Ungroupe d'utilisateurs de logiciels libres est ungroupe d'utilisateurs d'ordinateurs prenant souvent la forme d'une association locale, parfois plus large, comme nationale, au sein de laquelle se réunissent des utilisateurs et partisans delogiciels libres le plus souvent desystèmes d'exploitation, mais aussi d'applications plus simples. En français, les acronymesGUL etGULL sont utilisés.
Certains groupes souhaitent réunir l'ensemble des utilisateurs de logiciels libres et sont donc généralistes.
En francophonie :Association francophone des utilisateurs de logiciels libres,April...
D'autres groupes se concentrent un peu plus sur un domaine professionnel : l'entreprise en général, l'éducation, la fonction publique...
On parle[style à revoir] couramment degroupe d'utilisateurs Linux ouGNU/Linux, ainsi queGNU/Hurd, voire simplementGNU[1],[2] est un groupe d'utilisateurs d'ordinateurs — souvent une association locale, parfois nationale — au sein de laquelle se réunissent des utilisateurs et partisans dusystème d'exploitationGNU/Linux — ou GNU, GNU/Hurd donc — et deslogiciels libres[3],[4].
Pour désigner ces groupes,on[style à revoir] utilise aussi couramment lesacronymes GUL ou LUG provenant de l'anglaisLinux User Group, ainsi que parfois GLUG (GNU/Linux User Group), HUG[5] (Hurd User Group) et GUG (GNU User Group) et leurs équivalents français. Cet acronyme, GUL, signifie également depuis quelques années[Quand ?] Groupe d'utilisateurs de logiciels libres pour de nombreux participants à ces associations,on[style à revoir] rencontre parfois l'acronyme GULL.
Des organisations similaires telles que les groupes d'utilisateursFreeBSD existent, même si beaucoup de GUL pratiquent aussiFreeBSD et d'autres systèmesPOSIXlibres.
L'AFUL s'attache à donner les grandes lignes de mise en route d'un Groupe d'Usagers Linux[6][source secondaire nécessaire],
« Lesgroupes d'usagers d'ordinateurs, du moins aux États-Unis, ne sont pas un phénomène nouveau ; en fait, ils ont joué un rôle important dans l'histoire de l'ordinateur personnel. L'ordinateur personnel a évolué en grande partie pour satisfaire la demande des électroniciens, des radio-amateurs, et des autres groupes d'usagers amateurs, ainsi que celle des expositions et des salons, pour un accès personnel et bon marché aux ressources informatiques. Bien sûr, des géants commeIBM ont par la suite découvert que lePC était quelque chose de bien et de rentable, mais l'engouement pour le PC vint du peuple, par le peuple, et pour le peuple.
Pour ne donner qu'une indication des différences entre un GUL et un groupe d'usagers traditionnel, j'attire l'attention du lecteur sur un fait étrange : les groupes d'usagers traditionnels ont dû maintenir un contrôle relativement serré sur les genres de logiciels que leurs usagers copiaient et vendaient lors des rencontres. Alors que des copies illégales de logiciels commerciaux se faisaient certainement lors de ces rencontres, cette pratique était officiellement désapprouvée, et pour cause. Au contraire, lors d'un salon d'un GUL, cet état d'esprit est totalement hors sujet. Loin d'être le genre de chose qu'un GUL doive désapprouver, le copiage gratuit deGNU/Linux doit être l'un des piliers d'un GUL. En fait, des anecdotes montrent que les groupes d'usagers traditionnels ont quelquefois besoin d'un temps d'adaptation pour comprendre que GNU/Linux peut être copié gratuitement autant de fois qu'on en a besoin ou qu'on le désire. »
Typiquement, les membres d'un GUL se retrouvent une à plusieurs fois par mois dans des lieux prêtés librement par des universités, collèges, médiathèques, maisons pour tous,MJC, etc. pour l'occasion. Par exemple les membres du SVLUG de laSilicon Valley se sont retrouvés pendant 10 ans à l'arrière du restaurantCarl's Jr., puis se retrouvaient dans des salles de réunions deCisco ; alors que les membres du BALUG (Bay Area LUG) se sont depuis toujours retrouvés dans une salle de banquet au-dessus du restaurantThe Four Seas dans le quartier deChinatown deSan Francisco.
De nombreux GUL sont libres et ne demandent aucune cotisation mensuelle ou annuelle. Souvent, les participants sont encouragés à parrainer de nouveaux hôtes. Cela permet de rencontrer de visu d'autres utilisateurs et de proposer ou recevoir de l'aide dans son utilisation quotidienne, l'entraide étant la forme la plus répandue dans le monde GNU/Linux.
EnFrance, la plupart de ces groupes sont organisés sous la forme d'Associations loi de 1901, regroupant les utilisateurs d'un lieu ou d'une région. Plusieursdépartements ont leur groupe[7][source insuffisante], y compris outre-mer. En France, les plus connus sontABUL (Bordeaux) ou Parinux (Paris).
Les bénévoles organisent desInstall Parties (ou, anciennement, desCopy Parties) et invitent - généralement gratuitement - les visiteurs des environs pour les aider à installer et configurer GNU/Linux ainsi que des logiciels libres sur leur ordinateur[source secondaire souhaitée].
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Le GULLinuxChix est une association qui a été fondée pour fournir un soutien technique et social aux utilisatrices de GNU/Linux.
Parmi les autres communautés d'utilisatrices deslogiciels libres on peut lister :
Il y a existe des groupes d'utilisateurs BSD — en anglais, BSD user group, BUG —, certains sont spécifiques àFreeBSD, d'autresOpenBSD ou encoreNetBSD.
Il ne semble pas y avoir de groupes actifs consacrés àHaiku, mais les anciens groupes d'utilisateursBeOS — en anglais, Be user group, BeUG — ont existés et peuvent être considérés comme ancêtres ; on peut citer BeBUG, ancien groupe belge[9]. Le BeUS France ayant été fondé en 1999[10]. En 2004, les BeUG toujours actif faisaient part de après le rachat de Be parPalm, que BeOS, et son successeur d'alors, Zeta, continuaient d'exister[11].
Il existe des groupes locaux regroupant des utilisatrices et utilisateurs de logiciels libres spécifiques comme par exempleBlender[12],TeX /LaTeX (voir l'articleGroupe d'utilisateurs de TeX pour plus de détails), ou certainséditeurs de texte commeEmacs[13][source insuffisante],[14],[15],[16].
Il existe aussi des groupes locaux liés à des langages de programmation libres comme lesPerl Mongers pourPerl (langage).