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Henri V (roi d'Angleterre)

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Henri V
Illustration.
Henri V (artiste anonyme, finXVIe-débutXVIIe siècle,National Portrait Gallery,Londres).
Titre
Roi d'Angleterre et seigneur d'Irlande

(9 ans, 5 mois et 11 jours)
Couronnement en l'abbaye de Westminster
PrédécesseurHenri IV
SuccesseurHenri VI
Duc d'Aquitaine

(22 ans, 10 mois et 16 jours)
PrédécesseurHenri IV
SuccesseurHenri VI
Prince de Galles

(13 ans, 5 mois et 5 jours)
PrédécesseurRichard de Bordeaux
SuccesseurÉdouard de Westminster
Duc de Lancastre

(13 ans, 4 mois et 10 jours)
PrédécesseurHenri IV
SuccesseurRetour à la couronne
Régent de France selon leTraité de Troyes

(2 ans, 3 mois et 10 jours)
MonarqueCharles VI
PrédécesseurIsabeau de Bavière
SuccesseurJean de Lancastre
Biographie
DynastieMaison de Lancastre
Date de naissance
Lieu de naissanceMonmouth (Pays de Galles)
Date de décès (à 35 ans)
Lieu de décèsChâteau de Vincennes (France)
PèreHenri IV
MèreMarie de Bohun
ConjointCatherine de France
EnfantsHenri VI
HéritierThomas de Lancastre
(1413-1421)
Jean de Lancastre
(1421)
Henri de Windsor
(1421-1422)

Signature de Henri V

Image illustrative de l’article Henri V (roi d'Angleterre)
Monarques d'Angleterre
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Henri V, né le[1] àMonmouth (principauté de Galles) et mort le auchâteau de Vincennes (France),duc de Cornouailles et deLancastre, estroi d'Angleterre de 1413 à 1422. Il est le deuxième monarque issu de lamaison de Lancastre, qui a succédé auxPlantagenêt.

Il se distingue au cours de plusieurs campagnes militaires : contre lesGallois durant la révolte d'Owain Glyndŵr, puis contre lafamille de Percy au cours de labataille de Shrewsbury. Henri entre rapidement en conflit avec son père,Henri IV, dont la santé se dégrade fortement à partir de 1405.

À la mort de son père en 1413, Henri prend les rênes du pays, et relance les combats contre lesFrançais lors de laguerre de Cent Ans (qui oppose les deux pays entre 1337 et 1453). Ses succès militaires, qui culminent lors de labataille d'Azincourt le, lui permettent de se rapprocher d'une conquête de la France. Après plusieurs mois de négociations avecCharles VI, très fragile psychologiquement et régulièrement frappé de folie, letraité de Troyes, signé en 1420, reconnaît Henri commerégent ethéritier du trône de France. Son mariage avec la fille de Charles VI,Catherine de France, a lieu peu après, et est suivi de la naissance du futur roiHenri VI.

Deux ans plus tard, après la mort inattendue et soudaine d'Henri V, son fils, Henri VI, alors âgé de neuf mois, devientroi de France et d'Angleterre, selon le principe de l'union des deux couronnes édicté par letraité de Troyes[2].

Biographie

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Jeunesse

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Lors de l'exil de son père,Henri Bolingbroke, en 1398,Richard II le prend à sa charge et le traite avec bienveillance. L'année suivante, la révoltelancastrienne, qui voit son père couronné roi d'Angleterre sous le nom d'Henri IV, force prématurément le jeune Henri à prendre des responsabilités en tant qu'héritier du trône.

À partir d', l'administration dupays de Galles est conduite en son nom ; moins de trois ans plus tard, Henri est de fait aux commandes des forces anglaises et combat contreHarry Hotspur lors de labataille de Shrewsbury. C'est là, en 1403, que le prince âgé de16 ans est presque tué par une flèche reçue en plein visage. Un soldat ordinaire aurait été laissé pour mort avec une telle blessure, mais Henri peut bénéficier des meilleurs soins possibles et, pendant les jours qui suivent l'accident, le médecin royal conçoit un outil spécial pour extraire la pointe de la flèche sans causer de dommages supplémentaires. L'opération est couronnée de succès, laissant probablement au prince une cicatrice permanente rappelant son expérience de la bataille.

Rôle au gouvernement et son conflit avec Henri IV

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La révolte galloise menée parOwain Glyndŵr occupe Henri jusqu'en 1408. Par suite, à cause de la mauvaise santé du roi, Henri commence à jouer un rôle politique plus important qui va s’avérer de plus en plus déterminant avec le temps. À partir de, aidé par ses onclesHenri etThomas Beaufort — fils légitimés deJean de Gand — il dirige de fait le pays.

Au mois de il assiste à la crémation deJohn Badby[3].

Ses opinions en politique étrangère et locale diffèrent de celles du roi, qui le renvoie du conseil en. La querelle entre le père et le fils est uniquement d'ordre politique, bien qu'il soit probable que les Beaufort aient argumenté pour l'abdication d'Henri IV, tandis que leurs adversaires se sont certainement efforcés à diffamer le prince. Il se peut que ce soit à cette inimitié politique que la tradition d'une jeunesse agitée soit due, et par la suite immortalisée parShakespeare ; mais le récit des actions militaires et politiques d'Henri, même dans sa jeunesse, réfutent cette tradition. L'incident le plus connu, sa dispute avec lechief justice (« grand juge »), n'est pas rapporté par ses contemporains, et uniquement conté parSirThomas Elyot, en 1531.

L'histoire deFalstaff tient ses origines partiellement de l'amitié de Henri enversSir John Oldcastle. Cette amitié, et l'opposition politique du prince enversThomas Arundel,archevêque de Cantorbéry, encourage peut-être les espoirs desLollards. Si c'est le cas, leur déception peut avoir causé les déclarations des écrivains ecclésiastiques commeThomas Walsingham disant que, devenant roi, Henri est soudainement devenu un autre homme.

Roi d'Angleterre

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Accession au trône

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Henri succède à sonpère le[4]. Sans passé embarrassant, ni dangereux rivaux, il peut mettre en œuvre son expérience. Il doit s'occuper de trois problèmes :

  • la restauration de la paix dans le royaume ;
  • l'apaisement du schisme dans l'Église d'Angleterre ;
  • le rétablissement du prestige de l'Angleterre enEurope.

Henri s'attaque simultanément aux trois fronts, et construit graduellement, à partir de ces trois objectifs, une politique plus générale. Il fait immédiatement comprendre qu'il dirigera l'Angleterre comme une nation unie, et que les différends du passé doivent être oubliés. Le roiRichard II d'Angleterre est enterré avec les honneurs dus à son rang ; le jeuneMortimer devientfavori ; les héritiers des nobles qui ont pâti du règne précédent récupèrent graduellement leurs titres et propriétés.

Henri utilise son influence personnelle en vain face àJohn Oldcastle, mais le plus grave danger au plan intérieur reste le mécontentement desLollards. La fermeté du roi écrase le mouvement dans l'œuf () et conforte sa place sur le trône : avec38 pendaisons pour trahison, et7 crémations supplémentaires pour hérésie, il se sert ainsi de l'Église pour établir sa réputation brutale vis-à-vis de ses adversaires[3].

Le reste de son règne est exempt d'ennuis sérieux sur le plan intérieur, sauf en, où échoue uncomplot en faveur deMortimer, qui impliqueHenry Scrope etRichard de Conisburgh,comte de Cambridge (grand-père du roiÉdouard IV).

Politique étrangère

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Ratification du Traité de Troyes,Archives nationales.

Henri peut alors s'intéresser aux affaires étrangères. Un écrivain de la génération suivante est le premier à prétendre que Henri fut encouragé par des religieux à entrer en guerre contre la France, afin de détourner l'attention des conflits intérieurs. Mais cette théorie semble sans fondement. La restauration de la paix intérieure est la principale préoccupation du roi et, tant qu'elle n'est pas assurée, il ne peut pas entreprendre d'opérations de grande envergure à l'étranger. De plus, cette guerre ne vise pas simplement à conquérir de nouveaux territoires. D'anciennes disputes commerciales et le soutien apporté par les Français àOwain Glyndŵr en 1403-1404 sont utilisés comme prétextes pour cette guerre et l'état désordonné de la France n'offre pas de perspectives de paix. Henri peut considérer la revendication de ses droits au trône de France comme faisant partie de son devoir royal, mais dans tous les cas, un règlement permanent des querelles nationales est essentiel au succès de sa politique étrangère.

Bataille d'Azincourt, miniature tirée de l’Abrégé de la Chronique d'Enguerrand de Monstrelet,XVe siècle, Paris,BnF, département des Manuscrits.

Le il débarque avec son armée àChef-de-Caux, et en quatre ans il va conquérir l'intégralité de laNormandie[5].

La campagne de 1415, avec sa brillante conclusion à labataille d'Azincourt (), est une première étape. Il y ordonne l'exécution de nombreux prisonniers. Certains sont rassemblés dans des granges et brûlés vifs, et d'autres égorgés ou ont la tête écrasée à coups de masses. Des centaines de morts ne peuvent être identifiés, leurs visages ayant été lacérés à coups de dague, indique l'historien Christophe Gilliot[6].

Deux ans de patiente préparation suivent. La domination maritime est assurée en chassant lesGénois, alliés des Français, de laManche. La réussite diplomatique éloigne l'empereurSigismond de la France, et letraité de Canterbury ouvre la voie pour la fin duschisme de l'Église. Ainsi en 1417 la guerre est relancée à une échelle plus large. LaBasse-Normandie est rapidement conquise etRouen, coupée de Paris, est assiégée. Néanmoins son grand chambellan Henri Philizen à du mal à prendreDomfront en novembre 1417, et il doit envoyerWarwick avec des renforts. Celui-ci n'arrive pas à prendre la forteresse basse-normande jusqu'en juillet 1418[7]. Pourtant, les Français sont paralysés par desconflits entre les Bourguignons et les Armagnacs. Henri joue habilement de ces dissensions pour les monter les uns contre les autres, sans relâcher son effort de guerre. En, Rouen tombe à l'issue d'une famine orchestrée par les troupes d'Henri V. Au cours de l'hiver, les assiégés sont amenés à expulser les « bouches inutiles » (vieillards, femmes enceintes, infirmes, enfants) mais l'armée anglaise leur interdit le passage, les laissant agoniser et mourir de froid dans les fossés, au pied des fortifications. Jusqu'à la chute de la ville, 35 000 personnes meurent, en raison de ces très dures conditions de siège[6]. Un exode de plus de 100 000 Normands vers la Bretagne s'ensuit[7].

Le roi Henri V installe alors son gouvernement auchâteau de Rouen[8]. En, les Anglais sont aux portes deParis. Les intrigues au sein de la cour de France culminent avec l'assassinat de Jean de Bourgogne par les partisans dudauphin àMontereau-Fault-Yonne ().Philippe, lenouveau duc, et la cour française les jettent eux-mêmes aux mains de Henri. Toujours en 1419, àHardricourt, a lieu une entrevue entre les émissaires français et le roi Henri V d'Angleterre qui demandait la main deCatherine, fille du roi de FranceCharles VI, avec en dot l'Aquitaine et laNormandie, vieil héritage ancestral (parAliénor d'Aquitaine etGuillaume le Conquérant), confisqué petit à petit par la monarchie capétienne.

Après six mois de négociations, Henri est reconnu par letraité de Troyes comme héritier etrégent de France, et, le, se marie avecCatherine de Valois, fille deCharles VI, roi de France, et d'Isabeau de Bavière[note 1]

Politique intérieure

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S'il joue la carte de l'apaisement avec les rebelles gallois et les opposants à son père Henri IV, qui avait pris le pouvoir par un coup d'État contre son cousin Richard II, il réprime en revanche férocement lesLollards, mouvement de contestation religieuse et sociale, conduit par son ancien amiJohn Oldcastle, condamné au bûcher en 1417[6].

Fin de règne

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Henri V est alors à l'apogée de son pouvoir. Son succès en France semble certain. Il partage avec l'empereurSigismond l'honneur d'avoir mis fin augrand schisme en obtenant l'élection du papeMartin V. Tous les États d'Europe occidentale sont sous son influence diplomatique.

La place de dirigeant de lachrétienté est maintenant à sa portée, et le projet d'une nouvelle croisade prend forme. Il envoie effectivement un émissaire pour collecter des informations à l'est ; mais ses plans sont anéantis par sa mort. Une visite en Angleterre en 1421 est interrompue par la défaite et la mort de son frère, leduc de Clarence, à labataille de Baugé contre une armée franco-écossaise dudauphin Charles. Lesiège de Dreux en puis les rigueurs dusiège hivernal de Meaux détériorent sa santé, et il meurt dedysenterie àVincennes le, deux mois avant son beau-pèreCharles VI, manquant ainsi la possibilité d'être couronné roi de France.

Les derniers mots de Henri expriment peut-être le regret de n'avoir pas vécu assez longtemps pour reconstruire les murs deJérusalem. Cet idéal est inspiré de celui duroi Arthur, un modèle de lachevalerie alors sur son déclin. Pourtant, l'esprit politique d’Henri est plutôt en avance sur son temps :

  • gouvernement central puissant supporté par leParlement ;
  • réforme de l'Église dans un esprit conservateur ;
  • développement commercial ;
  • maintien du prestige national.

Ses objectifs anticipent à certains égards ceux de sonsuccesseur Tudor, mais il les aurait accomplis d'une façonmédiévale, comme un souverain soumis à la constitution. Son succès est dû au pouvoir de sa personnalité. Il peut entraîner les lieutenants derrière lui, mais, à sa mort, personne n'est disponible pour prendre sa place de chef. La guerre, la diplomatie et l'administration civile dépendent toutes de son autorité.

L'historien britannique Richard Vaughan décrit Henri V comme « l'un des produits les plus agressifs et les plus sournois d'une époque de violence et de duplicité »[6].

Obsèques

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Henri est enterré à l'abbaye de Westminster le. Sa tombe est recouverte d'ornements durant laRéforme. Le bouclier, le casque et la selle, qui forment une partie de l'équipement funéraire initial, pendent toujours au-dessus de sa tombe.

Son jeune filsHenri VI lui succède. Son frèreJean de Lancastre, duc de Bedford, prend en charge la régence et l'éducation du jeune roi.

Ascendance

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Ascendance d'Henri V d'Angleterre
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
32.Édouard Ier d'Angleterre
 
 
 
 
 
 
 
16.Édouard II d'Angleterre
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
33.Éléonore de Castille
 
 
 
 
 
 
 
8.Édouard III d'Angleterre
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
34.Philippe IV de France
 
 
 
 
 
 
 
17.Isabelle de France
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
35.Jeanne Ire de Navarre
 
 
 
 
 
 
 
4.Jean de Gand
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
36.Jean Ier de Hainaut
 
 
 
 
 
 
 
18.Guillaume Ier de Hainaut
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
37.Philippa de Luxembourg
 
 
 
 
 
 
 
9.Philippa de Hainaut
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
38.Charles de Valois
 
 
 
 
 
 
 
19.Jeanne de Valois
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
39.Marguerite d'Anjou
 
 
 
 
 
 
 
2.Henri IV d'Angleterre
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
40.Edmond de Lancastre
 
 
 
 
 
 
 
20.Henri de Lancastre
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
41.Blanche d'Artois
 
 
 
 
 
 
 
10.Henri de Grosmont
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
42.Patrick de Chaworth
 
 
 
 
 
 
 
21.Maud Chaworth
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
43.Isabelle de Beauchamp
 
 
 
 
 
 
 
5.Blanche de Lancastre
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
44.Louis de Brienne
 
 
 
 
 
 
 
22.Henri de Beaumont
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
45.Agnès de Beaumont-au-Maine
 
 
 
 
 
 
 
11.Isabelle de Beaumont
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
46.Alexander Comyn
 
 
 
 
 
 
 
23.Alice Comyn
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
47. Joan Latimer
 
 
 
 
 
 
 
1. Henri V d'Angleterre
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
48.Humphrey de Bohun
 
 
 
 
 
 
 
24.Humphrey de Bohun
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
49. Maud de Fiennes
 
 
 
 
 
 
 
12.Guillaume de Bohun
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
50=32.Édouard Ier d'Angleterre
 
 
 
 
 
 
 
25.Élisabeth d'Angleterre
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
51=33.Éléonore de Castille
 
 
 
 
 
 
 
6.Humphrey de Bohun
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
52.Gunselm de Badlesmere
 
 
 
 
 
 
 
26.Bartholomew de Badlesmere
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
53. Joan FitzBernard
 
 
 
 
 
 
 
13.Elizabeth de Badlesmere
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
54.Thomas de Clare
 
 
 
 
 
 
 
27.Marguerite de Clare
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
55.Juliana FitzGerald
 
 
 
 
 
 
 
3.Marie de Bohun
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
56.Richard FitzAlan
 
 
 
 
 
 
 
28.Edmond FitzAlan
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
57.Alice de Saluces
 
 
 
 
 
 
 
14.Richard FitzAlan
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
58.Guillaume de Warenne
 
 
 
 
 
 
 
29.Alice de Warenne
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
59. Jeanne de Vere
 
 
 
 
 
 
 
7.Jeanne FitzAlan
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
60.Edmond de Lancastre
 
 
 
 
 
 
 
30=20.Henri de Lancastre
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
61.Blanche d'Artois
 
 
 
 
 
 
 
15.Éléonore de Lancastre
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
62.Patrick de Chaworth
 
 
 
 
 
 
 
31=21.Maud Chaworth
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
63.Isabelle de Beauchamp
 
 
 
 
 
 
 

Locutions restées célèbres

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On devrait à Henri V l'expression « Guerre sans feu ne valoit rien non plus qu'andouilles sans moutarde[9] ».

Dans les arts et la culture

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Filmographie

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Cinéma

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Des films adaptés ou inspirés de la pièce de Shakespeare :

Télévision

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Théâtre

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  • Shakespeare en fait le personnage principal de la pièceHenri V (The Chronicle History of Henry the Fifth, en français :La Chronique de l’histoire d’Henri V - vers 1599).

Notes et références

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Notes

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  1. Après la mort du roi, Catherine de Valois contracte un mariage secret avec un courtisangallois,Owen Tudor (v. 1400-1461), grand-père du roi d'AngleterreHenri VII.

Références

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  1. Allmand 1992,p. 7.
  2. Lingard, John,A History of England,vol. V, 1854,p. 90.
  3. a etb(en) Heather Lee Martin,Church and state in the early fifteenth century: Henry V'spersecution of the Lollards, University of Northern Iowa,.
  4. Lesanalyses ADN menées à la suite de la découverte du squelette de Richard III en 2012 ont mis en évidence une illégitimité sur la lignée agnatique, mais sans qu'on identifie ladite illégitimité sur les descendants de Jean de Gand, depuis Henri IV à Henri VI d'Angleterre, et donc de la lignée des roisTudor.
  5. Bernard Gourbin (préf. Christian Nisse, introduction Pierre Brunet),Fermes-manoirs du Bessin, Bayeux,Éditions OREP,, 80 p.(ISBN 978-2-8151-0207-0),p. 59.
  6. abc etd« Azincourt : comment le film “Le Roi” (Netflix) piétine allègrement la réalité historique »,France info,‎(lire en ligne).
  7. a etbJean François RenéCaillebotte,Essai sur l'histoire et les antiquités de la ville et arrondissement de Domfront. Troisième édition,(lire en ligne).
  8. D. Léost,Le château de Rouen et son donjon,p. 9.
  9. François Rabelais, Esmangart et Éloi Johanneau,Œuvres de Rabelais, Dalibon, 1823,p. 398[lire en ligne].

Voir aussi

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Sources primaires

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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v ·m
Wessex etJelling
(924-1066)
Normands etBlois
(1066-1154)
Plantagenêt
(1154-1485)
Tudor
(1485-1603)
Stuart
(1603-1707)
En 1707, Anne devient la premièrereine de Grande-Bretagne.
v ·m
Liste des batailles et des sièges de la guerre de Cent Ans
Souverains français
Souverains anglais
Ducs de Bourgogne de la maison de Valois
Chefs militaires
Guerres
Liste des traités de paix de la guerre de Cent Ans
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