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Harold Pinter

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Pour l’article homonyme, voirPinter.

Harold Pinter
Portrait d'Harold Pinter par Reginald Gray (Londres, 2008).
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Pseudonyme
David BaronVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Période d'activité
Père
Jack Haim Pinter(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Frances Moskowitz(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoints
Vivien Merchant(de à)
Antonia Fraser(de à)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfant
Daniel Brand(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
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Distinction
Archives conservées par
British Library[1]
Harry Ransom Center(en) (MS-3267)[2]Voir et modifier les données sur Wikidata
Œuvres principales
Vue de la sépulture.

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Harold Pinter, né le et mort le[3] àLondres, est unécrivain,dramaturge,scénariste etmetteur en scènebritannique. Il a écrit pour lethéâtre, laradio, latélévision et pour lecinéma. Il a reçu leprix Nobel de littérature en 2005.

Biographie

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Jeunesse

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Harold Pinter naît dans une famillejuive du faubourg populaire deHackney àLondres. Il s'y familiarise avec la langue populaire et lecockney qu'il mettra plus tard à l'honneur dans ses pièces. Son père était tailleur pour dames. Durant sa jeunesse, l'auteur a été confronté auchômage, à la misère, auracisme et à l'antisémitisme qui sévissaient auRoyaume-Uni à l'aube de laSeconde Guerre mondiale. Selon ses dires, ce contexte troublé a largement nourri sa vocation future. Durant la Seconde Guerre mondiale, il quitte la capitale britannique à 9 ans et y revient trois ans plus tard. Il reconnaît plus tard que« l'expérience des bombardements ne l'a jamais lâché ».

De retour à Londres, il entre à la Hackney Downs Grammar School où il s'illustre notamment dans les rôles deMacbeth et deRoméo mis en scène par Joseph Brearly. Il intègre ensuite brièvement laRoyal Academy of Dramatic Art en1948 et publie, deux ans plus tard, ses premiers poèmes[4].

En 1949, il estobjecteur de conscience auservice militaire. Il s'acquitte d'une amende pour éviter un procès et la prison[5].

Carrière

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En1951, Pinter est admis à l'École centrale des arts de la scène. La même année, il est engagé dans la troupe théâtrale ambulante irlandaise d'Anew McMaster spécialisée dansShakespeare[4].

Entre1954 et1957, il entame une tournée en tant que comédien sous le nom David Baron. Sa première pièce,The Room (La Chambre) est interprétée en1957 par les étudiants de l’université de Bristol. Il dit être entré en dramaturgie« par surprise », étant issu de laclasse ouvrière[4].

The Birthday Party (L'Anniversaire,1958) n'intéresse pas le grand public, malgré une bonne critique publiée dans leSunday Times[4]. Mais à la suite du grand succès rencontré parThe Caretaker (Le Gardien) en1960, huis clos à trois personnages (un clochard, un fou échappé d'un asile et son frère), la pièce est rejouée et reçoit cette fois-ci un accueil triomphal[4]. Entre-temps, Pinter écrit plusieurs pièces radiophoniques qui obtiennent un certain succès. Les œuvres de cette période, telles queThe Homecoming (Le Retour) en1964, sont parfois étiquetées comme mettant en scène une « comédie de la menace »[4]. Avec une intrigue réduite au minimum, elles prennent souvent comme point de départ une situation en apparence anodine mais qui devient rapidement menaçante et absurde par le biais des acteurs dont les actions semblent inexplicables aux yeux du public et des autres personnages de la pièce[4]. L'auteur est alors rapproché de la génération desJeunes gens en colère, comme ses collèguesJohn Osborne,Arnold Wesker etEdward Bond. L’œuvre de Pinter est marquée, dès le début, par l’influence duthéâtre de l'absurde et deSamuel Beckett. Par la suite, les deux hommes deviennent amis.

Pinter a également publié plusieurs poèmes. On peut parler, dans sa production, d'une première phase consacrée à l'absurde (les « comédies de la menace ») et d'une seconde qualifiée de « réalisme psychologique » ou de « néo-naturalisme » dans la lignée des « drames de cuisine » deWesker[4]. Elles sont suivies d'une période plus lyrique avecLandscape (1967) etSilence (1968) puis d'un cycle consacré à la communication (ou la non-communication) que caractérise une parcimonie extrême des répliques avecNo Man's Land (1975) etBetrayal (Trahisons,1978)[4]. À cela, s'ajoute une cinquième phase politique avecOne for the Road (1984),Mountain Language (1988) etThe New World Order (1991)[4]. Cependant, cette classification simplifiée semble problématique aux yeux de la critique, chacune des époques débordant sur l'autre[4]. Elle oublie de surcroît certains des textes les plus forts de l'auteur commeAshes to Ashes (1996)[4].

À partir des années 1970

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Dans lesannées 1970, Pinter s'intéresse de plus en plus à la mise en scène et devient directeur associé duNational Theater en1973. Ses pièces récentes tendent à être plus courtes. Elles portent aussi sur des sujets plus politiques et sont souvent des allégories de l'oppression. Plusieurs de ses pièces sont traduites et adaptées en France parÉric Kahane.

Dans la même période, Pinter commence à prendre parti sur des problèmes politiques, s'affichant distinctement à gauche. Il mène un combat continu pour porter à la connaissance du public les violations desdroits de l'homme et la répression. Ses courriers sont souvent publiés dans les journaux britanniques, commeThe Guardian ouThe Independent.

En1985, Pinter voyage enTurquie en compagnie du dramaturge américainArthur Miller et rencontre de nombreuses victimes de l'oppression politique. Lors d'une réception à l'ambassade desÉtats-Unis d'Ankara, donnée en l'honneur de Miller, Pinter, au lieu de plaisanter et de se livrer aux mondanités habituelles, raconte des histoires de personnes torturées avec du courant électrique, appliqué à leurs parties génitales. Choquant l'assistance, il est renvoyé de la réception et Miller le suit par solidarité. L'expérience de Pinter, sur la répression en Turquie et la suppression de la languekurde, lui inspirent sa pièce de théâtre de1988 intituléeMountain Language.

En1999, Pinter critique ouvertement lebombardement du Kosovo par l'OTAN. Il prend position contre l'embargo déclaré par les États-Unis contreCuba. Il s'oppose aussi à l'invasion par les États-Unis de l'Afghanistan en2001, ainsi qu'à l'intervention militaire en Irak deux ans plus tard. En2005, il annonce qu'il n'écrira plus de pièces de théâtre afin de se consacrer à la politique. Il exprime par ailleurs régulièrement son soutien à lacause palestinienne.

Pinter, nommé commandeur de l’ordre de l’Empire britannique en1996, devient un membre de l'Ordre des compagnons d'honneur en2002, ayant précédemment refusé le titre deKnight Bachelor. Il devient le3e auteur contemporain à entrer au répertoire de laComédie-Française endécembre 2000 et assiste à la représentation àParis,salle Richelieu, de sa pièceLe Retour[6]. Pinter est sympathisant du parti politique de gauche britanniqueRESPECT The Unity Coalition.

Enoctobre 2005, il fait scandale lors de meetings et de manifestations publiques contre laguerre d'Irak en lisant des poèmes qui s'en prennent violemment àTony Blair. Dans le même temps, l'Académie suédoise décerne à Pinter leprix Nobel de littérature au motif que :

« [dans ses œuvres,] il découvre l'abîme sous les bavardages et se force un passage dans les pièces closes de l'oppression[7]. »

Débutdécembre 2005, il enregistre sur vidéo une déclaration pour la remise du prix Nobel, ne pouvant se rendre àStockholm car uncancer de l'œsophage à un stade avancé l'en empêche. Son discours concerne beaucoup plus la politique que la littérature. Il y déclare :

« L'invasion de l'Irak était un acte de banditisme, un acte de terrorisme d'État flagrant, la preuve d'un mépris absolu pour ledroit international. […]
Combien de personnes faut-il tuer avant de mériter d'être décrit comme un massacreur et un criminel de guerre ? Cent mille ? […]
Nous avons amené la torture, les bombes à fragmentation, l'uranium appauvri, d'innombrables assassinats commis au hasard, la misère, la dégradation et la mort au peuple irakien, et on appelle ça apporter la liberté et la démocratie au Proche-Orient. […] »

Il y prend position contre les États-Unis d'Amérique, qui ont« exercé une manipulation très clinique du pouvoir dans le monde entier, tout en se faisant passer pour une force prônant le bien universel. C'est un geste d'hypnotisme brillant, voire plein d'esprit, et très réussi. »

En 2006, il a reçu le XPrix Europe pour le théâtre, enTurin. A cette occasionRoger Planchon met en scène, au Teatro Gobetti de Turin,The New World Order (1991),Press Conference (2002),Precisely (1984),Mountain Language (1988),One for the Road (1984) eParty Time (1991) : six courts textes politiques d'Harold Pinter, dans la traduction française inédite deJean Pavans. AuTeatro Carignano de TurinPinter Plays, Poetry & Prose a été mis en scène par Alan Stanford, avecCharles Dance,Michael Gambon,Jeremy Irons,Penelope Wilton, textes de Harold Pinter,Gate Theatre deDublin[8].

Il meurt leréveillon de Noël 2008, à 78 ans, à l'hôpital Hammersmith enLondres des suites de son cancer. Il est enterré dans lecimetière de Kensal Green le dernier jour de 2008.

Vie privée

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En1977, Harold Pinter provoque un scandale public en quittant sa femme, l'actriceVivien Merchant, avec laquelle il était marié depuis1956, pour s'établir avec LadyAntonia Fraser qu'il épouse en1980, après que son divorce a été prononcé.

Sa pièceBetrayal (Trahisons,1978) a la réputation d'être une description de cette liaison. En réalité, elle se base sur la longue relation amoureuse qu'entretint l'auteur avec la présentatrice de télévisionJoan Bakewell.

Pinter a aussi eu une dispute publique avec le metteur en scène Peter Hall portant sur sa description dans lesHall's Diaries, publiés en1983, où il était dépeint comme abusant de l'alcool. Néanmoins, les deux hommes se sont réconciliés par la suite.

Distinctions

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Récompenses

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Décorations

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Autres distinctions

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Théâtre

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Les créations de Pinter sont appréciées pour leurs recherches stylistiques, leur mélange de bouffonnerie et de noirceur et leur précision presque maladive. Elles renvoient généralement le théâtre à sa base élémentaire avec des dialogues qui basculent de manière inattendue et des pièces closes où les êtres sont livrés les uns aux autres. Le masque des convenances sociales tombe[4]. La vacuité de la société bourgeoise est vite notifiée. Les personnages, fondamentalement imprévisibles, révèlent sans spectaculaire une faille ou une étrangeté dans leur identité, due à leur passé insaisissable qu'ils tentent vainement de reconstituer à travers des récits flous et contradictoires. Les êtres sont sans contour clairement dessiné. Ils semblent coupés de tout ancrage sociologique même s'il peut exister entre eux des liens sociaux ou familiaux ou qu'ils exercent parfois une profession permettant de les rattacher à un certain milieu. Cependant, ces éléments ne suffisent jamais à les caractériser entièrement[4].

Le dramaturge situe presque toujours ses pièces dans des intérieurs très fournis, minutieusement décrits, mais saturés d'éléments disparates dont l'inutilité n'a de cesse d'être soulignée, comme dansLe Gardien[11]. Très vite le décor chaleureux et rassurant d'un foyer, comme celui deThe Collection (1961), produit un climat d'insécurité et laisse place à d'étranges intrusions, avec un retour de pulsions refoulées[11].

Les conversations les plus banales se révèlent être l'espace privilégié de stratégies de domination physique, psychologique et sexuelle. Des rapports de forces brutaux resurgissent dans le glissement progressif des répliques[11]. Les dialogues de Pinter mélangent un certain naturel d'expression (courtes répliques, formules simples, notations grivoises, utilisation de l'argot) à un dérapage verbal à la limite de l'onirisme, empli de saturations et de répétitions (monologues, suspensions, coupes, ellipses, silences)[11]. L'idée de communication est ainsi mise à mal dans un univers où le faux et le véridique se télescopent sans pouvoir être démêlés.

Le rapport à l'autre ne fait que renforcer le sentiment de solitude et de violence. En ce sens, Pinter se veut le commentateur de l'absurdité et de l'horreur cachée du monde moderne tel qu'il apparaît après laSeconde Guerre mondiale. À partir desannées 1980 et1990, l'auteur trouve un nouveau souffle grâce à la contestation politique, se livrant à de virulentes critiques de l'èreThatcher, de l'invasion de l'Afghanistan, dulibéralisme, de laguerre du Golfe, de la dictature dePinochet et plus tard dublairisme.

Pinter jouit aujourd'hui d'une posture de « classique moderne »[4]. Il est considéré comme la figure la plus illustre du théâtre anglais de la seconde moitié duXXe siècle[4]. Ses pièces sont depuis longtemps devenues des monuments incontournables pour les études de théâtre et d'art dramatique. Le style inimitable de l'auteur, empli de perturbations langagières absurdes d'où sourd un certain humour, a même donné naissance à un adjectif couramment utilisé dans le domaine artistique : « pinteresque »[4]. On peut aussi parler de « pinteresquerie » pour définir une pièce de théâtre à l'atmosphère oppressante ou située dans un milieu particulier[4].

En anglais, ce mot a rencontré un tel succès qu'il a intégré le dictionnaire en1966 : « Pinterian » désigne« un univers absurde dans lequel les personnes s’expriment comme si leurs conversations devaient être surprises. »

Filmographie

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Scénariste

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Le premier scénario de Pinter,The Servant, est écrit en1962 d'après le roman deRobin Maugham[12]. Le film est réalisé parJoseph Losey avecDirk Bogarde dans le rôle-titre. Losey réalise égalementAccident etLe Messager (The Go-Between), toujours d'après les scénarios de Pinter. Ce dernier signe par la suite le script duDernier Nabab d'Elia Kazan, tiré duroman inachevé deFrancis Scott Fitzgerald, avecRobert De Niro dans le rôle principal puis celui deLa Maîtresse du lieutenant français (The French Lieutenant's Woman) d'après le roman deJohn Fowles, mis en scèneKarel Reisz et interprété parMeryl Streep etJeremy Irons. À la demande deJoseph Losey, Pinter publie une adaptation cinématographique du cycle romanesque deMarcel Proust,À la recherche du temps perdu, qui ne sera jamais portée à l'écran. Il a été nommé deux fois à l'Oscar de la meilleure adaptation sans succès : en1982 pourLa Maîtresse du lieutenant français et en1984 pourTrahisons conjugales, d'après sa pièceBetrayal.

Harold Pinter a adapté lui-même plusieurs de ses pièces en scénario pour le cinéma :The Caretaker (1963),The Birthday Party (réalisé parWilliam Friedkin en1968),The Homecoming (1973) etBetrayal (1983).

Il a également écrit le scénario du remake deSleuth (Le Limier) deJoseph L. Mankiewicz, tiré de la pièce d'Anthony Shaffer et réalisé en1972 avecLaurence Olivier etMichael Caine. Ce remake a été mis en scène parKenneth Branagh, avec Michael Caine (reprenant le rôle de Laurence Olivier dans le film original, etJude Law, reprenant celui tenu par Caine à l'origine). Pinter fait d'ailleurs une courte apparition dans le film.

Acteur

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En 1967, Pinter interprète le rôle d'un producteur de télévision dansAccident, film dans lequel joue également sa femme de l'époqueVivien Merchant. Il joue, en 1996, dans le filmBreaking the codede Herbert Wise, qui retrace la vie d'Alan Turing.

Il interprète le rôle de Sir Bertram dansMansfield Park dePatricia Rozema, sorti sur les écrans canadiens en1999 et britanniques en 2001.

Il interprète également le rôle de l'Oncle Benny dans le filmLe Tailleur de Panama deJohn Boorman en 2001.

Pinter joue le rôle du père de Vivian Bearing, rôle interprété parEmma Thompson, dans le téléfilmBel Esprit réalisé parMike Nichols en 2001.

Œuvre

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Théâtre

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  • The Room (La Chambre) (1957)
  • The Dumb Waiter (Le Monte-plats) (1957)
  • The Birthday Party (L'Anniversaire) (1958)
  • A Slight Ache (Une petite douleur) (1958)
  • The Hothouse (Le Chauffoir) (1958)
  • The Caretaker (Le Gardien) (1959)
  • Ébauches (1959)
    • The Black and White
    • Trouble in the Works
    • Last to Go
    • Request Stop
    • Special Offer
    • That's Your Trouble
    • That's All
    • Interview
    • Applicant
    • Dialogue Three
  • A Night Out (1959)
  • Night School (1960)
  • The Collection (La Collection) (1961)
  • The Lover (L'Amant) (1962)
  • Tea Party (1964)
  • The Homecoming (Le Retour) (1964)
  • The Basement (1966)
  • Landscape (1967)
  • Silence (1968)
  • Ébauche :Night (1969)
  • Old Times (C'était hier) (1970)
  • Monologue (1972)
  • No Man's Land (1974)
  • Betrayal (Trahisons) (1978)
  • Family Voices (1980)
  • Victoria Station (1982)
  • A Kind of Alaska (Une sorte d'Alaska) (1982)
  • Ébauche :Precisely (1983)
  • One For the Road (Un pour la route) (1984)
  • Mountain Language (Langue de la montagne) (1988)
  • The New World Order (1991)
  • Party Time (Une soirée entre amis) (1991)
  • Moonlight (La Lune se couche) (1993)
  • Ashes to Ashes (Dispersion) (1996)
  • Celebration (Célébration) (1999)
  • Press Conference (ébauche, 2002)

Prose et poésie

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  • Kullus (1949)
  • The Dwarfs (1952-56) (Les Nains, roman, traduction 2000, Gallimard)
  • Latest Reports from the Stock Exchange (1953)
  • The Black and White (1954-55)
  • The Examination (1955)
  • Tea Party (1963)
  • The Coast (1975)
  • Problem (1976)
  • Lola (1977)
  • Short Story (1995)
  • Girls (1995)
  • Sorry About This (1999)
  • God's District (1997)
  • Tess (2000)
  • Voices in the Tunnel (2001)
  • War (2003) - poésie
  • Un verre à minuit - Prose, poésie et politique, L'Arche éditeur (2010), 352 p.(ISBN 978-2-85181-733-4)

Notes et références

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  1. « http://searcharchives.bl.uk/IAMS_VU2:IAMS032-002110534 »(consulté le)
  2. « https://norman.hrc.utexas.edu/fasearch/findingAid.cfm?eadid=00108 »(consulté le)
  3. (en)Harold Pinter Dies at 78 dansThe New York Times du 25 décembre 2008.
  4. abcdefghijklmnopq etrBio-bibliographie de Harold Pinter sur le site desprix Nobel.
  5. Brigitte Salino, « Harold Pinter »,Le Monde,‎
  6. Le Retour : Harold Pinter à la Comédie Française surina.fr.
  7. Communiqué du secrétaire perpétuel Académie suédoise sur le site desprix Nobel.
  8. (it) « programma X edizione - Premio Europa per il teatro »Accès libre[PDF], surpremioeuropa.org
  9. Harold Pinter - Conférence Nobel Art, vérité & politique sur nobelprize.org
  10. (it) « X EDIZIONE », surPremio Europa per il Teatro(consulté le)
  11. abc etdArticle d'Anouchka Vasak,Le Nouveau Dictionnaire des auteurs de tous les temps et de tous les pays, édition Laffont-Bompiani, 1994, Paris, p. 2519.
  12. (en)Robin Maugham Papers

Bibliographie

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  • Natasha Fraser,Harold ! Ma jeunesse avec Harold Pinter, Grasset, 2023.
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Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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