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Haïfa

32° 48′ 43″ nord, 34° 59′ 55″ est
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Haïfa
(he)חֵיפָה
(ar)حيفا
Blason de Haïfa
Héraldique
Drapeau de Haïfa
Drapeau
(De gauche à droite à partir du haut) vue nocturne paranomique de la ville; lesjardins Bahaïs et le dome dusanctuaire de la Báb;La tour Eshkol;mosquée Mahmood;funiculaire du Carmel; musée national israélien des sciences, des technologies et de l'espace; vue diurne paranomique de la ville
Administration
PaysDrapeau d’IsraëlIsraël
DistrictDistrict de Haïfa
MaireEinat Kalisch-Rotem
Démographie
GentiléHaïfaïen(ne)[1]
Population282 832 hab.(2021)
Densité4 714 hab./km2
Géographie
Coordonnées32° 48′ 43″ nord, 34° 59′ 55″ est
Altitude0 - 425 m
Superficie6 000 ha = 60 km2
Localisation
Géolocalisation sur la carte :Israël
Voir sur la carte topographique d'Israël
Haïfa
Géolocalisation sur la carte :Israël
Voir sur la carte administrative d'Israël
Haïfa
Liens
Site webwww.haifa.muni.il
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Haïfa (enhébreu :חֵיפָה,Ḥefa,/χeˈfa/ ; enarabe :حيفا,Ḥayfa) est une ville côtière enIsraël située sur les bords de lamer Méditerranée. Elle constitue la troisième agglomération la plus peuplée d’Israël aprèsTel-Aviv etJérusalem. L'origine de son nom reste inconnue, bien que le mot hébreuhof (côte), voire plus récemment la contraction des motshof yafe (belle côte) aient été proposés[2].

Haïfa et son agglomération ont une population totale de l’ordre du demi-million d’habitants fin 2008. Elle est connue pour son important port en eau profonde ainsi que son importante industrie chimique. Elle accueille l'université duTechnion, souvent considérée comme la plus prestigieuse et élitaire d'Israël.

En comparaison des autres grandes villes israéliennes, Haïfa se caractérise par son pourcentage élevé de cadres et de doctorants et diplômés de l'enseignement supérieur, et est régulièrement présentée par l'aphorisme suivant : « Tel Aviv danse,Jérusalem prie, Haïfa travaille ».

Géographie

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Rue Ha’Atzmaouth (rue de l’Indépendance), la voie principale de la Ville-Basse, le centre commercial et pendulaire de la métropole.

Située au nord du pays et dans le district qui porte son nom, Haïfa est la troisième ville du pays et compte une population de 270 500 habitants[3],[4]. À l’instar d’Acre etJérusalem, à côté de la populationjuive, elle abrite une communauté musulmane considérable (Arabes israéliens), plus de 25 000 personnes de confessions diverses (musulmans,chrétiens de diverses églisescatholiques ouorientales). Logée en contrebas ainsi que sur les hauteurs dumont Carmel, elle est une des villes portuaires les plus importantes du pays et abrite en son sein l’université de Haïfa, et le célèbre centre polytechnique d'éducation et recherchesTechnion (Institut israélien de technologie).

Climat

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Haïfa a unclimat méditerranéen, codé « Csa » selon laclassification de Köppen[5].

Histoire

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Pèlerinage de chrétiens galiléens au Carmel de Haïfa en 1898.

Antiquité

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Le nom de cette cité est mentionné dans des sourcestalmudiques plus d'une centaine de fois[6]. Il s’agit alors d’une bourgade située aux environs deShikmona, la principale ville juive de la région[7].

Le lien avec le prophèteÉlie est encore visible dans la grotte portant son nom. À l'origine, c'était un lieu où on vénérait Baal-Adonis, confondu par la suite avec la grotte où Elie s'était réfugié alors qu'Achab le poursuivait[8].

Moyen Âge

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Articles détaillés :Caïffa,Seigneurie d'Haïfa etChute d'Haïfa (1265).

Conquise et intégrée à l’Empire byzantin, elle fut ensuite successivement placée sous la domination desPerses et de l’empire arabe. En1100, lescroisés font le siège de la ville avant de l’intégrer dans laprincipauté de Galilée. Ce furent lesmamelouks qui reprirent les lieux en1265 avant qu’elle ne soit progressivement désertée et abandonnée jusqu’auXVIIe siècle. À l'époque, on l'appelle Caifa[9] ou Caïffe[10] en français.

Période ottomane

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En1761, le souverain bédouinDaher El-Omar reconstruisit la cité en la ceinturant d’une muraille. Toutefois, la nouvelle cité fut déplacée de son lieu d’origine et située dans un lieu étroit entre la mer et les hauteurs dumont Carmel. À l’exception de courtes périodes marquées par les tutelles deBonaparte (1799) et deMéhémet Ali (1831), vice-roi d’Égypte, la tutelle ottomane perdurera jusqu’au démembrement de l’Empire en1918 (conséquences de laPremière Guerre mondiale sur la géographie duMoyen-Orient). En 1834,Joseph-François Michaud écrit dans saCorrespondance d'Orient qu'« il n'y a rien au monde de plus triste, de plus misérable, de plus dégoûtant que la petite bourgade deCaïpha, qu'on appelleCaïpha la neuve. Quand on a vu un amas informe de cabanes de pierres, une population couverte de lambeaux, et qu'on aperçoit ensuite les fortifications de la ville, on se demande à quoi elles peuvent servir, ce que ce pauvre pays peut avoir à défendre, ce que des ennemis viendraient y chercher »[11].

Arrêt d'autobus et Arabes puisant de l'eau à un puits en 1934.

En1868, l’arrivée des membres de laTempelgesellschaft (Société des Templiers) bénéficia beaucoup au développement de la ville. Ces immigrants allemands bâtirent leurs maisons dans ce qui est maintenant connu comme la « colonie allemande », un quartier central de la ville. Les templiers contribuèrent grandement à l’industrie et au commerce de Haïfa, et jouèrent un rôle important dans sa modernisation.

En 1886, la ville compte 3 300 habitants selon Pierre Auguste Raboisson (1 200 musulmans, 1 200 chrétiens et 900 juifs)[12].

Période mandataire

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Placée sous tutelle dumandat britannique en Palestine, elle devient un port industriel important avec l'ouverture de l'oléoduc de Mossoul à Haïfa, en service de 1935 à 1948. La composition démographique de sa population évolue pendant cette période : de 20 000 habitants dont 84 % de musulmans, 12 % de chrétiens, et 4 % de juifs en 1914, les vagues successives de l’immigration juive en Palestine la font passer à 145 000 habitants en 1947 ; la proportion de musulmans descend à 38 % pour 47 % de juifs et 15 % de chrétiens[13],[14],[15].

Expulsion des Arabes et période israélienne

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Malgré les tensions nationalistes, les ouvriers arabes et juifs du secteur portuaire (port, raffinerie de l’Iraq Petroleum Company, industries) avaient développé une certaineconscience de classe commune et travaillaient ensemble, s’entraidaient et luttaient[16]. Haïfa devient rapidement l’un des principaux foyers dusocialisme en Israël. Mais après le vote duplan de partition de la Palestine le 19 novembre 1947, les milices paramilitaires juives lancent l’opérationMisparayim (« ciseaux »), conduite par labrigade Carmeli. Dès le mois de décembre, l’artillerie placée dans les quartiers juifs de la ville, situés en hauteur, a pilonné aumortier les quartiers arabes situés en contrebas[13],[14],[15]. Une campagne de terreur est organisée par laHaganah et le groupe terroriste d’extrême-droite, l’Irgoun : des barils plein d’explosifs sont jetés dans les rues en pente ; ou des rues sont incendiées, en faisant couler un mélange d’hydrocarbures dans les rues, puis en y mettant le feu. Les Arabes qui tentaient d’éteindre l’incendie étaient mitraillés. Des voitures piégées sont amenées à réparer dans les garages arabes, et explosent lors de la réparation. L’unitéHashahar est responsable de plusieurs de ces opérations[16]. C’est dans ce contexte que survient lemassacre de la raffinerie de pétrole de Haïfa : l’Irgoun jette des grenades dans un groupe dejournaliers arabes attendant l’embauche devant la raffinerie (attentat approuvé par la Haganah), ce qui cause 6 morts et 42 blessés ; immédiatement, les Arabeslynchent les Juifs présents sur le port, faisant 39 autres morts et 49 blessés[17]. Cette première vague de terreur, bien que non-décidée par la direction duYichouv, a été approuvée par ellea posteriori. Elle pousse environ 15 000 à 20 000 Arabes de Haïfa vers une fuite, qu’ils pensent temporaire : ils vont pour la plupart dans leurs résidences secondaires au Liban ou en Égypte, pour revenir une fois les tensions apaisées. La fuite de la partie la plus aisée de la population laisse les 55 à 60 000 Arabes des classes populaires quasiment sans cadres[18]. Le 31 décembre, la Haganah expulse le quartier arabe de Wadi Rushmiyah et en fait sauter les maisons, le jour du massacre deBilad el Cheïkh. À la mi-janvier, le Palmach attaque le quartier d’Hawassa, constitué de taudis et habité par les derniers migrants arabes, l’expulse et le détruit[19].

L’opération de désarabisation d’Haïfa, denettoyage ethnique, est nomméeMispararayim, opérations Ciseaux. Elle consiste à la fois à expulser les Arabes d’Haïfa et à vider les villages alentour. Une seconde phase est déclenchée lorsqueHugh Stockwell (en), commandant de la6(th) Airborne et chargé du maintien de l’ordre par le Royaume-Uni,mandataire de la SDN, informe les Juifs (et eux seuls) qu’il va retirer ses troupes de la zone tampon entre les deux communautés le 18 avril[20]. Cette seconde phase, l’opérationBiour Hametz ou opération« Grand nettoyage » commence le 21 avril. Labrigade Carmeli en est chargée par le commandement des milices sionistes, bientôtarmée officielle d’Israël ou FDI. Près de 2 000 soldats aguerris et bien équipés affrontent 500 volontaires arabes inexpérimentés et mal armés. Quand Stockwell fait comprendre aux représentants des Arabes qu’il ne les protégera pas, ils demandent à pouvoir fuir en bon ordre, ce que la Haganah ne laisse pas faire. Les haut-parleurs de la Haganah diffusaient des messages incitant à fuir avant qu’il ne soit trop tard[21] ; le maire de la ville, le Juif Shabtai Levi, diffusait un autre message, suppliant les Arabes de rester. Le 22 avril, la population arabe se rassemble donc près du port, sur le marché couvert, datant de l’époque ottomane en espérant pouvoir fuir sur un bateau. La ville est mise à sac en même temps. Lorsque une foule conséquente est rassemblée, la brigade Carmeli ouvre le feu au mortier de 76 mm sur le port et le marché, provoquant une panique.« Les hommes marchaient sur leurs amis, les femmes sur leurs propres enfants. Les bateaux dans le port furent vite remplis d’une cargaison vivante. Beaucoup ont chaviré et coulé avec tous leurs passagers »[22].

Au total, 68 000 des 71 000 habitants arabes de la ville prennent la fuite ; les 3 500 restants sont regroupés de force dans le quartier de Wadi Nisnas, certains restant sans logement[23]. Quelque 40 000 immigrants juifs sont installés dans les maisons arabes confisquées via laloi sur la propriété des absents[24].

Lesjardins en terrasses dumausolée du Báb, dont le pont enjambant l'avenue Haziyonuth.
Haifa – lemont Carmel en bord de mer.

Aujourd’hui, Haïfa est une cité multiculturelle et multiconfessionnelle, où coexistent des citoyens israéliensjuifs,musulmans,chrétienscatholiques,chrétiens orientaux etdruzes. Elle abrite aussi leCentre mondial baha'i (comprenant lemausolée du Báb, lesjardins en terrasses et l'Arc Bahai (en) (centre administratif) sur le flanc nord du mont Carmel), qui est un site administratif et de pèlerinage important pour les adeptes dubahaïsme, ainsi qu’une attraction touristique visitée[25]. D'autres lieux saints du bahaïsme se trouvent àAcre.

Le petit cimetière d’Haïfa abrite également la tombe deMike Brant, chanteur de variété qui fit une carrière courte mais au succès météorique enFrance au début desannées 1970 et mit fin à ses jours le.

Économie

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Hormis son port industriel, la ville de Haïfa est également le terminal de l’oléoduc d’Eilat (traitement annuel de 9 millions de tonnes de brut dans ses raffineries) ainsi qu’une composante essentielle de l’économie israélienne du fait du Technion dont les travaux de recherche alimentent lesstart-ups et les parcs technologiques répartis dans la périphérie deTel Aviv-Jaffa jusqu’à laGalilée. Elle constitue également un centre de communication régionale et internationale sur le plan du transport aérien (Eilat), routier, ferroviaire (Tel Aviv-Jaffa) et maritime (Chypre).

La ville accueille le siège social d'un grand nombre d'entreprises industrielles, telles d’Israel Electric Corporation (CA : 17,6 milliards de dollars en 2006[réf. souhaitée]) qui fournit une grande partie de l’électricité en Israël, Intel Israël le premier exportateur privé du pays, ou encore ZIM, la compagnie israélienne de fret maritime.

Santé

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À Haïfa il y a trois hôpitaux généraux publics au service de toute la population. Il y a notamment leRambam Health Care Campus (en), nommé d'aprèsMoïse Maimonide, rabbin, philosophe et médecin.Le centre médical Rambam est le plus grand hôpital au nord d'Israël et sert aussi centre de traumatologie du nord.Les autres hôpitaux généraux publics à Haïfa sont le centre médical Carmelמרכז רפואי כרמל (he) et lecentre médical Bnai Zion. Il y a aussi un hôpital gériatrique : l'hôpital Fliman.Enfin il y a deux hôpitaux privés : Lecentre médical Elisha et le centre médical Assuta.

Tourisme

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Haïfa est une ville touristique importante de par son statut decapitale culturelle du Nord d’Israël et sa localisation côtière. En 2005, Haïfa abritait treize hôtels qui disposaient de 1 462 chambres[26]. De plus, elle dispose de 17 km de plages dont 5 kilomètres sont équipés de stations touristiques, la plupart de ses stations proposent des sports aquatiques[26].

Transports

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Une curiosité de Haïfa est leCarmelit, une ligne demétro souterrain conçu comme unfuniculaire sur le modèle duTünel (funiculaire d’Istanbul) mais comptant six arrêts, soit davantage que son équivalent stambouliote. Celui-ci gravit les pentes dumont Carmel.

L'autoroute reliantAcre àTel-Aviv traverse Haïfa. Un tunnel-autoroute à péage, construit sous forme dePPP au sud de la ville près du mont Carmel, permet aux véhicules de rejoindre les côtés sud-ouest et est de la ville sans passer par le centre-ville ou de gravir le mont Carmel (tunnels Carmel (en)). Le temps de parcours est passé de 30–50 minutes à 6 minutes.

Un réseau de téléphérique public est actuellement en construction entre la station centrale de bus HaMifratz de Haifa et le Technion. La ligne comportera six stations et sera inaugurée en 2020[27].

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Société

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Haïfa abrite le Centre du mont Carmel de formation communautaire pour les pays en voie de développement[28].

Politique

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La ville constitue un bastion politique duparti travailliste israélien, decentre gauche[réf. nécessaire]. La municipalité est gérée parYona Yahav entre2003 et2018. Il est élu comme candidat d’une liste soutenue par les partisShinouï, les Verts et Ishud Haschchunot.

Yahav est battu en 2018 par la liste de gauche menée parEinat Kalisch-Rotem, qui devient la première femme mairesse d’une grande ville d’Israël.

Titulaires de la fonction demaire de HaïfaVoir et modifier les données sur Wikidata
PortraitIdentitéPériodeDuréeÉtiquetteÉlection
DébutFin
Amram MitznaAmram Mitzna
(he) עמרם מצנע
(né en
1945)
10 ansParti travailliste israélien
Pas de portrait sous licence libre disponible pour Giora Fisher.Par intérim :
Giora Fisher(d)
(he) גיורא פישר
(
1937 -)
moins d’un an
Yona YahavYona Yahav
(he) יונה יהב
(né en
1944)
15 ans et 22 joursShinouï
HaYerukim
Kadima
Einat Kalisch-RotemEinat Kalisch-Rotem
(he) עינת קליש רותם
(née en
1970)
6 ansParti travailliste israélien
Yona YahavYona Yahav
(he) יונה יהב
(né en
1944)
En cours1 anParti travailliste israélien(en)

Défense

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Sur le plan militaire, la ville abrite également une importante base navale deTsahal pour ses opérations en mer Méditerranée. La flotte stratégique de nouveauxsous-marins declasse Dolphin y trouve sonport d’attache.

Personnes célèbres nées à Haïfa

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Vue panoramique.

Personnes célèbres décédées à Haïfa

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Jumelages

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Carte
Jumelages et partenariats de Haïfa.Voir et modifier les données sur Wikidata
Jumelages et partenariats de Haïfa.Voir et modifier les données sur Wikidata
VillePaysPériode
AalborgDanemarkdepuis
AalborgDanemarkdepuis
AnversBelgiquedepuis
borough londonien de HackneyRoyaume-Uni
BostonÉtats-Unis
Brême[30],[31]Allemagnedepuis le
Chengdu[32]Chinedepuis le
DüsseldorfAllemagnedepuis
Erfurt[33]Allemagnedepuis le
GuayaquilÉquateur
KobeJapondepuis
LangleyÉtats-Unis
Le CapAfrique du Sud
LexingtonÉtats-Unis
ManillePhilippines
Mannheim[34]Allemagnedepuis
MarseilleFrance
Mayence[35]Allemagnedepuis le
Monterrey[36]Mexique
Municipalité de Limassol[37],[38],[39]Chypredepuis le
Newcastle upon Tyne[40]Royaume-Unidepuis
NovokouznetskRussie
Odessa[41]Ukrainedepuis
Fort LauderdaleÉtats-Unis
Palm DesertÉtats-Unis
PortsmouthRoyaume-Uni
Rosario[42],[43]Argentinedepuis
Saint-DomingueRépublique dominicaine
Saint-Pétersbourg[44]Russiedepuis
San Francisco[45]États-Unisdepuis
ShanghaiChinedepuis
ShenzhenChine
SuceavaRoumanie
TeleneștiMoldaviedepuis
TurinItalie
West HartfordÉtats-Unis

Notes et références

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  1. [1].
  2. (en) Zev Vilensky,Legends of Galilee, Jordan and Sinai, 1978[lire en ligne].
  3. (en)Jewish Agency.
  4. (en)Urbaneconomics.
  5. « Climat Haïfa: Température de l'eau à, Température moyenne Haïfa, Pluviométrie, diagramme ombrothermique pour Haïfa - Climate-Data.org », surfr.climate-data.org(consulté le)
  6. (en) Moshe Sharon,Corpus Inscriptionum Arabicarum Palaestinae addendum : squeezes in the Max van Berchem collection (Palestine, Trans-Jordan, Northern Syria) :Squeezes 1-84,Leyde,Éditions Brill,, 191 p.(ISBN 90-04-15780-8,OCLC 80461456),p. 100.Voir et modifier les données sur Wikidata
  7. John Bowker,Atlas de la Terre sainte vue du ciel, Chine, Éditions Véga-Trédaniel,, 256 p.(ISBN 978-2-8582-9570-8),p. 242
  8. John Bowker,Atlas de la Terre sainte vue du ciel, Chine, éditions Véga - éditions Tredaniel,, 256 p.(ISBN 978-2-85829-570-8),p. 242
  9. Antoine Augustin Bruzen de la Martinière,Le grand dictionnaire géographique, historique et critique ; volume 3, 1768, page 26.
  10. Jean Daniel Kieffer, Thomas Xavier Bianchi,Dictionnaire turc-français, Imprimerie royale, 1835, page 443.
  11. Joseph-François Michaud,Correspondance d'Orient 1830-31, Volume 4, Paris : Ducollet, 1834, p. 116 (lire en ligne).
  12. Pierre Auguste Raboisson,En Orient ; récits et notes d'un voyage en Palestine et en Syrie par l'Égypte et le Sinaï, 2de partie, Paris :Librairie catholique de l'œuvre de Saint-Paul, 1886, p. 243 (lire en ligne).
  13. a etbIlan Pappé,The Making of the Arab Israeli Conflict 1947-1951, I. B. Tauris, 1992,p. 72.
  14. a etbBenny Morris, « Revisiting the Palestinian exodus of 1948 », dansThe War for Palestine: Rewriting the History of 1948, Cambridge, 2001, pp. 37-59.
  15. a etbIlan Pappe,Le Nettoyage ethnique de la Palestine,p. 96, citant Zadok Eshel,The Carmeli Brigade in the War of Independence,p. 147.
  16. a etbIllan Pappé,Le Nettoyage ethnique de la Palestine, Paris : Fayard, 2008(ISBN 978-221363396-1). Version électronique,p. 87.
  17. I. Pappé,op. cit.,p. 87-88.
  18. I. Pappé,op. cit.,p. 128.
  19. I. Pappé,op. cit.,p. 89-89.
  20. I. Pappé,op. cit.,p. 129.
  21. I. Pappé,op. cit.,p. 130.
  22. Illan Pappé,Le Nettoyage ethnique de la Palestine, Paris : Fayard, 2008(ISBN 978-221363396-1). Version électronique,p. 132.
  23. Sylvain Cypel, « Crimes et refoulement. La mémoire sélective de la société israélienne »,Orient XXI, 15 septembre 2022.
  24. Philippe Rekacewicz, Dominique Vidal,Palestine-Israël : une histoire visuelle, Paris : co-éditionéditions du Seuil,Olivier,Points,Nouvel Attila, Verso, 2024(ISBN 978-2-02-156887-5),p. 87.
  25. (en) HosseinAmanat, « Haifa »,Encyclopædia Iranica, Costa Mesa, Mazda,vol. 11,‎(lire en ligne).
  26. a etb(en) Statistiques municipales[PDF].
  27. globes.co.il.
  28. Site du Centre.
  29. « Odeya Rush », surIMDb(consulté le).
  30. « https://landesportal.bremen.de/bund-europa-international/die-hansestadt-international »
  31. « https://www.rathaus.bremen.de/partnerstadt_haifa-2267 »
  32. « https://www.gochengdu.cn/news/our-sister-cities/sister-cities-of-chengdu/haifa-israel--a437.html?xcSID=04j06l2e0bo8q3o2mh7ud63pm2 »
  33. « https://www.erfurt.de/ef/de/rathaus/sv/partner/109292.html »
  34. « https://www.mannheim.de/de/stadt-gestalten/europa-und-internationales/partner-und-freundesstaedte/haifa »
  35. « https://www.mainz.de/verwaltung-und-politik/partnerstaedte/haifa.php#c33 »
  36. « https://www.monterrey.gob.mx/pdf/portaln/PPOA/Programa_Operativo_Anual_2018_de_la_Secretaria_de_Desarrollo_Economico.pdf »
  37. (en) « Twinned cities »(consulté le)
  38. (el) « Διδυμοποιημένες Πόλεις »(consulté le)
  39. « https://www.limassol.org.cy/el/didimopoiimenes-poleis »
  40. « https://www.newcastle.gov.uk/our-city/newcastles-international-relationships »
  41. « https://omr.gov.ua/ua/international/goroda-pobratimi/hayfa-izrail/ »
  42. « https://www.rosario.gob.ar/web/gobierno/internacionales/relaciones-bilaterales#hermanamientos »
  43. « https://www.haifa.muni.il/English/MayorsOffice/Pages/CitySecretary-.aspx »
  44. « https://kvs.gov.spb.ru/en/agreements/ »
  45. « https://oewd.org/san-francisco-sister-cities »

Articles connexes

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Liens externes

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v ·m
Villes d'Israël de plus de 100 000 habitants
Plus de 500 000 hab.Jérusalem
Entre 200 000 et 499 999 hab.
Entre 100 000 et 199 999 hab.
v ·m
Sous-districts
  • Haïfa
  • Hadera
Villes
Conseils locaux
Conseils régionaux
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