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Heinrich von Kleist

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Pour les articles homonymes, voirKleist.

Heinrich von Kleist
Portrait parAnton Graff vers 1808.
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Nom de naissance
Bernd Heinrich Wilhelm von Kleist
Nationalités
Formation
Activité
Période d'activité
Père
Joachim Friedrich von Kleist(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Juliane Ulrike von Pannwitz(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Parentèle
Margarethe von Brasch(d) (petite-nièce)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Mouvement
Maître
Christian Ernst Martini(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Genre artistique
Lieu de détention
Œuvres principales
signature de Heinrich von Kleist
Signature d'Heinrich von Kleist.
Sépulture d'Heinrich von Kleist.

modifier -modifier le code -modifier WikidataDocumentation du modèle

Heinrich von Kleist[ˈhaɪ̯nʁɪçfɔnˈklaɪ̯st][1], de son nom completBernd Heinrich Wilhelm von Kleist né àFrancfort-sur-l'Oder le et mort àBerlin dans le quartier deWannsee le, est unécrivainprussien, poète, dramaturge et essayiste.

Biographie

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Plaque apposée à l'emplacement de la maison natale de Kleist, àFrancfort-sur-l'Oder. Inscription : « Ici se tenait la maison natale du poète. Détruite pendant la guerre fasciste en 1945 »

Issu d'unefamille noble de militaires, fils de Joachim Friedrich von Kleist et de sa seconde épouse Juliane Ulrikevon Pannwitz, il est confié à un précepteur àFrancfort-sur-l'Oder et étudie avec son cousin, Charles von Pannwitz.

En 1788, alors qu'il n'a que onze ans, son père, capitaine au régiment du princeLéopold de Brunswick-Wolfenbuttel (de) à Francfort, meurt, laissant sa femme et ses enfants dans une situation financière difficile. Une demande de pension ayant été rejetée, de même qu'une requête pour intégrer Heinrich à l’académie militaire de Prusse, ce dernier étudie à l'école de la communauté réformée française de Berlin, avant d'entrer en 1792 dans l'armée prussienne comme caporal[2] au régiment de la Garde dePotsdam. Il participe ausiège de Mayence et aublocus de Mayence. Le, il perd sa mère.

En 1799, il démissionne de l'armée et s'inscrit à l'université de Francfort-sur-l'Oder : il y étudie les mathématiques et les sciences naturelles. En 1800, il se fiance avec Wilhelmine von Zenge. Refusant de réintégrer l'armée, il travaille comme fonctionnaire à Berlin. En 1801, il litKant, ce qui le plonge dans une profonde dépression, car il en retire l'idée que la vérité est inaccessible[3].

Après un voyage en France avec sa demi-sœur, Ulrike, de trois ans son aînée, il s'installe àThoune près deBerne où il termine sa première pièce,La Famille Schroffenstein. En 1802 il se sépare de sa fiancée Wilhelmine et tombe malade. Un médecin lui diagnostique une« mélancolie morbide ». Sa sœur le ramène àWeimar.La Famille Schroffenstein est publiée anonymement l'année suivante. Cette année 1803 est synonyme de voyages :Leipzig,Dresde, Berne (en juillet),Milan,Genève,Paris (à la mi-octobre). En octobre, après avoir brûlé le manuscrit deRobert Guiscard, il quitte secrètement la capitale française et part, à pied et sans passeport, jusqu'au camp de Boulogne, afin de s'engager dans l'armée française, qui prépare l'invasion de l'Angleterre, et y mourir.

Tandis qu'à Paris, son amiErnst von Pfuel recherche son cadavre à la morgue, le croyant mort, il arrive àSaint-Omer le. Après un premier échec il retourne à Paris, avant de faire une nouvelle tentative le. Puis, renonçant à ses projets, il obtient un passeport auprès de l'ambassade de Prusse et retourne en Allemagne. Tombé malade peu après, il s'arrête àMayence où il demeure alité six mois et termineRobert Guiscard. Il est soigné par Georg Wedekind, médecinjacobin, qui tente de lui obtenir une place dans l'administration française deCoblence, mais il repart vers Berlin où il arrive au début de l'été 1804, après une visite à Ludwig Wieland, fils deChristoph Martin Wieland, à Weimar et un passage par Francfort-sur-l'Oder etPotsdam[2].

Lettre de suicide de Kleist.

À l'automne suivant, ses amis lui obtiennent une place de stagiaire à l'administration des Domaines àKœnigsberg, où il arrive en, revoit ses premières compositions et écritMichael Kohlhaas,La Marquise d'O... etAmphitryon d'aprèsMolière[2]. En, il demande un rallongement de six mois de ses études. Toutefois, en juin, renonçant définitivement à une carrière de fonctionnaire, il demande à quitter le service, prétextant des problèmes de santé[2]. Il termine la pièceLa Cruche cassée.

En, voulant se rendre à Dresde, il est à nouveau soupçonné d'espionnage par l'état-major français à Berlin, qui lui refuse un laissez-passer. À cette époque,NapoléonIer, fraîchement couronnéempereur des Français le, et successivement vainqueur àUlm et àAusterlitz en 1805, puis àIéna etAuerstadt en 1806, est entré en vainqueur à Berlin (), où il a décrété leblocus continental. Kleist, arrêté avec ses amis Karl Franz von Gauvain et Christoph Adalbert von Ehrenberg par les Français, est envoyé comme prisonnier de guerre en France, où il est incarcéré aufort de Joux du au, puis transféré àChâlons-sur-Marne, avant d'être libéré le, après lapaix de Tilsit[2].

La tombe de Kleist avec un vers tiré de sa pièceLe Prince de Hombourg

Sa pièceAmphitryon est publiée à Dresde parAdam Müller, avec lequel il se lie d'amitié et qui est à la tête d'un groupe littéraire actif (avec Körner von Bual,Tieck, Sophie von Haza…). Installé à Dresde le[2], Kleist publie sa nouvelleTremblement de terre au Chili, finitPenthésilée etKäthchen de Heilbronn.

En, paraît le premier numéro de la revue littérairePhœbus, fondée avec Adam Müller. Kleist propose àGoethe d'y collaborer, mais celui-ci refuse, critiquant sévèrement Kleist.Phœbus ne dure qu'un an. La même année paraîtLa Marquise d'O..., tandis qu'est représentée pour la première foisLa Cruche Cassée. Un fragment deMichael Kohlhaas voit le jour, ainsi queLa Bataille d'Hermann, pièce qui sera interdite de représentation en et qui sera publiée seulement dix ans après la mort de l'auteur.

En 1810, Kleist est animé par l'espoir d'une coalition entre laPrusse et l'Autriche contre Napoléon. Il décide d'écrire un drame en honneur de la familleHohenzollern:Le Prince de Hombourg, inspiré desMémoires pour servir à l'histoire de la maison de Brandebourg deFrédéricII. La même année, Kleist lance sa deuxième revue littéraire : des journaux destinés à être publiés cinq fois par semaine, lesAbendblätter, aux contenus fort patriotiques. En novembre, il rencontre une femme mariée, par ailleurs musicienne,Henriette Vogel, avec qui il échange une correspondance amoureuse.

En, sont publiésLa Cruche cassée et sa nouvelle,Les Fiancés de Saint-Domingue. LesAbendblätter s'arrêtent. Kleist demande et obtient sa réintégration dans l'armée. Il adresse à Henriette lesLitanies de la Mort. Au matin de son dernier jour, Heinrich von Kleist a écrit à sa demi-sœur Ulrike : « La vérité c’est qu’on ne pouvait pas m’aider sur terre[4] ». Heinrich et Henriette se donnent rendez-vous àWannsee, près dePotsdam, où ils se donnent la mort : Kleist tue Henriette puis retourne l'arme contre lui[5].

On peut lire sur sa tombe un vers tiré duPrince de Hombourg : « Nun, o Unsterblichkeit, bist du ganz mein » (Maintenant, ô immortalité, tu es toute à moi !)

Principales œuvres

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Romans et nouvelles

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  • Histoires (Erzählungen), 2 tomes,-:
  • Récits, traduit par Pierre Deshusses, in Œuvres complètes, tome II, 308 p. Paris, Le Promeneur, 1999(ISBN 2-07-075302-6):
    • Le Tremblement de terre au Chili (Das Erdbeben in Chili), paru dans leMorgenblatt à Stuttgart en (traduit par Pierre Deshusses, Le Promeneur, 1999);
    • La Marquise d'O... (Die Marquise von O...), paru dansPhœbus en (traduit parArmel Guerne, Phébus, 1976 ; adapté aucinéma parÉric Rohmer en - traduit par Pierre Deshusses, Le Promeneur, 1999) ;
    • Michael Kohlhaas, (traduit parArmel Guerne, Phébus, 1983 - traduit par Pierre Deshusses, Le Promeneur, 1999) ; adapté au cinéma par Arnaud des Pallières (Présenté en compétition officielle lors duFestival de Cannes 2013, le film fait sa sortie généralisée le 14août).
    • Les Fiançailles à Saint-Domingue (Die Verlobung in St. Domingo), (traduit par Pierre Deshusses, Le Promeneur, 1999) ;
    • La Mendiante de Locarno (Das Bettelweib von Locarno), (traduit par Pierre Deshusses, Le Promeneur, 1999) ;
    • L'Enfant trouvé (Der Findling), (traduit par Pierre Deshusses, Le Promeneur, 1999);
    • Sainte Cécile ou la puissance de la musique (Die heilige Cäcilie oder die Gewalt der Musik), (traduit par Pierre Deshusses, Le Promeneur, 1999 ;
    • Le Duel (Der Zweikampf), (traduit par Pierre Deshusses, Le Promeneur, 1999).

Théâtre

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Œuvres théoriques

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  • Petits écrits (Œuvres complètes, tome I), trad. Pierre Deshusses et Jean-Yves Masson, Paris, Le Promeneur, 1999, 384 p.(ISBN 2-07-074948-7)
  • Essai sur le bonheur (Aufsatz, den sichern Weg des Glücks zu finden), écrit probablement en ;
  • Sur l'élaboration progressive des idées par la parole (Über die allmähliche Verfertigung der Gedanken beim Reden), trad. Pierre Deshusses, Paris, Le Promeneur, 1999 inPetits Ecrits.
  • Considérations sur le cours du monde (Betrachtungen über den Weltlauf), paru dans lesBerliner Abendblätter le, trad. Pierre Deshusses, Paris, Le Promeneur, 1999, inPetits Ecrits;
  • Paradoxe de la réflexion (Von der Überlegung. (Eine Paradoxe)), paru dans lesBerliner Abendblätter le ;
  • Sur le théâtre des marionnettes (Über das Marionettentheater), trad. Pierre Deshusses, Paris, Le Promeneur, 1999 inPetits Ecrits;
  • Lettre d'un jeune poète à un jeune peintre (Brief eines jungen Dichters an einen jungen Maler), ;
  • Lettre d'un poète à un autre poète (Brief eines Dichters an einen anderen),.
  • L'Élaboration de la pensée par le discours (trad. Jacques Decour), 1910-1942

Thématiques kleistiennes

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  • SaCorrespondance complète 1793 - 1811. (Correspondance. Oeuvres complètes, tome V. trad. J.C.Schneider, Paris, Le Promeneur, 1999, 486 p.(ISBN 2-07-075749-8)

Le journal que tenait Kleist et qu'il appelaitHistoire de mon âme ayant disparu sans doute à jamais, c'est dans saCorrespondance qu'il faut aller chercher ce que cet homme qui se disait « inexprimable » a pu tenter de livrer directement de lui-même. Kleist, en qui chacun reconnaît aujourd'hui le « vrai poète tragique de l'Allemagne », resta tout à fait incompris de ses contemporains. Rejeté par Goethe avec la brutalité meurtrière que l'on sait, alors que Kleist lui soumettait saPenthésilée dans les termes d'une humilité devenue fameuse (« je mets mon cœur à genoux devant vous » - lettre du), il ne fut jamais accepté par lesRomantiques eux-mêmes qu'avec réticence, gêne ou embarras. Il faudra attendreNietzsche pour que la « singularité » encombrante de Kleist soit reconnue pour ce qu'elle est : la sublime « impossibilité de vivre » une existence privée d'absolu. Et Nietzsche cite la lettre, devenue fameuse elle aussi, où Kleist dit comment la lecture deKant l'a réduit au désespoir, lui retirant tout but, une existence condamnée au relatif devenant l'« incurable » même[6].

  • Sur l'élaboration progressive des idées par la parole (1805-1806).

« Si tu veux savoir quelque chose et ne peux le trouver par la méditation, je te conseille (...) d'en parler avec la première personne de ta connaissance que tu rencontreras ». Voilà les premiers mots de cet essai, qui soutient une idée peu commune. Kleist y énonce que, comme l'appétit vient en mangeant, les idées viennent en parlant. Que l'on ne conçoit donc pas ces idées d'abord, pour les exprimer ensuite, mais que les idées se conçoivent au fur et à mesure que l'on parle.

  • Sur le théâtre de marionnettes (1810).

Cet essai aborde la question de la grâce au théâtre. Le poète converse avec un premier danseur de l'opéra, qui place les marionnettes au-dessus de l'homme. Il prétend qu'un danseur qui veut se perfectionner peut beaucoup apprendre d'elles. Car elles ont un avantage : l'absence de sentiments, d'affectation. L'homme, au contraire, est un être conscient et est le plus souvent à la recherche de l'effet à produire. Or voilà ce qui empêche la grâce d'advenir. La grâce apparaît si le danseur est inconscient de la beauté du geste effectué. L'homme, qui possède la connaissance et l'affectation, est plus lourd que la marionnette, innocente, spontanée. Elles ne connaissent rien de l'inertie de la matière : elles effleurent seulement le sol. Leur état d'innocence les place entre la conscience infinie d'un dieu et la spontanéité d'un animal. L'artiste qui veut convoquer la grâce dans son art devra travailler à se rapprocher de ces deux extrémités : conscience infinie ou inconscience animale. Cet essai aura une influence considérable, auXXe siècle, sur les développements d'ordre artistique auBauhaus, par l'intermédiaire d'Oskar Schlemmer, son professeur de l'atelier théâtre. Oskar Schlemmer, de par ses propres réflexions, était attiré par les figurines, marionnettes, ou pantins, pour leurs mouvements mécaniques, qu'ils considérait fondamentalement harmonieux. Lorsqu'il prit connaissance de l'ouvrage de von Kleist, il fut encouragé dans sa démarche, et appliqua ces principes avec plus de force[7].

Postérité

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Rues, places et parcs

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De nombreuses rues ont été nommées en hommage à Kleist, entre autres àBonn,Vienne,Potsdam,Cologne,Mülheim,Leipzig,Berlin,Brunswick,Bad Homburg,Wolfsbourg ouDresde. Des places Kleist existent àKitzingen,Leverkusen ouWuppertal.

Le forum Heinrich-von-Kleist(Heinrich-von-Kleist-Forum) est un centre pédagogique et culturel àHamm. LaRealschule Heinrich-von-Kleist se trouve àHeilbronn.

Il existe un musée Kleist et un parc Kleist àFrancfort-sur-l'Oder. LeParc Heinrich-von-Kleist àBerlin-Kreuzberg abrite laKammergericht.

Leprix Kleist est décerné par la Société Heinrich-von-Kleist(Heinrich-von-Kleist-Gesellschaft).

Mises en scène

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France

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  • Penthésilée
    • Mise en scène d'André Engel, Théâtre National de Strasbourg, 1980-1981
    • Mise en scène dePierre Romans, Festival d'Avignon, Théâtre Nanterre-Amandiers, 1987-1988.
    • Mise en scène deJulie Brochen, Théâtre de l'Odéon, Paris, 1998.
    • Michèle Jungwww.kleist.fr.Das Paradies ist verriegelt…. Intro du livret de l'Opéra en un acte de René Koering.Scènes de Chasse, d'aprèsPenthesilea. Créé à l'Opéra Berlioz en 2008.
  • La Marquise d'O
    • Mise en scène de Lukas Hemleb, Maison de la culture d'Amiens, 2006.
    • Mise en scène et adaptation de Nikson Pitaqaj,Compagnie Libre d'Esprit, Théâtre de l'Epée de Bois, Cartoucherie, 2010.

Belgique

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À l'affiche : Kohlhaas, par le Théâtre Agora, de Saint-Vith, 2012, inspiré deMichael Kohlhaas, le marchand de chevaux, également en version allemande :Heute : Kohlhaas.

Adaptations cinématographiques

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Notes et références

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  1. Prononciation enallemand standardretranscrite selon lanorme API.Exemple audio sur Forvo.
  2. abcde etf(en) Bernd Fischer,A companion to the works of Heinrich von Kleist, Boydell & Brewer, 2003, 258 pages, introduction,p. 2-5(ISBN 978-1-57113-617-6),(OCLC300324341).
  3. HansMayer, « Heinrich von Kleist. L’instant historique »,Revue germanique internationale,no 33,‎,p. 125–161(ISSN 1253-7837,DOI 10.4000/rgi.2703,lire en ligne)
  4. Heinrich von Kleist, Correspondance complète. 1793-1811, traduit de l’allemand par Jean-Claude Schneider, Paris, Gallimard, 1976
  5. Sur le suicide et la mort de Kleist, voir l'entretien donné en 2015 parPhilippe Forget à propos du film de Jessica HausnerAmour fou:http://www.zerodeconduite.net/amourfou/entretien.html
  6. Friedrich Nietzsche,IIIe Considération inactuelle (« Schopenhauer éducateur »), Gallimard, 1990, « Folio essais »,p. 30-34.
  7. Roselee Goldberg,La Performance, du futurisme à nos jours, Thomas & Hudson / l'univers de l'art(ISBN 978-2-87811-380-8), Chap 5 : Le Bauhaus / Les ballets mécaniques
  8. Compagnie Libre d'Esprit
  9. AlloCine, « L'Enfant »(consulté le)

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Stefan Zweig lui a consacré une biographie particulièrement psychologique dans l'ouvrage intituléLe Combat avec le démon Kleist-Hölderlin-Nietzsche paru en allemand en éditions Stock, traduction de l'allemand parAlzir Hella, Paris, 1948 .

En français

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En allemand

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En anglais

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  • Carol Jacobs,Uncontainable romanticism : Shelley, Brontë, Kleist, 1989.

Articles connexes

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Liens externes

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