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Histoire démographique de la France

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Pour des articles plus généraux, voirDémographie de la France etFrançais (peuple).

Évolution du nombre d'habitants en métropole

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Démographie de la France de 1226 à 2017 (en millions)

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Note : l'échelle du graphique est non linéaire (l'écart entre deux années sur le graphique n'est pas proportionnel à leur écart dans le temps).
Évolution de la population de la France métropolitaine (estimations avant 1950)
DateHabitants
15 000 av. J.-C.50 000
5000 av. J.-C.500 000
2500 av. J.-C.5 500 000
An 17 000 000
40012 000 000
8008 800 000
8506 000 000
122616 000 000
130015 000 000
134520 200 000
135015 000 000
140012 000 000
145711 000 000
150014 000 000
155015 300 000
156016 200 000
158016 500 000
160020 000 000
162021 000 000
165020 000 000
168021 000 000
170021 000 000
171519 600 000
173023 800 000
174024 600 000
175024 500 000
176025 700 000
177026 600 000
178027 600 000
178928 600 000
179028 100 000
179528 103 000
180129 361 000
180629 648 000
181030 000 000
181130 271 000
181630 573 000
182131 578 000
182632 665 000
183133 595 000
 
DateHabitants
183634 293 000
184134 912 000
184636 097 000
185136 472 000
185636 715 000
186137 386 000
187237 653 000
187638 783 000
188139 239 000
188639 783 000
189139 946 000
189640 158 000
190140 710 000
190240 810 000
190340 910 000
190441 000 000
190541 050 000
190641 100 000
190741 100 000
190841 190 000
190941 240 000
191041 350 000
191141 420 000
191241 530 000
191341 620 000
191441 630 000
191540 020 000
191640 020 000
191739 420 000
191838 670 000
192038 900 000
192139 140 000
192239 750 000
192339 750 000
192440 170 000
192540 460 000
192640 710 000
192740 770 000
192840 880 000
192941 020 000
 
DateHabitants
193041 340 000
193141 550 000
193241 510 000
193341 520 000
193441 570 000
193541 550 000
193641 500 000
193741 530 000
193841 560 000
193941 510 000
194040 690 000
194139 420 000
194239 220 000
194339 860 000
194438 770 000
194539 660 000
194640 287 000
194740 679 000
194841 112 000
194941 480 000
195041 647 258
195142 010 088
195242 300 981
195342 618 354
195442 885 138
195543 227 872
195643 627 467
195744 058 683
195844 563 043
195945 014 662
196045 464 797
196145 903 656
196246 422 000
196347 573 406
196448 059 022
196548 561 800
196648 953 792
196749 373 537
196849 723 072
196950 107 735
 
DateHabitants
197050 528 219
197151 016 234
197251 485 953
197351 915 873
197452 320 725
197552 600 000
197652 798 338
197753 019 005
197853 271 566
197953 481 073
198053 731 387
198154 028 630
198254 335 000
198354 649 984
198454 894 854
198555 157 303
198655 411 238
198755 681 780
198855 966 142
198956 269 810
199056 577 000
199156 840 661
199257 110 533
199357 369 161
199457 565 008
199557 752 535
199657 935 959
199758 116 018
199858 298 962
199958 496 613
200058 858 198
200159 266 572
200259 685 899
200360 101 841
200460 505 421
200560 963 264
200661 399 733
200761 795 238
200862 134 866
200962 465 709
 
DateHabitants
201062 765 235
201163 070 244
201263 375 971
201363 697 865
201463 982 078
201564 277 242
201664 513 242
201764 859 599
201864 844 037
201965 096 768
202065 269 154
202165 450 219
202265 646 837
202365 834 837

Sources :

Préhistoire

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Les premiers hominidés sont attestés dans le sud de la France il y a plus de 500 000 ans, ils donneront naissance à l'homme de Néandertal. Il y a 40 000 ans l’homme de Cro-Magnon arrive d'Afrique via le Proche-Orient et l'Europe de l’Est. La population reste longtemps stabilisée à quelques milliers d'habitants. La fin des périodes glaciaires, aumagdalénien, provoque une augmentation des ressources alimentaires disponibles et de la population :

Elle augmente brusquement avec lenéolithique et la diffusion de l'agriculture, pour atteindre le million d'habitants au début duIIIe millénaire av. J.-C.

Protohistoire

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Le nombre très important de vestiges des sites habités il y a plus de 10 000 ans qui est parvenu jusqu'à nous, ne serait-ce que les grottes ornées commeLascaux,Pech-Merle,Niaux,Rouffignac,Font-de-Gaume,Chauvetetc., les mégalithes, les tumuli, les restes d'industriemésolithique, suppose un peuplement humain déjà nombreux et socialement organisé.

L'indo-européen est une famille de langues d'origine commune. Des peuples dont le langage est pré-indoeuropéen sont attestés dans le sud de la Franceavant l'arrivée des premiersCeltes vers-700, apportant avec eux une civilisation et une organisation politique originale[réf. nécessaire]. Ces peuples, comme les anciensLigures, lesIbères[4] ou lesproto-Basques ouVascons (ancêtres desAquitains que César distingue des autres peuples des Gaules), ont laissé dans les montagnes du sud de la France une couche de toponymes préceltiques qui a été mise en évidence parAlbert Dauzat.

Antiquité

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Il y a environ 6 millions d'habitants au début de la conquête romaine du sud de la Gaule en-125[réf. souhaitée] ; entre 4 et 12 millions selon les estimations.

Haut Moyen Âge

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À partir duIVe siècle, les invasions conduiront des groupes d'individus appartenant à plusieurs peuples différents à organiser des incursions. Le territoire étant déjà très peuplé par des populations bien installées, ces invasions ne permettent en général d'implanter qu'au maximum quelques dizaines de milliers d'individus, et ne modifient pas le fonds de peuplement autochtone qui s'élève déjà à plusieurs millions d'habitants, sauf dans quelques régions bien définies où ils se surajoutent à une population existante qu'ils viennent coloniser[5], comme lesAlamans enAlsace, lesFrancs ripuaires enLorraine, lesFrancs saliens au Nord de la Seine,Burgondes établis enBourgogne et convertis au christianisme,Wisigoths repoussés par l'armée deClovis enAquitaine puis enEspagne,Ostrogoths enProvence,Vandales enCorse, lesSaxons dans le Boulonnais et le Bessin, à partir duVIIe siècle lesBretons en Armorique occidentale, et auIXe siècle lesVikings sur les côtes normandes et dans l'estuaire de la Seine.

Époque médiévale

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Évolutions comparées de la surface forestière et de la population en France. Malgré le développement de l'Administration des Eaux et Forêts et des textes réglementaires, la surface forestière continue de diminuer jusqu'auXIXe siècle. Ce recul est principalement dû aux défrichements pour la mise en culture en lien avec l'expansion démographique, l'implantation de communautés religieuses, l'urbanisation et la fourniture des matériaux de construction civile et navale, ainsi que du bois de chauffe.

On estime que vers la fin de l'Empire romain, la population gallo-romaine était d'environ 12,2 millions d'habitants.

Entre leVe siècle et leVIIIe siècle, elle subit une forte diminution, puisqu'à l'époque deCharlemagne, vers l'an800 elle est estimée à 8,8 millions. À cette même époque, les Celtes brittoniques chassés de l'île de Bretagne (actuelle Grande-Bretagne) par les Saxons et les Angles, s'installent en Armorique qui prend ainsi le nom de Bretagne. La première occupation deberbères musulmans, commencée en 719 par la prise deNarbonne, est repoussée en 759.

En cinquante ans, entre800 et850, la chute est supposée vertigineuse, puisqu'on estime qu'au milieu duIXe siècle, sous le règne deCharles le Chauve, elle est estimée à 5 millions d'habitants. En838 lesSarrasins saccagentMarseille, razzient des habitants pour les réduire en esclavage et effectueront plusieurs autres razzias semblables jusqu'à l'an 1000, dans un contexte où les côtes italiennes et espagnoles sont encore plus exposées à leurs raids. À la même époque, lesVikings prennent pied à l'autre bout de la France. De nombreux scandinaves se fixent alors en Normandie et au royaume de Bretagne. Le déclin démographique est stoppé auXe siècle.

Au début duXIIIe siècle, vers1200, on estime que la population française retrouve à peu près les chiffres qu'elle avait atteint 800 ans plus tôt, à la fin de l'Empire romain[réf. nécessaire]. Louis-Henri Fournet[6], fixe lui ce retournement démographique auXIe siècle : « Pour la première fois dans l'histoire du monde, des densités de trente à quarante habitants par kilomètre carré sont atteintes en France, enLotharingie, enAngleterre et enItalie[7],[8] ».

Un peu plus d'un siècle plus tard, en1320, à la fin de la dynastie des Capétiens directs, sous le règne deCharles IV le Bel, c'est à ce siècle que la France est considérée comme existentielle en tant que nation et elle aurait compté environ 24 000 paroisses (1 paroisse = environ 700 habitants) et atteint pour la première fois le chiffre de 17 millions d'habitants, sur un territoire de 320 000 km2 (soit une densité de 60,5 hab./km2).

Au milieu duXIVe siècle, après laGrande Peste, au début du règne deJean II le Bon, on évalue la population française entre 15 et 17 millions d'habitants sur 400 000 km2, soit une densité de seulement 45 hab./km2. Le domaine royal couvre 300 000 km2, les grands fiefs environ 100 000 km2. La Provence est partagée en 23vigueries/baillies. Une baillie fait environ seize localités. Elle fait 31 400 km2. Sa population est de 375 000 habitants (80 000 feux), soit une densité d'à peine 12 hab./km2. L'armée compte 25 000 hommes (1,25 % de la population). Entre1357 et1453, à la fin de laGuerre de Cent Ans, la population française reste stable autour de 16,6 millions d'habitants. Elle n'en demeure pas moins l'entité la plus peuplée d'Europe, et de loin.

Époque moderne

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Émigration et immigration

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Le chiffre de 20 millions d'habitants est à nouveau atteint au début duXVIIe siècle, sur un territoire agrandi, donc avec une densité de population de 34 hab./km2. Alors que 300 000 huguenots sont chassés du territoire, 5 000jacobites irlandais, et quelques milliers de catholiques anglais ou écossais se réfugient dans les ports français. Par ailleurs, des dizaines de milliers d'Auvergnats etRouergats, s'établissent en Espagne, souvent une partie de l'année seulement, profitant duSiècle d'or de ce royaume. Les communautés françaises, entre ces travailleurs et l'exil huguenot sont alors particulièrement nombreuses dans les pays d'Europe, surtout en Angleterre, aux Pays-Bas et dans les états allemands.

Population totale et taux d'accroissement de 1740 à 1860

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Les estimations de population suivantes ont été proposées pour la France métropolitaine pendant cette période[9] :

Année174017451750175517601765177017751780178517901795
Population totale (en millions)24,624,624,525,025,726,126,627,027,5527,6528,128,1
Taux d'accroissement par tranche de 5 ans (‰)13202814191521416036
Années1800180518101815182018251830183518401845185018551860
Population totale (en millions)29,129,530,030,331,2532,3533,334,034,935,736,3537,037,3
Taux d'accroissement par tranche de 5 ans (‰)12181031362921252418179

Structure par âge de 1740 à 1860 (en %)

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La même source propose les répartitions par âge suivantes, pour la France métropolitaine[9] :

âges174017451750175517601765177017751780178517901795
0-19 ans42,142,241,641,141,241,041,140,740,040,1540,140,3
20-59 ans49,649,750,350,750,350,155050,3551,2551,351,450,95
60 et plus8,38,18,18,28,58,858,98,958,758,558,58,75
Total (%)100100100100100100100100100100100100
âges1800180518101815182018251830183518401845185018551860
0-19 ans41,041,2541,141,640,740,5540.640,2539,638,9538,437,736,95
20-59 ans50,0549,7549,748,7549,2549,4549,650,2550,951,451,9552,6552,65
60 et plus8,959,09,29,6510,0510,09,89,59,59,659,659,6510,4
Total (%)100100100100100100100100100100100100100

Époque contemporaine

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Un taux de natalité exceptionnellement faible pendant deux siècles

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Carte Philosophique figurant la Population de la France (1830), parArmand Joseph Frère de Montizon.
Évolution de la démographie entre 1960 et 2010[10]. Population en millions d'habitants.

Jusqu'en1795, la France comptait la troisième population aumonde derrière laChine et l'Inde[réf. nécessaire]. Toutefois, à partir de 1750 et durant tout leXIXe siècle et jusqu'en 1945, la France connut une très lente progression démographique due à son taux de natalité très faible, le plus bas d'Europe, alors que le reste du continent connaissait un véritable essor démographique[11].

Au terme de cette période, la population de la France n’a ainsi été multipliée que par 1,6 (d’environ 24,5 millions d’habitants à 40,1 millions début 1946) alors que l’Italie et l’Allemagne multipliaient par trois leur population (passant respectivement de 14 à 45,1 millions, et d’un peu moins de 20 millions à environ 68 millions d’habitants - ou 58 millions sans l’entrée de dix millions d’Allemands chassés de leurs anciens territoires et du reste de l’Europe orientale au lendemain de la Seconde Guerre mondiale)[11]. Le Royaume-Uni, pour sa part, sextuplait la sienne (de 8,1 à 49 millions début 1946)[11].

Cette différence de croissance de la population est d'autant plus notable qu'une grande partie du continent européen a connu une importante hémorragie migratoire en direction du Nouveau Monde (le Royaume-Uni, l’Allemagne et l’Italie ont perdu chacun 20-25 millions de personnes) mais beaucoup moins la France (environ 4 millions de personnes)[11].

Le baby-boom ayant suivi la Seconde Guerre mondiale ne permit de rattraper qu’une petite partie de cet écart[11].

Ce sous-peuplement a aussi contribué à la faible densité de population en France (118 habitants/km2) par rapport à d'autres pays européens (Royaume-Uni : 271 hab./km2 ; Allemagne 232 hab./km2 ; Italie : 201 hab./km2)[11].

Indicateur conjoncturel de fécondité auXIXe siècle

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Pour laFrance métropolitaine duXIXe siècle, Max Roser etHans Rosling ont établi les données suivantes[12] :

Années18001801180218031804180518061807180818091810
Indicateur conjoncturel de fécondité4,414,364,314,264,214,164,14,0543,953,9
Années18601861186218631864186518661867186818691870
Indicateur conjoncturel de fécondité3,43,513,463,533,513,533,533,553,493,493,44
Années1871187218731874187518761877187818791880
Indicateur conjoncturel de fécondité3,083,593,513,533,513,573,493,443,443,36
Années1881188218831884188518861887188818891890
Indicateur conjoncturel de fécondité3,43,43,383,383,323,263,223,163,122,95
Années189118921893189418951896189718981899
Indicateur conjoncturel de fécondité3,032,963,022,942,862,982,922,872,88

L'exode rural

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L'exode rural ne touche que tardivement la France par rapport aux autres pays d'Europe occidentale et d'Amérique du Nord. Ainsi, la France compte 43,8 % de personnes vivant de laterre aurecensement de 1906, et 31 % à celui de 1954[13]. Jusqu'à laSeconde Guerre mondiale, l'exode rural touche ainsi principalement lesterroirs d'exploitation difficile, particulièrement dans le sud de la France ou les régions montagneuses, dont, par exemple, l'Ardèche, qui atteint un pic de population sous leSecond Empire, comptant 388 500 habitants selon lerecensement de 1861[13] ;« comme dans beaucoup d'autresrégions où prévalait un système analogue, le déclin desindustries en milieu rural entraîna celui de l'agriculture, et réciproquement. En un siècle, l'Ardèche perdit ainsi plus de cent quarante mille habitants, par émigration ou pardénatalité, soit plus du tiers des Ardéchois duXIXe siècle, pour ne plus compter que 245 600 personnes aurecensement de 1962 » (A. Frémont, 1997[13]).

Émigration et immigration

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Selon les relevés de l'état-civil ainsi que des recensements, la France a continué à connaître une importante immigration au cours duXXe siècle. Entre1866 et1911, elle devient unpays d'immigration d'abord pour les Belges, les Sarrois[14] puis pour lesItaliens.

Dans lesannées 1930 est arrivée une première vague venant d'Italie et dePologne, essentiellement pour des motifs économiques[15].

Puis après laSeconde Guerre mondiale, de nombreux Espagnols et Portugais vinrent pour des raisons politiques et économiques. À partir du début des années 1960, ce sont des immigrés venant du Maghreb puis d'Afrique subsaharienne, plus récemment de Turquie et d'Asie.

Le rapatriement desPieds-Noirs eut également une grande influence sur la démographie française.

Le baby-boom

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La France connaît une augmentation importante du taux de natalité, juste après la fin de la Seconde Guerre mondiale. Cette période s'étend de 1945 jusqu'à 1955-1960, voire jusqu'au milieu des années 1970 pour la plupart des pays occidentaux. Durant les deux premières décennies duXXIe siècle, les baby-boomers qui partent massivement à la retraite créent un nouvel effet socioéconomique d'envergure : le papy-boom.

Le vieillissement de la population

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Position de la France métropolitaine en Europe selon la population totale

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Jusqu'en1795, laFrance métropolitaine était le pays le pluspeuplé d'Europe, Russie comprise.

Entre1795 et1866 : en deuxième position derrière la Russie.

Entre1866 et1911 : en troisième position derrière la Russie et l'Allemagne.

Entre1911 et1931 : en quatrième position derrière la Russie, l'Allemagne et laGrande-Bretagne.

Entre1931 et1991 : en cinquième position derrière la Russie, l'Allemagne la Grande-Bretagne et l'Italie.

Entre1991 et2000 : en quatrième position derrière la Russie, l'Allemagne et la Grande-Bretagne.

Depuis2000 : en troisième position derrière la Russie et l'Allemagne.

Notes et références

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  1. Insee - Évolution de la population de la France métropolitaine[xls]
  2. Insee - Population au1er janvier. Série longue
  3. Sophie de Beaune « Comment vivaient nos ancêtres »,in L’origine des sociétés, Sciences humaines no 9, décembre 2007-janvier-février 2008, p 45
  4. LePériple de Pseudo-Scylax (écrit entre la fin duVIe et le IVe siècleav. J.-C.) donne les indications suivantes : « 3. Ligures et Ibères. Après les Ibères, habitent les Ligures et les Ibères mêlés jusqu’auRhône. La navigation le long des Ligures depuisEmporion jusqu’au Rhône est de deux jours et une nuit. 4. Ligures. Au-delà du Rhône suivent les Ligures jusqu’àAntion. Dans cette région se trouve la ville grecque deMassalia avec son port. »
  5. Henri Hubert,Marcel Mauss,Les Celtes
  6. Auteur d'unTableau synoptique de l'histoire du monde pendant les cinquante derniers siècles, Édition SIDES, Fontenay sous bois, 1987/2005,(ISBN 2868610153)
  7. (fr)Tableau synoptique de l'histoire du monde pendant les cinquante derniers siècles », Louis-Henri Fournet, Édition SIDES, Fontenay sous bois, 1987/2005,(ISBN 2868610153), page 20.
  8. La première partie de l'affirmation de Louis-Henri Fournet (« Pour la première fois dans l'histoire du monde ») est cependant partiellement contredite. Les archéologues de lacivilisation maya estiment la densité de population maya de l'ère classique à un chiffre compris entre quatre-vingt et deux cent quatre-vingt-dix habitants au kilomètre carré. Chiffres cités parJared Diamond, page 190 de son essaiEffondrement. Comment les sociétés décident de leur disparition ou de leur survie publié en 2006 chezGallimard,(ISBN 2070776727). Il faut aussi citer la ville de Bagdad, considérée comme la première à avoir atteint une population d'un million d'habitants entre lesIXe siècle etXe siècle. Cf. à ce propos(en)Largest Cities Through History
  9. a etbLouis Henry et Yves Blayo, « La population de la France de 1740 à 1860 »[doc],,p. 95, 100
  10. Chiffres de laDAES, 2012
  11. abcde etfIlyes Zouari, « Pourquoi, en 2017, la France aurait dû compter entre 110 et 150 millions d'habitants »,Les Echos,‎(lire en ligne)
  12. (en) Max Roser etHans Rosling, « Fertility Rate : Total Fertility Rate around the world over the last two centuries », surourworldindata.org,Our World In Data,Fondation Gapminder
  13. ab etcArmand Frémont, « La terre », inLes Lieux de mémoire, tome III (dir.Pierre Nora), Quarto Gallimard, 1997, p. 3047-3080 (en part. p. 3050-3051)
  14. Qu'on nommait provenant de Prusse.
  15. « regard-est.com/home/breve_cont… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).

Articles connexes

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