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Iași

47° 09′ 44″ nord, 27° 35′ 20″ est
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Iași
Blason de Iași
Héraldique
Iași
De haut en bas et de gauche à droite : LePalais de la culture ; la statue Vasile Alecsandri ; l'Université Alexandru Ioan Cuza ; la tour du Monastère de Golia ; laCathédrale métropolitaine ; le Jardin Botanique.
Administration
PaysDrapeau de la RoumanieRoumanie
JudețIași (chef-lieu)
Maire
Mandat
Mihai Chirica(d)
depuis
Code postal700001–700951
Démographie
Population271 692 hab.(2021)
Densité2 890 hab./km2
Géographie
Coordonnées47° 09′ 44″ nord, 27° 35′ 20″ est
Altitude75 m
Superficie9 400 ha = 94 km2
Fuseau horaire+02:00(heure d'hiver)
+03:00(heure d'été)
Localisation
Géolocalisation sur la carte :Roumanie
Voir sur la carte topographique de Roumanie
Iași
Géolocalisation sur la carte :Roumanie
Voir sur la carte administrative de Roumanie
Iași
Liens
Site webhttp://www.primaria-iasi.ro/
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Iași (prononcé/jaʃʲ/Écouter) (traditionnellement écrit enfrançais,anglais etallemandJassy ouIassy, translittéré du russeЯссы[1], enhongroisJászvásár, enitalienJassi, enarménienYash, enturcYaş, enyiddish יאסYas) est une ville enMoldavieroumaine, chef-lieu dujudeț de Iași et troisième ville du pays après la capitaleBucarest[2]. Iași fut la capitale de laMoldavie entre 1564 et 1859, puis une des deux capitales desPrincipautés unies de Moldavie et de Valachie entre1859 et1862, et enfin capitale de laRoumanie en1916-1918.

En 2021, la ville compte 271 692 habitants, soit la deuxième ville de Roumanie. La métropole de Iași regroupe 13 communes et rassemblerait plus de 400 000 habitants.

Iași est le centre culturel, économique et universitaire de la région roumaine deMoldavie. Plus de 60 000 étudiants fréquentent les universités de la ville, où fut fondée l'université Alexandru Ioan Cuza, une des plus prestigieuses du pays.

En 1882,Gustave Eiffel y a construit leGrand Hôtel Trajan (en)[3].

Géographie

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La ville se trouve sur leBahlui, un affluent de laJijia, qui se déverse dans lePrut. Elle s'étend sur sept collines, avec une altitude qui varie entre 40 m dans le bassin du Bahlui et 400 m des collines Păun et Repedea. Les principales collines sont Copou, Tătărași et Galata.

Villes voisines

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Histoire

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Palais culturel.
Monastère.

Débuts dans l'Antiquité

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Les recherchesarchéologiques ont conduit à la découverte d'amphoresromaines rue Ciurchi, dans lesvignes de la colline du Copou ainsi qu'à Holboca, à quelques kilomètres de Iași[4]. De même, des monnaies romaines ont été trouvées près de la colline de Cetățuia. À Valea Lupului (près de l'usine d'antibiotiques) on a découvert des tombessarmates, des vasesdaces et des objets ornementaux. Enfin, on identifie 19 hameaux de l'antiquité tardive dans la région de Iași, où on a retrouvé des artefacts peut-êtrecarpiens datant duIVe siècle[5].

Moyen Âge

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On a découvert également des habitations de forme rectangulaire (VIIe – Xe siècles), avec des fours en forme de U et de nombreux outils, des vêtements et des ornements attribués à la culturebalkano-danubienne deDridu. Un objet en céramique avec des composants techniques duXe siècle, et typique de l'artisanat deMoldavie du Nord, a également été retrouvé.

Gheorghe Ghibănescu a montré qu'en1238, l'établissement desTatars dans lasteppe pontique provoque l'exode de 10 000 Alains, appelésIasses (en roumainIași) vers la région dont la ville de Iași (Asci, civitas Iassiorum) est le centre[6],[n 1]. Entre 1299 et 1302, la majorité de cesAlains quitte la Moldavie pour s'engager comme mercenaires de l'Empire byzantin.

Le village de Iași était donc auXIIIe siècle un petit bourg rectangulaire fortifié, capitale provisoire desIasses qui l'appelèrent « Aski ». Le nom de Iași apparaît pour la première fois dans sa formeroumaine, dans un privilège commercial émis en1408 par le prince deMoldavieAlexandreIer de Moldavie (Alexandru cel Bun), mais d'autres historiens considèrent qu'en1395 une localité existait déjà, puisque cette date est inscrite dans l'église arménienne du vieux centre.

Une légende populaire place la fondation de Iași dans « des temps immémoriaux », lorsqu'unvoïvode cria à un berger nommé Dediu de sortir de sa bergerie pour lui parler. Il lui dit :« Ieși până afară să vorbim ceva ! » (« Sors, que nous puissions parler un peu ! » :ieși - sors - se prononce enroumain presque comme le nom de la ville, Iași). Cette légende est un jeu de mots fantaisiste, mais elle rappelle les occupations principalementpastorales des « Valaques » avant la fondation desprincipautés roumaines.

Depuis 1500

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Beaucoup d'événements importants pour les Roumains ont eu lieu à Iași, capitale de laMoldavie, durant trois siècles (1566-1862). Le premier acte d'union des principautés est signé parMichel Ier le Brave en 1600[7]. Ici se trouvait la résidence permanente ou temporaire desvoïvodesAlexandreIer de Moldavie,ÉtienneIII de Moldavie,AlexandruIV Lăpușneanu etBasile le Loup ; ce dernier créant l'Académie Vasiliană et introduisait l'imprimerie. Untraité entre l'Empire russe et l'Empire ottoman a été signé à Iași en1792[8].

La ville a été pillée et incendiée par lesTatars et lesCosaques, mais elle a pu renaître chaque fois. Elle a été un des théâtres des révolutions de1821,1848[7] et1989. Sescommunautésarménienne,grecque etjuive sont parmi les plus anciennes de Roumanie.

En 1869, la ville est reliée à laGalicie et à laBucovineaustro-hongroises par leChemin de fer Lemberg-Czernowitz-Jassy.

Pendant laPremière Guerre mondiale Iași fut la capitale provisoire de la Roumanie, en grande partie occupée par lesAllemands, et la base arrière de lamission française Berthelot[7].

Commetoute la Roumanie, Iași a souffert des régimes dictatoriauxcarliste,fasciste etcommuniste de à, mais connaît à nouveau ladémocratie et renaît économiquement et culturellement depuis larévolution de 1989 et depuis son entrée dans l’Union européenne en2007.

Pendant laSeconde Guerre mondiale, la Roumanie est alliée de l'Allemagne du Troisième Reich, jusqu'en. Quelques jours après l'attaque nazie contre l'URSS lepogrom de Iași ensanglante la ville le[7]. On compta 13 226 Juifs tués, soit sur place, soit durant leurdéportation. Le pharmacien Beceanu et Viorica Agarici (présidente de laCroix-Rouge locale), des « justes », parvinrent difficilement à en sauver quelques-uns. Mais le régimefasciste antonescien considéraitindistinctement les Juifs comme dessuppôts dubolchévisme : prétextant un incident impliquant des déserteurs qui avaient tiré sur une patrouille, ce régime ordonna à la police de Iași, aidée par la policebessarabienne (il s'agit des policiers et gendarmes duterritoire occupé par l'URSS, qui avaient échappé à la déportation auGoulag et s'étaient regroupés à Iași), à lagendarmerie et aux agents du SSI (Service Spécial d'Information) ladéportation de tous les Juifs iassiotes et l'exécution sur place de ceux qui résisteraient ou protesteraient. Sachant qu'elle n'aura pas de comptes à rendre, lapègre de la ville en profita pour piller et violenter les victimes[9]. De à, la ville futviolemment bombardée par lessoviétiques (puisoccupée par eux de1944 à1958) : ce fut cette fois en 1944 une partie de la population iassiote qui subit despillages et exactions, comme la populationmoldave deBessarabie avant elle.

Article détaillé :Première offensive de Iași-Chișinău.

Extension de la ville

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La vieille ville est comprise dans un quadrilatère limité par les rues actuelles Ștefan cel Mare, Alexandru Lăpușneanu, la rue de l'Indépendance, Elena Doamna et Grigore Ghica, le noyau de la ville se trouve dans la zone du Palais de la Culture (ancienne cour deshospodars) et rue Costache Negri.

La ville nouvelle s'est étendue dans toutes les directions, en englobant dans une première phase (auxXVIIIe et XIXe siècles) les quartiers Copou, Sărăria, Țicău, Tătărași, Ciurchi, Galata et partiellement Nicolina et Păcurari ; dans une deuxième phase (auXXe siècle) ont été inclus les quartiers Păcurari (nouvelle partie, à l'ouest), Nicolina (nouvelle partie, au sud, appelé aujourd'hui CUG), Frumoasa-Poitiers[10], Socola, Bucium, Canta, Mircea cel Bătrân, Alexandru cel Bun, Dacia et Grădinari, plus la Zone industrielle.

Démographie

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Historique des recensements
Ann.Pop.
185965 745
191275 229
1930102 87236,7%
1941111 6698,6%
194894 075−15,8%
1956112 97720,1%
1966161 02342,5%
1977265 00264,6%
1992344 42530,0%
2002320 888−6,8%
2011290 442−9,5%

Ethnies

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Ethnie1930[11]2002[12]2011[2]
Roumains63 16861,40 %316 09498,50 %258 29688,94 %
Juifs34 66233,69 %4210,13 %2150,02 %
Allemands9800,95 %1660,05 %800,03 %
Russes9180,89 %4330,13 %1970,07 %
Polonais5050,49 %220,00 %170,01 %
Hongrois5430,53 %2600,08 %1010,03 %
Roms3400,33 %1 8980,59 %1 3760,47 %
Grecs730,07 %4330,13 %1780,06 %
Non déclarée1950,19 %210,00 %28 5539,83 %
Autres1 4881,46 %1 1360,35 %1 6070,55 %
Total102 872100,00 %320 888100,00 %290 442100,00 %

Religions

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En 2011, la population de la ville est à 84,42 %orthodoxe et à 2,98 %catholique, alors que pour 10,09 % de la population, l'appartenance religieuse n'est pas connue[13].

Langues

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Langue1930[14]1948[15]2002[12]2011[16]
Roumain75 88573,77 %79 99785,04 %318 28499,18 %259 80389,46 %
Yiddish22 36321,74 %13 27214,11 %960,02 %630,02 %
Russe1 3091,27 %3200,09 %1400,05 %
Allemand9790,95 %1080,11 %950,02 %650,02 %
Hongrois4960,48 %2310,25 %2390,07 %960,03 %
Polonais3540,34 %150,00 %90,00 %
Romani2660,26 %6610,20 %6230,21 %
Grec390,04 %3550,11 %1500,05 %
Non déclarée1820,18 %80,00 %28 4589,80 %
Autres9990,96 %4670,50 %8150,25 %1 0350,36 %
Total102 872100,00 %94 075100,00 %320 888100,00 %290 442100,00 %

Politique et administration

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Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
19922003Constantin Simirad (ro)CDR, puisPM, puisPDSR 
20032015Gheorghe Nichita (ro)PSD 
2015en coursMihai Chirică (ro)PSD 
Élections municipales de 2016[17]
PartiSièges
Parti social-démocrate (PSD)14
Parti national libéral (PNL)8
Parti Mouvement populaire (PMP)2
Alliance des libéraux et démocrates (ALDE)2
Indépendant1

Transports

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Comme d'autres villes roumaines, Iași a été noyée par la prolifération des automobiles depuis l'essor économique qui a suivi le rétablissement de ladémocratie. La circulation y est très difficile. Côté transports urbains, 10 autobus Renault R.312 venus de France ont été cédés par la RATP au modeste réseau de Iași en octobre et. 10 Saviem Sc10 ont également été cédés au réseau de Iași par la RATP. Sur les 10 Saviem Sc10 vendus par la RATP, 8 seront réformés.

La ville compte unréseau de tramways : huit lignes qui s'étendent sur 76 kilomètres.

Iași est également desservie par unaéroport international elle compte aussi l'une des plusanciennes gares du pays.

Éducation et culture

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La première institution d'enseignement supérieur du territoire roumain est l'Académie Vasiliană (1640) créée par le princeBasile le Loup comme école supérieure pour l'enseignement dulatin et deslangues slaves qui est suivie par l'académie princière de Iași en 1707. Le premier établissement enseignement supérieur en langue roumaine est créé à l'automne 1813 par l'ingénieurGheorghe Asachi qui met en place une classe d'ingénieurs dans les locaux de l'académie grecque Princely.

  • Université Alexandru-Ioan-Cuza.
    Université Alexandru-Ioan-Cuza.
  • Bibliothèque centrale.
    Bibliothèque centrale.
  • Le théatre national Vasile Alecsandri à Iași. Septembre 2020.
    Le théatre national Vasile Alecsandri à Iași. Septembre 2020.

En 1835, le princeMihail Sturdza fonde l'Academia Mihăileană. En 1860, par décret d'Alexandre Jean Cuza, trois facultés de l'académie de l'Academia Mihăileană forment le noyau de l'université de Iași, la première université de Roumanie. Elle compte aujourd'hui quinze facultés et plus de 35 000 étudiants. Le bâtiment principal, monument d'architecture, est construit en1896. Des écoles spécialisées pour les arts sont aussi établies dans les années 1860.

En 1937, les deux facultés de sciences de l'université de Iași deviennent des départements de l'université technique Gheorghe-Asachi, nouvellement créée. L'université technique est renommée en École polytechnique en 1948. Elle étend ensuite ses domaines d'activité en ingénierie et redevient l'université technique en 1993.

On peut trouver aussi en ville des instituts d'enseignement supérieur : l'université agronomique, l'université technique, l'université de médecine et de pharmacie et l'université des arts Georges-Enesco. Place Eminesco, durant l'entre-deux-guerres, on construit le bâtiment de la Fondation culturelle royale, qui héberge aujourd'hui la Bibliothèque centrale universitaire Mihai-Eminescu, avec un fonds documentaire d'à peu près un million de livres, dont certains sont très rares. Les principaux campus étudiants sont ceux de Tudor-Vladimirescu, Titu-Maiorescu, Târgușor-Copou, Codrescu (dont le complexe international) et celui d'Agronomie.

La ville héberge depuis les années 2010 le plus grandfestival littéraire d'Europe de l'Est, le festival international de littérature et de traduction (Filit), fréquenté par desPrix Nobel de littérature[7].

Jumelage

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La ville de Iași est jumelée avec[18] :

D'autres jumelages et partenariats sont en cours de finalisation avec (les dates sont celles du lancement du projet de jumelage) :

Personnalités liées à Iași

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D'autre personnalités célèbres ont également marqué la vie publique de Iași :Alexandre Jean Cuza (qui y a eu son palais),Vasile Alecsandri,Titu Maiorescu,Mihai Eminescu,Mihaïl Sadoveanu etNicolae Iorga.

La ville compte septJustes parmi les nations, reconnus pour avoir sauvé des Juifs pendant lepogrom de 1941 :Viorica Agarici,Dumitru Beceanu,Elisabeta Nicopoi,Nona Pântea,Grigore Profir,Simionescu Constanting etMircea Petru Sion[19].

Naissance à Iași

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Voir la catégorie :Naissance à Iași.

Décès à Iași

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Voir la catégorie :Décès à Iași.

Lieux touristiques

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Le groupe des princes à Iasi.
Le site archéologique sous la sculpture du boulevard Stephane.

Iași est la ville des grandes idées, de la première grande union, du premier spectacle théâtral en langue roumaine, de la première imprimerie (Casa Dosoftei) et du premier musée littéraire mémorial (Bojdeuca din Țicău).

On trouve aussi à Iași l'église des Trois Hiérarques, un témoignage des goûts esthétiques du souverainBasile le Loup, lacathédrale du Métropolite et nombre d'autres églises dignes d'intérêt, lepalais de la culture (et ses musées des Beaux-Arts, de la vie traditionnelle, de la Préhistoire et des instruments de musique mécanique), le musée de l’Université « Alexandru Ioan Cuza » (et ses collections de laculture préhistorique de Cucuteni-Trypillia), musée de l'Union (résidence d’Alexandre Ioan Cuza), la maison/musée Pogor avec la Table des Parapluies, le musée municipal, les allées du parc Copou avec des senteurs de tilleuls et les échos du poème d'Eminescule Tilleul, sans oublier le musée Mihai-Eminescu, le jardin botanique, le théâtre national (qui abrite aussi l'opéra), la philharmonie d'État« Moldova » et ses chœurs Gavriil-Musicescu, ainsi que les maisons-mémorialMihail Sadoveanu,George Topîrceanu,Mihail Codreanu,Otilia Cazimir.

Depuis 2013, l'espace derrière le palais de la culture est occupé par l'ensemble architectural "Palas Iași", composé d'un parc, d'un centre commercial avec unAuchan et des restaurants.

L'on trouve de nombreux édifices ou lieux remarquables à Iași :

Notes et références

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Notes

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  1. La ville figure dans les chartes hongroises et polonaises duXIVe siècle sous le nom deAsci, civitas Iassiorum : voir N. P. Comnène,Romania through the ages/La terre roumaine à travers les âges (en anglais et français), Payot, Paris-Lausanne 1919

Références

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  1. À la suite des traités deKoutchouk-Kaïnardji, d'Iași et deBucarest, voirLa Paix de Jassy (Ясский мир) dans le « Dictionnaire encyclopédique » russe Brockhaus & Ephron de 1890-1907 (Энциклопедический словарь Брокгауза и Ефрона) en 86 tomes etNeagu Djuvara,Les pays roumains entre Orient et Occident : les Principautés danubiennes au début duXIXe siècle, Publications orientalistes de France, 1989.
  2. a etb(ro) « Ethno-demographic Structure of Romania », surThe Ethnocultural Diversity Resource Center(consulté le).
  3. Dominique Missika,L'Affaire Bernard Natan, Paris, Denoël, 2023,p. 13et 224.
  4. (ro) C. Cihodaru et G. Platon,Istoria orașului Iași, Editura Junimea,,p. 30-50.
  5. Gheorghe Bichir,Cultura Carpicǎ, éd. Academiei RSR, Bucarest 1973
  6. (ro) Gheorghe Ghibănescu,Originile Iașilor, Iași,,p. 42-46.
  7. abcd eteLivia Lazslo, « Iasi, le conte d'une ville »,Courrier International,no 1457,‎,p. 58, traduit d'un article publié en roumain le 3 octobre dansHistoria
  8. MichelHeller (trad. du russe par Anne Coldefy-Faucard),Histoire de la Russie et de son empire, Paris,Flammarion,coll. « Champs Histoire », (1re éd. 1997), 985 p.[détail de l’édition](ISBN 2081235331),p. 592.
  9. (en) RICHR, « The Holocaust in Romania »[PDF],p. 23
  10. Du boulevardPoitiers, ainsi nommé depuis le jumelage des deux villes.
  11. (ro) « Recensământul general al populației României din 29 Decembrie 1930, Vol. I. » [jpg], surcommons.wikimedia.org
  12. a etb(ro) « Structura Etno-demografică a României », surwww.edrc.ro(consulté le).
  13. (ro) « Tab13. Populaţia stabilă după religie – județe, municipii, orașe, comune », surrecensamantromania.ro.
  14. (ro) « Recensământul general al populației României din 29 Decembrie 1930, Vol. II. » [jpg], surcommons.wikimedia.org
  15. http://sas.unibuc.ro/uploads_ro/1147/51/AG48a.RECENSAMANT48.pdf
  16. (ro) « Tab10. Populaţia stabilă după limba maternă – judeţe, municipii, oraşe, comune », surrecensamantromania.ro.
  17. (ro) « Rezultate finale 5 iunie 2016 », surwww.2016bec.ro.
  18. (ro) « Orașele înfrățite cu municipiul Iași: », surprimaria-iasi.ro(consulté le).
  19. (en) « The Rigetheous Among the Nations Square », surwww.iasi1941.com(consulté le)

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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v ·m
Chefs-lieux des județs de Roumanie
Par nomDrapeau de la Roumanie
Par județ
v ·m
Divisions administratives dujudeț de Iași
Municipalités
Villes
Communes
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