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Human Rights Watch

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Pour les articles homonymes, voirHRW (homonymie).

Human Rights Watch
Logo de Human Rights Watch.
Histoire
Fondation
Prédécesseur
Cadre
Sigle
Zone d'activité
Type
Forme juridique
Domaines d'activité
Droits humains,aide humanitaire, activités internationalesVoir et modifier les données sur Wikidata
Siège
New York (10118-3299,États-Unis)Voir et modifier les données sur Wikidata
Pays
Langue
Organisation
Membres
Effectif
450 employés()Voir et modifier les données sur Wikidata
Fondateurs
Robert L. Bernstein, Aryeh Neier(en), Jeri Laber(en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Sponsor
Chiffre d'affaires
70,5M$()Voir et modifier les données sur Wikidata
Récompenses
Prix Nobel de la paix()
Prix Theodor-Heuss()
Prix des droits de l'homme des Nations unies()
Prix des quatre libertés de Roosevelt – liberté d'être à l'abri de la peurVoir et modifier les données sur Wikidata
Site web
Identifiants
IRS

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Human Rights Watch (HRW;litt. « Observatoire desdroits humains ») est uneorganisation non gouvernementale internationale (ONGI) qui se donne pour mission de défendre lesdroits de l'homme et le respect de laDéclaration universelle des droits de l'homme[1]. Cette organisation déclare militer notamment pour laliberté de la presse, l'abolition de lapeine de mort et de latorture mais aussi pour le respect de l'ensemble desdroits civils, politiques,économiques,sociaux et culturels, en particulier dans les domaines de l'éducation et du logement[2],[3].

Elle intervient également dans les conflits, dénonçant entre autres lescrimes de guerre ou letrafic d'armes. Human Rights Watch demande l'arrêt des crimes commis par les gouvernements ou les groupes rebelles, dans le cadre de guerres internes.

Human Rights Watch publie chaque année un rapport rendant compte de la situation des droits de l'homme et mène des enquêtes régulières et systématiques sur les violations des droits de l'homme dans plus de 60 pays et territoires. Son siège se trouve àNew York, auxÉtats-Unis et possède plusieurs bureaux dans de nombreuses métropoles dans le monde.

Si l'organisation est critiquée quant à son indépendance et la façon dont elle mène certaines missions, ses rapports sont souvent repris par la presse[4].

Création et historique

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Kenneth Roth, directeur exécutif de Human Rights Watch depuis 1993, lors de son intervention à la44eMunich Conference on Security Policy en 2008.

L'un des ancêtres de HRW,Helsinki Watch, fut fondé en 1978, avec à l'époque deux employés[5], pour vérifier que l'Union soviétique respectait lesaccords d'Helsinki. Des organisations qui avaient été créées pour surveiller le respect des droits de l'homme dans d'autres régions du monde (Americas Watch en 1981, Asia Watch en 1985, Africa Watch en 1988 et Middle East Watch en 1989), fusionnèrent en 1988 avec Helsinki Watch pour former Human Rights Watch, en parallèle d'une campagne commune pour l'interdiction des mines terrestres qui rapprocha ces organisations[6].

Human Rights Watch est membre de l’International Freedom of Expression Exchange (IFEX), un réseau virtuel mondial d’ONG qui surveille les violations à laliberté d’expression et organise, fédère ou relaie les campagnes conjointes ou organisées par ses membres, pour la défense des journalistes, écrivains et d’autres personnes persécutées du fait de leur implication dans des activités liées à la liberté d’expression.

Alison Des Forges[7], militante de Human Rights Watch en Afrique.

Human Rights Watch a obtenu en 1997 leprix Nobel de la paix en tant que membre de laCampagne internationale pour l'interdiction des mines antipersonnel[8],[9].

En 2013, l'ONG comprend 360 employés, dans 90 pays, soutenus« par des comités de soutien comptant des journalistes, des procureurs, des ténors du barreau, des diplomates, des artistes… »[5].

Principes et objectifs

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Human Rights Watch est impliquée dans la lutte contre les activités et problèmes sociaux suivants :

Elle lutte également pour la globalisation des causes suivantes :

Direction

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Le directeur exécutif de Human Rights Watch en 1993年–2022 était l'AméricainKenneth Roth, un ancien procureur des États-Unis pour le sud de l'État de New York[16]. Après 2023, c'étaitTirana Hassan[17], qui était travailleuse sociale avecMédecins sans frontières,Fonds des Nations unies pour l'enfance,Save the Children, et la directrice du programme de réponse aux crises d'Amnesty International jusqu'au 18 février 2025[18], date à laquelle le député Federico Borello a été nommé directeur exécutif par intérim[19].

L'actuel président du conseil d'administration est le rédacteur en chef de la revueForeign Affairs, James F. Hoge Jf.

Financement

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Pour l'année fiscale finissant en, HRW a déclaré avoir perçu 70 millions de dollars US de dons[20]. HRW affirme qu'elle n'accepte aucun financement provenant directement ou indirectement de gouvernements et que les contributions sont toutes issues de particuliers, de fondations, et selon des critères précis, d'entreprises privées[21].

Selon l'associationNGO Monitor (en), en 2007-2008 HRW a reçu 987 818 dollars de la branche néerlandaise de l'association caritativeOxfam, Oxfam Novib, laquelle finance la majeure partie de son budget grâce au gouvernement hollandais. Cela ne cadre pas avec le fait que HRW déclare n'accepter aucun financement direct ou indirect de la part de gouvernements[22].

En 2010, HRW reçoit 100 millions de dollars du milliardaire américainGeorge Soros[23].

HRW a publié en la liste des dépenses de l'organisation.

ProgrammesDépenses 2013
Afrique6 404 355 $
Amérique1 755 781 $
Asie5 443 146 $
Europe et Asie centrale4 282 969 $
Moyen-Orient et Afrique du Nord3 867 015 $
États-Unis2 367 775 $
Droits des enfants1 873 626 $
Santé et droits humains2 077 916 $
Justice internationale1 587 843 $
Droits des femmes2 533 126 $
Autres programmes13 477 056 $
Frais de fonctionnementDépenses 2013
Direction et services généraux3 493 157 $
Collecte de fonds9 560 361 $

Publications

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Human Rights Watch publie des rapports sur de nombreux thèmes ainsi qu’un Rapport Mondial qui présente chaque année un panorama de l’état de droits humains dans le monde. Ce rapport est publié par Steven Stories Press depuis 2006 ; la plus récente édition,Rapport Mondial 2014[24], est parue en.

Ces rapports font souvent autorité[4] et sont, selon le journaliste Victor Koscher, « pour les médias indépendants une source précieuse »[25].

Polémiques

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En 2010,The Sunday Times écrit que HRW a« presque éclipsé »Amnesty International. Selon le journal, au lieu d'être soutenu par une adhésion de masse comme Amnesty International, HRW dépend des donateurs riches qui aiment voir les rapports de l'organisation faire les manchettes des journaux. Pour cette raison, selonThe Sunday Times, HRW tend à« se concentrer trop sur des endroits dont les médias se soucient déjà », en particulier dans la couverture disproportionnée d'Israël[26],[27].

Afrique

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Article connexe :Répression éthiopienne dans l'Ogaden#Allégations de violation des droits de l'homme.

D’aprèsThe Economist en 2009, HRW a été accusée par le gouvernement d'Éthiopie de diffuser des données faussées à propos de violations desdroits humains lors de l'épisode derépression éthiopienne dans l'Ogaden en 2007-2008. Il déclare dans un rapport n'avoir pas trouvé trace de telles violations, alors qu'HRW allait jusqu'à dénoncer descrimes de guerre et descrimes contre l'humanité[28].

Amérique latine

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L’ONG a été accusée d'avoir été influencée par la politique étrangère des États-Unis[29], en particulier vis-à-vis de l’Amérique latine[30],[31],[32],[33],[34].

Pour le directeur duCenter for Economic and Policy Research, Mark Weisbrot, HRW « s’aligne au centimètre près sur lapolitique étrangère des États-Unis en Amérique latine ». Il est par exemple reproché au directeur exécutif de la division « Amériques » de l’organisation, José Miguel Vivanco, des propos contre les présidentes brésilienneDilma Rousseff et argentineCristina Fernández de Kirchner et d'avoir peu réagi lors des coups d’État contre les présidents hondurienManuel Zelaya en 2008 et haïtienJean-Bertrand Aristide en 2004[35].

Conflit israélo-palestinien

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Dans leconflit israélo-palestinien, HRW a été accusée de rapports déséquilibrés en défaveur d’Israël. Ainsi, quand HRW traite des opérations militaires israéliennes contre leHezbollah au sud du Liban en 2006, le directeur national de laAnti-Defamation League,Abraham Foxman (en), critique son « immoralité »[36].Alan Dershowitz, professeur de droit, écrit dansThe Jerusalem Post :« Quand il s’agit d’Israël et de ses ennemis, HRW manipule les faits, triche sur les interviews et met en avant des conclusions prédéterminées qui sont dictées plus par l’idéologie que par les faits »[37].

Le bureau du Premier ministre israélien a également dénoncé le rapport de HRW sur l'opération Plomb Durci, déclarant que « les rapports de ces organisations sont une tentative pour porter atteinte au droit légitime d'Israël à se défendre », et a souligné que l'ONG levait des fonds auprès desSaoudiens. Prenant la défense de l'organisation dansThe Jerusalem Post, le journaliste israélien Larry Derfner a déclaré qu'elle avait démontré son impartialité dans ses nombreux rapports sur les atteintes aux droits de l'homme à travers le monde, notant par exemple que HRW avait dénoncé des arrestations, détentions, tortures, mutilations, exécutions extrajudiciaires attribuées à des membres des forces de sécurité du Hamas[38]. En, le ministère israélien des affaires étrangères décide de ne plus accorder de visa aux membres étrangers de HRW en qualifiant l'ONG d'« organisation fondamentalement partiale et anti-israélienne »[39].

Human Rights Watch conteste les accusations dont elle est l'objet. En, Iain Levine, son directeur des programmes, déclare que « Si le gouvernement israélien veut faire taire les critiques, il ferait mieux d'enquêter sérieusement sur les accusations de comportements criminels et de prendre des mesures pour y mettre fin »[40]. Kenneth Roth, son directeur exécutif, publie un éditorial dansThe Jerusalem Post en, constatant que les rapports récents sur des violations israéliennes des droits de l'homme ont mené à une « campagne intense de la part du gouvernement israélien et des organisations qui le soutiennent inconditionnellement, s'en prenant au messager et changeant le sujet de discussion ». Roth ajoute que« le problème n'est pas le messager qui rend seulement public des rapports sur les abus comme le jugeGoldstone ou les organisations de défense des droits humains » mais« la conduite des forces armées israéliennes »[41]. Le directeur local de Human Rights Watch est expulsé d’Israël en au motif allégué de « soutenir le boycott d'Israël » ; l'ONG dément et reproche aux autorités de « faire taire les critiques contre les violations des droits de l'Homme »[42].

En novembre 2023, Danielle Haas, rédactrice en chef sortante à Human Rights Watch, a accusé l'organisation de politiser son travail sur le conflit israélo-palestinien dans un e-mail divulgué[43].

Le 17 juillet 2024, Human Rights Watch (HRW) publie un rapport qui relate les nombreux crimes notamment descrimes contre l'humanité perpétrés lors de l'attaque terroriste du7 octobre 2023. HRW dresse un inventaire sans appel :« Attaques délibérées et aveugles contre des civils et des biens civils, meurtres intentionnels de personnes détenues, traitements cruels et inhumains, violences sexuelles et sexistes, mutilations et vols de dépouilles, utilisation de boucliers humains. […] Des centaines » de crimes de guerre ont été commis par des groupes armés palestiniens. Le rapport incrimine non seulement leHamas mais aussi leJihad islamique palestinien[44].

Récompenses

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Human Rights Watch France

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Le bureau français est dirigé par Bénédicte Jeannerod depuis novembre 2015[46],[47]. Il était dirigé parJean-Marie Fardeau[48] entre septembre 2007 et septembre 2015.

Notes et références

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  1. (en)Site officiel HRW
  2. « Qui sommes nous? », surHuman Rights Watch.fr
  3. (en) « Who We Are », surHuman Rights Watch
  4. a etbThomas Hofnung, « Human Rights Watch s'installe à Paris », surLibération.fr,
  5. a etbPascal Airault, « Human Rights Watch une machine de guerre au service des Droits de l'Homme », surJeune Afrique,
  6. « Entretien : Armes de guerre en Ukraine »[archive du], surHuman Rights Watch,(consulté le)
  7. David Servenay,« Rwanda : décès d'Alison des Forges, chercheuse de vérité »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), surL'Obs,
  8. (en) « The Nobel Peace Prize 1997 », surnobelprize.org.
  9. Prix Alison Des Forges 2013 : Hommage à des militants de Russie, des États-Unis, de Libye et du Tchad
  10. « Gaza : Human Rights Watch dénonce des crimes de guerre d'Israël », surL'Obs,
  11. « Les violences contre les homosexuels «encouragées» par Moscou », surLibération.fr,
  12. « Justice : Human Rights Watch exhorte le Maroc à cesser de condamner les homosexuels », surJeune Afrique,
  13. Pierre Prier, « Syrie : «Les officiers donnent l'ordre de tirer pour tuer» », surLe Figaro.fr,
  14. « Stérilisation des femmes en Inde: Un phénomène régi par un système d’«objectifs» », sur20 minutes,
  15. a etbRaphaël Czarny, « Human Rights Watch critique la France pour son traitement des migrants, des Roms et des gens du voyage », surSlate.fr,
  16. Christophe Ayad, « Obama doit passer des principes aux actes », surLibération.fr,.
  17. (en)« Tirana Hassan to Lead Human Rights Watch »[archive du], surHuman Rights Watch, New York, États-Unis,(consulté le)
  18. (en)« Tirana Hassan »[archive du], New York, États-Unis(consulté le)
  19. (en) « Human Rights Watch Board Announces Leadership Transition – Federico Borello to Serve as Interim Executive Director », surHuman Rights Watch, New York, États-Unis,(consulté le)
  20. "Financial Statements : year ended June 30, 2013".
  21. (en)Financials,Human Rights Watch, 22 septembre 2008 :« Human Rights Watch is an independent, nongovernmental organization, supported by contributions from private individuals and foundations worldwide. It accepts no government funds, directly or indirectly. »
  22. (en)Oxfam Novib distributes Dutch govt funding to HRW, PCHR, and Adalah, sur le siteNGO monitor, 13 août 2009 :« In 2007-8, Oxfam Novib donated $987,818 to Human Rights Watch (HRW) – which makes the Dutch government one of HRW’s major donors, and is inconsistent with this NGO’s claim that it “accepts no government funds, directly or indirectly.” »
  23. « George Soros s’engage à verser 100 millions de dollars à Human Rights Watch »,Human Rights Watch,‎(lire en ligne, consulté le)
  24. Rapport mondial 2014
  25. (de) Victor Kocher, « Hüterin der Menschenrechte: Effizienter Einsatz der Organisation Human Rights Watch », surNeue Zürcher Zeitung,.
  26. (en) Jonathan Foreman, « Nazi Scandal engulfs Human Rights Watch », surThe Sunday Times,.
  27. (en-US) « NGO Monitor research featured in Sunday Times: Nazi Scandal engulfs Human Rights Watch »,NGO Monitor,‎(lire en ligne, consulté le).
  28. « A row over human rights »,The Economist,‎(lire en ligne) :

    « The government says Human Rights Watch has got it wrong. Really? […] Human Rights Watch, a pressure group, accuses Ethiopia of war crimes and crimes against humanity there. […] The government report found “no trace” of serious human-rights violations. »

    .
  29. (en) RobertNaiman,« Latin America Scholars Urge Human Rights Watch to Speak Up on Honduras Coup »[archive du],Huffington Post,(consulté le)
  30. (en) Steve Miller and Joseph Curl, « Aristide accuses U.S. of forcing his ouster »,Washington Times,(consulté le)
  31. (en) « Aristide related articles »,Democracy Now(consulté le)
  32. (en) JoeEmersberger,« Haiti and Human Rights Watch »[archive du],Z Communications,(consulté le)
  33. (en)Council on Hemispheric Affairs, 12 January 2009,Scholars Respond to HRW’s Kenneth Roth’s Riposte on Venezuelan Human Rights
  34. (en)GregGrandin et Adrienne Pine,« Over 90 Experts Call on Human Rights Watch to Speak Out on Honduras Abuses »[archive du],Common Dreams,(consulté le)
  35. (en) « Is Human Rights Watch Too Closely Aligned With US Foreign Policy? »,The Nation,‎(ISSN 0027-8378,lire en ligne)
  36. (en) Abraham Foxman, « No accident », surNew York - The Sun,
  37. (en) Alan M. Dershowitz, « First Word: What is 'Human Rights Watch' watching? », surThe Jerusalem Post,
  38. (en) Larry Derfner, « Rattling the Cage: The smearing of human rights organizations », surThe Jerusalem Post,
  39. « Human Rights Watch écartée d’Israël pour « partialité » »,Le Monde.fr,‎(lire en ligne, consulté le)
  40. « Israël: Fausses allégations relatives au récent rapport de Human Rights Watch sur Gaza », surHuman Rights Watch.fr,
  41. (en) Kenneth Roth, « Right of Reply: Don't Smear the Messenger », surHuman Rights Watch,.
  42. « Israël somme le directeur de HRW de quitter le pays », surlefigaro.fr,(consulté le)
  43. (en) « Outgoing Human Rights Watch senior editor blasts group’s ‘infected’ work on Israel », surTimes Of Israel,(consulté le)
  44. « Massacre - Attentat du 7 Octobre : Human Rights Watch dénonce «des centaines» de crimes de guerre commis par des groupes palestiniens », surLibération,
  45. « La liste des lauréats du prix des Nations unies 2008 pour les droits de l'homme a été annoncée », Département de l’information desNations unies,(consulté le).
  46. « A propos du bureau de Paris », surHuman Rights Watch,(consulté le)
  47. « Bénédicte Jeannerod », surExpertes France(consulté le)
  48. Human Rights Watch : une machine de guerre au service des droits de l'homme

Annexes

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Sources et bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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