Pour les articles homonymes, voirLafleur.
Surnom(s) | Flower[1] Le démon blond[2] |
---|---|
Nationalité | ![]() |
Naissance | , Thurso (Canada) |
Décès | , Kirkland (Canada) |
Position | Ailier droit |
---|---|
Tirait de la | droite |
A joué pour | Canadiens de Montréal (LNH) Rangers de New York (LNH) Nordiques de Québec (LNH) |
Repêc. LNH | 1er choix au total,1971 Canadiens de Montréal |
Carrièrepro. | 1971-1991 |
Temple de la renommée : 1988
Guy Damien Lafleur, né le àThurso dans la province de Québec au Canada et mort le à l’âge de 70 ans, àKirkland également au Québec, est un joueur professionnelcanadien dehockey sur glace, surnommé le « Démon blond[2] » ou « Flower » par ses coéquipiers[1],[Note 1]. En 2007, il est classé onzième meilleur joueur de l'histoire de laLigue nationale de hockey après l'expansion majeure de 1967 par le magazineThe Hockey News.
Sélectionné au premier rang durepêchage amateur de la ligue par lesCanadiens de Montréal, il se fait remarquer pour sa première saison en marquant soixante-quatrepoints. Par la suite, il devient le premier joueur de l'histoire à connaître six saisons de suite avec au moins cinquante buts et cent points et permet par la même occasion aux Canadiens de remporter cinq fois laCoupe Stanley. Il connaît une carrière de dix-sept saisons dans la ligue nationale de hockey : il joue de1971 à1991 en passant quatorze saisons avec les Canadiens, suivies d'une retraite pendant trois saisons et d'un retour pendant une saison avec lesRangers de New York et deux avec lesNordiques de Québec.
Après sa carrière, différents hommages lui sont décernés. Le trophée remis par laLigue de hockey junior majeur du Québec aumeilleur joueur desséries éliminatoires porte le nom de « trophée Guy-Lafleur ». Son chandail numéro 10 est retiré par les Canadiens de Montréal le auForum de Montréal et il est intronisé auTemple de la renommée du hockey en1988. En 2022, il reçoit l'Ordre du hockey au Canada de la part de la fédérationHockey Canada, en l'honneur de l'ensemble de sa carrière.
Guy Lafleur commence le hockey sur glace très jeune dans sa ville natale deThurso auQuébec, ville à 156 km à l'ouest deMontréal. Il grandit en voyant toutes les rencontres desCanadiens de Montréal de laLigue nationale de hockey (LNH) à la télévision et admire alorsJean Béliveau, numéro 4 des Canadiens. Lafleur n'hésite pas à se lever tôt les week-ends afin de profiter d'autant plus de la patinoire de la ville[3].
Il fait ses débuts avec lesQuebec Canadian Tire au sein de l'association de hockey du Québec, en 1966-1967, puis il rejoint les As de Québec Jr au cours de la même saison[4]. Il y joue pendant trois saisons avant de rejoindre la toute nouvelleLigue de hockey junior majeur du Québec et lesRemparts de Québec dirigée parMaurice Filion. Il fait ses débuts dans la LHJMQ lors de lasaison 1969-1970, première saison de la ligue et du club. Le premier match de l'histoire de la franchise est joué lé et Lafleur, qui porte le numéro 4 comme son idole Béliveau, inscrit quatrebuts et unepasse décisive pour la victoire des siens 10-5 contre lesÉperviers de Sorel[5].
Au terme de la saison régulière, Lafleur compte 170points décomposés en 103 buts et 67 aides, deuxième meilleur pointeur de la saison avec quatre points de moins queLuc Simard desDucs de Trois-Rivières[6]. L'équipe termine en tête du classement puis passe les différentes rondes desséries éliminatoires battant tour à tour lesRangers de Drummondville, les Éperviers de Sorel puis lesAlouettes de Saint-Jérôme pour la finale de laCoupe du président en ne concédant que trois matchs sur quinze joués et aucun match en finale[5],[7]. Lors des quinze matchs joués durant les séries, Lafleur finit meilleur pointeur avec 43 points[6]. Il est désignécentre de la première équipe d'étoiles de la LHJMQ en compagnie de son entraîneur[8].
L'équipe gagne son billet pour aller défier leCanadien junior de Montréal de l'Association de hockey de l'Ontario mais s'incline trois matchs à zéro contre les futurs vainqueurs de laCoupe Memorial menés parGilbert Perreault[9], futur premier choix durepêchage dans la LNH de 1970[10].
Lafleur commence lasaison suivante en tant quecapitaine de l'équipe[11] et il guide les siens à une nouvelle première place de la saison régulière. Les Remparts terminent premiers avec 32 points d'avance sur les deuxièmes, lesBruins de Shawinigan, et ne cumulent que sept défaites dans la saison[6].
Lafleur, Michel Brière[Note 2] etAndré Savard briguent les trois premières places des meilleurs pointeurs avec respectivement 209, 144 et 139 réalisations[6], Lafleur recevant letrophée Jean-Béliveau du meilleur pointeur de la ligue[13]. En plus de Lafleur,Pierre Roy etJacques Richard sont élus dans la première équipe d'étoiles de la saison, André Savard et Filion dans la seconde[8]. La marque des 130 buts reste le record du nombre de buts sur une saison qui n'est battu qu'en1983-1984 parMario Lemieux qui inscrit 133 buts[14]. Il est une nouvelle fois sélectionné dans l'équipe d'étoiles de la LHJMQ, cette fois-ci en tant qu'ailier droit[8].
Encore une fois les Remparts écartent tous leurs adversaires pour la Coupe du Président : lesMaple Leafs de Verdun, les Ducs de Trois-Rivières puis les Bruins de Shawinigan. Lafleur inscrit une nouvelle fois 43 points et il permet à son équipe de jouer la Coupe Robertson contre les champions de l'AHO : lesBlack Hawks de Saint Catharines menés parMarcel Dionne[15]. La tension autour du match est énorme entre les Black Hawks anglophones et les Remparts francophones. Après une victoire de chaque côté, le troisième match de la série est joué dans leColisée de Québec des Remparts et alors que les joueurs locaux remportent le match 3-1, 102minutes de pénalités sont distribuées dont 77 pour l'équipe deSaint Catharines. Le quatrième match est également remporté par les Remparts mais la situation entre les deux équipes ne fait qu'empirer avec des pénalités et descombats de plus en plus nombreux. Les joueurs visiteurs doivent même se faire escorter par la police pour quitter la patinoire. Afin de faire redescendre la tension, les dirigeants des Black Hawks prennent la décision de jouer le cinquième match sur une patinoire neutre : leMaple Leaf Gardens deToronto. Cela dit, bien avant le début du match, des rumeurs laissent entendre que quel que soit le résultat de la rencontre il n'y aura pas de sixième match, les dirigeants des Black Hawks refusant de retourner jouer une nouvelle fois à Québec et proposent à la place de jouer auForum de Montréal. Les Remparts perdent le cinquième match 6-3 mais remportent tout de même la série, les dirigeants de l'équipe refusant la moindre négociation pour jouer le sixième match ailleurs que dans leur patinoire et leurs adversaires refusant catégoriquement cette solution[16].
Les Remparts sont sacrés meilleure équipe de l'Est mais remportent également par la même occasion laCoupe Memorial 1971. En effet, le championnat de l'Ouest du Canada, laLigue de hockey de l'Ouest, est déclaré hors-la-loi selon l'Association canadienne de hockey. Malgré tout les Remparts insistent tout de même pour jeter un défi auxOil Kings d'Edmonton et jouer une série en deux matchs vainqueurs. Lafleur et ses coéquipiers remportent les deux rencontrent sur leur glace 5-1 et 5-2[16].
Très connu dans la capitale québécoise depuis ses exploits dans leTournoi International de hockey Pee-Wee, il devient une vedette adulée dans la ville, jouant ses matchs juniors auColisée Pepsi devant plus de 10 000 personnes. Il a alors ses habitudes dans le quartierLimoilou, habitant chez sa logeuse Ève Baribeau au 238 boulevard Benoît-XV et devient un régulier des restaurants de la3e Avenue toute proche. Il réside d'ailleurs dans la ville deux ans après son repêchage par les Canadiens, faisant la route Montréal-Québec après chaque pratique de l'équipe[17].
Alors que Lafleur est fan depuis toujours des Canadiens de Montréal et qu'il fait les bonheurs des Remparts dans la LHJMQ,Sam Pollock, directeur gérant des Canadiens, s’intéresse également au joueur de Thurso qui se présentera au cours de l'été 1971 aurepêchage amateur de la LNH[18]. Il fait alors tout son possible pour pouvoir choisir en tant quepremière équipe. Il décide alors d'échangerErnie Hicke de son équipe ainsi que son futur choix de première ronde avec lesGolden Seals de la Californie en retour deFrançois Lacombe et de leur futur choix de première ronde[18]. Il fait alors le pari que les Seals finiront derniers de lasaison 1970-1971 mais sans aucune certitude. Il doit réaliser un autre échange en cours de saison quand il se rend compte que lesKings de Los Angeles sont partis pour faire encore pire que les Seals. Pollock échange ainsi le vétéranRalph Backstrom contre deux joueurs de moindre valeur aux Kings. L'ajout de Backstrom au sein de la franchise des Kings est bénéfique pour tout le monde puisque finalement, les Kings finissent neuvièmes de la LNH[19], la carrière de Backstrom est relancée et les Canadiens peuvent choisir en premiers au repêchage et ainsi sélectionner Guy Lafleur[10].
Juste avant les débuts de lasaison 1971-1972, l'idole de jeunesse de Lafleur, Jean Béliveau, annonce qu'il arrête sa carrière et il propose au jeune joueur québécois de porter son numéro 4. Lafleur décline conscient de la pression qu'il a déjà sur ses épaules et du surplus que porter ce numéro engendrerait. Il décide alors de choisir le numéro 10[3]. À la suite du départ de leur capitaine, les Remparts décident de retirer le numéro[Note 3] de Lafleur[20].
Lafleur met trois saisons avant de trouver ses marques dans la Ligue nationale de hockey. Lors de sa saisonrecrue[Note 4], en 1971-1972, il inscrit soixante-quatre points, le cinquième meilleur total de l'équipe,Frank Mahovlich finissant premier avec quatre-vingt-seize points[21] ;Phil Esposito desBruins de Boston est le meilleur pointeur de la saison avec cent-trente-trois points[19]. Au cours de cette saison, l'équipe des Canadiens change puisqueKen Dryden, déjà au club la saison passée, devient officiellement le gardien de l'équipe,Henri Richard est le nouveau capitaine de l'équipe etScotty Bowman succède àAl MacNeil derrière le banc de l'équipe[21]. Dryden a beau déjà avoir remporté la Coupe Stanley 1971 il est toujours officiellement une recrue de la LNH et à l'issue de la saison régulière, il remporte letrophée Calder de la recrue de la saison[22]. Troisième de division Est, l'équipe de Montréal perd au premier tour des séries éliminatoires contre les deuxièmes de la division, les Rangers de New York. Sur les six matchs joués, Lafleur totalise cinq points dont un but[21].
Au cours de sadeuxième saison, Lafleur termine une nouvelle fois cinquième pointeur de l'équipe avec cinquante-cinq points, quarante de moins queJacques Lemaire, meilleur pointeur de l'équipe[23] ; Esposito domine toujours la ligue avec 108 points[19].
Guy Lafleur est propriétaire d'un restaurant nommé « Bleu Blanc Rouge » àRosemère à partir du[24]. En, il ajoute une section boutique à son restaurant permettant à ses fans de se procurer des objets signés. Voyant le succès et la popularité de cette initiative, il ouvre une boutique en ligne du même nom au début de l'année 2012. Cet établissement est fermé définitivement depuis. Il a ouvert un restaurant nommé « Mikes Signature Guy Lafleur » àBerthierville en 2002 qu'il a revendu en 2007[25].
Il possède également son brevet de pilote depuis 1997 et pilote des hélicoptères. En, il devient le nouveau colonel honoraire du12e escadron de radar de labase de Bagotville[26].
Dans le cadre de sa tournée d'adieu avec les Anciens Canadiens auQuébec en2010, Guy Lafleur joue son dernier match àMontréal, le contre les Légendes duTemple de la renommée du hockey auCentre Bell. Le match se termine sur le score de 15-8 devant 15 835 spectateurs. Guy Lafleur y marque trois buts en plus de remporter la première étoile du match[27].
Il joue également un match dans sa ville natale deThurso le[27], dans l'aréna qui porte son nom et les anciens du Canadien l'emportent 18-8 face à une équipe d'habitants de Thurso[28].
Il joue un dernier match le auColisée Pepsi de Québec[27].
Guy Lafleur meurt le àKirkland des suites d’un cancer des poumons[29],[30]. Le jour même, le premier ministre québécoisFrançois Legault annonce son désir de lui offrir desfunérailles nationales[31]. Son décès engendre une vague de sympathie. Il est ovationné par les partisans des Canadiens auCentre Bell le, ainsi qu'auCentre Canadian Tire le alors que les Canadiens visitaient lesSénateurs d'Ottawa[32]. Des centaines de milliers de personnes publient des photos d’elles en sa compagnie sur les réseaux sociaux[33]. Legouvernement du Québec met en place un registre officiel de condoléances virtuelles[34]. À Québec, un registre de condoléances est installé près de son monument sur laplace Jean-Béliveau[35].
Unechapelle ardente accueille des milliers de partisans au Centre Bell le et le[36],[37]. Le à 10 h 30, sa dépouille quitte l'amphithéâtre en direction de labasilique-cathédrale Marie-Reine-du-Monde de Montréal où se déroulent des funérailles nationales présidées dès 11 h par l'archevêque montréalaisChristian Lépine accompagné du cardinalGérald Cyprien Lacroix. La cérémonie est télédiffusée et des écrans géants sont installés à l'extérieur de la cathédrale[38]. Sept personnes participent à l'éloge funèbre :Geoff Molson,Yvan Cournoyer,Larry Robinson,Guy Carbonneau,Patrick Roy, son fils Martin et sa belle-sœur Francine Barré[39].
Guy Lafleur est marié avec Lise Barré, fille d'un propriétaire d'une concession automobile de Québec, Roger Barré. Il a deux fils, nommés Martin et Mark.
En 1979, il enregistre un album narré avec musique disco sur les aspects du hockey. Deux versions sont pressées, une française et une anglaise[40].
Le 24 mars 1981, Lafleur est blessé dans un accident d'automobile survenu à Montréal : alors qu'il s'est endormi au volant, sa voiture percute une clôture métallique séparant deux voies entre l'autoroute 20 et une voie de service. Une des poutres retenant la structure métallique de la clôture perfore le pare-brise pour seulement blesser Lafleur à une oreille[41].
Guy Lafleur a eu une amitié avec, entre autres,Gilles Villeneuve qui débuta en 1976 pour se conclure au décès de Villeneuve en 1982[42].
Saison | Équipe | Ligue | Saison régulière | Séries éliminatoires | ||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
PJ | B | A | Pts | Pun | PJ | B | A | Pts | Pun | |||||
1966-1967 | As de Québec Jr. | LHJQ | 8 | 1 | 1 | 2 | 0 | - | - | - | - | - | ||
1967-1968 | As de Québec Jr. | LHJQ | 43 | 30 | 19 | 49 | 0 | - | - | - | - | - | ||
1968-1969 | As de Québec Jr. | LHJQ | 49 | 50 | 60 | 110 | 83 | - | - | - | - | - | ||
1969-1970 | Remparts de Québec | LHJMQ | 56 | 103 | 67 | 170 | 105 | 15 | 25 | 18 | 43 | 34 | ||
1970 | Remparts de Québec | Coupe Memorial | - | - | - | - | - | 12 | 18 | 18 | 36 | 23 | ||
1970-1971 | Remparts de Québec | LHJMQ | 62 | 130 | 79 | 209 | 135 | 14 | 22 | 21 | 43 | 49 | ||
1971 | Remparts de Québec | Coupe Memorial | - | - | - | - | - | 7 | 9 | 5 | 14 | 18 | ||
1971-1972 | Canadiens de Montréal | LNH | 73 | 29 | 35 | 64 | 48 | 6 | 1 | 4 | 5 | 2 | ||
1972-1973 | Canadiens de Montréal | LNH | 69 | 28 | 27 | 55 | 51 | 17 | 3 | 5 | 8 | 9 | ||
1973-1974 | Canadiens de Montréal | LNH | 73 | 21 | 35 | 56 | 29 | 6 | 0 | 1 | 1 | 4 | ||
1974-1975 | Canadiens de Montréal | LNH | 70 | 53 | 66 | 119 | 37 | 11 | 12 | 7 | 19 | 15 | ||
1975-1976 | Canadiens de Montréal | LNH | 80 | 56 | 69 | 125 | 36 | 13 | 7 | 10 | 17 | 2 | ||
1976-1977 | Canadiens de Montréal | LNH | 80 | 56 | 80 | 136 | 20 | 14 | 9 | 17 | 26 | 6 | ||
1977-1978 | Canadiens de Montréal | LNH | 78 | 60 | 72 | 132 | 26 | 15 | 10 | 11 | 21 | 16 | ||
1978-1979 | Canadiens de Montréal | LNH | 80 | 52 | 77 | 129 | 28 | 16 | 10 | 13 | 23 | 0 | ||
1979-1980 | Canadiens de Montréal | LNH | 74 | 50 | 75 | 125 | 12 | 3 | 3 | 1 | 4 | 0 | ||
1980-1981 | Canadiens de Montréal | LNH | 51 | 27 | 43 | 70 | 29 | 3 | 0 | 1 | 1 | 2 | ||
1981-1982 | Canadiens de Montréal | LNH | 66 | 27 | 57 | 84 | 24 | 5 | 2 | 1 | 3 | 4 | ||
1982-1983 | Canadiens de Montréal | LNH | 68 | 27 | 49 | 76 | 12 | 3 | 0 | 2 | 2 | 2 | ||
1983-1984 | Canadiens de Montréal | LNH | 80 | 30 | 40 | 70 | 19 | 12 | 0 | 3 | 3 | 5 | ||
1984-1985 | Canadiens de Montréal | LNH | 19 | 2 | 3 | 5 | 10 | - | - | - | - | - | ||
1988-1989 | Rangers de New York | LNH | 67 | 18 | 27 | 45 | 12 | 4 | 1 | 0 | 1 | 0 | ||
1989-1990 | Nordiques de Québec | LNH | 39 | 12 | 22 | 34 | 4 | - | - | - | - | - | ||
1990-1991 | Nordiques de Québec | LNH | 59 | 12 | 16 | 28 | 2 | - | - | - | - | - | ||
Totaux LNH | 1 126 | 560 | 793 | 1 353 | 399 | 128 | 58 | 76 | 134 | 67 |
Année | Équipe | Évènement | PJ | B | A | Pts | Pun | Résultat | ||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1976 | ![]() | Coupe Canada | 7 | 1 | 5 | 6 | 12 | Première place | ||
1981 | ![]() | Championnat du monde | 7 | 1 | 0 | 1 | 2 | Quatrième place | ||
1981 | ![]() | Coupe Canada | 7 | 2 | 9 | 11 | 0 | Deuxième place |
Guy Lafleur a reçu des funérailles nationales de la part du Gouvernement du Québec à son décès en 2022.
En plus des différents trophées qu'il récolte dans la LHJMQ :
En plus des différents trophées qu'il récolte dans la LNH :
Guy Lafleur a eu de nombreux livres écrits sur sa vie et sur sa carrière d'hockeyeur.
Sur les autres projets Wikimedia :
|
Récipiendaires dutrophée Ted-Lindsay de laLNH | |
---|---|
Trophée Lester B. Pearson |
|
Trophée Ted Lindsay |
|
Récipiendaires dutrophée Art-Ross de laLNH | |
---|---|
|
Récipiendaires dutrophée Conn-Smythe de laLNH | |
---|---|
|
Récipiendaires dutrophée Jean-Béliveau de laLHJMQ | |
---|---|
|
Gardiens de but | |
---|---|
Défenseurs | |
Attaquants | |
Personnel |
|
Gardiens de but | |
---|---|
Défenseurs | |
Attaquants | |
Personnel |
|
Gardiens de but | |
---|---|
Défenseurs | |
Attaquants | |
Personnel |
|
Gardiens de but | |
---|---|
Défenseurs | |
Attaquants | |
Personnel |
|
Gardiens de but | |
---|---|
Défenseurs | |
Attaquants | |
Personnel |
|