LaGuinée équatoriale[4], en forme longue larépublique de Guinée équatoriale[4] (enespagnolGuinea Ecuatorial etRepública de Guinea Ecuatorial, enportugaisGuiné Equatorial etRepública da Guiné Equatorial) est un pays d'Afrique centrale. Elle est constituée de deux parties, l'une continentale, bordée par leCameroun et leGabon, l'autre insulaire avec l'île deBioko (où se trouve la capitaleMalabo) et l'île d'Annobón.
Depuis les années 1990, la Guinée équatoriale est devenue un important pays producteur de pétrole en Afrique subsaharienne. Mais sa production décline depuis 2016 et n'atteint plus que 93 000 barils par jour en 2021, selon l'Opep[5].
Elle est le quatrième pays quant au PIB/habitant en Afrique sub-saharienne[6], mais peu de gens ont profité des richesses issues du pétrole, et les inégalités restent très importantes.
Les langues officielles sont l'espagnol, lefrançais et leportugais. Cependant, l'espagnol est de loin la langue officielle la plus parlée. LesFang sont le groupe ethnique dominant, et représentent plus de 85 % de la population[7]. LesBubi, indigènes de Bioko sont le deuxième plus grand groupe ethnique, et représentent environ 6,5 % de la population.
Le Petit Robert des noms propres 2006 écrit cependant « Guinée-Équatoriale » et « république de Guinée-Équatoriale », avec un trait d'union et une majuscule à chaque terme.
Du temps de la colonisation, le pays constituait laGuinée espagnole.
L'étude de la Préhistoire de la Guinée suit une subdivision géographique, l'île de Bioko d'une part, la province du Littoral entreCameroun etGabon d'autre part. L'île de Bioko était reliée au continent jusqu'en8 000 av. J.-C. par un « pont » qui fut lentement immergé par la montée des eaux de l'Atlantique, qui avait débuté vers11 000 av. J.-C. à la fin dudernier Âge glaciaire. De ce fait, il est probable que ce territoire devait être habité par des populations nomades de chasseurs-cueilleurs, à l'instar de ce qui est connu sur le continent actuel.
Les vestiges d'une présence humaine ont été découverts en fouille au site de Mossumu (province du Littoral) et datés de30 000 av. J.-C. Il s'agit d'une industrie dite « Sangoenne », bien connue à cette époque à travers l'Afrique centrale. Quelques autres sites, de surface ou en affleurement stratigraphique, indiquent que l'Âge Moyen de la Pierre est bien représenté dans cette partie du pays. Par la suite, des vestiges, encore mal datés, illustrent autour de Bata et du Rio Muni la permanence de la présence de l'homme, nomade, tailleur de pierre et chasseur-cueilleur, jusqu'en3 000 av. J.-C.
Sur l'île de Bioko, il s'agit d'une autre lecture ; celle-ci sera très certainement modifiée dans les années à venir avec l'installation de projets de recherchesarchéologiques. Trois gisements « prénéolithiques » ont été recensés. Seul celui du séminaire de Banapa au sud de Malabo a été fouillé dans les années 1960 par un anthropologue espagnol. Tout ce qui peut être dit est qu'il est antérieur à la « Tradition Timbabé » de Bioko, encore non datée, elle-même antérieure à la « TraditionCarboneras » datée par le radiocarbone entre leVe et leXe siècle de notre ère. Il faut signaler que sur l'île d'Elobey Grande, des pierres taillées similaires à un Âge Récent de la Pierre ont été découvertes en surface. Ces trouvailles étayent l'idée d'une grande ancienneté de la présence humaine sur l'ensemble des îles équatoguinéennes avant qu'elles ne soient définitivement séparées du continent.
Enfin, l'expansion du mode de vie villageois enAfrique centrale implique dans sa modélisation, et avec le rapprochement des données de la linguistique, l'installation sur l'île de Bioko de villages dès3 500 av. J.-C. Pour l'instant rien n'a été découvert pour vérifier cette hypothèse. La séquence archéologique de l'île, outre le pré-néolithique déjà mentionné, démarre avec la « Tradition Timbabé » connue sur treize points du littoral. Une continuité d'occupation de cette île est désormais bien attestée jusqu'à l'époque historique. À la suite du « Timbabé »,on connait[style à revoir] les traditions « Carboneras », « Bolaopi », « Buela », et enfin « Balombe ». Cette dernière tradition est historique.
Sur le continent, entre Cameroun et Gabon, les données de fouilles restent lacunaires mais sont suffisantes pour affirmer que la séquence complète qui reste à découvrir sera dans les grandes lignes similaire à ce qui est connu au sud-Cameroun et dans la région deLibreville auGabon.
Entre 1469 et 1474, les navigateurs portugais découvrent dans le golfe de Guinée les îles deSão Tomé,Principe,Annobón etFernando Poo : le,João de Santarém etPedro Escobar aperçoivent une île qu'ils appelent « Ilha do Ano Bom » (île de la bonne année) d'où le nom actuel d’Annobón qui correspond à la phonétique du nom portugais. En 1474 un autre Portugais,Fernão do Pó, découvre dans legolfe du Biafra une île qu'il nomme « Formosa » (la belle), mais qui portera finalement son nom (aujourd'huiBioko). Les îles d’Annobón et Fernando Poo deviendront, avec les îles deCorisco, Elobeye etMbanié la partie insulaire de la Guinée espagnole en 1778, puis de la Guinée équatoriale en 1968.
Avec letraité de San Ildefonso et letraité d'El Pardo, lePortugal livre à l'Espagne les îles deFernando Póo,Annobón et deCorisco, en échange de lacolonie de Sacramento, enAmérique du Sud et d’autres territoires permettant de conforter les frontières duBrésil[12]. Dans le même temps, l'Espagne se voyait accorder la liberté de commercer sur les côtes guinéennes depuis ledelta du Niger jusqu’aucap Lopez, situé auGabon actuel. En cette année 1778, une expédition partit deMontevideo pour prendre possession de ces territoires. Une expédition menée par le comte d'Argelejos. Mais le peuple de l'île d'Annobón se soulève ne reconnaissant ni la domination portugaise ni celle de l’Espagne[13] ; puis après le débarquement à Fernando Poo (actuelle Bioko), les membres de l’expédition sont touchés par de graves maladies et attaqués par les Bubi, les insulaires de cette île ne reconnaissant eux non plus aucune domination étrangère. Ces derniers événements provoquèrent une mutinerie et l'échec de l'expédition[14].
Pendant de nombreuses années, la colonisation espagnole n'est pas effective. Ces territoires continuent à n'être que des escales à rafraîchissements. Et si quelques navires deBuenos Aires ou de Montevideo s'y arrêtent, ce sont surtout les navires anglais, portugais, hollandais et français qui les fréquentent.
En 1827, l'Espagne autorise la colonisation de l'île deBioko par lesBritanniques.Santa Isabel (aujourd'huiMalabo), port et cité principale de l'île deBioko, prend alors le nom dePort Clarence. C'est là qu’est constitué un tribunal destiné à réprimer le trafic d’esclaves, suite à l'abolition de la traite en 1807, puis l'abolition de l'esclavage en 1833.
Le climat et les maladies déciment de nombreux Espagnols, membres des expéditions successives envoyées sur place à partir de 1830. À partir de 1832 de nombreux Espagnols, voyageurs, scientifiques ou officiels visitent l'île, qui est finalement revendiquée à nouveau par l’Espagne en 1845, année au cours de laquelle Nicolás de Manterola y débarque le premier missionnaire.
En 1807, le Parlement britannique vote l'abolition de la traite atlantique, dont les flux chutent avec ledroit de visite des navires étrangers imposé par laRoyal Navy à partir de 1815 grâce à sa domination des mers. Mais le trafic illégal d'esclaves menés par certaines riches familles se poursuivit au-delà, avant d'être remplacé d’abord par le commerce debrandy, d'huile de palme, debois précieux et detextiles entreBarcelone et la colonie[15].
Pendant laguerre hispano-américaine de 1898, l'occupation militaire américaine de la colonie espagnole est relative, l'intérêt des Américains se portant sur lescolonies de l'Espagne, vaincue, hors de l'Afrique :Philippines,Guam,Cuba etPorto Rico. En 1899, les Américains renoncent définitivement à annexer la colonie espagnole du golfe de Guinée, qui avait à leurs yeux des mauvaises infrastructures, des pistes mal entretenues et trop de maladies tropicales endémiques. La colonie était alors peuplée majoritairement deBubis dans l'île deFernando Poo et deFangs dans le territoire continental duRio Muni.
Pendant lapériode franquiste, de 1936 à 1968, la colonie espagnole est assez isolée. La métropole est loin et les échanges sont rares avec les colonies françaises ou anglaises voisines, qui aspirent toutes à l'indépendance. Entre 1939 et 1944, pendant laSeconde Guerre mondiale, l'Espagne franquiste est neutre dans ce conflit mais favorable à l'Axe, tandis que laFrance libre contrôle l'Afrique-Équatoriale française. La métropole espagnole joue sur les deux tableaux : les ports de la colonie servent de relais ou d'escale aux navires britanniques ou français libres, mais accueillent aussi les sous-marins allemands, à condition que les uns comme les autres n'opèrent pas dans les eaux espagnoles. En cas de rixes entre marins allemands d'une part et britanniques ou français de l'autre, la police coloniale espagnole expulsait les fautifs dans un délai de24 heures. Entre 1940 et 1945, les marins allemands envoyaient du courrier en Allemagne, via Malabo ou Santa Isabel. Les déserteurs étaient expulsés et livrés à leurs armées respectives.
En1958 est créé un gouvernement autonome. Dix ans plus tard, en1968, l’ancienne dépendance autonome de Guinée espagnole accède à une indépendance pleine et entière et prend le nom de Guinée équatoriale.
Arrivé au pouvoir le à la suite d’uncoup d'État, Teodoro Obiang Nguema se reconduit régulièrement à la tête du pouvoir :
1982 : nommé chef d'État pour sept ans par le conseil militaire ;
1989 : élu avec 99,99 % des voix comme candidat unique ;
1996 : élu avec 97 % des voix comme candidat unique, dans un scrutin officiellement multipartite ;
2003 : élu avec 97,1 % des voix dans un scrutin multipartite (5 candidats autorisés) ;
2009 : élu avec 95,19 % des voix dans un scrutin multipartite (5 candidats autorisés) ;
2016 : élu avec 93,53 % des voix dans un scrutin multipartite (7 candidats autorisés).
C'est un record de longévité politique, hors régime monarchique[16].
Manuel Ruben N'Dongo, un opposant équatoguinéen en exil à Paris, qui dirige le collectif des partis démocratiques d'opposition, résume ainsi l'exercice du pouvoir : « Le pouvoir est aujourd’hui entre les mains d’une dizaine de personnes, toutes proches de la famille du président. Vous avez d’un côté le présidentTeodoro Obiang, sous l’influence de sa femme dont la volonté manifeste est de propulser à tout prix son fils Teodorin Obiang au sommet de l’État. De l’autre côté, Armengol et le général Mba Nguema, les frères du président, qui considèrent Teodorin comme incapable, voire dangereux ».
Le pays, jusqu'alors sans grandes ressources, a bénéficié de la découverte de pétrole dans les eaux territoriales au début desannées 1990[16].
Le père et le fils Obiang sont poursuivis par la justice française sur desbiens mal acquis, provenant notamment de détournements de fonds publics[17],[18]. Le fils Teodorin est finalement renvoyé devant le tribunal correctionnel de Paris[19]. Ce procès dit « des biens mal acquis », révélateur du pillage des richesses nationales, aboutit à une condamnation en octobre 2017, en première instance[20].
Pour autant, la population de Guinée équatoriale vit dans des conditions précaires.Bata, seconde ville du pays et capitale économique, est ainsi privée d'eau courante pendant trois semaines en 2019, sans que les autorités ne s'expliquent sur les difficultés rencontrées[21].
La Guinée équatoriale est une république présidentielle. La prédominance démographique desEkangs dans la colonie, ainsi que la dictature deFrancisco Macías Nguema (1968-1979) se traduisent par le massacre d'un grand nombre deBubis dans l'île deFernando Poo, où ils sont, depuis, très minoritaires. Les mulâtres, les Espagnols et les étrangers en ont aussi été chassés, et les opposants à la dictature qui ont survécu à la répression se sont exilés. Le président actuel estTeodoro Obiang Nguema Mbasogo, neveu de Macías Nguema. Le pouvoir législatif est exercé par le parlement bicaméral (Chambre des députés etSénat).
Le fonctionnement des institutions est très familial, puisque tous les postes à responsabilité sont détenus par des membres de la famille du président. Le fils ainé du président,Teodoro Nguema Obiang Mangue, déjà vice-président, est vu comme son successeur. Ce pays est souvent qualifié de « démocrature » (dictature sous des oripeaux démocratiques) puisqu'il existe une « opposition légale » contrôlée par la présidence et que l'opposition réelle est réfugiée en Espagne. Son chef, Severino Moto Nsa, a déjà été condamné à plus de100 ans de prison parcontumace, accusé par le président d'avoir participé à la tentative de coup d’État lancée en 1997 contre lui.
LeParti démocratique de Guinée équatoriale du président Obiang détient 99 des100 sièges de la Chambre des députés et la totalité de ceux du Sénat. L'opposition est quasi inexistante dans le pays et s'organise depuis l'Espagne principalement au sein de laConvergence pour la démocratie sociale, d'orientation social-démocrate[22]. La plupart des médias sont sous le contrôle de l’État ; les chaines de télévision privées, celles du groupe Asonga, appartiennent à la famille du président[22].
Officiellement appeléesFuerzas Armadas de Guinea Ecuatorial, elles comprennent un total de 2 400 personnels actifs et la part duPNB allouée à la défense en 2006 est de 0,1 %. Dans lesannées 2000, sept des neuf généraux de l'armée sont de la même famille qu'Obiang, et les deux restants sont de sa tribu. Toutefois, même là, Obiang a peu confiance en son armée pour sa protection individuelle ; ainsi, la garde présidentielle est composée de plusieurs centaines de soldats marocains.
La Guinée équatoriale est divisée en deux régions : la région insulaire et la région continentale. Ces deux régions sont elles-mêmes divisées en provinces, actuellement il y en a sept. Et finalement, ces provinces sont divisées en districts, au nombre de dix-huit.
L'île d'Annobón est de forme ovale, de 17 km2 et se trouve à 180 km deSao Tomé-et-Principe et à 640 km duGabon. Elle est d'origine volcanique et ne compte que 5 800 habitants. Elle est découverte en 1471 par les Portugais, le jour de l'an, d'où son nom (Anno Bom), et est cédée en 1778 à l'Espagne.
En 2020, la Guinée équatoriale ne compte aucun site classé aupatrimoine mondial de l'UNESCO ni aucun site provisoire inscrit sur la liste du patrimoine mondial[25]. Le pays ne possède pas non plus de patrimoine documenté inscrit au programme Mémoire du monde de l'UNESCO, ni depatrimoine culturel immatériel inscrit sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l'UNESCO[26],[27].
Les attractions touristiques sont le quartier colonial de Malabo, la partie sud de Bioko où les randonneurs peuvent visiter les cascades d'Iladyi et les plages isolées où nichent les tortues, Bata avec son front de mer Paseo Maritimo et la tour de la liberté,Mongomo avec sa basilique (la deuxième plus grande église catholique d'Afrique) et la nouvelle capitale planifiée et construite,La Paz.
La Guinée équatoriale dépose sa demande formelle d'adhésion à la CPLP en[33]. En 2011, leportugais devient la troisième langue officielle du pays.
L'anglais est très présent, surtout sur l’île de Bioko qui n'est pas loin duNigeria. Le pichi est uncréole à base d'anglais, parlé par plusieurs milliers de locuteurs à Bioko. Le fernandino est un créole à base d'anglais et d'espagnol, surtout parlé à Bioko. Il y a environ 5 000 Nigérians anglophones, qui vivent surtout sur l’île de Bioko. Le krio est parlé par des immigrants deSierra Leone.
Après son indépendance, l'espagnol était devenu la seulelangue officielle de la Guinée équatoriale, bien que la majorité de la population parle lefang. La Guinée équatoriale est enclavée entre deux pays francophones, leCameroun et leGabon, faisant eux-mêmes partie d'un grand espace dont lefrançais est la langue officielle. De plus, la Guinée équatoriale est le seul payshispanophone d'Afrique. Le français est donc adopté en 1997 comme seconde langue officielle du pays et la présidence utilise aussi bien le français que l'espagnol. Par conséquent, le français devient une langue d'apprentissage obligatoire dans le secondaire –bien que seulement 10 % des jeunes y accèdent[réf. nécessaire].
La fête nationale, célébrée le, est l'événement majeur de l'année en Guinée équatoriale. Il s'agit d'une manifestation tournante organisée chaque année dans une ville différente. Tout le pays est mis à contribution pour organiser l'événement. La ville sélectionnée est ainsi rénovée pour accueillir le président, sa cour et les nombreux équatoguinéens venus prêter allégeance au président.
Le premier cinématographe est arrivé en Guinée équatoriale en 1904. Au début desannées 2000, l'industrie cinématographique était encore presque inexistante en Guinée équatoriale[34]. Cependant, les premiers courts et moyens-métrages équatoguinéens commencent à être réalisés, notamment parJuan Pablo Ebang Esono, avec le court-métrageNo está desnuda puis le moyen-métrageTeresa[35]. Par ailleurs, plusieurs documentaires étrangers, principalement espagnols, sont consacrés au pays, commeSubvaloradas, sin ser vistas. Voces literarias de Guinea Ecuatorial (Mischa G. Hendel, 2009) ouMalabo Barrio X (Marc Tardiu et Oriol Rivero, 2009).
Le filmMarfil de Rubén Monsuy Ndong Andeme présente l'histoire de l'arrivée du cinématographe en Guinée équatoriale en1904.
↑Et ce, malgré des règles de typographie qui envisagent le cas dutrait d'union.
↑Valérie de Wulf, Tome 1 -Histoire de l’île d’Annobón (Guinée Équatoriale) et de ses habitants duXVe au XIXe siècle, Paris, L'Harmattan, Association France-Guinée équatoriale, 2013.
↑Gustau Nerin,Corisco y el estuario del Muni (1470-1931) : del aislamiento a la globalización y de la marginalización, Paris, L'Harmattan, Association France-Guinée équatoriale, 2015.
↑Jacint Creus Boixaderas, Jean-Marc Lefebvre, Gustau Nerin, Ernst Pijning, Valérie de Wulf,La Guinée équatoriale aux Archives nationales (XVIIIe-débutXXe siècles), Paris, L'Harmattan, Association France-Guinée équatoriale, 2015.
↑(Archives de la Marine, Madrid), MS 469, José Varela y Ulloa,Rapport du 12/03/1779.
↑Valérie de Wulf,L'acte de naissance de la Guinée espagnole : les traités de San Ildefonso, du Pardo, l'expédition du comte d'Argelejos et ses conséquences (1777-1785), Saint-Louis (Sénégal), revue GERAHA,no 1, 2015.
↑Simon Piel et Joan Tilouine, « Biens mal acquis : le fils du président Obiang renvoyé devant le tribunal correctionnel »,Le Monde.fr,(ISSN1950-6244,lire en ligne, consulté le)
↑« Condamnation de Teodorin Obiang »,Le Monde,(lire en ligne)
↑« La capitale économique de Guinée équatoriale privée d’eau courante depuis trois semaines »,Le Monde,(lire en ligne)
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Emmanuel Rioufol et Jean-Luc Le Bras,Guinée équatoriale, traces…, 2001, Éditions Sépia(ISBN2-84280-051-6).
Gustau Nerin,Corisco y el estuario del Muni (1470-1931) : del aislamiento a la globalización y de la marginalización, Paris, co-édition association France-Guinée Équatoriale et l’Harmattan, 2015, 314p.(ISBN978-2-343-05284-7).
Jacint Creus Boixaderas, Tome 1,Action missionnaire en Guinée Équatoriale (1858-1910) : Mémoire et naïveté de l'Empire, Paris, co-édition association France-Guinée Équatoriale et l'Harmattan, 2014.(ISBN978-2-343-04234-3).
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Jacint Creus Boixaderas, Jean-Marc Lefebvre, Gustau Nerin, Ernst Pijning, Valérie de Wulf,La Guinée Equatoriale aux Archives nationales (XVIIIe-débutXXe siècles), 2015, Paris, Association France-Guinée Equatoriale et L’Harmattan, collection Guinée Equatoriale, 2015, 167p.(ISBN978-2-343-08099-4).
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Valérie de Wulf, Tome 1 -Histoire de l'île d'Annobón (Guinée équatoriale) et de ses habitants duXVe au XIXe siècle, Paris, Ed. l'Harmattan et Association France-Guinée Equatoriale, 2014, 346 p.(ISBN978-2-343-03397-6)
Valérie de Wulf, Tome 2 -Les Annobonais, un peuple africain original, Paris, L'Harmattan, Association France-Guinée équatoriale, 2013, 234 p.(ISBN978-2-343-03399-0).