Pour les articles homonymes, voirUC etGroupe Union centriste.
| Groupe Union centriste | |
| Chambre | Sénat |
|---|---|
| Fondation | 1968 |
| Ancien(s) nom(s) | Groupe Union centriste des démocrates de progrès(1968-1984) Groupe Union centriste(1984-2005 ; 2009-2011) Groupe Union centriste-UDF(2005-2009) Groupe Union centriste et républicaine(2011-2012) Groupe Union des démocrates et indépendants-Union centriste(2012-2017) |
| Affiliation partisane | Union des démocrates et indépendants Les Centristes Mouvement démocrate Parti radical Alliance centriste Horizons Tapura huiraatira Femu a Corsica Utiles |
| Président | Hervé Marseille |
| Représentation | 59 / 348 |
| Positionnement | Centre àcentre droit |
| Idéologie | Centrisme Libéralisme Social-libéralisme Démocratie chrétienne Radicalisme Humanisme Europhilie |
| Site Web | unioncentriste-senat.fr |
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Legroupe Union centriste (UC), qui a utilisé plusieurs dénominations au cours de son existence, est ungroupe parlementairefrançais rassemblant auSénat des parlementaires situés aucentre et aucentre droit de l'échiquier politique. Il constitue actuellement la troisième force politique de la chambre haute.
Le groupe est issu du groupe desRépublicains populaires forméen 1959, de la formation administrative en son sein du Centre démocratique (équivalent d'ungroupe homonyme à l'Assemblée nationale), les deux fusionnanten 1965 en un « groupe des républicains populaires et du centre démocratique » (RPCD)[1],[2].
Lors de l'élection présidentielle française de 1965, le candidat issu duMouvement républicain populaire (MRP)Jean Lecanuet met en ballotage le généralCharles de Gaulle en obtenant 15,57 % des suffrages. En 1966, sous sa conduite, leMouvement républicain populaire devient leCentre démocrate.
Constitué après lesélections sénatoriales de 1968, le groupe Union centriste des démocrates de progrès (UCDP) succède au groupe RPCD. Dans la foulée,Alain Poher (Centre démocrate et ex-MRP) devientprésident du Sénat ; candidat à l'élection présidentielle de 1968, il est battu au second tour parGeorges Pompidou.
Les centristes se rallient à la majorité présidentielle de Georges Pompidou puis deValéry Giscard d'Estaing en 1969 et 1974, avant de se retrouver dans l'opposition à partir de l'élection présidentielle de 1981 ; avec la droite, ils restent cependant majoritaires au Sénat.
Le groupe Union centriste des démocrates de progrès (UCDP) adopte le nom d'Union centriste (UC) le[3].
L'Union centriste est alors au sommet de son influence au Sénat. Il comprend un noyau de sénateurs membres duCentre des démocrates sociaux, héritier du MRP et de ladémocratie chrétienne. Avec legroupe des Républicains indépendants (pour la plupart membres duParti républicaingiscardien), il est l'un des deux principaux groupes réunissant des sénateurs membres de l'UDF, les sénateursradicaux siégeant avec lesradicaux de gauche dans un troisième groupe, leRDSE.
Le groupe contribue à faire du Sénat une tribune pour la défense de l'école libre. Autour de ce noyau s’agrègent un certain nombre de sénateurs sans étiquette, désignés par des élus de terrain peu politisés: de fait, le groupe fonctionne comme une force politique autonome, y compris sur le plan financier.
L'influence du groupe est bientôt menacée par la montée en puissance du groupeRPR d'abord puis du groupe socialiste ensuite. La succession d'Alain Poher en 1992 est problématique. Au sein de l'Union centriste,René Monory est préféré àDaniel Hoeffel etJean Lecanuet. Puis il est désigné par l'ensemble des sénateurs se réclamant de UDF au détriment du Républicain indépendantPierre-Christian Taittinger. Il doit encore battre Alain Poher, candidat à un dernier mandat avec le soutien du groupe RPR qui lorgne déjà sur sa succession.
Réélu en 1995, René Monory est devancé au premier tour en 1998 par le candidat du RPRChristian Poncelet, dont l'audience personnelle dépasse celle de son groupe politique. En 1998, l'UDF dans son ensemble perd de l'influence avec le départ deslibéraux de la confédération centriste, désormais principalement centrée autour du CDS.
L'UMP, créée en 2002, vise à réunir tous les élus de droite et du centre-droit. À ce titre, 40 sénateursRI (Démocratie libérale) sur les 41 rejoignent legroupe UMP, fruit de la fusion de leur groupe avec celui du RPR.
Une majorité des sénateurs de l'Union centriste (29 sur 54) rejoignent également le groupe UMP. Avec 25 sénateurs, l'Union centriste se maintient cependant, à l'instar du groupe RDSE, qui ne voit que quatre sénateurs sur 21 le quitter pour l'UMP.

Le sigle « UDF » est accolé au nom du groupe du à. Le groupe approuve dans son ensemble l'évolution de l'UDF vers une plus grande autonomie dans son alliance avec l'UMP, qui se traduit, en 2006-2007 par une rupture de plus en plus franche entre les deux partis au niveau national. Cependant, l'impact de la stratégie d'indépendance deFrançois Bayrou est à relativiser au Sénat, moins soumis que l'Assemblée nationale aux effets de la bipolarisation de l'échiquier politique depuis l'avènement de laVe République. Ainsi les sénateurs centristes conservent leur indépendance par l'existence même de leur groupe tout en restant alliés à l'UMP dans la majorité du président du Sénat Christian Poncelet.
En 2007, la stratégie de François Bayrou, fort de son score au premier tour de l'élection présidentielle, le conduit à transformer l'UDF en un nouveauMouvement démocrate, censé élargir l'audience du centre et l'inscrire définitivement dans un positionnement indépendant de l'UMP (et du Parti socialiste). Si le président du groupe UC-UDF,Michel Mercier, rejoint le MoDem, une majorité de ses membres vont prendre leur distance avec le MoDem, restant attachés au positionnement de l'UDF, dont le groupe conservera le sigle jusqu'en 2008 dans son libellé.
Sous l'égide de Jean Arthuis, ancien président du groupe, une partie des sénateurs centristes attachés à l'UDF fonderont avec lui un nouveau parti politique, l'Alliance centriste. D'autres rejoindront leNouveau Centre, qui s'inscrit franchement dans majorité présidentielle deNicolas Sarkozy. Enfin, certains feront le choix de rester ou devenir sans étiquette partisane. Si le NC devient numériquement la formation politique la plus représentée au sein du groupe, l'AC alliée au MoDem, jouera un rôle déterminant au sein du groupe. Ainsi, des membres du MoDem, puis de l'AC, seront sans discontinuer élus présidents de l'UC tout au long du mandat de Nicolas Sarkozy.
La pérennité du groupe à son étiage de 25-30 membres, devient cependant de moins en moins assuré. Une majorité de ses membres seront renouvelables en 2011, peu de nouveaux sénateurs l'ont rejoint durant les années 2000 et la rupture d'alliance du MoDem avec la droite rend très incertaine la réélection de ses membres, dans un contexte où le Parti socialiste a remporté de très larges victoires aux élections locales qui ne l'obligent pas à chercher appui auprès des sénateurs partisans de François Bayrou.
Après lesélections sénatoriales de 2011, le MoDem perd ainsi trois sénateurs sur six sièges renouvelés. L'Alliance centriste en perd deux sur six. Seul le Nouveau Centre progresse, en remportant six sièges (principalement grâce à son alliance avec l'UMP et parfois au détriment de sortants MoDem, dont le positionnement leur a fait perdre des voix dans l'électorat de droite) alors qu'il n'en avait que quatre qui étaient en jeu. Au total, sur 18 sièges en jeu, le groupe UC perd quatre sièges.

Cependant, le groupe parvient à progresser en effectifs (31 sénateurs contre 30 avant le renouvellement) avec l'arrivée d'un certain nombre de sénateurs issus duParti radical (qui a gagné deux sièges aux élections) ou deLa Gauche moderne, qui siégeaient jusqu'à présent au sein des groupesUMP ouRDSE. Ils se regroupent avec ceux de l'Union centriste : le groupe prenant alors l'appellation d'« Union centriste et républicaine » (UCR).
Les sénateurs de l'UCR sont à ce moment répartis de la manière suivante :
Le groupe confirme son ancrage aucentre droit et ne participe pas à la nouvelle majorité de gauche du Sénat, qui élit à sa présidence lesocialisteJean-Pierre Bel.Valérie Létard, sénatrice NC, sera candidate au nom du groupe UC et obtiendra 29 voix au premier tour.
Le, à la suite de la création de l'Union des démocrates et indépendants (UDI) parJean-Louis Borloo, à laquelle adhèrent 28 des 31 sénateurs de l'UCR (puis 29 des 32, après le ralliement deChantal Jouanno), le groupe prend le nom d'« Union des démocrates et indépendants - UC » (UDI-UC).
Avec lesélections sénatoriales de 2014, le groupe UDI-UC connaît une dynamique sans précédent depuis 2002 en gagnant 12 sièges portant son effectif à 43 sénateurs. Les sièges gagnés le sont tous par des membres de l'UDI, la plupart du temps au détriment du Parti socialiste ou duPRG, mais aussi de l'UMP.
Le, le groupe choisit de reprendre le nom d'« Union centriste » et adopte une motion initiée par Michel Mercier (MoDem) « plaçant le groupe dans la majorité présidentielle » d'Emmanuel Macron et prévoyant que le groupe soutienne des candidats aux prochaines sénatoriales qui « s’inscrivent dans la majorité présidentielle (…) et en tant que partenaire » de celle-ci[6].
Jacqueline Gourault, sénatrice UC du Loir-et-Cher, est nomméeministre auprès du ministre d'État, ministre de l'Intérieur en.
Cependant, la très grande majorité des candidats UC aurenouvellement de septembre 2017 le seront sans soutien deLa République en marche et souvent, sur des listes communes ou en alliance avec des candidatsLes Républicains ou divers droite. Certains sénateurs touchés par le cumul des mandats décident de ne pas poursuivre au Sénat : Jean-Léonce Dupont, Chantal Jouanno ou le président du groupe François Zocchetto. Le groupe UC gagne à nouveau sept sièges portant son effectif à 49 sénateurs, un niveau proche des 54 sénateurs membres du groupe avant la création de l'UMP en 2002.
Après les élections sénatoriales de,Hervé Marseille (UDI-FED) est élu à la tête du groupe qui soutient dès le premier tour le présidentLarcher lors de sa réélection à la tête du Sénat.
La recomposition du paysage politique consécutive à l'élection présidentielle a peu de conséquences sur la composition du groupe qui n'a connu que deux départs en 2017 : celui deJoël Guerriau (ex-UDI) qui siège à partir d'octobre au groupe de droite constructiveLes Indépendants et deJean-Marc Gabouty,radical qui avait soutenu Emmanuel Macron et a rejoint après son élection le groupe RDSE.
En, le Premier ministreÉdouard Philippe est invité à rencontrer et à dialoguer avec les membres du groupe. Il définit l'Union centriste comme « le groupe le plus bienveillant de l'opposition et le plus critique de la majorité »[7].
Les départs de l'UDI de l'AC, du Parti radical, puis du parti Les Centristes modifient également quelque peu les équilibres partisans internes au groupe, mais dans une ampleur modérée par le fait que plusieurs sénateurs membres de ces formations font le choix de rester à l'UDI, qui reste majoritaire, avec 31 sénateurs sur 50, en.
À la suite desélections sénatoriales de 2020, le groupe gagne dix nouveaux sénateurs et compte désormais 54 membres, un effectif quasi similaire à celui d’avant la création de l'UMP. Si le groupe perd des fiefs historiques (Rhône, Bouches-du-Rhône, Haut-Rhin), les sénateurs centristes sont présents dans de nouveaux territoires : Hautes-Alpes, Charente, Tarn-et-Garonne, Vosges. Le Doubs et le Tarn comptent désormais deux sénateurs UC chacun. La Seine-Maritime est représentée par trois sénateurs UC. La plupart des sénateurs sortants sont réélus dès le premier tour dans les départements à scrutin majoritaire. Hervé Marseille est réélu président du groupe[8], qui soutient la réélection de Gérard Larcher à la présidence du Sénat.
À la suite desélections sénatoriales de 2023, le groupe compte 56 membres et le groupe a actuellement 59 sénateurs au Sénat.
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Le groupe Union Centriste compte 37,5 % de sénatrices en 2021. La moyenne d'âge est de 60 ans (contre 60 ans et deux mois pour l'ensemble des sénateurs[9]). La Bourgogne-Franche-Comté, le Grand Est, l'Île-de-France et la Normandie comptent le plus de sénateurs UC (six chacun). Sept sénateurs ont été élus pour la première fois au Sénat entre 2001 et 2008. Quinze sénateurs UC sont arrivés entre 2011 et 2015. Trente-et-un sénateurs ont été élus lors des élections sénatoriales de 2017 et 2020. Dans les mandats locaux, quarante-cinq sénateurs UC ont été maires par le passé, trente-trois ont été conseillers départementales (les sénateurs François Bonneau, Nassimah Dindar et Pascal Martin ont été présidents de département). Dix-sept sénateurs ont déjà eu un mandat de conseiller régional et quatre sénateurs ont eu un mandat de député.

En, le groupe est composé des 56 sénateurs (50 membres, 4 apparentés et 2 rattachés) suivants[10] :
| N° | Identité | Période | Durée | Étiquette | |
|---|---|---|---|---|---|
| Début | Fin | ||||
| 1 | André Colin | 1963 | 1971 | 8 ans | CD |
| 2 | Roger Poudonson | 1971 | 1974 | 3 ans | CD |
| 3 | André Fosset | 9 juillet 1974 | 12 janvier 1976 | 1 an, 6 mois et 3 jours | CD |
| 4 | Adolphe Chauvin | 3 avril 1986 | 10 ans et 2 jours | CD,UDF | |
| 5 | Daniel Hoeffel | 4 avril 1986 | 31 mars 1993 | 6 ans, 11 mois et 27 jours | UDF |
| 6 | Maurice Blin | 7 avril 1993 | 4 octobre 1998 | 5 ans, 5 mois et 27 jours | UDF |
| 7 | Jean Arthuis | 5 octobre 1998 | 19 juillet 2002 | 3 ans, 9 mois et 14 jours | UDF |
| 8 | Xavier de Villepin | 19 juillet 2002 | 11 décembre 2002 | 4 mois et 22 jours | DVD |
| 9 | Michel Mercier | 11 décembre 2002 | 24 juin 2009 | 6 ans, 6 mois et 13 jours | UDF,MoDem |
| 10 | Nicolas About | 7 juillet 2009 | 23 janvier 2011 | 1 an, 6 mois et 16 jours | MoDem |
| 11 | François Zocchetto | 9 février 2011 | 30 septembre 2017 | 6 ans, 7 mois et 21 jours | AC,UDI |
| 12 | Hervé Marseille | En cours | 8 ans, 1 mois et 24 jours | UDI | |
Le secrétariat du groupe est composé d'un secrétaire général, d'une chef de cabinet, d'une collaboratrice de secrétariat, d'un service presse et communication et de conseillers chargés du travail législatif[13].
Liste des secrétaires généraux :
| Chronologie | Effectifs[22],[23] | Noms du groupe | Présidents du groupe | Présidents du Sénat[24] |
|---|---|---|---|---|
| 1959 | 34 / 307 | Formation administrative du Centre démocratique, rattachée augroupe des Républicains populaires | Alain Poher | Gaston Monnerville |
| 1960 | Jean Lecanuet | |||
| 1961 | ||||
| 1962 | 35 / 274 | |||
| 1963 | ||||
| 1964 | ||||
| 1965 | 38 / 274 | Groupe des Républicains populaires et du Centre démocratique | André Colin | |
| 1966 | ||||
| 1967 | ||||
| 1968 | 47 / 283 | Groupe Union centriste des démocrates de progrès (UCDP) | Alain Poher | |
| 1969 | ||||
| 1970 | ||||
| 1971 | 46 / 283 | Roger Poudonson | ||
| 1972 | ||||
| 1973 | ||||
| 1974 | 55 / 283 | André Fosset | ||
| 1975 | ||||
| 1976 | Adolphe Chauvin | |||
| 1977 | 61 / 295 | |||
| 1978 | ||||
| 1979 | ||||
| 1980 | 67 / 305 | |||
| 1981 | ||||
| 1982 | ||||
| 1983 | 71 / 317 | Union centriste | ||
| 1984 | ||||
| 1985 | ||||
| 1986 | 70 / 319 | Daniel Hoeffel | ||
| 1987 | ||||
| 1988 | ||||
| 1989 | 68 / 321 | |||
| 1990 | ||||
| 1991 | ||||
| 1992 | 66 / 321 | René Monory | ||
| 1993 | Maurice Blin | |||
| 1994 | ||||
| 1995 | 59 / 321 | |||
| 1996 | ||||
| 1997 | ||||
| 1998 | 52 / 321 | Jean Arthuis | Christian Poncelet | |
| 1999 | ||||
| 2000 | ||||
| 2001 | 53 / 321 | |||
| 2002 | Xavier de Villepin | |||
| 2003 | Michel Mercier | |||
| 2004 | 33 / 331 | |||
| 2005 | Union centriste-UDF | |||
| 2006 | ||||
| 2007 | ||||
| 2008 | 29 / 343 | Gérard Larcher | ||
| 2009 | Union centriste | Nicolas About | ||
| 2010 | ||||
| 2011 | 31 / 348 | Union centriste et républicaine (UCR) | François Zocchetto | Jean-Pierre Bel |
| 2012 | UDI-Union centriste (UDI-UC) | |||
| 2013 | ||||
| 2014 | 42 / 348 | Gérard Larcher | ||
| 2015 | ||||
| 2016 | ||||
| 2017 | 50 / 348 | Union Centriste | Hervé Marseille | |
| 2018 | ||||
| 2019 | ||||
| 2020 | 54 / 348 | |||
| 2021 | ||||
| 2022 | ||||
| 2023 | 56 / 348 |
Groupes politiques au Sénat français (2023-2026) | |
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| Présidents |
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|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Autres dirigeants (vice-présidents, délégués nationaux, secrétaires généraux, porte-paroles) | |||||||||||
| Partis membres (président, nombre de parlementaires) | |||||||||||
| Anciens partis membres |
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| Groupes parlementaires |
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| Autres structures |
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