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Guillaume FitzHerbert

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Guillaume d’York
Image illustrative de l’article Guillaume FitzHerbert
Guillaume, lors de son retour à York, traverse le pont qui enjambe l'Ouse alors que celui-ci s'effondre sans que personne soit tué
Saint,évêque d'York (1140)
Date de naissancefin duXIe siècle
Date de décès
Lieu de décèsYork (Angleterre)
Canonisation1227 Rome
parHonorius III
Vénéré parÉglise catholique romaine
Fête8 juin
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Guillaume FitzHerbert (fin duXIe siècle –) (William of York en anglais), également connu sous le nom deGuillaume d'York etGuillaume de Thwayt[1], est unarchevêque d'York qui a la particularité d'avoir été deux fois archevêque, avant et après son rivalHenri Murdac. C'est unsaint de l'Église catholique romaine fêté localement le8 juin[2].

Il doit faire face à l'opposition descisterciens qui, après l'élection du pape cistercienEugène III, entreprennent de le déposer en faveur d'Henri Murdac. Entre 1147 et 1151, FitzHerbert travaille pour assurer sa restauration en tant qu'archevêque, qu'il obtient après les morts de Murdac et d'Eugène III. Mais il meurt peu de temps après, vraisemblablement empoisonné. À partir de 1177, des miracles sont rapportés avoir eu lieu sur sa tombe, et il est canonisé en 1227.

Biographie

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Parenté

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Il est le fils d'Herbert de Winchester (ou Herbert FitzAlberic[3]) et d'Emma[4]. On a longtemps pris pour argent comptant les sources qui faisaient de son père un fils illégitime ducomteHerbert II du Maine, et de sa mère une fille illégitime ducomteÉtienne II de Blois[4]. Mais ces liens semblent être des ajouts tardifs à sa biographie, et il est probable qu'ils soient faux[4].

Les parents de son père sont donc inconnus, mais certains indices laissent à penser que sa mère est plutôt la fille de Hunger fitz Odin, un petit vassal duDorset[4]. Son père est un petit propriétaire terrien dans leHampshire[4]. Durant le règne deGuillaume le Roux (1087-1100), le fils deGuillaume le Conquérant, son père devientchambellan du roi au trésor de Winchester. Au début du règne d'HenriIer (1100-1135), il devient en plus son trésorier[5]. Il est probable que Herbert ait été impliqué dans la gestion du trésor à l'époque de la compilation duDomesday Book (1086), à l'époque où Henrile Trésorier était le responsable, et qu'il ait ensuite pris la succession de ce dernier[5].

Il est très possible que son père soit le « H. le chambellan » décrit parSuger de Saint-Denis comme voulant assassiner le roi, et qui est mutilé en 1118 par HenriIer[4]. Quoi qu'il en soit, en 1130 Guillaume paye une taxe pour pouvoir hériter des terres de son père[4].

Jeunesse

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Aux alentours de 1110, son père devient un vassal de l'archevêqueThomas II d'York (1109-1114) dans leYorkshire. En 1114 au plus tard, Guillaume FitzHerbert est nommé trésorier de lacathédrale d'York. Cet office est, à cette époque, alors donné à l'archidiacre duYorkshire de l'Est. L'influence de son père, particulièrement riche et puissant l'a peut-être aidé à obtenir cette nomination si précocement[6].

Il continue ses fonctions durant l'archiépiscopat deThurstan d'York. Guillaume FitzHerbert se retrouve impliqué dans le conflit de celui-ci avec le roi Henri Ier, après qu'Henri demande que l'archevêché d'York accepte d'être subordonné à l'archevêché de Cantorbéry. Guillaume accompagne Thurstan en exil en Europe, et visite la cour du pape[7]. La réconciliation avec Henri lui permet de revenir à York en 1121. Le pape plaide finalement en faveur de l'indépendance des archevêques d'York dans une circulaire de 1127[8].

Une élection controversée

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En Guillaume FitzHerbert est éluarchevêque d'York[9]. À l'origine, en 1140, c'estWaltheof qui avait été élu. Mais le roiÉtienne rejette la proposition, probablement en raison des liens trop forts entre Waltheof et DavidIer d'Écosse (le roi écossais est son beau-père), et par conséquentMathilde l'Emperesse[10]. Le deuxième choix des électeurs d'York se porte ensuite surHenri de Sully, un neveu du roi Étienne et de son frèreHenri de Blois, l'évêque de Winchester. Mais celui-ci refuse de démissionner de son poste d'abbé de Fécamp, et son élection est rejetée par le papeInnocent II[11],[4]. C'est seulement une troisième élection, en, qui désigne FitzHerbert[12]. Il est probablement élu sur ordre du roi Étienne[12], en présence deGuillaume le Gros, lecomte d'York[4]. Ce dernier sera d'ailleurs accusé ultérieurement d'avoir ordonné son élection au nom du roi[13]. On ne sait pas vraiment s'il était candidat aux élections précédentes[11].

Les archidiacres de York, les neveux de l'archevêque Thurstan, Osbert de Bayeux et Gaultier de Londres en tête, s'opposent alors à son élection au siège archiépiscopal[14],[4]. Ils fondent leur opposition sur le fait que ledeuxième concile du Latran en 1139 permet aux moines et chanoines du diocèse de participer à l'élection des évêques[15]. Ils accusent aussi le roi d'être intervenu pour faire élire FitzHerbert. Le comte d'York décide alors d'emprisonner l'archidiacre Gaultier pour faire taire leur protestation[4].

Lescisterciens, et notammentBernard de Clairvaux, sont aussi furieux, car FitzHerbert a été élu aux dépens d'un candidat de leur ordre[12]. Il est rejoint par plusieurs autres moines du Yorkshire, notamment les abbés cisterciens deRievaulx etFountains, Guillaume et Richard, et lesprieursaugustins deKirkham (en) etGuisborough,Waltheof et Cuthbert[4]. Il l'accuse de ne pas être digne de la fonction, et notamment de ne pas être chaste. Les deux parties décident alors de faire appel au papeInnocent II[12]. Ce dernier reçoit les deux délégations le à Rome[4]. La délégation des opposants, constituée entre autres des quatre susnommés et deAelred de Rievaulx, ajoute à l'accusation d'interférence royale dans l'élection la charge desimonie[16],[4].

Innocent II († 1143) suit alors l'avis desjuges-délégués qu'il avait nommés pour cette affaire,Henri de Blois etRobert de Béthune, l'évêque d'Hereford[4]. Il décide donc que l'élection sera maintenue si ledoyen duchapitre d'York prête serment que l'élection était régulière et non influencée par le roi Étienne[4]. En ce qui concerne les autres charges, il décide que si aucun témoin ne se présente pour l'accuser, alors FitzHerbert sera autorisé à se laver de ces accusations en prêtant serment qu'elles sont fausses[4].

Toutefois, de retour en Angleterre, Guillaume FitzHerbert est porteur d'une lettre du pape qui autorise ledoyen d'York à être remplacé par un autre témoin. Les cisterciens, et notammentBernard de Clairvaux, puis plus tard le papeEugène III (1145-1153), affirmeront que cette lettre est un faux[4]. Finalement, à la cour de Winchester de, alors que le doyen d'York n'a pu être présent, FitzHerbert peut écarter les accusations qui pèsent sur lui par témoignage justificatif (en anglais :compurgation)[4]. Il témoigne pour lui-même et fait le serment que les accusations sont fausses, et les abbés deSainte-Marie d'York et deWhitby, font le serment qu'ils croient son serment[4]. L'évêque de Winchester,Henri de Blois, le consacre alors le, bien que sadélégation papale ait expiré deux jours auparavant avec la mort d'Innocent II[4].

Premier archiépiscopat et déposition

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Vue surOuse Bridge, qui est détruit à l'époque de Guillaume.

Durant les premières années qui suivent son élection, il s'occupe de la gestion de son diocèse[4]. Il aide à résoudre la querelle entreGuillaume Cumin, qui a usurpé l'évêché de Durham, etGuillaume de Sainte-Barbe qui est l'évêque légitimement élu[4]. Finalement, il consacre Sainte-Barbe, le[4].

Toutefois, il a toujours besoin d'unpallium, signe que l'archevêque tient son autorité du pape. Il ne l'a toujours pas reçu, les morts rapprochées des papesInnocent II (1143),Célestin II (1144) etLucius II (1145) ayant repoussé cette opportunité[12],[17]. Notamment en 1145, il compromet son avenir en tardant à rencontrer le cardinalImar de Tusculum qui a été délégué par Lucius II pour lui remettre le pallium[4]. Le pape meurt dans l'intervalle, mettant fin à la délégation de Imar[4],[18].

Les cisterciens, toujours fortement opposés à son élection, sont déterminés à l'empêcher de le recevoir.Bernard de Clairvaux, le célèbre abbé cistercien et chef religieux le décrit comme « un homme pourri de la plante des pieds au sommet du crâne ». En 1145, l'élection du pape cistercienEugène III, un protégé de l'abbé de Clairvaux, compromet sérieusement l'avenir de FitzHerbert[4]. En 1146, Guillaume FitzHerbert se rend à Rome pour y demander son pallium[18]. Au lieu de cela, le pape le suspend le temps de recevoir le serment deGuillaume de Sainte-Barbe, l'ancien doyen d'York devenu évêque de Durham, qui avait été exigé par Innocent II en 1143[19],[20].

Pour Christopher Norton, en attendant la décision finale du pape et son pallium, il réside en Sicile, chez son ami, le roiRoger II[19]. Pour Janet Burton, FitzHerbert sent que sa cause est perdue, et il s'y retire[4].

Apprenant sa suspension, des partisans de FitzHerbert lancent une attaque sur l'abbaye cistercienne de Fountains et détruisent une partie de ses bâtiments[21]. Le, alors qu'il est auconcile de Reims, le pape a connaissance de cet affront et il destitue immédiatement FitzHerbert[22].

Eugène III ordonne alors qu'une nouvelle élection se déroule à York[22]. Les deux principaux candidats sontHilaire (en) (plus tardévêque de Chichester), le candidat soutenu par le roi ; etHenri Murdac, l'abbé cistercien de l'abbaye de Fountains, autre protégé de Bernard de Clairvaux. Les électeurs n'arrivant pas à se mettre d'accord, le pape tranche en faveur de Murdac, et celui-ci est consacré le àTrèves par le pape en personne[22].

Second archiépiscopat

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FitzHerbert se retire alors à Winchester, la ville qu'il a laissée 40 ans plus tôt pour commencer sa carrière à York[23], sous la protection de Henri de Blois, l'évêque de Winchester[12].

La nomination de Murdac provoque une profonde division dans le chapitre d'York et dans la population de la ville, majoritairement en faveur de FitzHerbert[18],[22]. Les habitants empêchent d'ailleurs le nouvel archevêque de rentrer dans la ville, ce à quoi Murdac répond en plaçant la ville sous uninterdit[22]. Il excommunie aussi les barons locaux,Guillaume le Gros et Hugues du Puiset[22]. Le roi Étienne ne s'implique pas dans cette querelle, car il a besoin de Murdac pour obtenir le soutien papal pour que sa succession revienne à son filsEustache, et non àHenri d'Anjou qui revendique la couronne[18],[24].

En 1153, ses trois plus fervents ennemis que sont le papeEugène III,Bernard de Clairvaux etHenri Murdac, meurent en l'espace de quatre mois. FitzHerbert se rend alors à Rome pour réclamer auprès du nouveau papeAnastase IV sa restauration. Le pape accepte et la nomination de FitzHerbert est confirmée le[25],[20]. Il se réconcilie avec les cisterciens de l'abbaye de Fountains, leur faisant une donation qui compense les dégâts occasionnés par ses partisans lors des années précédentes[4],[26].

Mort et canonisation

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Le collège Saint-William près de York Minster

Toutefois, moins d'un mois après son retour à York, durant la célébration d'une messe, Guillaume FitzHerbert tombe gravement malade[9],[4]. Il meurt une semaine plus tard, le[9],[4]. Dans le chapitre d'York, l'opinion générale est que lecalice utilisé durant cette messe avait été empoisonné[25],[17].

Un des clercs de FitzHerbert accuse alors formellement Osbert de Bayeux, un des archidiacres d'York, de cet empoisonnement[4]. Ce dernier est d'abord jugé devant la cour royale, puis devant une cour ecclésiastique et finalement par le pape[4]. Le résultat de ces procédures judiciaires n'est pas connu, mais on sait que Osbert de Bayeux estdéfroqué et déposé avant 1158[4].

Guillaume FitzHerbert est enterré àYork Minster et quelques mois après sa mort, divers miracles lui sont attribués. Son culte est encouragé par les autorités ecclésiastiques locales, afin de contrer le culte grandissant voué à saintThomas Becket, nouveau symbole de l'adversaire historique, l'archevêché de Cantorbéry[4]. En 1223, une huile à l'odeur douce s'échappe de sa tombe après avoir été endommagé par un incendie. Pourtant, son corps ne s'est pas décomposé et n'a pas été endommagé par le feu[27]. Le papeHonorius III ordonne que des investigations soient menées à propos de ces miracles, et le canonise en 1227[4],[28].

Sa fête est célébrée le8 juin, jour de sa mort[29],[26]. Il est surtout célébré à York. L'iconographie traditionnelle et les vitraux dépeignent souvent saint Guillaume traversant laTweed ; on le voit même la traverser sur un bateau. Des vitraux duXIVe etXVe siècle le représentent lors de son retour triomphal à York en 1154[4]. Le musée du Yorkshire conserve une plaque sculptée montrant Guillaume lors de son retour à York, traversant le pont qui enjambe la Ouse alors que celui-ci s'effondre mais que personne n'est tué[1].

Son blason représente 7 losanges[30]. Le collège Saint-William qui doit son nom à sa situation proche de York Minster, est établi entre 1465 et 1467 avec la permission du roiÉdouard IV[31].

En 1284, ses restes sont déplacés de la nef de York Minster vers un sanctuaire placé derrière lemaître-autel[4]. Oubliés après des travaux auXVIe siècle, son cercueil est redécouvert dans les années 1960 et est aujourd'hui dans la crypte deYork Minster[32].

Portrait et signification

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Guillaume FitzHerbert fut certainement un homme capable qui avait une grande expérience et une grande connaissance du clergé local[4]. Il s'était quand même fait la réputation d'êtreindolent, et ses ennemis le décrivirent comme un homme peu vertueux. Le chroniqueur contemporainWilliam de Newburgh écrivit de lui[4] qu'il était « un homme qui était clairement de naissance noble, appréciable, avec un certain manque de morale ». Mais ses défauts éventuels n'ont que très peu à voir avec les problèmes auxquels il fut confrontés[12].

Pour l'historienne Janet Burton, il eut simplement la malchance d'être élu archevêque à une période de changement politique[4]. En effet, le pouvoir royal d'Étienne, alors en pleineguerre civile, était si faible, qu'il ne fut même pas en mesure d'imposer son candidat dans le deuxième plus important diocèse de son royaume[12],[4]. Quelques années auparavant, le candidat du roi n'aurait été l'objet d'aucune contestation[4]. Ensuite, les nouveaux ordres religieux (Augustins etCisterciens) s'étaient bien implantés dans leYorkshire, et Guillaume FitzHerbert fut un point de cristallisation de leur ambition réformatrice, notamment celle deBernard de Clairvaux[4],[12]. Cette ambition politique fut probablement renforcée par des ambitions personnelles, notamment celles des autres archidiacres, et celle d'autres membres du chapitre cathédral[4].

Il fut tacitement reconnu que sa déposition n'était due qu'à une question de politique quand il fut restauré parAnastase IV, en 1153[12]. Guillaume n'était donc certainement pas un mauvais homme, et il fut d'ailleurs très apprécié et très populaire à York comme le montre la réaction des habitants d'York qui empêchèrentHenri Murdac de rentrer dans la ville en 1148[4].

Sources

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Notes et références

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  1. a etbWalsh,A New Dictionary of Saints,p. 627-628.
  2. Nominis : Saint Guillaume Fitzherbert.
  3. Keats-Rohan,Domesday Descendants,p. 151-152.
  4. abcdefghijklmnopqrstuvwxyzaaabacadaeafagahaiajakalamanaoapaqaras etatJanet Burton, « William of York (d. 1154) »,Oxford Dictionary of National Biography, Oxford University Press, 2004.
  5. a etbC. Warren Hollister, « The Origins of the English Treasury »,The English Historical Review,vol. 93,no 367 (avril 1978),p. 268.
  6. Norton,St. William of York,p. 10-16.
  7. Norton,St. William of York,p. 34-37.
  8. Norton,St. William of York,p. 61.
  9. ab etcFryde,Handbook of British Chronology,p. 281.
  10. Derek Baker, « Waldef (c.1095–1159) »,Oxford Dictionary of National Biography, Oxford University Press, 2004.
  11. a etbDavid Crouch,The Reign of King Stephen,p. 304.
  12. abcdefghi etj« William FitzHerbert »,Christopher Tyerman,Who's Who in Early Medieval England, 1066-1272, Shepheard-Walwyn,(ISBN 0856831328),p. 160-161..
  13. Paul Dalton, « William le Gros, count of Aumale and earl of York (c.1110–1179) »,Oxford Dictionary of National Biography, Oxford University Press, 2004.
  14. Frank Barlow,The English Church 1066-1154,p. 98.
  15. Burton,Monastic and Religious Orders,p. 77.
  16. Poole,Domesday Book to Magna Carta,p. 191.
  17. a etb(it) Niccolò Del Re, « San Guglielmo Fitzherbert Vescovo, monaco », sursanti e beati,(consulté le).
  18. abc etdDavid Crouch,The Reign of King Stephen,p. 309-310.
  19. a etbNorton,St. William of York,p. 118.
  20. a etb« Le martyrologe romain fait mémoire de Saint Guillaume Fitzherbert »,Magnificat,no 247,‎,p. 128.
  21. Norton,St. William of York,p. 120.
  22. abcde etfJanet Burton, « Murdac, Henry (d. 1153) »,Oxford Dictionary of National Biography, Oxford University Press, 2004.
  23. Norton,St. William of York,p. 124.
  24. Henri devient finalement roi après la mort d'Étienne en 1154.
  25. a etbBarlow,The English Church 1066–1154,p. 102.
  26. a etb« Saint Guillaume, Archevêque d'York (+ 1154) », surNominis(consulté le).
  27. Norton,St William of York,p. 149.
  28. Fiche de Guillaume d'York sur catholic.org.
  29. Manser,Dictionary of Saints,p. 300.
  30. (en)« Heraldry associated with St. Wilfrid (& St. William of York) »(consulté le).
  31. Page, « Collegiate churches: York (including York Minster) »,A History of the County of York,vol. 3,p. 375-386.
  32. (en)« York Minster FAQs, Question 8 »(consulté le).

Annexes

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Bibliographie

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Article connexe

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Liens externes

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