La cité est nichée dans l'étroite vallée formée par le fleuve Ica, entre leGran Tablazo de Ica et les pentes occidentales desAndes, à 47 km de la côte de l'océan Pacifique.
Le district d'Ica qui englobe l'agglomération est l'un des 5 districts urbains de la province d'Ica qui comprend en outre, 9 districts ruraux. Il mesure 887 km2
En dialecte Yunga[3] le mot « ika » à pour racine « ik » signifiant « lac », en références aux temps anciens où Ica était entourée de magnifiques lacs maintenant disparus.
Après la proclamation d'indépendance du Pérou (28 juillet 1821), le drapeau de la ville a été défini. Partagé en diagonale, son triangle vert représente la végétation et le sol fertile, sa partie jaune représente le soleil toujours présent dans la ville d'Ica.
La ville d'Ica n'avait pas à l'origine de blason, mais elle s'est inspirée de celui du fondateur de la villeDon Jerónimo Luis de Cabrera, qui était sculpté dans une vieille maison de la ville deCuzco.
Parmi les symboles héraldiques, on distingue la chèvre (cabrera = chevrière = celle qui garde les chèvres), le raisin qui représente les vendanges et les ondulations qui figurent les lacs cristallins de la région.
L'hymne à Ica a été composé en 1975 par Sara Lama Lama (musique) et Raquel Meneses Villagra (paroles). Elles y décrivent l'histoire d'Ica, les personnages illustres, les attractions touristiques et soulignent la ferveur religieuse et patriotique de la population.
Les premiers habitants humains se sont installés dans la région d'Ica il y a environ 9 000 ans. L'« homme de Paracas », découvert dans la Pampa de Santo-Domingo, date de
Plus tard, trois cultures pré-incas importantes se sont développées dans la région, la cultureParacas entre et, la cultureNazca à et la cultureChincha de à.
Réputée pour leur maîtrise du tissage, les Paracas ont laissé commeartéfacts des manteaux en fibre de coton et de laine, préservés dans leurs couleurs et leur texture grâce aux conditions climatiques et au sol de la région, ainsi que des ballots funéraires (oufardo) avec des momies accroupies qui montrent l'avancée de la technique non seulement de la momification, mais aussi des connaissances de la médecine et de la chirurgie à travers latrépanation. Ces momies ont été trouvées principalement à Cerro Colorado, où la roche a été sculptée en forme d'une coupe inversée pour y placer chaque ballot sous terre.
Les plus remarquables vestiges de la culture Nazca sont lesgéoglyphes tracés dans la pampa du même nom, les plus connus étant lecolibri, l'araignée et lesinge.María Reiche, une mathématicienne allemande qui a consacré 50 ans de sa vie à l'étude et à la préservation deslignes de Nazca, en est arrivée à la conclusion qu'il s'agissait d'un gigantesque calendrier agricole lié aux mouvements du soleil, de la lune et des constellations.
Contrairement aux lignes dePalpa, à Nazca il n'y a qu'une seule figureanthropomorphique, plus connue sous le nom de "l'astronaute" car on voit un être humain portant une sorte de combinaison de plongée, dont la silhouette est très proche de celle des astronautes actuels.
Ensuite surgit la cultureChincha qui se répand dans toute la région avec la vallée de Chincha comme centre politique. En 1476, l'incaPachacutec a étendu son empire sur la région et formé leChinchay Suyu, qui couvrait toute la région d'Ica jusqu'à la vallée de la rivière Majes. La culture Chincha n'a pas laissé beaucoup de références dans les chroniques espagnoles, ni d'artéfacts sur le terrain.
Il semble que c'était une civilisation très vouée au commerce terrestre et maritime, puisqu'elle échangeait des marchandises entre les montagnes et la zone côtière, puis son champ d'action s'est apparemment étendu à tout l'empire inca et peut-être même jusqu'enÉquateur et auChili, parcabotage grâce à une importanteflottille d'embarcations.
Les Incas ont complété lesaqueducs existants, le plus important étantLa Achirana del Inca, qui détourne une partie des eaux du Río Ica et dont la construction est attribuée, selon la légende,« à la demande d'une belle jeune femme de la région qui a captivé Pachacutec, celui-ci a accepté la construction de l'aqueduc bien qu'il n'ait pas été réciproque dans ses sentiments envers la jeune femme ». Achirana signifie « ce qui va proprement vers ce qui est beau ».
Des Espagnols seraient arrivés dans la région dès 1533 à la recherche d'un endroit pour fonder la capitale de la vice-royauté, créant la ville de San Gallán dans la zone où se trouve aujourd'huiPisco. Mais comme il fut décidé que la capitale serait installée dans la vallée duRío Rímac (ce seraLima), cette région fut cédée à Nicolás de Ribera el Viejo, qui en 1551, serait le premier à produire uneeau-de-vie de vin à partir demoût deraisin dans ses terres de Ica avec descépages apportées desÎles Canaries.
C'est à cette époque que le raisin de typequebranta a été développé sur la base du raisin noir européen, qui donne sa saveur unique à l'eau-de-vie produite. Le moût était conservé dans des bocaux en argile, appeléspiskos, similaires à ceux utilisés à l'époque inca pour laisser fermenter lachicha, mot dont le nompisco est également supposé dériver. Très vite, cet alcool a commencé à être commercialisé dans toute lavice-royauté, puis le reste de l'Amérique et enfin l'Europe, le port de Pisco étant le point de départ des bateaux.
Ce « brandy » a ainsi acquis le nom dePisco, boisson nationale péruvienne. C'est un alcool fort ressemblant un peu à lagrappaitalienne que les autorités du pays ont déclarée en 1988 comme faisant partie dupatrimoine culturel du pays. En 2013, le pisco péruvien a obtenu le statut d'IGP par l'Union européenne.
Après des tremblements de terre répétés qui ont détruit la ville, celle-ci dû changer de place et finalement en 1633, elle est installée à l'endroit qu'elle occupe actuellement et a été reconnue comme une ville.
La cathédrale d'Ica de style colonial est placée sous le vocable deSaint Jérôme en l'honneur de son saint patron. Elle est aujourd'hui le siège dudiocèse d'Ica.
Selon une tradition relative à un christ en bois, un miracle se serait produit en 1558 dans la forêt de Rurin, dont le nom devenu serait devenu par déformationLuren, d'où le nom deSeñor de Luren(es) donné à cette statue.Cette représentation du Christ en Croix est toujours l'objet d'une intense dévotion dans la cité où un sanctuaire lui est dédiée
Une autre tradition mentionne également les moments où cette statue a miraculeusement survécu aux tremblements de terre intenses qui ont dévasté la ville et la région au cours des trois derniers siècles et demi, ainsi que dans un incendie qui a assombri cette statue de bois.
Vers 1595, la traite desesclaves africains par les Espagnols a commencé, esclaves qui étaient vendus aux marchés de la province de Chincha pour le sud du Pérou.
Ce commerce - qui ne cessera qu'avec l'indépendance - a marqué cette province où la culture afro-péruvienne est toujours vivace. Cette population était principalement occupée dans l'agriculture, à la fois dans les vignobles et plus tard dans les champs de coton.
Lors de la réorganisation de 1783, lavice-royauté du Pérou fut scindée en « intendances » et la région d'Ica fut incorporée dans celle de Lima (1783).
La ville d'Ica a proclamé son indépendance quelques mois avant l'arrivée du libérateurSan Martín en septembre 1820, qui débarqua dans labaie de Paracas et installa son quartier général àPisco. En juillet 1821, il part pourLima mais auparavant il décide du dessin dudrapeau national du Pérou inspiré desparihuanas, oiseaux typiques de Paracas.
Pendant laguerre du Pacifique (1865-1866), le département d'Ica faisait partie de la résistance contre l'invasion chilienne, des batailles ont eu lieu dans tout le département, comme la bataille de Cerillo à San José de los Molinos.
Le sanctuaire du Señor de Luren après le séisme de 2007.
Après l'inondation, des défenses fluviales ont été construites pendant la présidence d'Alberto Fujimori, les berges ont été renforcées par des travaux d'ingénierie par exemple dans le secteur du pontPuente los Maestros où passe laPanaméricaine Sud. Ensuite, il y a eu d'autres inondations mais avec un effet moins destructeur.
Tremblement de terre de 2007 : Le 15 août 2007, la ville a été durement touchée par un très fort tremblement de terre. L'Institut Géophysique du Pérou a enregistré une magnitude locale (ML) de 7.0 sur l'échelle de Richter[4]. La magnitude de moment (Mw), caractéristique de l'énergie mise en jeu par le séisme, fut estimée à 8.0[5]. L'intensité maximale des dégâts évaluée sur l'échelle de Mercalli fut de VII à VIII dans un rayon de 100 km autour de l'épicentre[6],[4].
En 2010, seulement environ 35 % des dommages causés par le tremblement de terre avaient été réparés, certaines parties de la ville étant toujours affectées par la pénurie d'eau potable.
La ville a longtemps puisé de l'eau pour ses besoins domestiques et agricoles dans unaquifère alimenté par l'eau de fonte desglaciers. Or, la consommation régionale dépasse l'afflux d'eau dans l'aquifère qui s'assèche rapidement. Des habitants et desmilitantsécologistes appellent désormais à uneirrigation plus efficace et à l'ajout debarrages et d'aqueducs[8]
Le Río Ica a provoqué dans la cité des inondations catastrophiques en 1941, 1963 et surtout en 1998.
Autour d'Ica se trouve aussi le désert côtier péruvien, l'un des grands déserts américains, qui s'étend sur près de 185 000 km2 deLambayeque à Ica et relie ledésert de Sechura au nord audésert d'Atacama au sud.
L'agglomération d'Ica comprend les districts d'Ica avec 155 247 habitants, deLos Aquijes avec 22 882 habitants, deSubtanjalla avec 28 595 habitants, deLa Tinguiña avec 41 583 habitants etde Parcona avec 56 767habitants.
Selon l'Institut national de statistique et d'informatique, c'est la onzième ville la plus peuplée du Pérou qui abritait en 2017 une population de 305 074 habitants[1],[2].
La production est concentrée dans la vallée, située au milieu du désert du Pacifique, grâce à un ensoleillement permanent. La province est pour les Péruviens, le « Pays du Soleil ».
La ville est bien reliée grâce à l'autoroute panaméricaine. Elle dispose également d'un petit aérodrome, d'où décollent les vols touristiques au-dessus des lignes de Nazca.
Un ancienchemin de fer la reliait à la ville de Pisco, mais celui-ci a été détruit lors de l'invasion chilienne pendant la guerre du Pacifique. Sous le mandat du présidentMartín Vizcarra, existe un projet de train régional qui joindrait les villes deChincha Alta,Pisco et Ica[9].
Parmi les traditions qui sont préservées à Ica, il y a la race des chevauxPaso péruviens, déclarée patrimoine culturel de la nation par l'Institut National de la Culture (INC)[10], lescombats de coqs et surtout la musique et les danses afro-péruviennes, telles que lefestejo (accompagné par laquijada), l'Alcatraz et ladanse des Negritos(es), ce dernier étant considéré comme la danse typique de la région.
Morusa de pallares (fèves) : Purée rustique de fèves fraiches ou séchées, cuites jusqu'à ce qu'elles fondent, puis mélangées avec une vinaigrette péruvienne pour finir la cuisson. à servir avec rosbif ou porc.
Pallares épicés : Purée de fèves pimentée.
Carapulca : Potage indigène préparé avec des pommes de terre séchées bouillies et cuit avec diverses viandes et épices[11],[12].
Tejas : Dessert composé d'un morceau de fruit ou de noix de pécan, recouvert deblanc-manger[13].
Chapanas : Friandise péruvienne à base de farine de manioc, d'anis et de mélasse. La combinaison est traditionnellement enveloppée dans une feuille sèche, et le plat est servi et consommé froid. Le nomchapana est dérivé du motquechuachapuni, qui signifie pétrir.
Pisco : eau-de-vie de raisin traditionnelle distillée à partir des cépages Quebranta, Uvina,Mollard, Negra Criolla, Albilla,Italia,Muscat et Torontel.
Cachina : Boisson traditionnelle à base de vin jeune (moins de 30 jours après pressage).
Dans la région, il y a une université publique, l'Université nationale San Luis Gonzaga et trois annexes d'universités privées de Lima: l'Université Alas Peruanas dans la province d'Ica et les universitésSan Juan Bautista etInca Garcilaso de la Vega à Chincha.
On compte aussi des instituts supérieurs technologiques tels que l'Institut Catalina Buendía de Pecho, un institut public reconnu pour ses enseignements en matière d'agronomie, ou l'École supérieure de formation artistique publique "Sérvulo Gutiérrez"[3] et l'école supérieure de musique "Francisco Pérez Anampa".
Les formations aux métiers de la restauration sont assurées par la SENATI qui a été inaugurée à Pisco, avec le soutien de la Société péruvienne degastronomie, afin de satisfaire la demande des restaurants, en particulier celle des nouveaux hôtels situés à Paracas.
Chaque mois de mars, une fête desVendanges se déroule dans la ville avec concours, défilés de chars, musiques etdanses afro-péruviennes.
La ville abrite un musée important leMusée régional d'Ica, avec en particulier desmomiesprécolombiennes et une collection impressionnante de crânes déformés ou présentant des traces detrépanation, ainsi que des meubles, des peintures et autres objets de l'époque coloniale.
Autour d'Ica se trouve aussi un des grands déserts latino-américains. L'oasis d'Huacachina attire les touristes. De la ville d'Ica on peut se rendre à l'océan par ce désert en environ trois heures en dune buggy. En 2012 et 2013, puis 2018 et 2019 ce désert de dunes de sable a été plusieurs fois le théâtre d'étapes duRallye Dakar. L'oasis de Huacachina, située à 5 km de la ville d'Ica, est entourée de grandes dunes de sable, propices à la pratique dusandboard, ainsi qu'à d'autres sports d'aventure.
Ica est mondialement connu pour les mystérieusespierres d'Ica, un ensemble de 15 000 galets d’andésite gravés.
En 2018, l'afflux de touristes dans la ville d'Ica était de 1 477 841 visiteurs, dont 248 582 touristes étrangers, selon le rapport du Portail Régions du Tourisme.
Plaza de Armas d'Ica, la nuit.
Palais municipal, sa construction a commencé à l'époque républicaine, il conserve une série de caractéristiques architecturales, telles que des arcs et autres ornements d'une beauté exceptionnelle. Au deuxième étage se trouve l'hôtel de ville, entièrement décoré d'une série de figures ornementales en bois en haut relief qui représentent les saisons de l'année, ainsi qu'un grand tableau qui représente la proclamation d'indépendance en 1820.
Sanctuaire du Seigneur de Luren, le style de ce temple est d'architecture néoclassique avec un plan en croix latine. Il se caractérise par trois portails avec des arcs en brique. C'est l'une des églises les plus fréquentées de la ville car elle abrite le saint patron d'Ica. Le monument a été très endommagé lors du tremblement de terre de 2007[14],[15]. Il aura fallu 12 ans pour que la reconstruction soit entreprise et terminée[16].La sorcière (bénéfique) de Cachiche.
Musée régional Adolfo Bermúdez Jenkins: LeMuseo Regional de Ica expose une collection d'artéfacts préhistoriques et préhispaniques des culturesParacas,Nasca,Huari, Ica etInca, ainsi que des tableaux et des meubles coloniaux et républicains. Le musée est réputé pour ses paquets funéraires précolombiens (fardos), ses momies et ses crânes déformés. Les crânes allongés des cultures Paracas et pré-inca suggèrent une déformation rituelle, peut-être pour marquer une classe d'élite. Certains crânes portent également des preuves detrépanation, une sorte de chirurgie cérébrale précoce pour soulager la pression interne ou enlever la matière crânienne endommagée lors de combat.
Le musée des pierres, fondé par le collectionneur Dr. Javier Cabrera, présente une collection depierres mystérieuses (en réalité unesupercherie) et diverses gravées de scènes d'activités humaines.
Casona del Marqués de Torre Hermosa, l'un des rares exemples d'architecture vice-royale qui a survécu aux mouvements sismiques et à la croissance urbaine. Son portail rococo sculpté dans la pierre se distingue. Elle est connue sous le nom de La Casa Bolívar car elle abritait leLibertador lors de son passage dans la ville.
Casona Mendiola, qui appartenait aux sœurs Martínez Benvenuto, a un beau plan vice-royal avec un double patio sur la rue Bolívar, a été endommagé par le tremblement de terre de 2007.
Cachiche, un lieu connu pour les sorcières mythiques qui y résidaient, comme Julia Hernández Pecho Viuda de Díaz. Il y a aussi le palmier aux sept têtes, dont les troncs et les racines prennent des formes sinistres, à la manière de gigantesques serpents.
Lac de Huacachina, lieu traditionnel de promenade et de repos pour les habitants d'Ica, et incontournable pour les étrangers. Lalaguna de Huacachina est l'une des rares oasis naturelles qui existent dans le pays, qui se combine avec un paysage qui harmonise les dunes, les palmiers et leshuarangos. Dans le passé on attribuait des propriétés curatives aux eaux de ce lac grâce à une sirène qui y vivait.
Comme dans le reste du pays, le sport le plus pratiqué dans la ville d'Ica est lefootball. Au cours de l'année plusieurs championnats de ligue mineure sont organisés. Les clubs les plus populaires de la ville sont le Sport Victoria et l'Octavio Espinosa. Ce dernier a évolué enpremière division de 1966 à 1971 et de 1984 à 1991. Une autre équipe importante est leCSD Estudiantes de Medicina, vainqueur de laCopa Perú en 2000.
Le principal site sportif pour la pratique du football est le stade José Picasso Peratta, propriété de l'Instituto Peruano del Deporte, lieu où les équipes d'Iqueños jouent leurs matchs à domicile. Il ne peut accueillir que 8000 spectateurs, mais la population en est fière.
Hugo Sotil, footballeur international, né à Ica en 1949. Il est considéré comme l'un des meilleurs joueurs de football de l'histoire du Pérou des années 1970. Il était membre de l'équipe nationale péruvienne qui a remporté laCopa América 1975.
Adolfo Donayre (1933-2011), footballeur, né à Ica. Il a défendu son style de jeu juste et élégant qui lui a valu le surnom de "Chevalier des sports" et est devenu une idole du Centre Iqueño, où il a remporté le seul titre de son histoire.
Abraham Valdelomar. Narrateur, poète, journaliste, essayiste et dramaturge péruvien. Il est considéré comme l'un des principaux conteurs du Pérou.
José de la Torre Ugarte. Auteur des paroles de l'hymne national, dont la musique a été composée par José Bernardo Alcedo.
Sérvulo Gutiérrez. Peintre, boxeur et poète péruvien. Il est reconnu comme le peintre péruvien le plus représentatif de sa génération.
José Matías Manzanilla Barrientos. Avocat, juriste et homme politique péruvien. On se souvient de lui pour avoir été l'auteur d'une série de projets de législation du travail, qui sont devenus la base de la législation du travail naissante.
↑a etb(es) « Perú: Población 2019 », Compañía Peruana de Estudios de Mercados y Opinión Pública (CPI),(consulté le).
↑[http://en:Mochica languageYunga (Également Mochica , Yunca , Chimú , Muchic , Mochika , Muchik , Chimu ) est une langue éteinte autrefois parlée le long de la côte nord-ouest du Pérou et dans des villages de l'intérieur.]