Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Henri Ardel

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Cet article est uneébauche concernant uneécrivainefrançaise.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations desprojets correspondants.
Henri Ardel
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 74 ans)
ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Berthe-Marie-Victorine-Palmyre AbrahamVoir et modifier les données sur Wikidata
Pseudonyme
Henri ArdelVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activité
Période d'activité
À partir deVoir et modifier les données sur Wikidata
Fratrie
Autres informations
Genre artistique
Distinction

modifier -modifier le code -modifier WikidataDocumentation du modèle

Henri Ardel,pseudonyme deBerthe Abraham, (1863-1938) est uneécrivaine française.

Biographie

[modifier |modifier le code]

Berthe Abraham, née àAmiens le, fille de Lucie Mathilde Pillier et d’Alphonse Abraham, habiteEnghien, puis Paris. Elle est enseignante dans un cours de jeunes filles. Elle a fait ses débuts en littérature en envoyant une nouvelle àLéon de Tinseau qui l'encouragea. Elle fait partie de ces nombreuses femmes écrivains ayant pris un pseudonyme masculin[1] et fut une écrivaine catholique, auteur de « romans sentimentaux pour dames » publiés chezPlon, dans lacollection Stella ou dans lacollection Nelson[2].

Ces romans eurent beaucoup de succès : « en 1933Cœur de sceptique en est à sa 100e édition,Le mal d'aimer, à sa 125e,Mon cousin Guy, à sa 181e. Il n'y a guère quePierre Benoit pour égaler de tels chiffres. »[3].

Berthe Abraham, les dix dernières années de sa vie s’occupe d’uneœuvre de charité pour venir en aide aux enfants pauvres et les catéchiser[4].

Elle meurt le[5] et est enterrée au cimetière de Montreuil à Versailles.

Famille

[modifier |modifier le code]

Sa sœur Marie-Louise, née, épousaGeorges Le Cordier. Elle-même écrivain, elle prit après la mort de sa sœur le pseudonyme deColette Henri-Ardel[2].

Distinctions

[modifier |modifier le code]

Œuvres

[modifier |modifier le code]
  • Près du bonheur, New York, W. R. Jenkins, collection « Contes choisis » n° 18, 1893, with English notes by Eugène Rigal[lire en ligne]
  • Cœur de sceptique (1894),Prix Botta
  • L'Été de Guillemette, Plon, 1908[lire en ligne]
  • Colette Bryce au Maroc, Plon, 1937
  • Les Vacances de la famille Bryce, Plon, 1928
  • Le Feu sous la cendre, Nelson, 1928, illustrations deGeorges Dutriac
  • Un conte bleu (1922)
  • L'Appel souverain (1923)
  • La nuit tombe (1928)lire en ligne surGallica
  • Le Feu sous la cendre (1928)
  • Seule, Nelson, 1929, illustrations de Georges Dutriac
  • La petite Moune suivi deLe Masque (nouvelle), A. Fayard et Cie, Collection « Jeunes femmes & jeunes filles » n°17 (1930)
  • Le Mal d'aimer (1933)
  • La Faute d'autrui (1933)
  • L'Absence, Plon, 1933lire en ligne surGallica
  • Ainsi souffla le vent (1934)
  • L'Heure décisive, Plon, 1901[lire en ligne]
  • Mon cousin Guy, Plon, 1896 ; traduction en anglais :Little Arlette or my cousin Guy par Francis Furey, Kilner, 1899[lire en ligne]
  • Renée Orlis
  • Rêve blanc, Plon, collection de La Liseuse n° 102, 1929
  • Le Rêve de Suzy
  • Tout arrive[lire en ligne]
  • L'Autre Miracle
  • Il était une adroite princesselire en ligne surGallica
  • Les Deux Visages de l'amour
  • Le Chemin qui descend (1916)
  • Il faut marier Jean (1925)
  • L'Étreinte du passé (1918)
  • Les Âmes closes
  • Ève et le Serpent, Plon, 1930
  • Au retour
  • L'Aube

Adaptations cinématographiques

[modifier |modifier le code]

Liens externes

[modifier |modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

[modifier |modifier le code]
  1. « Et c'est encore une inutile supercherie que presque toutes, les pauvres ouvrières de la plume, elles prennent un masque d'homme.Henry Gréville, Henri Ardel,Champol,Jean de La Brète,Jean Bertheroy, etc. Auraient-elles honte par hasard ? Mais honte de quoi? De leur sexe ou de leur talent ? C'est bien étrange. », Gabriel Aubray,Le mois littéraire et pittoresque, janvier 1902lire en ligne surGallica
  2. ab etc« Collection Nelson - Henri Ardel », surcollectionnelson.fr viaWikiwix(consulté le).
  3. Roger Régis, « Les livres et la vie »,Les Dimanches de la femme,no 579, 9 avril 1933, p. 12lire en ligne surGallica
  4. 02-02-1938 Le Patriote de l’Ouest :[1]MORT DE LA ROMANCIÈRE HENRI ARDEL PARIS. — La romancière bien connue Henri Ardel, est décédé à l’âge de 75 ans. Elle, était née à Amiens, en 1863.Mme Ardel restera, pour le grand public, comme l’auteur admiré deMon cousin Guy,Seule,Le mal d’aimer,l’Appel souverain,les Âmes closes, etc.En plus de son œuvre littéraire considérable, Mme Ardel avait édifié, pendant les dix dernières années de sa vie, une œuvre plus obscure mais encore plus admirable : celle descatéchismes pour les enfants pauvres des rues Jules-Vallès et Adrien-Lesesne. Pendant plusieurs années, avec la collaboration de jeunes filles, elle groupa, le jeudi après-midi, puis le dimanche matin les petits miséreux pour leur venir en aide matériellement et moralement. C’était un patronage sans local, qui devait émigrer de café en café, faute de gîte, jusqu’au jour ou Ardel réussit à acheter une baraque en pleine zone.Actuellement, l’œuvre entreprise par Henri Ardel est sous la surveillance des Sœurs de St-Vincent-de-Paul et, chaque dimanche, la messe est célébrée dans la modeste chapelle de planches du patronage de la rue Liger.
  5. La Croix, 11 janvier 1938lire en ligne surGallica
  6. « Henri ARDEL », suracademie-francaise.fr(consulté le).
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Henri_Ardel&oldid=229649816 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp