Il habite àLausanne pendant laPremière Guerre mondiale. En 1924, il participe au projet du futurmusée de l'Annonciade à Saint-Tropez. Il expose à la galerieBing en 1927. En1938, la galerie Druet ferme, son fils rachète les invendus : Manguin en détruit huit, puis expose dans le monde entier. Il loue un atelier àAvignon en 1942.
Henri Manguin meurt dans sa maison de l'Oustalet àGassin[4] le.
LeSalon[Lequel ?] organise une rétrospective posthume de ses œuvres en 1950.
Manguin a produit deseaux-fortes, despointes sèches et deslithographies. Ses premiers essais gravés remontent auxannées 1900 et représentent sa famille. En juin 1930, il produit une série destinée auNouvel Essor, figurant également ses proches, ainsi que des marines inspirées de Saint-Tropez. Ces pointes sèches et eaux-fortes sont tirées par le neveu dePierre Bonnard. En 1954, Charles Terrasse (1893-1983) préface un nouveau recueil de gravures édité parManuel Bruker, tiré seulement à 200 exemplaires[5].
Pierre Cabanne,Henri Manguin, Neuchâtel, Ides et Calendes, 1964.
R. Cogniat,Henri Manguin, la peinture à l'état pur, galerie des Arts, 1969.
Marie-Caroline Sainsaulieu, sous la direction de Lucile et Claude Manguin,Henri Manguin, catalogue raisonné de l'œuvre peint, Neuchâtel, Ides et Calendes, 1980.
J. L. Ferrier,Les Fauves, le règne de le couleur, 1992.
Philippe Cros,La Provence des peintres, Paris, Flammarion, 2000.
Jean-Paul Monery, Jean-pierre Mauguin,Henri Manguin, L'Annonciade, Musée de Saint-Tropez, au,musée de l'Annonciade, Saint-Tropez, Éditions Snoeck, 2011(ISBN978-94-6161-016-4) Catalogue d'exposition.
Collectif,musée Marmottan,Manguin, catalogue de l'exposition au musée Marmottan, 18 octobre 1988 au 8 janvier 1989, éditions La Bibliothèque des Arts, Paris, 1988, 160 pages.