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Kuomintang

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Parti nationaliste chinois
(zh)中國國民黨
Kuomintang
Image illustrative de l’article Kuomintang
Logotype officiel.
Présentation
PrésidenteCheng Li-wun
Fondation
(reformation)
Siègeno 232~234, Sec. 2, route BaDe,District de Zhongshan,Taipei
FondateurSun Yat-sen
Song Jiaoren
JournalCentral Daily News
Kuomintang News Network
Mouvement de jeunesseJeune KMT
PositionnementCentre droit àdroite
IdéologieTrois principes du peuple
Nationalisme chinois
Conservatisme

Factions historiques :
Socialisme[1],[2]
Avant-gardisme[3]
Anti-impérialisme[4],[5]
Kuomintang de droite :
Fascisme[6],[7]
Anticommunisme[8]
Kuomintang de gauche :
Nationalisme de gauche
Marxisme[1],[9],[10]
Léninisme[11],[12]

Affiliation nationaleCoalition pan-bleue
Affiliation internationaleInternationale démocrate centriste
Union démocrate internationale
Adhérents1 090 000 (2017)
CouleursBleu
Site web(zh)www.kmt.org.tw
Représentation
Yuan législatif
52  / 113
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Kuomintang

Nom chinois
Chinois traditionnel 中國國民黨
Chinois simplifié 中国国民党
Traduction littéraleparti des Chinois
Transcription
Mandarin
-PinyinZhōngguó Guómíndǎng
-Tongyong pinyinJhongguo Guomindang
-Wade-GilesChung¹-kuo² Kuo²-min² Tang³
-EFEOTchong-kouo Kouo-min-t'ang
-Gwoyeu RomatzyhJong'gwo Gwomin Daang
-Bopomofoㄓㄨㄥ ㄍㄨㄛˊ ㄍㄨㄛˊ ㄇㄧㄣˊ ㄉㄤˇ
-Xiao'erjingﺟْﻮ ﻗُﻮَع ﻗُﻮَع مٍ دْا

Cantonais
-API/ʈʂʊ́ŋkwǒkwǒmǐntàŋ/
 
Nom doungane
DounganeҖунгуй Гуймин Дон
Xiao'erjingﺟْﻮ ﻗُﻮَع ﻗُﻮَع مٍ دْا

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LeKuomintang,Guomindang,Kuo-Min-Tang, ouKouo-Min-Tang (sigles :KMT ouGMD ;chinois traditionnel :中國國民黨 ; pinyin :Zhōngguó Guómíndǎng ; litt. « Parti nationaliste chinois ») est le plus ancienparti politique de laChine contemporaine et présent àTaïwan. Créé en 1912 parSun Yat-sen, il domine le gouvernement central de larépublique de Chine à partir de 1928 jusqu'à la prise de pouvoir par lescommunistes en 1949.

Jusqu'en 1986, il est le seul parti autorisé à Taïwan. Il reste ensuite la première force politique de l'île jusqu'en 2016, gardant durant toute cette période la majorité auParlement et, sauf de 2000 à 2008, la présidence. En 2016 cependant, il perd temporairement tant la majorité au Parlement que la présidence au profit duParti démocrate progressiste.

Chronologie

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Sous la direction de Sun Yat-sen

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Sun Yat-sen.

À la suite de la chute du pouvoir impérial,Sun Yat-sen décide de consolider ses forces avant les premières élections. Aidé deSong Jiaoren, il regroupe plusieurs organisations révolutionnaires (dont leTongmenghui) et, le, fonde le Kuomintang dans la province duGuangdong. Le parti se définit alors comme un partidémocratique etsocialiste modéré.

Mené parSong Jiaoren, le parti gagne la majorité à la première Assemblée nationale. Song est assassiné le à la gare deShanghai. En tant que président,Yuan Shikai voulait solliciter d'importants prêts à l'étranger. Le Kuomintang s'opposant à cette politique est alors chassé de l'Assemblée et Yuan Shikai finit même par dissoudre le Parlement. Le Kuomintang est interdit et plusieurs de ses partisans sont arrêtés ou tués. Sun fuit auJapon, où il met longtemps à se réorganiser. Il y fonde finalement leParti révolutionnaire. Il retourne en Chine en 1918 et tente de former un gouvernement rival àCanton ou à Shanghai à partir de 1920. Son manque d'argent, de moyens militaires et d'expérience hypothèquent ces tentatives et le laissent à la merci desseigneurs de la guerre locaux. En 1922, des agents duKomintern lui proposent leur aide et l'incitent à reformer le Kuomintang. C'est à cette époque que Sun formule son idéologie : les « Trois Principes du Peuple »,démocratie,socialisme etnationalismeanti-impérialiste. Sun se base à Canton, où il reçoit des fonds, du matériel militaire et l'aide d'experts en provenance d'Union soviétique. LeParti communiste chinois (PCC) est alors allié au Kuomintang dans le cadre d'unfront uni pour lutter notamment contre lesseigneurs de la guerre.

Sun Yat-sen meurt d'un cancer le 12 mars 1925 à l'âge de cinquante-huit ans, après avoir émis le vœu que les communistes et le Kuomintang continuent à collaborer étroitement.

Sous Tchang Kaï-chek

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Tchang Kaï-chek.

Tchang Kaï-chek décide d'entamer l'expédition du Nord et met sur pied l'Armée nationale révolutionnaire, pour pacifier la Chine en réduisant les seigneurs de la guerre et, à terme, s'emparer du pouvoir. Il prend dans les faits les rênes du parti,se retournant contre ses alliés communistes, qu'il élimine lors dumassacre de Shanghai puis àHankou.

En janvier 1927,Wang Jingwei déplace son gouvernement àWuhan pour lutter contre Tchang, mais jette l'éponge dès septembre de la même année et se rallie au gouvernement que Tchang a fondé en avril àNankin.

En 1928, le Kuomintang s'empare du pouvoir et instaure un régime de parti unique. Ses forces armées deviennent l'armée officielle de la République. Avec l'abandon dudrapeau à cinq couleurs, ledrapeau national de la Chine arbore l'emblème du Kuomintang. C'est la période dite de ladécennie de Nankin. Tchang Kaï-chek doit néanmoins faire face au sein du parti à l'opposition de ses rivauxWang Jingwei etLi Zongren.

Ce dernier monte avec des seigneurs de la guerre une coalition qui affronte militairement les troupes de Tchang en 1930 dans laguerre des plaines centrales ; Tchang remporte cependant la victoire.

En février 1931, Tchang Kaï-chek fait arrêterHu Hanmin, chef du comité central du Kuomintang, à la suite d'un désaccord sur la constitution. Il doit cependant le faire relâcher peu après ; Hu Hanmin se réfugie avec sa faction dans le sud de la Chine et demande la démission de Tchang.

Bien que n'étant toujours pas chef officiel du Kuomintang, et ayant dû renoncer à son poste de président de la République à la suite de l'invasion japonaise de la Mandchourie en, Tchang Kaï-chek ne quitte jamais le devant de la scène et domine le parti grâce à sa position de chef de l'armée.

Lalutte contre les communistes s'intensifie et en 1934, ces derniers doivent fuir auShaanxi au cours de l'épisode dit de la « Longue Marche ».

Afin de lutter contre lapolitique expansionniste du Japon, le Kuomintang est conduit à s'allier avec ses ennemis de la veille dans le cadre dudeuxième front uni, mais cette alliance demeura toujours superficielle.

À partir de 1938, avec laguerre désormais ouverte avec le Japon, le siège du gouvernement passe successivement deNankin àWuhan etChongqing, chacune des villes faisant l'objet de violentsbombardements ordonnés par leQuartier général impérial.

À compter de 1939, le Kuomintang fait de Chongqing sa base permanente jusqu'à la fin de la guerre.

De son côté,Wang Jingwei crée ungouvernement de collaboration, qui se présente comme le seul gouvernement nationaliste légitime et continue d'utiliser le drapeau de la république de Chine comme l'emblème du Kuomintang.

Visuel chinois présentant Tchang Kaï-chek avec le drapeau nationaliste chinois etWinston Churchill avec le drapeau britannique.

En 1945, afin d'assurer le contrôle effectif du territoire national au Kuomintang (qui représente le gouvernement chinois légitime), lesAméricains organisent un pont aérien permettant aux nationalistes de gagner la course au désarmement des troupesjaponaises et de s'assurer ainsi le contrôle des territoires précédemment occupés.

Par la suite, l'armée du Kuomintang entre à nouveau en lutte ouverte contre l'Armée populaire de libération duParti communiste chinois deMao Zedong. Mais le manque de soutien populaire, les gains territoriaux des troupes du PCC désormais armées par les Soviétiques, ainsi que de nombreuses défections dans le camp nationaliste ont pour conséquence la victoire des communistes et la proclamation, le, de larépublique populaire de Chine (RPC).

Le Kuomintang se réfugie alors àTaïwan, ne conservant que quelques îles à proximité du territoire continental de laChine, et continue de s'y proclamer seul gouvernement légitime de la Chine (république de Chine ou Chine nationaliste).

Parti politique dominant à Taïwan

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Le Kuomintang se maintient longtemps au pouvoir par la force, durant la période répressive de la « Terreur blanche » (1947-1987). Pendant cette période, les membres du KMT et plus largement les Chinois arrivés à Taïwan en fuyant l'avancée des communistes (appelés collectivementWaishengren (en)) établissent un État qui diffuse l'idée que leur culture est supérieure à celle des autres populations (Hoklos,Hakkas ouAborigènes) vivant à Taïwan depuis des générations[13].

Après la période de démocratisation de Taïwan dans lesannées 1980 à1990, le Kuomintang cède le gouvernement à l'opposition.

Cependant, à la suite de problèmes de corruption du nouveau gouvernement, il regagne la majorité des régions aux élections régionales de 2006.

En janvier 2008, il remporte les élections législatives, en obtenant 85 des 113 sièges du Parlement.

Le,Ma Ying-jeou, candidat du Kuomintang, devient le nouveau président avec 58,45 % des suffrages[14] face à son opposantFrank Hsieh (en), laissant entrevoir un apaisement dans le détroit.

Ma Ying-jeou déclare vouloir reprendre les pourparlers entre la Chine et Taïwan en se basant sur leconsensus de 1992 et mettre l'accent sur les aspects économiques, tout en déclarant que la république de Chine est une « nation souveraine »[15].

Pendant la campagne Ma Ying-jeou déclare ne pas vouloir changer lestatu quo[16].

Compétition démocratique avec le PDP

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En 2016, après la perte du pouvoir par le Kuomintang au profit duParti démocrate progressiste, des enquêtes sont menées afin de déterminer les biens qu'il avait accaparés illégalement durant la période où il s'était érigé en parti unique[17].

Selon le journall'Humanité, ce serait en 2019 le parti politique le plus riche du monde[18].

Lors des élections de 2020 (présidentielle etlégislatives), le KMT reste dans l'opposition. Son candidat à l'élection présidentielle,Han Kuo-yu, est battu par la présidente sortanteTsai Ing-wen. Aux élections législatives, le parti gagne 3 sièges supplémentaires mais reste loin derrière le PDP.

L'élection du président du KMT en est l'occasion de mesurer le rapport de forces entre les différentes tendances au sein du KMT. Environ 50,7 % des 370 000 membres votants participent à l'élection. Le candidat modéré,Eric Chu est élu avec 45,8 % des voix. Chu souhaite une bonne relation avec la Chine mais ne souhaite toutefois pas la réunification. Son principal rival,Chang Ya-chung (en), obtient 32,6 % des voix. Chang défend une réunification avec la Chine continentale.Johnny Chiang (en), le président sortant qui défend une position visant à s'éloigner politiquement de la Chine, obtient 18,9 % des voix. C'est la première fois qu'un président du KMT est élu avec moins de 50 % des voix[19],[20].

Auxélections municipales de 2022, le parti remporte largement le scrutin. Quatre des six plus grandes villes de Taïwan sont confiées au KMT[21].

En vue de l'élection présidentielle de 2024, le KMT change le mode de nomination de son candidat : alors que le candidat était historiquement choisi lors d'une primaire interne, le président du KMT,Eric Chu, décide que la nomination se fera par un comité spécial et ce afin d'éviter des tensions internes[22]. Le candidat du KMT,Hou Yu-ih (33,4 %) est battu parLai Ching-te (40,2 %), vice-président de Taïwan et candidat du PDP. Le scrutin est marqué par la montée en puissance d'une troisième force dans le paysage politique taïwanais :Ko Wen-je (26,4 % à l'élection présidentielle) et sonParti populaire taïwanais (PPT)[23]. Le KMT perd 5 points de pourcentage à l'élection présidentielle mais remporte toutefois lesélections législatives avec 52 sièges sur 113 (soit un gain de 14 sièges) contre 51 au PDP et 8 au PPT[24].

En 2025, un mouvement soutenu par le PDP lance des pétitions pour obtenir un vote de révocation de nombreux députés du KMT, les accusant entre autres de menacer la sécurité nationale. En deux journées, le et le, 31 députés du KMT sont ainsi soumis à un vote populaire de révocation dans ce qui est appelé « le Grand rappel (en) ». Aucun des députés n'est révoqué ce qui constitue un revers pour le PDP[25],[26],[27].

En octobre 2025,Cheng Li-wun crée la surprise en remportant la présidence du parti pour quatre ans à partir du, face à cinq adversaires âgés de 55 à 73 ans, en recueillant 50 % des voix parmi les 330 000 membres du Kuomintang (40 % de votes exprimés). Pourtant donné favori,Hau Lung-pin (en), 73 ans, est arrivé deuxième avec seulement 35 % des suffrages. Elle devient la seconde femme à diriger le parti aprèsHung Hsiu-chu (2016-2017)[28].

Position vis-à-vis de la Chine continentale

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Lien Chan, président du Kuomintang à Pékin.

La république populaire de Chine (RPC) ne reconnaît pas la république de Chine, et considère Taïwan comme une de ses provinces. Taïwan n'a jamais pu accéder au statut de membre de l'ONU.

Le Kuomintang forme avec leQinmindang (« parti du peuple en premier » ouPeople First Party), lacoalition pan-bleue, désormais favorable à l'idée d'une réunification de laChine, alors que lacoalition pan-verte est en faveur de l'indépendance de Taïwan. Cependant, en 2016, la coalition pan-verte remporte largement les élections.

En octobre 2020, les députés du KMT proposent deux résolutions dénonçant la menace que représente leParti communiste chinois pour la sécurité de Taïwan et demandant à la présidente de se rapprocher diplomatiquement et militairement des États-Unis. Ces deux résolutions sont adoptées à l'unanimité[29].

Notes et références

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  1. a etb(en) Arif Dirlik,The Marxism in the Chinese revolution, Rowman & Littlefield,(ISBN 0-7425-3069-8,lire en ligne),p. 20.
  2. (en) Von KleinSmid Institute of International Affairs, University of Southern California. School of Politics and International Relations,Studies in comparative communism, Volume 21, Butterworth-Heinemann,(lire en ligne),p. 134.
  3. (en) Robert Payne,Mao Tse-tung: Ruler of Red China, READ BOOKS,(ISBN 978-1-4437-2521-7,lire en ligne),p. 22.
  4. (en) Edmund S. K. Fung, « Anti-Imperialism and the Left Guomindang »,Modern China,vol. 11,no 1,‎,p. 39-76(DOI 10.1177/009770048501100102,JSTOR 189103,S2CID 145438811,lire en ligne[archive du], consulté le).
  5. (en) Brian Tsui, « Clock Time, National Space, and the Limits of Guomindang Anti-Imperialism »,Positions,vol. 21,no 4,‎,p. 921-945(DOI 10.1215/10679847-2346050,S2CID 144785487,lire en ligne[archive du], consulté le).
  6. (en) LloydEastman, « Fascism in Kuomintang China: The Blue Shirts »,Cambridge University Press,no 49,‎,p. 1-31(JSTOR 652110,lire en ligne, consulté le).
  7. (en) StanleyPayne,A History of Fascism 1914-1945, University of Wisconsin Press,(ISBN 9780299148744,lire en ligne),p. 337.
  8. (en) « Party Charter », kuomintang(consulté le) :« …The Party unites as party members all who believe in the Three Principles of the People, both at home and overseas. It abides by the teachings of late National President, the late Director-General, and the late Chairman Chiang Ching-kuo in its wish to bring about ethnic integration, unite the people, revive Chinese culture, practice democratic constitutional government, oppose communism, oppose separatism, and champion the interests of the Chinese nation… ».
  9. (en) Von KleinSmid,Studies in comparative communism, Volume 21, Butterworth-Heinemann,(lire en ligne),p. 134.
  10. (en) Robert Payne,Mao Tse-tung: Ruler of Red China, READ BOOKS,(ISBN 978-1-4437-2521-7,lire en ligne),p. 22.
  11. (en) Bruce J.Dickson, « The Lessons of Defeat: The Reorganization of the Kuomintang on Taiwan, 1950-52 »,The China Quarterly,vol. 133,‎,p. 56–84(DOI 10.1017/S0305741000018191,S2CID 155062712,lire en ligne).
  12. http://homepage.ntu.edu.tw/~msho/book.files/期刊論文/The%20Rise%20and%20Fall%20of%20Leninist%20Control%20in%20Taiwan’s%20Industry.pdf.
  13. (en) Michael Turton, « The KMT, Ethnic Chauvinism, and the Freddy Lim Recall », surTaiwan Insight,
  14. « Ma Ying-jeou élu avec une forte avance ».
  15. (en) « Ma says he will focus on economic ties », surtaipeitimes.com.
  16. (en) « Defend Taiwan's sovereignty, says Ma », surtaipeitimes.com.
  17. BricePedroletti, « A Taïwan, l’heure des comptes »,Le Monde.fr,‎(ISSN 1950-6244,lire en ligne, consulté le)
  18. « Un « tueur souriant » en politique », surL'Humanité,(consulté le)
  19. (en) Lawrence Chung, « Taiwan’s Eric Chu wins KMT leadership race as party sticks with island-centric position », surSouth China Morning Post,
  20. (en) Lawrence Chung, « Taiwan’s new Kuomintang leader Eric Chu has one year to prove himself, say analysts », surSouth China Morning Post,
  21. Taïwan : la présidente abandonne la tête de son parti après une défaite aux élections locales, Francetvinfo, 26 novembre 2022
  22. (en) Liu Kuan-ting et Evelyn Kao, « ELECTION 2024/Terry Gou pushes plan to seek KMT presidential nomination for 2024 », surCentral News Agency,
  23. « Taïwan: le candidat décrié par la Chine, Lai Ching-te, remporte l'élection présidentielle », surRFI,
  24. Harold Thibault, « Lai Ching-te élu président de Taïwan pour des années houleuses face à la Chine »,Le Monde.fr,‎(lire en ligne, consulté le)
  25. « Taïwan: les électeurs rejettent les référendums révocatoires visant 24 députés de l’opposition », AFP et Radio France internationale,.
  26. (en) « Senior DPP lawmaker calls for mass ousting of KMT lawmakers »,Focus Taiwan,.
  27. (en) « Taiwanese opposition survives another recall vote, and referendum on nuclear power fails »,Associated Press,.
  28. MaximeSallé, « À Taïwan, l’opposition pro-chinoise s’est choisi une leader inattendue », surMediapart,(consulté le)
  29. Frédéric Lemaître, « A Taïwan, l’ensemble des forces politiques voient Pékin comme une menace »,Le Monde,‎(lire en ligne)

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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