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Horst Seehofer

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Horst Seehofer
Illustration.
Horst Seehofer en 2019.
Fonctions
Ministre fédéral allemand de l'Intérieur, des Travaux publics et de la Patrie

(3 ans, 8 mois et 24 jours)
ChancelierAngela Merkel
GouvernementMerkel IV
PrédécesseurThomas de Maizière(Intérieur)
Barbara Hendricks(Travaux)
SuccesseurNancy Faeser(Intérieur & Patrie)
Klara Geywitz(Travaux)
Président fédéral d'Allemagne
(intérim)

(1 mois et 1 jour)
ChancelierAngela Merkel
PrédécesseurChristian Wulff
SuccesseurJoachim Gauck
Président duConseil fédéral

(11 mois et 30 jours)
PrédécesseurHannelore Kraft
SuccesseurWinfried Kretschmann
Ministre-président de Bavière

(9 ans, 4 mois et 14 jours)
GouvernementSeehofer I etII
Législature16e et17e
CoalitionCSU-FDP(2008-2013)
CSU(2013-2018)
PrédécesseurGünther Beckstein
SuccesseurIlse Aigner(intérim)
Markus Söder
Président de l'Union chrétienne-sociale en Bavière

(10 ans, 2 mois et 25 jours)
PrédécesseurErwin Huber
SuccesseurMarkus Söder
Ministre fédéral de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Protection des consommateurs

(2 ans, 11 mois et 5 jours)
ChancelierAngela Merkel
GouvernementMerkel I
PrédécesseurJürgen Trittin(intérim)
Renate Künast
SuccesseurIlse Aigner
Ministre fédéral de la Santé

(6 ans, 5 mois et 20 jours)
ChancelierHelmut Kohl
GouvernementKohl IV etV
PrédécesseurGerda Hasselfeldt
SuccesseurAndrea Fischer
Biographie
Nom de naissanceHorst Lorenz Seehofer
Date de naissance(76 ans)
Lieu de naissanceIngolstadt (RFA)
NationalitéAllemand
Parti politiqueCSU
ProfessionFonctionnaire
ReligionCatholicisme

Signature de Horst Seehofer

Image illustrative de l’article Horst Seehofer
Ministres-présidents de Bavière
Présidents de la République fédérale d'Allemagne
Ministres fédéraux de l'Agriculture d'Allemagne
Ministres fédéraux de la Santé d'Allemagne
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Horst Lorenz Seehofer, né le àIngolstadt (Bavière), est unhomme d'Étatallemand membre de l’Union chrétienne-sociale en Bavière (CSU).

Fonctionnaire entre 1970 et 1980, il rejoint la CSU en 1971. Neuf ans plus tard, il est élu à 31 ans député fédéral auBundestag. Il est nommésecrétaire d'État parlementaire duministère fédéral du Travail en 1989.

En 1992, il prend la suite deGerda Hasselfeldt commeministre fédéral de la Santé, s'attachant à réduire les coûts de la santé publique. Après la défaite de 1998, il devient vice-président dugroupe CDU/CSU au Bundestag.

Il revient au gouvernement en 2005, au poste deministre fédéral de l'Agriculture. Il échoue, deux ans plus tard, à se faire élire président de la CSU.

Le parti ayant perdu sa majorité absolue auxélections de 2008, il en profite pour en prendre la direction et se faire investirministre-président de Bavière à la tête d'une « coalition noire-jaune ». Désigné président duBundesrat en2011 pour un an, il devient, en2012,président fédéral d'Allemagne par intérim après la démission deChristian Wulff. Lescrutin de 2013 lui permet de reconquérir la majorité absolue des sièges auLandtag.

Plusieurs mois après lesélections fédérales de2017, il est nomméministre fédéral allemand de l'Intérieur, des Travaux publics et de la Patrie ; à ce poste, il fait valoir son désaccord avec lapolitique migratoire entreprise par la chancelièreAngela Merkel, avec laquelle les tensions s'exacerbent progressivement au point de fragiliser l'alliance desUnions chrétiennes.

Biographie

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Jeunesse

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Il passe avec succès sonMittlere Reife en 1965 et entreprend alors une formation au sein de l'administration de la ville d'Eichstätt, une petite ville dans le centre duLand de Bavière. Il la termine en 1967 et s'inscrit aussitôt à l'École de gestion administrative.

Rejoignant laJunge Union (JU) en 1969, il achève son cursus l'année suivante. Il intègre alors la préfecture d'Ingolstadt. Il adhère à la CSU en 1971 et devient en 1974 directeur du bureau de la planification de la région d'aménagement d'Ingolstadt.

En 1979, il s'inscrit à l'Académie d'administration et d'économie. Il en ressort avec le grade de directeur de gestion.

Débuts et ascension en politique

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À l'occasion desélections fédérales du 5 octobre 1980, la CSU l'investit dans la202e circonscription fédérale. Il y totalise 106 112 voix, soit 65,5 % des suffrages exprimés[1]. Triomphalement élu auBundestag à 31 ans, il démissionne de la fonction publique. Lesélections anticipées du 6 mars 1983 lui permettent de remporter 115 488 suffrages, soit 68,8 % des exprimés[2]. Il est ensuite choisi comme porte-parole pour la Politique sociale dugroupement régional de la CSU.

Auscrutin du 25 janvier 1987, il s'adjuge un troisième mandat avec un résultat en légère baisse : sa candidature reçoit 105 723 voix, soit 64,6 %[3]. Leremaniement ministériel fédéral du 21 avril 1989 lui permet d'accéder à l'exécutif. Il est choisi à 39 ans comme nouveausecrétaire d'État parlementaire duministère fédéral du Travail et de l'Ordre social sous la conduite deNorbert Blüm.

Il connaît un nouveau recul au cours desélections fédérales du 2 décembre 1990, puisqu'il obtient 98 879 suffrages, soit 62,6 % des voix exprimées[4]. Il est maintenu dans l'exécutif.

Ministre fédéral

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Le, la CSU le choisit à 43 ans comme nouveauministre fédéral de la Santé, en remplacement deGerda Hasselfeldt. Il est le premier homme à prendre la tête de ce ministère[5].

Dès l'année suivante, il fait voter par leBundestag une loi fédérale sur la structure du système de santé, qui contraint les services sanitaires à une sévèrerigueur budgétaire. En 1994, critiqué à cause du manque d'informations concernant des produits sanguins contaminés par levirus de l'immunodéficience humaine (VIH), il décide de dissoudre l'Office fédéral de la Santé (BGA).

À l'occasion de la tenue du58e congrès de l'Union chrétienne-sociale en Bavière àMunich en, qui conforteTheo Waigel à la présidence, il est élu vice-président du parti.

Il enchaîne un cinquième mandat parlementaire avec lesélections fédérales du 16 octobre 1994. Il remporte en effet 105 374 voix, soit 62,7 % des exprimés[6]. Le suivant, il est renommé au gouvernement. Il fait approuver deux ans plus tard une loi fédérale réduisant lescotisations sociales.

Un cadre de l'opposition

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Si lescrutin du 27 septembre 1998 ne l'empêche pas de retrouver son fauteuil auBundestag, il accuse un net recul avec un résultat de 97 744 voix, soit 55 % des suffrages en sa faveur[7]. Il est contraint de quitter l'exécutif le, du fait de la victoire du centre-gauche.

Au sein dugroupe parlementaire fédéral de la CDU/CSU, il est vice-président, chargé des Affaires européennes, de l'Agriculture et de l'Environnement. En 2000, il prend la présidence de l'Union des employés de la CSU (CSA).

Réélu auxélections fédérales du 22 septembre 2002 avec 124 699 voix, ce qui lui donne 65,3 % des suffrages[8], il démissionne de ses fonctions au sein du groupe en pour s'opposer à un projet de réforme de lasécurité sociale négocié avec legouvernement.

Retour au gouvernement

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Il est élu pour la huitième fois et dernière fois député fédéral auBundestag au cours desélections fédérales anticipées du 18 septembre 2005. Sa candidature remporte 121 771 voix, soit 65,9 % des suffrages exprimés par les électeurs de la218e circonscription fédérale[9],[10].

Le, Horst Seehofer est choisi comme l'un des deux représentants de la CSU dans lepremier gouvernement de grande coalition d'Angela Merkel ; il est nomméministre fédéral de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Protection des consommateurs. Il fait face l'année suivante à un scandale sanitaire d'ampleur européen au sujet de viande de kebab avariée, découverte par les autorités dans un entrepôt bavarois ; il critique à cette occasion les pouvoirs publics de son Land d'élection, pour avoir tardé à prévenirBerlin etBruxelles[11].

Échec à la présidence de la CSU

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Au mois de, leministre-président de Bavière et président de l'Union chrétienne-sociale en BavièreEdmund Stoiber annonce qu'il quittera la vie politique au mois de septembre suivant. Horst Seehofer se présente pour lui succéder[12].

Le72e congrès de la CSU, convoqué àMunich en septembre, l'oppose àErwin Huber, ministre de l'Économie, etGabriele Pauli, préfète de l'arrondissement de Fürth. Huber, qui dispose de l'appui du futur successeur de Stoiber au gouvernement,Günther Beckstein, s'impose avec 58,2 %, contre 39,1 % à Seehofer. Cela n'empêche pas ce dernier d'être réélu vice-président avec 91,8 % des voix des délégués.

Ministre-président de la Bavière

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Un premier mandat en coalition

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Horst Seehofer, lesecrétaire général de la CDUHermann Gröhe et lachancelière fédéraleAngela Merkel en 2012 au congrès de la CSU.

Lesélections régionales de 2008 en Bavière tournent à la catastrophe pour la CSU. Touché par des scandales remontant à l'époque Stoiber et par la percée desÉlecteurs libres (FW), le parti au pouvoir tombe à 43,4 % des voix, un score sans pareil depuis le scrutin de 1954. Pour la première fois depuis 1962, les chrétiens-sociaux n'ont pas de majorité absolue. Beckstein et Huber en tirent les conséquences et renoncent à leurs responsabilités.

Il décide alors de se présenter pour la direction du parti, et du gouvernement, et se voit préféré àJoachim Herrmann, ministre de l'Intérieur, etThomas Goppel, ministre de la Recherche. Élu président de la CSU avec 90,3 % des voix le, Horst Seehofer est investiministre-président de Bavière par leLandtag le, par 104 voix sur 187. Il démissionne aussitôt du gouvernement fédéral mais doit attendre le pour quitter leBundestag.

Il prend donc la tête d'ungouvernement de coalition avec leParti libéral-démocrate (FDP), qui n'avait plus siégé dans un gouvernement bavarois depuis 1962. Le libéralMartin Zeil, ministre de l'Économie, devient vice-ministre-président ; si Herrmann reste ministre de l'Intérieur, Goppel quitte pour sa part l'exécutif.

Alors que le débat sur l'intégration desmusulmans bat son plein enAllemagne, il déclare, en, dans une interview aumagazineFocus que le pays n’a « plus besoin d’immigration en provenance d’autre zones culturelles ». Il précise par la suite que ce sont les immigrés provenant de Turquie et des pays arabes qui sont visés par ses propos. Il a alors été accusé par leSPD et lesVerts de « flatter bassement le populisme d'extrême-droite »[13].

À compter du, il prend pour un an la présidence tournante duConseil fédéral (Bundesrat). À ce titre, il devientprésident fédéral par intérim le, à la suite de la démission deChristian Wulff[14]. Le18 mars, l'indépendantJoachim Gauck est élu à la présidence fédérale.

Le retour à la majorité absolue

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Horst Seehofer auBundestag le.

Au mois de, il est investi par la CSU comme chef de file pour lesélections régionales de 2013 en Bavière et candidat dans la124e circonscription. Le jour du scrutin, il y remporte 61,5 % des voix et se voit élu pour la première fois député auLandtag de Bavière. Parallèlement, sa formation remporte 47,7 % des suffrages exprimés, ce qui lui donne 101 députés sur 180. C'est la troisième fois que le parti remporte une majorité absolue en sièges sans totaliser une majorité absolue de voix.

Il est investi pour un second mandat le, par 100 voix sur 176 et forme alors sonsecond gouvernement, dans lequel il nommeIlse Aigner, qui lui avait succédé cinq ans plus tôt au gouvernement fédéral, vice-ministre-présidente, ministre de l'Économie, des Médias, de l'Énergie et de la Technologie. Sur les onze ministres de ce nouvel exécutif, cinq sont des femmes, ce qui constitue un record enBavière. Il participe le suivant auBundestag à la cérémonie de signature de l'accord de la nouvelle « grande coalition » fédérale.

Pour Stefan Meister, spécialiste de la Russie et de l’Europe orientale à laDeutsche Gesellschaft für Auswärtige Politik, les intérêts des grands groupes bavarois commeSiemens ouBMW en Russie font de la CSU un parti attentif aux relations avec laRussie. Reçu parVladimir Poutine en 2016, Horst Seehofer est favorable à la levée des sanctions prises après l'invasion de la Crimée en 2014[15].

À partir du début de lacrise migratoire en Europe (2015), il s'oppose à la politique d'asile de la chancelièreAngela Merkel[16].

Démission

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Horst Seehofer etMarkus Söder, en.

Il indique le son intention de démissionner de la direction du gouvernement de Bavière, tout en conservant la présidence de la CSU dans le cadre des négociations pour reconstituer la grande coalition fédérale. Critiqué en interne pour le faible score obtenu par l'Union chrétienne-sociale auxélections législatives fédérales, la percée de l'AfD dans le Land et ne pas avoir su peser sur la politique migratoire de la chancelière, il sera remplacé en par son ministre des FinancesMarkus Söder, perçu comme un« dur » au sujet de l'immigration[17].

À la suite de la démission deStanislaw Tillich le, il devient le doyen desdirigeants des Länder allemands.

Ministre fédéral de l'Intérieur

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Le, il est désignéministre fédéral de l'Intérieur, des Travaux publics et de la Patrie dans lequatrième cabinet d'Angela Merkel. La veille, il avait démissionné de la direction du gouvernement de Bavière, revenue temporairement àIlse Aigner.

En, il est au centre d'une crise gouvernementale portant sur les questions de la crise migratoire où en opposition à Angela Merkel il propose de refouler aux frontières tous les demandeurs d'asile ayant été enregistrés dans un autre pays de l'Union européenne[18],[19]. La position de Horst Seehofer est interprétée comme une tentative pour limiter les dommages causés par l'alliance de son parti avec la CDU alors que celui-ci est soumis à la concurrence du partiAlternative pour l'Allemagne sur les enjeux migratoires[20].

Le, il annonce lors d'une réunion à huis clos de la CSU sa volonté de remettre sa démission de la présidence du parti et du ministère fédéral de l'Intérieur[21]. Il y renonce dès le lendemain, après une rencontre au sommet avec la chancelière. Tous deux se mettent d'accord sur des mesures visant à réduire l'immigration illégale : désormais, les demandeurs d'asile arrivant en Allemagne mais déjà enregistrés dans un autre pays de l'Union européenne sont détenus dans des centres de transit installés aux frontières du pays avant d'être renvoyés dans leurs pays d'enregistrement. Ces retours seront organisés conformément à des accords conclus avec les États concernés. Cet ensemble de décisions doit encore être validé par leParti social-démocrate d'Allemagne (SPD), partenaire de laCDU/CSU[22]. Finalement, il indique le son intention de renoncer à la présidence de la CSU, quelques semaines après qu'Angela Merkel a pris une décision identique pour la CDU. Il souhaite cependant conserver son poste au sein du gouvernement fédéral.

Vie privée

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De confessioncatholique, il est marié en secondes noces avec Karin Seehofer, et père de quatre enfants, dont une fille issue d'unerelation adultère. Il réside avec sa famille dans le quartier de Gerolfing, àIngolstadt.

Il a été hospitalisé en à cause d'unemyocardite, potentiellement mortelle, qu'il a attribuée à une surcharge de travail.

Distinctions

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Notes et références

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  1. (de)« Wahl zum 9. Deutschen Bundestag am 5. Oktober 1980 », Directeur fédéral des élections, consulté le
  2. (de)« Wahl zum 10. Deutschen Bundestag am 6. März 1983 », Directeur fédéral des élections, consulté le
  3. (de)« Wahl zum 11. Deutschen Bundestag am 25. Januar 1987 », Directeur fédéral des élections, consulté le
  4. (de)« Wahl zum 12. Deutschen Bundestag am 2. Dezember 1990 », Directeur fédéral des élections, consulté le
  5. Heiner Geissler, titulaire entre 1982 et 1985, était ministre fédéral de la Famille, de la Jeunesse et de la Santé
  6. (de)« Wahl zum 13. Deutschen Bundestag am 16. Oktober 1994 », Directeur fédéral des élections, consulté le
  7. (de)« Wahl zum 14. Deutschen Bundestag am 27. September 1998 », Directeur fédéral des élections, consulté le
  8. (de)« Wahl zum 15. Deutschen Bundestag am 22. September 2002 », Directeur fédéral des élections, consulté le
  9. Le territoire de la circonscription est le même depuis 1980, mais son numéro a changé lors du redécoupage de 2002
  10. (de)« Wahl zum 16. Deutschen Bundestag am 18. September 2005 », Directeur fédéral des élections, consulté le
  11. « Scandale à la viande avariée »,Le Soir, le
  12. « Le roi de Bavière est déchu »,Le Soir, le
  13. Allemagne : nouvelle polémique autour de l’immigration,Euronews, le
  14. « Le président allemand annonce sa démission »,Le Point,‎(lire en ligne, consulté le).
  15. Thomas Wieder,« À partir de 2012-2013, la propagande russe est devenue beaucoup plus offensive en Allemagne », lemonde.fr,(consulté le)
  16. Nicolas Barotte, « Horst Seehofer, le trouble-fête bavarois »,Le Figaro Magazine, semaine du 30 septembre 2016, page 32.
  17. « Remous chez l'allié bavarois du parti d'Angela Merkel »,Swissinfo,‎(lire en ligne, consulté le).
  18. Horst Seehofer, ministre allemand de l'Intérieur, donne deux semaines à Angela Merkel pour résoudre la crise migratoire, huffingtonpost.fr, 18 juin 2018
  19. Thomas Wieder,Bras de fer entre Angela Merkel et son ministre de l’intérieur sur la politique migratoire, lemonde.fr, 13 juin 2018
  20. (en)Merkel gets extra time to reach deal with EU over asylum row, theguardian.com, 17 juin 2018
  21. (en) « Angela Merkel's interior minister, Horst Seehofer, threatens to quit in asylum row », surdw.com,(consulté le)
  22. https://actu.orange.fr/monde/migrants-merkel-trouve-un-accord-pour-sauver-son-gouvernement-CNT0000014Abpx.html

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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En italique : président par intérim
v ·m
Empire allemand
(1871 -1918)
République de Weimar
(1918 -1933)
Troisième Reich
(1933 -1945)
RDA
(1949-1990)
RFA, réunifiée en 1990 (Allemagne)
(1949 -)
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Les noms en italique sont ceux des ministres par intérim
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v ·m
CabinetMerkel I,II,III etIV()
Vice-chancelier
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Affaires étrangères
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19601971
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