMeiji et les idées occidentales. Il écarte du gouvernement les aristocrates mandchous, gardiens des traditions. Ces derniers, solidaires avec l'impératrice Cixi et l'armée, multiplient les oppositions afin de faire échouer cette tentative de libéralisation de l'empire.

En 1898, alors que la Chine impériale s'affaiblit,Guangxu semble ne pas s’en tenir aux volontés de sa tante et lance laréforme des Cent Jours, un mouvement de réforme dans tous les domaines. Pour contrer cette tentative d'émancipation de son neveu, Cixi n’hésite pas à le discréditer en le déclarant incapable de gouverner. Elle fait exécuter tous les conseillers de l'Empereur avant d'annuler ses décrets ; c'est la fin d'une courte période réformiste.Guangxu déclaré faible d'esprit, est enfermé dans un pavillon de laCité interdite. Cixi assure donc la régence une nouvelle fois de 1898 à 1908.

Pujun, le fils de son proche conseiller et neveu par alliance leprince Tuan, est désigné comme héritier du trône[9]. Afin de contrecarrer l'influence des puissances étrangères, et conseillée sur ce point par le prince Tuan, l'impératrice douairière soutient en1900 larévolte des Boxers. Elle souhaite opposer le patriotisme chinois aux Occidentaux et, par la même occasion, faire oublier les décisions mandchoues qui ne font pas l'unanimité. Les Boxers massacrent leschrétiens chinois ainsi que les prêtres et assiègent les lieux où les étrangers se sont réfugiés. Cependant, l'Alliance des huit nations anéantit la révolte (Allemagne,Autriche-Hongrie,États-Unis,France,Italie,Japon,Royaume-Uni etRussie). Les Occidentaux envoient un corps expéditionnaire pour mettre fin aux émeutes. Cixi est alors forcée de fuir la Cité interdite et Pékin pour se rendre àXi'an. Pour apaiser les puissances étrangères, elle rend lesBoxers responsables du déclenchement des attaques et ordonne aux troupes impériales de participer à la répression du mouvement. La Chine se voit infliger leprotocole de paix Boxer. Le, Cixi peut retourner à laCité interdite à Pékin mais après avoir été obligée de signer un traité obligeant la Chine à payer les réparations liées au conflit pendant près de quarante ans.

Le 3 novembre 1908,Guangxu étant toujours sans enfant à 37 ans, sa tante Cixi, impératricedouairière de Chine et détentrice réelle du pouvoir, nomme un enfant de 2 ans et 10 mois,Puyi, fils deZaifeng, frère cadet de Guangxu[10], pour assurer la future succession de l'empereur tout en restant pour longtemps régente.

Subitement, l'empereur Guangxu meurt le et Cixi s'éteint le lendemain. C'est ledalaï-lamaThubten Gyatso qui conduit les rituels funéraires et rédige l’éloge funèbre[11]. Le petit Puyi hérite du trône sous larégence de son père.

Assassinat de l'empereur Guangxu

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La mort de Cixi, le, un jour après la mort subite de Guangxu, soulève des questions restées sans réponses. Il est possible que Cixi, se sentant mourir, et ne pouvant supporter que l'empereur puisse régner libre et selon ses propres convictions, ait choisi de le supprimer.

Selon une information diffusée en novembre 2008 par l'agence de presseChine nouvelle et reprise par le journalLe Monde, l'empereur serait mort empoisonné à l'arsenic, à l'instigation de Cixi. En effet, des analyses scientifiques, dont certaines paractivation neutronique, auraient révélé dans deux cheveux, deux clavicules, une côte et un os, un taux de contamination par ce poison de 2 400 fois supérieur à la normale[12],[13].

Selon Pu Liang, ministre des Rites de la Cour, un eunuque a apporté un yaourt à l'arsenic àGuangxu, peu avant sa mort[12].

Certains soupçons[Lesquels ?] veulent même que Cixi ait facilité[Comment ?] les escapades nocturnes de son propre « fils », le laissant ainsi susceptible d'attraper des maladies (potentiellement mortelles à l'époque)[réf. nécessaire]. Par ailleurs, Cixi aurait poussé[Comment ?] la veuve de l'empereurTongzhi, enceinte de quelques mois, ausuicide[réf. nécessaire] pour que l’héritier du trône ne voie jamais le jour.

Enfin, l'impératrice Ci’an est elle-même morte après à peine un jour de maladie, certaines sources[Lesquelles ?] indiquent qu'elle aurait été empoisonnée.

La tombe de l'impératrice Cixi est saccagée lors dupillage du mausolée oriental en 1928.

La légende

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Selon la légende prophétisant que la dynastie s'effondrerait par l'entremise d'une fille de la maison de Yehe, le clanYehe Nara, dont elle était issue, aurait maudit ladynastie Qing. Curieusement, la plupart des empereurs Qing ne prirent jamais deconcubines issues de ce clan, jusqu'au choix de Cixi parXianfeng.

Bibliographie

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  • Impératrice de Chine (Imperial Woman), dePearl Buck, éditions Stock, 1956.
  • Une Odeur de gingembre, deOswald Wynd, 1977.
  • Mémoires d'une dame de cour dans la Cité interdite, de Jin Yi.
  • La Vallée des roses, deLucien Bodard.
  • Impératrice Orchidée, d’Anchee Min.
  • Mémoires d'un eunuque dans la Cité Interdite de Shi Dan, 1998.
  • Cixi, impératrice de Chine, deDanielle Elisseeff, éditions Perrin, 2008.
  • L'impératrice fatale, la fille-orchidée, deGerald Messadié, éditions L'Archipel, 2012.
  • L'impératrice Cixi. La concubine qui fit entrer la Chine dans la modernité, deJung Chang, éditions J.-C. Lattès, 2015.
  • Pékin-Hankéou, la grande épopée (1898 - 1905) (catalogue de l'exposition en la gare deSchaerbeek qui débuta en), Kana, Bruxelles, 2021.

Bande dessinée

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  • Tseu Hi La Dame Dragon tome 1 et 2 dans la collection Reines de sang, par Philippe Nihoul et Fabio Mantovaniaux aux ÉditionsDelcourt, 2015 et 2018.

Cinéma

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  • 1914 :The Marked Woman d’Oscar Augustus Constantine Lund avec Jane Stuart.
  • 1924 :Manchu Love d'Elmer Clifton avec Etta Lee.
  • 1948 :Histoire secrète de la cour des Quing (Quinggong mishi) deZhu Shilin, actrice non créditée.
  • 1963 :Les 55 Jours de Pékin, film deNicholas Ray retraçant larévolte des Boxers. Le rôle de Cixi est tenu parFlora Robson.
  • 1975 :
  • 1983 :
    • Reign Behind a Curtain de Han Hsiang Li avec Liu Xiaoqing.
    • Burning of the Imperial Palace de Li Han Hsiang avecLiu Xiaoqing.
  • 1984 :Tan Sitong de Chen Jialin avec Yumei Wang.
  • 1987 :Le Dernier Empereur, film deBernardo Bertolucci retraçant la vie du dernier empereur,Puyi. Le rôle de Cixi est tenu parLisa Lu.
  • 1989 :The Empress Dowager de Li Han Hsiang avec Liu Xiaoqing.
  • 1995 :Mao Pai Huang Di de Lau Kwok-kuen avec Petrina Fung Bob-o.
  • 2007 :La Cité interdite de Pékin – 2. La Conspiration de la concubine (Chinas verbotene Stadt – 2. Die Herrschaft der Konkubine) de Christian Twente.

Dessin animé

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Divers

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  • Son nom,Cixi, ainsi que celui de la corégenteCi'an (C'ian dans la bande dessinée), a été donné aux deux personnages féminins accompagnant les aventures deLanfeust dans l'albumLanfeust de Troy et sa suiteLanfeust des étoiles, bandes dessinées deChristophe Arleston etDidier Tarquin. Le tome 6 de la première série est d'ailleurs titréCixi impératrice. En 2009, la série de trois tomesCixi de Troy lui est consacrée.
  • Elle est l'un des personnages principaux de la fresque historique romanesque d'Asada JirôLe roman de la Cité interdite qui raconte le déclin de l'Empire chinois.
  • George Soulié de Morant,Tseu-H’si, impératrice des Boxers, édition Nilsson, 1911.

Notes et références

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  1. La Chine des Merveilles : de Gengis Khan au dernier Empereur, Gianni Guadalupi, 2004, p. 221-222.
  2. François Reynaert,La grande histoire du monde, Paris,Fayard,, 7 p.,p. 612-618
  3. Sue Fawn Chung, « The Much Maligned Empress Dowager: A Revisionist Study of the Empress Dowager Tz'u-Hsi (1835–1908) », Modern Asian Studies 13.2 (1979): 177–196.
  4. [1].
  5. Anecdote tirée deLa Chine des Merveilles : de Gengis Khan au dernier Empereur, Gianni Guadalupi, 2004, p. 222.
  6. Cixi sur l'encyclopédie Universalis.
  7. Jung Chang« Cixi, l'impératrice », 2015.
  8. Dictionnaire de la civilisation chinoiseEncyclopedia universalis, Albin Michel.
  9. Edward J.M. Rhoads,Manchus & Han: Ethnic Relations and Political Power in Late Qing and Early Republican China, 1861-1928, University of Washington Press, 2001.
  10. Dictionnaire de la civilisation chinoise - édition Albin Michel (Encyclopedia universalis).
  11. Virginie Larousse, « Les 13 premiers dalaï-lamas ; 5 siècles sur le toit du monde »,Le Monde des religions,.
  12. a etb« L'empereur Guangxu empoisonné ! »,Le Monde.fr,‎(lire en ligne, consulté le)
  13. « Arsenic killed Chinese emperor, reports say - CNN.com », suredition.cnn.com(consulté le)

Voir aussi

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Article connexe

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Liens externes

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