Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Hubert Reeves

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirReeves.

Hubert Reeves
Hubert Reeves en juin 2012.
Fonctions
Président d'honneur(d)
Humanité et biodiversité
-
Président
Humanité et biodiversité
-
Directeur de recherche
Centre national de la recherche scientifique
-
Consultant
Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives
à partir de
Chargé de cours(en)
Université libre de Bruxelles(en)
-
Chargé de cours(en)
Université de Montréal
-
Conseiller scientifique(d)
National Aeronautics and Space Administration
Biographie
Naissance
Décès
Nom de naissance
Joseph Jean-Louis Hubert ReevesVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalités
Domiciles
Formation
Activités
Père
Joseph-Aimée Reeves(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Manon Beaupré(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Fratrie
André Reeves(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoints
Francine Brunel-Reeves(à partir de)
Camille Scoffier(d)(à partir de)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
Nicolas Reeves
Benoît Reeves
Gilles Reeves(d)
Evelyne Reeves(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Membre de
Mouvements
Directeur de thèse
Site web
Distinctions
Liste détaillée
Chevalier de l'ordre national du Mérite()
Petrie Prize Lecture()
Prix Jean-Perrin()
Docteur honoris causa de l'Université de Montréal()
Chevalier de la Légion d'honneur‎()
Prix Blaise-Pascal()
Grand prix de la francophonie()
Docteur honoris causa de l'université de Berne()
Officier de l'Ordre du Canada()
Docteur honoris causa de l'université libre de Bruxelles()
Officier de l'Ordre national du Québec()
Officier de la Légion d'honneur‎()
Docteur honoris causa de l'Université Laval()
Médaille Albert-Einstein()
Commandeur de la Légion d'honneur‎()
Compagnon de l'Ordre du Canada()
Docteur honoris causa de l'Université d'Ottawa()
Docteur honoris causa de l'Université du Québec à Montréal()
Docteur honoris causa de l'université de Sherbrooke()
Doctorat honoris causa de l'université du Havre()
Commandeur de l'Ordre de Montréal()
Grand officier de l'Ordre national du Québec()
Prix Jules-Janssen()
Grand officier de l'ordre national du Mérite()Voir et modifier les données sur Wikidata
Œuvres principales
The production of the elements Li, Be, B by galactic cosmic rays in space and its relation with stellar observations(d),Patience dans l'azur(d),Poussières d'étoiles(d),L'Heure de s'enivrer(d),Je n'aurai pas le temps(d)Voir et modifier les données sur Wikidata

modifier -modifier le code -modifier WikidataDocumentation du modèle

Hubert Reeves, né le àMontréal et mort le àParis 13e, est unastrophysicien,vulgarisateurscientifique etécologistefranco-canadien d'originequébécoise.

Il commence sa carrière en tant quechercheur en astrophysique dans lesannées 1960, pratique la vulgarisation scientifique à partir desannées 1970 et devientmilitant écologiste au début desannées 2000.

Biographie

[modifier |modifier le code]

Jeunesse et formation

[modifier |modifier le code]

Joseph Jean Louis Hubert Reeves naît le àMontréal[1]. Ses parents, Joseph-Aimée Reeves et Manon Beaupré, se sont mariés en 1927[2]. Son grand-père, l'architecte Charles-Aimé Reeves, marié avec Alida Laporte en 1893[2], a dessiné entre autres les plans de plusieurs édifices montréalais, tels qu'écoles, collège, église ou bibliothèque[3]. D'après les recherches généalogiques réalisées par son frère aîné André,hématologue (1930-2009)[4], Joseph Rives, leur ancêtre à la septième génération en lignée masculine, et son épouse Jane Crine ont émigré desLowlands, territoire écossais au nord de l'Angleterre, dans lesannées 1720[5].

Le jeune Hubert demeure àLéry, une petite ville au bord dulac Saint-Louis auQuébec (Canada), quand son père, représentant de commerce[6], apporte à la maison l’Encyclopédie de la jeunesse. Cette lecture ouvre en lui le désir d'explorer le monde et le cosmos[7].

Inscrit à la faculté des sciences de l'université de Montréal, il obtient unbaccalauréat enphysique en 1953, diplôme canadien équivalent à unelicence dans le système universitaire français[8]. Il présente un mémoire de maîtrise intituléFormation ofPositronium inHydrogen andHelium, à l'Université McGill en 1955.

Il poursuit ses études enastrophysique nucléaire àCornell (Ithaca,NY), où il côtoie plusieurs physiciens contemporains, telsGeorge Gamow,Richard Feynman,Fred Hoyle,Philip Morrison etEdwin Salpeter, son directeur de thèse[9]. En 1960, ilsoutient sa thèse dedoctorat, intituléeThermonuclear Reaction Involving Medium Light Nuclei.

Début de sa carrière de professeur universitaire

[modifier |modifier le code]

De 1960 à 1964, il enseigne la physique à l'Université de Montréal, tout en étant conseiller scientifique de laNASA, àNew York[10].

Cette période coïncide avec laRévolution tranquille québécoise qui entraîne, entre autres, un certain mouvement francophile chez plusieurs professeurs de l'Université de Montréal. Reeves, qui refuse d’utiliser uniquement des manuels scolaires francophones, perçoit une dégradation du climat de travail lorsque certains de ses collègues professeurs lui font des remarques aigres, ce qui lui donne envie d'« aller voir ailleurs ». Le refus de collaboration entre des professeurs de l'Université de Montréal francophone et l'Université McGill anglophone sur un projet d'accélérateur de particules a été, selon Reeves, déterminant quant à son choix de quitter le Québec[11]. Durant un stage d'été auCentre nucléaire deChalk River, enOntario, il lui est proposé de donner une série de cours à des chercheursbelges de physique nucléaire. Quelques mois plus tard,California Institute of Technology (Caltech) lui offre un poste au sein du laboratoire du physicien américainWilliam Fowler.

Hubert Reeves, voulant réaliser un vieux rêve de s'établir enEurope et s'étant déjà engagé envers les Belges, demande à Caltech de reporter son offre d'un an, ce qui lui est refusé. Selon Reeves, cet événement a refroidi ses relations avec cette université jusqu'à la fin desannées 1960[12].

Départ de Montréal pour l'Europe

[modifier |modifier le code]

L'Université de Montréal accorde à Hubert Reeves uneannée sabbatique et ce dernier déménage, en 1964, àBruxelles. Il commence à enseigner à l'Université libre où il constate, entre autres, une forte différence entre l'Amérique du Nord et l'Europe dans les relations professeur-étudiants[13]. La même année, recevant une invitation de l'Académie des sciences soviétique, il fait un séjour enURSS où il rencontre, notamment,Iakov Zeldovitch[14]. Reeves est profondément marqué par la culturecommuniste instaurée dans ce pays[15].

Un physicien travaillant auCentre de sciences nucléaires et de sciences de la matière (CSNSM) à Orsay participe à une séance d'enseignement de Reeves et lui offre de venir travailler avec lui. Reeves demande une seconde année sabbatique à l'Université de Montréal, qui la lui accorde. LeCNRS français lui offre un poste dedirecteur de recherche[16] et la famille Reeves déménage enFrance en 1965[17]. La même année, Reeves devient aussiconsultant scientifique auCommissariat à l’énergie atomique àSaclay[16].

Durant cette période, les groupes de recherche en astrophysique nucléaire du CSNSM, à Orsay et du laboratoire de Fowler, à Caltech, s'ignorent mutuellement dans leurs publications respectives. D'après Reeves, les relations entre ces groupes de recherche se sont améliorées lors d'une intervention de Fowler à une conférence àJérusalem en 1969. Le froid aurait pris définitivement fin lors d'une publication commune aux deux laboratoires en 1970[18].

En 1971, Reeves publie avec deux de ses étudiants,Jean Audouze et Maurice Meneguzzi, un article intituléThe production of the elements Li, Be, B by galactic cosmic rays in space and its relation with stellar observations[19], qui s'avère fondamental concernant lanucléosynthèse stellaire. Quatorze ans après le célèbre articleB2FH, cet article permettait de combler le vide existant entre les éléments fabriqués lors duBig Bang (l'hydrogène, l'hélium et quelques traces delithium) et ceux produits lors de la vie des étoiles, soit tous ceux situés après lecarbone dans letableau périodique des éléments deDmitri Mendeleïev[20]. Tout commeB2FH, cet article clef est plus connu sous les initiales de ses auteurs :MAR[21].

Vulgarisation scientifique

[modifier |modifier le code]

Dans lesannées 1970, Reeves commence à s'exprimer publiquement sur divers sujets liés, entre autres, à laphysique nucléaire. C'est lors de vacances àCarry-le-Rouet, où il partage, nuit après nuit, ses connaissances enastronomie avec d'autres vacanciers, qu'il commence réellement une carrière devulgarisateur scientifique[22]. À la suite de la suggestion d'une amie, il décide de mettre par écrit ses connaissances et commence la rédaction dePatience dans l'azur, dont le titre est inspiré d'un poème dePaul Valéry. Le manuscrit, refusé par une trentaine de maisons d'édition, est réécrit par Reeves avec l'aide de son ami physicienJean-Marc Lévy-Leblond, pour être finalement publié en1981. Le livre connaît un grand succès après sa présentation à l'émissionApostrophes deBernard Pivot[23]. Depuis, il s'est vendu à plus d'un million d'exemplaires[24].

Pendant cette période, au début desannées 1980, Reeves est de plus en plus populaire et donne de nombreusesconférences publiques et participe à desémissions de télévision et à desfilms, parlant non seulement de l'astronomie, mais aussi de l'environnement[16].

Leséléments lourds de l'Univers se forment à l'intérieur desétoiles massives et sont rejetés dans l'espace à la mort de ces dernières.

Plusieurs lecteurs d'Hubert Reeves lui écrivent des lettres qui influencent la pensée et les choix d'écriture du scientifique[25]. Ainsi, une lectrice dePatience dans l'azur lui envoie une lettre qui l'inspire à écrirePoussières d'étoiles, sorti en1984 et dans lequel il met enexergue un passage de la lettre qui l'a inspiré :« On m'a dit :Tu n'es que cendres et poussières. On a oublié de me dire qu'il s'agissait de poussières d'étoiles[26]. » Dans ce livre, il rappelle, entre autres, que lesatomes qui composent la Terre et ses habitants ont été constitués à l'intérieur des étoiles massives et ont été disséminés dans l'espace lors de la mort de ces dernières.

Certains lecteurs critiquant ce qu'ils considèrent comme un « optimisme excessif » chez Reeves, ce dernier décide, en 1984, d'écrire sur la plus grande menace planétaire perceptible à l'époque, celle engendrée par laguerre froide. Il publie ainsiL'Heure de s'enivrer en1986, où il dresse, entre autres, un portrait inquiétant des arsenaux nucléaires des deux grandes puissances américaine et soviétique[27].

Pyramide de la complexité telle que développée par Reeves.

Il anime une série d'émissions-conférences télévisées intituléeHistoire de l'Univers, qui est diffusée à plusieurs reprises au cours des années 1990 et 2000 auCanal Savoir. Il y reprend, entre autres, l'idée de lapyramide de la complexité, un concept, développé dansL'Heure de s'enivrer, décrivant la complexification de l'Univers, duBig Bang jusqu'à aujourd'hui[28],[29].

En 2000, il fait don de 100 000 dollars canadiens à l'Université Laval pour créer le fonds Hubert-Reeves, qui permet d'offrir chaque année des bourses à des étudiants de deuxième cycle en astrophysique[30].

Ses principaux ouvrages,Patience dans l'azur,Poussières d'étoiles etL'Heure de s'enivrer, connaissent un énorme succès et sont traduits dans plusieurs langues.

Hubert Reeves lors de la « Nuit des étoiles filantes » du auchâteau de Malbrouck (Moselle).

Par ailleurs, Hubert Reeves participe à des émissions télévisées de vulgarisation scientifique, dont la plus emblématique est sans doute laNuit des étoiles, diffusée sur la chaîne publique françaiseFrance 2.

Pour les70 ans du magazineSciences et Avenir, Hubert Reeves participe à la rédaction du numéro de (no 849) en tant que rédacteur en chef exceptionnel, avec quatre autres scientifiques. Il y écrit notamment sur l'Univers et les grandes découvertes qui s'y rapportent[31].

En 2020, il apporte son soutien à la vidéothèqueIdeas in Science pour permettre l'ouverture du savoir scientifique au plus grand nombre[32].

Militantisme

[modifier |modifier le code]

À l'aube desannées 2000, sensibilisé à l'impact environnemental de l'activité humaine, Hubert Reeves devient un militant pour ladéfense de l'environnement. De 2001 à 2017, il présideHumanité et biodiversité (anciennementLigue ROC pour la préservation de la faune sauvage et la défense des non-chasseurs), une association reconnue d'utilité publique. Il en est le président d'honneur à partir de. En2003, il publie le livreMal de Terre qui fait un constat inquiétant de l'état de l'environnement terrestre[33],[34]. Il participe également à une conférence avec lebiologisteDavid Suzuki,Alerte climatique, donnée àMontréal le, organisée parÉquiterre en collaboration avec l'Université du Québec à Montréal et lesÉditions du Boréal, devant 3 400 personnes auPalais des congrès de Montréal[35],[36].

En 2005 et en 2007, Hubert Reeves publie deux livres reprenant ses chroniques diffusées surFrance Culture :Chroniques du ciel et de la vie etChroniques des atomes et des galaxies. Un de ses derniers livres,Je n'aurai pas le temps, retrace le parcours scientifique de l'auteur depuis son enfance à Montréal jusqu'à aujourd'hui.

Dans son ouvrageChroniques du ciel et de la vie, en 2005, il estime probable que l'humanité s'achemine vers un régime végétarien, pour des raisons à la fois éthiques et environnementales[37]. SelonTVA Nouvelles, il plaide même pour le végétarisme dans ses livres et conférences, au registre« des activités plus saines pour l'environnement »[38]. Cependant, dans le livre d'entretiensJe chemine avec Hubert Reeves, en 2019, il déclare ne pas être lui-même végétarien :« J'ai changé certaines choses. Je ne peux pas te dire que je sois exemplaire. Je ne suis pas végétarien et je pense que je devrais peut-être l'être. Mais si l'argument c'est de ne pas tuer, une carotte, en fait, tu la tues aussi, c'est aussi un organisme vivant[39] ! »

En conférence le àMetz, avecJean-Marie Pelt.
Hubert Reeves en conférence àLuxembourg le.

En outre, Hubert Reeves participe à des conférences spectacles où il mêle les thèmes de l'astronomie et de l'écologie[40], parfois en compagnie d'autres interlocuteurs commeJean-Marie Pelt.

Il est aussi membre du comité de parrainage de la Coordination française pour la Décennie de la culture depaix et de non-violence, et du comité d'honneur de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité, et préface le livre « Exit final. Pour une mort dans la dignité »[41].

En 2007, certaines de ses pensées sont utilisées dans l'albumDu simple au néant, desOgres de Barback[42].

Il soutient le mouvementLes Débrouillards, vulgarisant la science aux enfants à travers notamment des magazines, lorsque legouvernement du Québec sousPhilippe Couillard coupe les subventions au mouvement ainsi que généralement aux sciences[10].

Famille

[modifier |modifier le code]

Le, Hubert Reeves épouseFrancine Brunel, rencontrée deux ans plus tôt[43]. Le couple a quatre enfants : Gilles (né à Montréal),Nicolas (né àIthaca),Benoît (né à Montréal) et Evelyne (née àYonkers)[44]. La vie du couple se passe entre les États-Unis et le Québec, en fonction des contrats obtenus par Hubert Reeves. Du propre aveu de Reeves, sa carrière qui a eu l'effet d'une drogue puissante, a mené à l'échec de son premier mariage et l'a laissé dans un profond déséquilibre émotionnel[45].

En 1990, il épouse en secondes noces[46] la journaliste Camille Scoffier[44]. Le couple est installé à Paris, 1rue Jacob[47], et possède une résidence secondaire, une ancienne ferme située àMalicorne, petit village de Bourgogne[48].

Mort

[modifier |modifier le code]

Hubert Reeves meurt le à l'hôpital Broca[47] dans le13e arrondissement de Paris, à l'âge de91 ans[1]. Sa mort est annoncée par son fils,Benoît Reeves, sur les réseaux sociaux[10],[24]. Lepremier ministre du Québec,François Legault, présente ses condoléances et répond à l'annonce de sa mort que le Québec perd« un vulgarisateur hors pair, un astrophysicien de renom » ayant su faire comprendre l'humanité et l'infini et repartant en ce jour« comme il est venu, en poussière d'étoiles »[10].

Ses obsèques ont lieu en la salle de la Coupole, aucimetière du Père-Lachaise, le en début d'après-midi, en présence de sa famille et de plusieurs centaines de personnes, selon les vœux d'Hubert Reeves qui « souhaitait une cérémonie publique ». Lors de l'entrée du cercueil, des choristes interprètentFix You du groupeColdplay, avant que sa petite-fille Emmanuelle ne déclare :« Nous ferons de notre mieux pour préserver ton œuvre en protégeant la nature et en cultivant notre curiosité[49]. »

Œuvres

[modifier |modifier le code]

Publications professionnelles

[modifier |modifier le code]

De nombreux articles dans des revues spécialisées, sur ces sujets de travaux de recherche :

  • réactions thermonucléaires dans les noyaux stellaires : fusion du carbone et de l'oxygène ;
  • spectre de neutrinos solaires ;
  • processus r et s dans les étoiles ;
  • origine des éléments légers : lithium, béryllium et bore ;
  • abondance du deutérium et de l'hélium dans le Système solaire et dans l'Univers ;
  • densité de l'Univers ;
  • étude de la transition quark-hadron en cosmologie ;
  • origine et développement de l'énergie libre dans l'Univers en expansion.

Deux livres :

Travaux de vulgarisation

[modifier |modifier le code]

Le site officiel d'Hubert Reeves présente la plupart de ces ouvrages, avec la table des matières[50].

Livres audio

[modifier |modifier le code]

Filmographie

[modifier |modifier le code]
  • Les étoiles naissent aussi, 1979
  • Le Soleil, notre étoile, 1980
  • La Vie dans l'univers, série de12 émissions de15 minutes, 1982
  • Un soir, une étoile, série de66 émissions de2 minutes, 1984
  • Trois pommes à côté du sommeil, film de Jacques Leduc, 1989
  • Grand beau, téléfilm de Bernard Choquet, 1990[52] : apparition[53] dans le rôle de l'astrophysicien Hubert.
  • Hubert Reeves : Conteur d'étoile,ONF,52 minutes versionVHS,89 minutes en versionDVD, 2003[54]
  • Hubert Reeves : La Terre vue du Cœur,91 minutes, 2018[55]
  • L'Océan vu du cœur, 2023

Distinctions et récompenses

[modifier |modifier le code]

Cette liste a été établie à partir des informations du site officiel d'Hubert Reeves[44].

Hubert Reeves est compagnon de l'Ordre du Canada.
Hubert Reeves est grand officier de l'Ordre national du Québec.

Distinctions

[modifier |modifier le code]

Prix

[modifier |modifier le code]

Hommages

[modifier |modifier le code]
Une école deChampagnole enFrance porte son nom.

Notes et références

[modifier |modifier le code]
  1. a etb« REEVES Joseph Jean Louis Hubert », surdeces.matchid.io(consulté le).
  2. a etbReeves 2008,p. 19.
  3. « Charles-Aimé Reeves, Architecte », surimtl.org(consulté le).
  4. « Andre REEVES - Avis de décès », surMesAieux.com(consulté le).
  5. Reeves 2008,p. 15.
  6. « HUBERT REEVES »,Le Monde.fr,‎(lire en ligne, consulté le).
  7. Reeves 2008,p. 11.
  8. « Système d'éducation universitaire québécois | Étudier à l'UQAM », suretudier.uqam.ca,(consulté le).
  9. Reeves 2008,p. 115.
  10. abc etdUlysse Bergeron, Alexandre Shields et Marie-Ève Cousineau, « L'astrophysicien québécois Hubert Reeves est « parti rejoindre les étoiles » »Accès limité, surLe Devoir,(consulté le).
  11. Reeves 2008,p. 149-150.
  12. Reeves 2008,p. 155-156.
  13. Reeves 2008,p. 154 à 158.
  14. Reeves 2008,p. 195.
  15. Reeves 2008,p. 164 à 207.
  16. ab etcVoir sur astro-canada.ca.
  17. Reeves 2008,p. 211-212.
  18. Reeves 2008,p. 223-224.
  19. Meneguzzi, Audouze et Reeves 1971.
  20. « Hubert Reeves, le grand scientifique qui fut notre maître », surSciences et Avenir,(consulté le)
  21. (en)Audouze, J. (1999),The Synthesis of Light (LiBeB) Elements: a Brief Historical Overview (5 pages):
    (i)From B2FH [1957] and FGH [1962] to MAR [1971];
    (
    ii)From MAR [1971] to VFCAO [1990];
    (
    iii)The present [1999] and the possible future.
    InLiBeB Cosmic Rays, and Related X- and Gamma-Rays,ASP Conference Series,
    vol. 171.Edited by Reuven Ramaty, Elisabeth Vangioni-Flam, Michel Casséand Keith Olive.Astronomical Society of the Pacific
    (ASP), San Francisco,(ISBN 1-886733-93-7).
  22. Reeves 2008,p. 261.
  23. Reeves 2008,p. 262-263.
  24. a etbPierre Barthélémy, « Hubert Reeves, astrophysicien et grand vulgarisateur, est mort »,Le Monde,‎(lire en ligne).
  25. Reeves 2008,p. 264.
  26. Reeves 1984,p. 9.
  27. Reeves 2008,p. 267.
  28. Pierre Barthélémy, « Hubert Reeves astrophysicien »,Le Monde,‎,p. 22(lire en ligneAccès limité)
  29. Yanick Villedieu, « La star du cosmos »,L'Actualité,vol. 19,no 12,‎1er août 1994,p. 22(lire en ligneAccès payant)
  30. Université Laval, « Fonds de bourses Hubert-Reeves », surulaval.ca(consulté le).
  31. Hubert Reeves, « L'Univers a une histoire »,Sciences et Avenir,no 849,‎,p. 42.
  32. Hubert Reeves, « Hubert Reeves : "Ouvrez l'accès au savoir !" », surIdeas in Science,.
  33. Reeves 2008,p. 273 à 275.
  34. H. Reeves : "L'astronomie, le passé, l'écologie, l'avenir" Place Gre'net,.
  35. Benoit Fries, « Hubert Reeves et David Suzuki: Alerte Climatique à Montréal », sursur-la-toile.com,(consulté le).
  36. David Pagé, « Hubert Reeves et David Suzuki en grande conférence à Montréal »,Actu-Environnement,(consulté le).
  37. Hubert Reeves,Chroniques du ciel et de la vie,Éditions du Seuil,, 210 p.(ISBN 9782757817988,présentation en ligne), « Vers un régime végétarien ? »,p. 157–162.
  38. Mathieu-Robert Sauvé, « « Nous sommes nombreux à l’avoir eu pour modèle » : la mort d’Hubert Reeves, « star des étoiles », ébranle le monde de la communication scientifique », surTVA Nouvelles,(consulté le).
  39. Hubert Reeves et Sophie Lhuillier,Je chemine avec Hubert Reeves,Éditions du Seuil,, 128 p.(ISBN 9782021438789,présentation en ligne),p. 81.
  40. « Astronomie et écologie (version 2011) », surwww.hubertreeves.info(consulté le).
  41. Montréal, Éditions Le Jour, 1991, cité parEncyclopédie sur la mort.
  42. MélanieCarpentier et Jean-NicolasBerniche, « interview ogres barback irfan simple neant »,Evene.fr,‎(lire en ligne, consulté le).
  43. Bolduc 2008,p. 81.
  44. ab etcBiographie sur le site officiel d'Hubert Reeves.
  45. Alain Labelle, « Le conteur se raconte », surradio-canada.ca,Société Radio-Canada,.
  46. « Hubert Reeves: "Nous cherchons notre passé dans les étoiles" », surNotretemps.com,(consulté le).
  47. a etbActe de décèsno 1956 délivré par la mairie du13e arrondissement de Paris.
  48. « Mort d'Hubert Reeves : l'astrophysicien, grand vulgarisateur scientifique, était un amoureux de l'Yonne », surFrance 3 Bourgogne-Franche-Comté,(consulté le)
  49. LolaBreton, « Obsèques d’Hubert Reeves à Paris: Une nouvelle étoile brille »,La Presse,‎(lire en ligne, consulté le).
  50. Bibliographie, sur le site officiel d'Hubert Reeves : présentation de la plupart des ouvrages, avec la table des matières. Voir aussi en sectionBiographie.
  51. « J'ai vu une fleur sauvage : L'herbier de Malicorne », surwww.seuil.com(consulté le).
  52. FrançoisMarthouret, VéroniqueAtaly et JacquesSpiesser,Grand beau,(lire en ligne).
  53. « Grand beau : A 2,20 h 45 Passions montagnardes »,Le Monde.fr,‎(lire en ligne, consulté le).
  54. Iolande Cadrin-Rossignol, « Hubert Reeves : conteur d'étoiles », surOffice national du film du Canada,(consulté le) :« FilmONF ».
  55. La Terre vue du cœur.
  56. « Récipiendaires de la Médaille d'honneur de l'Assemblée nationale - Assemblée nationale du Québec », surwww.assnat.qc.ca(consulté le).
  57. (en) « Hubert Reeves », surOrdre de Montréal,(consulté le).
  58. Journal officiel de la République française, « Décret du portant élévation aux dignités de grand’croix et de grand officier »[PDF], surwww.legiondhonneur.fr.
  59. « Hubert Reeves reçoit le prix Janssen 2019 – Société astronomique de France », sursaf-astronomie.fr(consulté le).
  60. « L'astrophysicien Hubert Reeves rencontre « son » école », suractu.fr,(consulté le).
  61. « Hubert Reeves » dansL'Encyclopédie canadienne,Historica Canada, 1985–. (consulté le).
  62. « Nos sources d’inspiration », surÉcole Fernand-Seguin(consulté le).
  63. « Prix Hubert Reeves », suracs.qc.ca(consulté le).
  64. « www.acs.qc.ca ».
  65. « Ecole primaire Hubert Reeves », surMinistère de l'Éducation Nationale et de la Jeunesse(consulté le).
  66. « L’astrophysicien Hubert Reeves nommé à la tête de la nouvelle Agence française de la biodiversité », sur20minutes.fr(consulté le).
  67. « Localisation et mise en contexte du mandat »,ÉCO-CAMPUS HUBERT REEVES,‎,p. 6(lire en ligne[PDF]).
  68. « Fleurance. Rentrée et prévention au collège Hubert-Reeves », surladepeche.fr,(consulté le).
  69. « Hubert Reeves 1932-2023 », surPlanète Mars - Observatoire astronomique en Ardèche,(consulté le).
  70. Mathieu-RobertSauvé, « Une bibliothèque nommée en l’honneur de l’astrophysicien Hubert Reeves », surLe Journal de Montréal,(consulté le).

Bibliographie

[modifier |modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Voir aussi

[modifier |modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier |modifier le code]

Liens externes

[modifier |modifier le code]

Bases de données et dictionnaires

[modifier |modifier le code]

Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Hubert_Reeves&oldid=230198050 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp