Pour les articles homonymes, voirMorin.
Ne doit pas être confondu avecHervé Maurey.
| Hervé Morin | |
Hervé Morin, le 6 janvier 2011 à Paris. | |
| Fonctions | |
|---|---|
| Président duconseil régional de Normandie | |
| En fonction depuis le (9 ans, 10 mois et 22 jours) | |
| Élection | |
| Réélection | |
| Prédécesseur | Nicolas Mayer-Rossignol (Haute-Normandie) Laurent Beauvais (Basse-Normandie) |
| Président duNouveau Centre puis desCentristes[N 1] | |
| En fonction depuis le (18 ans, 5 mois et 28 jours) | |
| Élection | |
| Réélection | |
| Prédécesseur | Parti créé |
| Président de lacommunauté de communes du canton de Cormeilles puis deLieuvin Pays d'Auge | |
| En fonction depuis le (29 ans et 7 jours) | |
| Réélection | 2001 2008 2014 |
| Prédécesseur | Nouvelle structure |
| Président des Régions de France | |
| – (1 an, 11 mois et 15 jours) | |
| Prédécesseur | Philippe Richert |
| Successeur | Renaud Muselier |
| Ministre de la Défense | |
| – (3 ans, 5 mois et 26 jours) | |
| Président | Nicolas Sarkozy |
| Premier ministre | François Fillon |
| Gouvernement | Fillon I etII |
| Prédécesseur | Michèle Alliot-Marie |
| Successeur | Alain Juppé |
| Président dugroupe UDF de l'Assemblée nationale | |
| – (4 ans, 10 mois et 29 jours) | |
| Législature | XIIe(Cinquième République) |
| Prédécesseur | Philippe Douste-Blazy |
| Successeur | Disparition du groupe |
| Député français | |
| – (5 ans, 7 mois et 6 jours) | |
| Réélection | 17 juin 2012 |
| Circonscription | 3e de l'Eure |
| Législature | XIVe(Cinquième République) |
| Groupe politique | NC (2010-2012) UDI (2012-2016) |
| Prédécesseur | Marc Vampa |
| Successeur | Marie Tamarelle-Verhaeghe |
| – (8 ans, 7 mois et 19 jours) | |
| Élection | 29 novembre 1998 |
| Réélection | 16 juin 2002 10 juin 2007 |
| Circonscription | 3e de l'Eure |
| Législature | XIe,XIIe etXIIIe(Cinquième République) |
| Groupe politique | UDF (1998-2007) NC (2007) |
| Prédécesseur | Ladislas Poniatowski |
| Successeur | Marc Vampa |
| Maire d'Épaignes | |
| – (20 ans, 6 mois et 16 jours) | |
| Prédécesseur | Pierre Duboc |
| Successeur | Marie-Paule Leblanc |
| Conseiller général de l'Eure | |
| – (3 ans et 29 jours) | |
| Circonscription | Canton de Cormeilles |
| Prédécesseur | Myrtil Viquesnel |
| Successeur | Claude Hamon |
| – (11 ans, 11 mois et 28 jours) | |
| Circonscription | Canton de Cormeilles |
| Prédécesseur | François Thiron |
| Successeur | Myrtil Viquesnel |
| Biographie | |
| Nom de naissance | Hervé Jacques Louis Morin |
| Date de naissance | (64 ans) |
| Lieu de naissance | Pont-Audemer (France) |
| Nationalité | Française |
| Parti politique | PR(1989-1997) UDF(1989-2007) UDI(2012-2017) NC/LC(depuis 2007) |
| Diplômé de | Université de Caen IEP de Paris Université Panthéon-Assas |
| Profession | Administrateur des services de l'Assemblée nationale |
| Président du Conseil régional de Normandie | |
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Hervé Morin, né le àPont-Audemer (Eure), est unhomme politiquefrançais.
Député pour la3e circonscription de l'Eure de 1998 à 2007, il estministre de la Défense des deux premiers gouvernementsFrançois Fillon (2007-2010). Président du partiNouveau Centre puisLes Centristes, il est président duconseil régional de Normandie depuis 2016.
Son père,gaulliste[1], dirige une entreprise demaçonnerie enNormandie. Ses grands-pères sont tous deuxagriculteurs etmaires à tendancemendésiste[1].
Après avoir redoublé sa seconde et sa première, et avoir été renvoyé de l'internat du lycée public deDeauville, puis d'un lycée privé deCaen à deux mois dubaccalauréat[1], il abandonne son désir de reprendre la ferme familiale auquel s'oppose son père, et se lance dans des études supérieures à l'université de Caen[2].
Hervé Morin est diplômé de l'IEP de Paris (promotion 1986, section Service Public)[3], et obtient unemaîtrise dedroit public àAssas[4].
Il devientadministrateur des services de l'Assemblée nationale (1987-1993 et1998). Hervé Morin estchargé de cours àParis Descartes de1989 à1995.
En parallèle de son mandat de député dont il a démissionné[5], il est avocat, mais n'ayant pas le temps d'exercer, s'est fait radier du Barreau[6].
Conseiller municipal d'Épaignes en1989, il est élu auconseil général de l'Eure en1992 pour lecanton de Cormeilles.
Il devientmaire d'Épaignes en 1995. Délégué auSivom deCormeilles, il préside à partir de 1995 lacommunauté de communes du canton de Cormeilles. En 2017, il est élu président de laCommunauté de communes Lieuvin Pays d'Auge, née de la fusion des intercommunalités de Cormeilles,Thiberville etVièvre-Lieuvin[7].
Élu auSénat,Ladislas Poniatowski choisit Hervé Morin en1998 pour lui succéder comme député dans la3e circonscription de l'Eure[8]. Il est élu, et prend la présidence du groupeUnion pour la démocratie française (UDF) à l'Assemblée nationale de 2002 à 2007[8].
Militant de laréunification de la Normandie, il est président de l'Association pour la réunification de laHaute-Normandie et de laBasse-Normandie de 1999 à 2007, et est à l'origine duserment d'Épaignes prêté le. Il réaffirme régulièrement son attachement à cette question[9].
Concerné par la nouvelle réglementation sur le cumul des mandats, il démissionne de son mandat de maire lorsqu’il est élu président de laRégion Normandie, en 2016. Il reste néanmoins conseiller municipal[10].
En parallèle, il devient en1993 conseiller technique chargé des relations avec le Parlement, des affaires domaniales et des questions d'environnement, au cabinet deFrançois Léotard,ministre d'État etministre de la Défense.
Chargé de mission auprès de François Léotard, député duVar et président de l'UDF entre1995 et1997, Hervé Morin devient secrétaire national puis vice-président exécutif de ce parti de1999 à2007. Délégué général de l'UDF, chargé du projet en2000, il est porte-parole de la campagneprésidentielle deFrançois Bayrou en2002[2].
Lieutenant deFrançois Bayrou, il s'implique fortement dans la campagne électorale du candidat centriste pour laprésidentielle en2007. Pourtant, à l'issue du premier tour, il s'oppose à la stratégie de troisième voie du président de l'UDF et appelle à voter pourNicolas Sarkozy[8], entrainant avec lui les trois quarts des députés centristes[2].
En, pour lesélections législatives, Hervé Morin présente sous les couleurs du Parti social libéral européen des membres de sa famille ainsi que ses employés, ce qui suscite une polémique[11],[12]. Pour Hervé Morin :« Tous les partis agissent de la même façon, il ne faut pas être naïf ni hypocrite. Il n'y a aucune combine. Il faut bien savoir que ce sont les législatives qui permettent aux partis politiques de subsister puisque l'État alloue 50 000 € par député et par an à chaque parti. Et chaque suffrage rapporte 1,63 € par candidat »… à la condition de présenter au moins 50 candidats. Parmi ses proches ainsi présentés figurent : son épouse, Catherine Broussot-Morin, avocate, dans la3e circonscription desHautes-Pyrénées, son neveu Julien Morin dans la4e circonscription de laSeine-Maritime, son frère Philippe Morin dans la11e circonscription duPas-de-Calais, Micheline Morin comme suppléante dans la2e circonscription de l'Ariège, son attaché de presse, ses secrétaires, sa collaboratrice chargée d'Internet ainsi que son chauffeur.
Seuls 43 candidats du PSLE ont dépassé la barre des 1 %, insuffisant pour obtenir le financement public du parti. Hervé Morin décide de s'affilier à un parti de Polynésie, leFetia Api, bénéficiant d'une législation propre aux partis ultra-marins, un chèque-emploi permettant de toucher 45 000 € annuels pour chaque élu député. Avec 23 parlementaires affiliés, plus de 900 000 € seront perçus[13].
Le, la création du parti, ainsi que son nom d'usage « Le Nouveau Centre », ont été officiellement rendus publics à l'occasion d'uneconférence de presse et d'une tribune parue dansLe Monde du. Du Parti social libéral européen reste la raison sociale mais le parti n'y fait plus référence.
Il contribue ainsi à la fondation d'un nouveau parti de centre-droit, le Nouveau Centre, dont il est élu président avec 87 % des voix, le, lors de son congrès fondateur à Nîmes[14]. Il constitue ainsi le pôle centriste de la majorité présidentielle face auMoDem deFrançois Bayrou[2].
Le, Hervé Morin présente, lors d'une conférence de presse, la Déclaration des droits fondamentaux numériques à laFondation pour l'innovation politique.
Lors du deuxième congrès du Nouveau Centre, qui se déroule les12 et àTours, il est réélu président du parti à 93,40 % des suffrages, face à Tayeb Touazi[15]. Les commentateurs politiques le présentent alors comme possible candidat à l'élection présidentielle de 2012. Le, lors du congrès de Valence, il est confirmé dans sa présidence du Nouveau Centre, avec 94,18 % des suffrages.
En 2012, sous l'impulsion deJean-Louis Borloo, le Nouveau Centre et Hervé Morin intègrent le parti unificateurUDI.

Le, il est nomméministre de la Défense dans legouvernement Fillon. Dans lescâbles révélés par Wikileaks, les diplomates américains de l'ambassade à Paris se félicitent de sa nomination au ministère de la Défense :« Proche de l'ambassade, amical et direct, il assume son affection pour les États-Unis et est parmi les plusatlantistes des députés »[16]. Réélu député de l'Eure au premier tour le avec 50,05 % des voix, il démissionne aussitôt, étant reconduit le dans legouvernement Fillon II.
Son installation à l'hôtel de Brienne est difficile,Libération indiquant que« son manque de tenue, son ton gouailleur, son apparente désinvolture insupportent » les militaires plus habitués au style strict de sa prédécesseure,Michèle Alliot-Marie[8].
En, il lance le projet de groupement des trois états-majors dans un seul lieu,Balard[17]. Celui-ci est inauguré en parFrançois Hollande.
À la suite de la publication duLivre blanc sur la défense et la sécurité nationale 2008, des officiers généraux et supérieurs des armées de terre, mer et air, via le « collectif Surcouf », publient dansLe Figaro du une tribune critique envers les options retenues, annonciatrices d'après eux d'un « déclassement militaire »[18],[19].
Il engage un plan de réduction des effectifs de 50 000 postes. Il fait fermer les centres chargés de calculer les soldes et engage l'adoption du logiciel de gestion des paies Louvois en dépit « des risques de rupture de continuité de la fonction solde »[20]. Hervé Morin et son successeur,Gérard Longuet, se renvoient la responsabilité de la décision[20].
Il fait voter la loi du, dite « loi Morin », sur la reconnaissance des victimes des essais nucléaires français enPolynésie française et auSahara algérien. Elle reconnaît de façon historique et officielle les dommages sanitaires causés par les expérimentations nucléaires. Cependant le premier décret d'application se révèle rapidement trop restrictif et le président de la République prend l'engagement début 2011 de publier un nouveau décret élargissant les zones géographiques et la liste des maladies éligibles. Il joue également un rôle, avec son homologue britanniqueLiam Fox, dans la négociation destraités de Londres le parNicolas Sarkozy et le Premier ministre duRoyaume-UniDavid Cameron afin de renforcer la coopération franco-britannique dans le domaine de la défense.
Aux côtés de Nicolas Sarkozy, il défend en 2009 le retour de la France dans le commandement intégré de l'Otan. Il déclare à ce sujet :« Nous sommes le quatrième contributeur financier de l'Alliance et le quatrième contributeur en forces. Des généraux français ont commandé des opérations Otan, en Afghanistan en 2005 et au Kosovo en 2007. La vérité, c'est que, jusqu'à présent, nous étions des acteurs, importants certes, mais nous n'écrivions pas le scénario parce que nous n'avions pas de responsabilités au sein des structures de l'Otan. Le retour, dans le commandement, permettra de peser sur les grandes décisions stratégiques de l'Otan »[21].

Le, il annonce officiellement sa volonté d'être candidat à l'élection présidentielle de 2012[22]. Alors qu'il est crédité de moins de 1 % des intentions de vote en, plusieurs cadres de son parti ne lui apportent pas leur soutien[23]. Le, il annonce qu'il retire sa candidature et soutiendraNicolas Sarkozy[24].
Fin, il se déclare candidat à la présidence de l'UDI, à la suite de la démission deJean-Louis Borloo[25]. Il se qualifie pour le second tour mais est battu, à son issue, parJean-Christophe Lagarde.
Début, il prend position contre certaines dispositions duprojet de loi relatif au renseignement, dont il juge« le champ d'application beaucoup trop large » car il« couvre la totalité de la vie de la collectivité nationale »[26],[27].
Il soutientBruno Le Maire pour le premier tour de laprimaire présidentielle des Républicains de 2016[28] puisFrançois Fillon pour le second[29].
La semaine suivante, il annonce quitter l'UDI, prévoyant la convocation prochaine d'un congrès pour constituer une nouvelle formation politique de centre droit[30]. Il renomme son parti (composante de l'UDI), le Nouveau Centre enLes Centristes, et pose des conditions quant à son maintien dans l'UDI[31]. Fin 2017, la formation politique quitte l’UDI[32]. Pour lecongrès des Républicains de 2017, la presse rapporte qu’il a soutenuLaurent Wauquiez[33]. Aux élections européennes de 2019, son mouvement politique fait alliance avecLes Républicains[34].
Le, il est élu président desRégions de France[35]. À sa tête, il milite notamment pour donner plus de compétences aux Régions et plus globalement aux collectivités locales. Pour ce faire, avecDominique Bussereau, Président de l'Association des départements de France etFrançois Baroin, Président de l'Association des Maires de France, il porte la création de la plateforme Territoires Unis[36].Renaud Muselier lui succède à la tête des Régions de France le 6 novembre 2019[37].
Hervé Morin est partisan de la grande Normandie comme union de la Basse et de la Haute-Normandie. Il s'abstient cependant lors du vote du projet de loi sur la réduction du nombre de régions métropolitaines, qui prévoit notamment la fusion des deux régions normandes tandis que six des sept députés normands votant contre la fusion des régions appartiennent au groupe UMP[38],[39]. Il aurait souhaité que Caen devienne capitale régionale[40] avec une répartition des pouvoirs entreCaen,Rouen etLe Havre. Le gouvernement ayant choisi la métropole rouennaise comme chef-lieu de région[41], il souhaite alors que Caen devienne le siège du conseil régional[42].
Il se présente comme tête de liste auxélections régionales de 2015 dans cette même région. La liste d'union de la droite qu'il conduit l'emporte de justesse au second tour, avec 36,4 % des voix, face à la liste de gauche (36,1 %) et la liste FN (27,5 %)[43]. Il est élu président du tout nouveau conseil régional de Normandie le[44].
S'étant engagé lors de la campagne des élections régionales à démissionner de l'Assemblée nationale s'il était vainqueur, il se maintient néanmoins à son poste jusqu'en pour bénéficier de l'article LO178 du code électoral[45] et ainsi éviter une législative partielle pouvant faire entrer un opposant politique à l'Assemblée[46].
Le, Hervé Morin est nommé membre du conseil d’administration de laBanque publique d'investissement en remplacement deJean-Paul Huchon[47].
Au premier tour desélections régionales de 2021 en Normandie, les listes conduites par Hervé Morin arrivent en tête avec 36,9 % des suffrages exprimés. Au second tour, elles l’emportent avec 44,3 %, devant les listes socialistes de Mélanie Boulanger (26,2 %), celles du RN deNicolas Bay (19,5 %) et de la majorité présidentielle menées par Laurent Bonnaterre (10,0 %)[48].
Il a quatre enfants, deux filles et deux garçons[49],[50]. Passionné dechevaux, il élève despur-sang dans sonharas de l'Eure[51]. En 2014, il a publiéLettre à Alma, écrit lorsque sa compagne était enceinte de son quatrième enfant.
En 2022, une enquête pourprise illégale d’intérêts est ouverte concernant les raisons pour lesquelles des membres de la famille d'Hervé Morin bénéficient depuis vingt ans des loyers élevés versés par ce centre d’accueil pour adultes handicapés le foyer du Grand Lieu, fonctionnant sur financements publics[52],[53].
En décembre 2023, un rapport de la Chambre régionale des comptes (CRC) note que la région rembourse au président ses « frais de représentation », composés « quasi exclusivement de frais de repas », pour un montant total de « 6 000 euros par an ». Le contrôle de la CRC ne met pas en évidence des dépense « manifestement dépourvue de tout lien avec l'intérêt régional », mais elle « confirme le caractère illégal et peu transparent de ces dépenses, auxquelles il convient de mettre un terme ». Hervé Morin annonce le 18 décembre « mettre fin au remboursement de ses frais de représentation »[54]. La totalité des frais de représentation s’élèvent à plus de 81 000 euros[55].
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Présidents duconseil régional de Normandie | |
|---|---|
| Conseil régional de Basse-Normandie (1974-2015) |
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| Conseil régional de Haute-Normandie (1974-2015) |
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| Conseil régional de Normandie (depuis 2016) |
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| Immigration, Intégration, Identité nationale et Codéveloppement | Brice Hortefeux | ||||||||
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| Agriculture et Pêche | Michel Barnier | ||||||||
| Travail, Relations sociales etSolidarité |
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| Défense |
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| Logement etVille |
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| Culture et Communication | Christine Albanel | ||||||||
| Budget, Comptes publics etFonction publique |
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| Secrétaires d'État et haut-commissaire auprès duPremier ministre |
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| Sous laprésidence deNicolas Sarkozy | ||||||||||||
| Écologie, Énergie, Développement durable etAménagement du territoire |
| François Fillon Premier ministre | ||||||||||
| Intérieur,Outre-mer etCollectivités territoriales |
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| Affaires étrangères eteuropéennes |
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| Économie,Industrie etEmploi |
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| Immigration, Intégration, Identité nationale et Développement solidaire | Brice HortefeuxpuisÉric Besson (4) | |||||||||||
| Justice,garde des sceaux | Rachida Dati | |||||||||||
| Agriculture et Pêche | Michel Barnier | |||||||||||
| Travail, Relations sociales,Famille etSolidarité puisTravail, Relations sociales,Famille,Solidarité etVille (4) |
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| Éducation nationale | Xavier Darcos | |||||||||||
| Enseignement supérieur etRecherche | Valérie Pécresse | |||||||||||
| Défense |
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| Santé,Jeunesse, Sports et Vie associative puisSanté etSports (3) |
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| Logement etVille puisLogement (4) |
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| Culture et Communication | Christine Albanel | |||||||||||
| Budget, Comptes publics etFonction publique |
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| Ministre,secrétaires d'État et haut-commissaire auprès duPremier ministre |
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| Sous laprésidence deNicolas Sarkozy | ||||||||||||
| Écologie, Énergie, Développement durable etMer, en charge des Technologies vertes et des Négociations sur le climat |
| François Fillon Premier ministre | ||||||||||
| Justice et Libertés,garde des sceaux |
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| Affaires étrangères eteuropéennes |
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| Intérieur,Outre-mer etCollectivités territoriales |
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| Travail, Relations sociales,Famille,Solidarité etVille puisTravail,Solidarité etFonction publique (2) |
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| Économie,Industrie etEmploi |
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| Budget, Comptes publics,Fonction publique etRéforme de l'ÉtatpuisBudget, Comptes publics etRéforme de l'État (2) | Éric WoerthpuisFrançois Baroin (2) | |||||||||||
| Éducation nationale | Luc Chatel,porte-parole du Gouvernement | |||||||||||
| Alimentation, Agriculture et Pêche | Bruno Le Maire | |||||||||||
| Culture et Communication | Frédéric Mitterrand | |||||||||||
| Espace rural etAménagement du territoire | Michel Mercier | |||||||||||
| Enseignement supérieur etRecherche | Valérie Pécresse | |||||||||||
| Défense |
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| Santé etSports |
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| Immigration, Intégration, Identité nationale et Développement solidaire | Éric Besson | |||||||||||
| Jeunesse et Solidarités actives (2) | Marc-Philippe Daubresse | |||||||||||
| Ministre,secrétaires d'État et haut-commissaire auprès duPremier ministre |
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Ministres français de la Défense(depuis 1871) | |
|---|---|
| Ministère de la Défense | |
| IIIe République (1871 -1940) |
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| Gouvernement provisoire (1944 -1946) | |
| IVe République (1946 -1958) |
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| Ve République (depuis1958) |
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| Présidents duMRP (1944-1967) |
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|---|---|
| Président duCentre démocrate (1966-1976) | |
| Présidents duCDS (1976-1995) Composante de l'UDF à partir de1978 | |
| Président deForce démocrate (1995-1998) Composante de l'UDF | |
| Présidents de l'UDF (1978-2007) | |
| Président duNouveau Centre puis deLes Centristes (2007-) Composante de l'UDI de2012 à2017 |
|
| Président duMoDem (2007-) |
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| Président d'Avenir démocrate (2008-2010) a rejointLes Centristes |
|
| Président de l'Alliance centriste (2009-) Composante de l'UDI de2012 à2017 |
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| Président de laFED (2012-) Composante de l'UDI à partir de2012 |
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| Président de l'UDI (2012-) | |
| Présidents |
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|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Autres dirigeants (vice-présidents, délégués nationaux, secrétaires généraux, porte-paroles) | |||||||||||
| Partis membres (président, nombre de parlementaires) | |||||||||||
| Anciens partis membres |
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| Groupes parlementaires |
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| Autres structures |
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