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Grande mosquée des Omeyyades

33° 30′ 41″ nord, 36° 18′ 24″ est
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Pour la Mosquée des Omeyyades d'Alep, voirGrande Mosquée d'Alep.

Grande mosquée des Omeyyades de Damas
Image illustrative de l’article Grande mosquée des Omeyyades
Présentation
Nom localجامع بني أمية الكبير
(Ğāmi' Banī 'Umayyah al-Kabīr)
CulteIslam
TypeMosquée
Début de la construction706
Fin des travaux715
Style dominantOmeyyade
ProtectionPatrimoine mondial
(1979, vieille ville de Damas)
Géographie
PaysDrapeau de la SyrieSyrie
VilleDamas
Coordonnées33° 30′ 41″ nord, 36° 18′ 24″ est

Carte

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Lagrande mosquée des Omeyyades deDamas, construite entre706 et715, est unédifice religieuxmusulman bâti par lecalifeomeyyadeAl WalidIer.

Histoire

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Lasahn de la mosquée des Omeyyades.

La mosquée fut construite auVIIIe siècle (entre 706 et 715) sur l'emplacement d'unebasiliquepaléochrétienne.

La fontaine et la salle des prières en arrière-plan.
Le minaret de Jésus.
Leminbar de la mosquée.
Lemihrab principal.

Emplacement

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Cettemosquée fut édifiée dans la vieille ville romaine deDamas devenue capitale de l'Empire omeyyade, près des deux axes principaux de la ville qui dataient de l'époque romaine : lecardo et ledecumanus. Elle se situe à l'emplacement de l'ancienneéglise SaintJean le Baptiste (IVe siècle), elle-même construite sur un ancientéménos romain dédié àJupiter[1].

Letemple romain est encore présent dans la mosquée sous la forme de certains murs, despropylées à l'est et destours d'angle devenues desminarets[1]. En revanche, labasilique Saint-Jean-Baptiste, édifice de petite taille, fut en grande partie démolie pour gagner de l'espace, excepté un clocher devenu minaret et certains murs extérieurs conservés de l'édifice ancien. Cette démolition n'est intervenue qu'après l'achat de l'église par le pouvoir musulman vers664.

Unpalais de la période omeyyade a été découvert à proximité de la mosquée lors defouillesarchéologiques.

La construction originale et les restaurations successives

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C'est à la demande d'Al-WalidIer que fut édifiée la nouvelle mosquée, entre706 et715[2]. La mosquée a un aspect monumental qui s'explique en partie par le contexte historique de l'époque du calife : l'augmentation du nombre de musulmans à Damas rend nécessaire la construction d'un édifice ayant une capacité d'accueil importante[3]. De plus, il faut rivaliser avec les églises de Syrie afin d’affirmer la place grandissante de l’islam[4].

Néanmoins, son histoire fut pour le moins tourmentée, et son état actuel, s'il semble assez bien respecter la disposition originale, ne contient presque plus rien d'omeyyade.

La mosquée subit en effet une série de catastrophes : un premierincendie en1069, suivi d'autres en1166 et1174, amena lesAyyoubides à procéder à une série derestaurations ; puis la conquête mongole deTamerlan (1401) poussa à un nouveau travail de restauration par lesMamelouks, notamment sur leminaret ouest. En 1759, untremblement de terre mit à mal leportique autour de la cour, avant qu'un nouvel incendie ne ravage le bâtiment, un siècle et demi plus tard, en1893, et ne détruise la quasi-totalité desmosaïques.

La mosquée des Omeyyades ne conserve donc plus beaucoup d'éléments originaux, mais on pense[réf. nécessaire] que mis à part lesplafonds, et sans doute lescoupoles, elle a été volontairement, pendant les nombreuses restaurations, gardée dans son état initial. Il s'agirait donc encore plus ou moins d'un bâtiment de style omeyyade.

La mosquée dans les sources

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La grande mosquée a souvent été mentionnée dans les sources historiques, mais très peu au début de son existence. Son état originel reste donc encore méconnu. Quatre historiens musulmans nous en ont livré des descriptions détaillées :

Il existe aussi des photos du bâtiment datant d'avant le grand incendie de 1893. On les doit principalement àAlbert Khan, philanthrope français à qui l’on doit les Archives de la planète, un des plus importants fonds iconographiques. Des historiens de l’art et de l’architecture islamique participent également à cette documentation à l’exemple de K.A.C Creswell. L’Institut Français du Proche Orient possède également une grande collection de photographies sur la redécouverte des mosaïques en 1928.

Dans l'historiographie contemporaine, la mosquée de Damas tient une grande place, notamment dans les ouvrages fondamentaux de Creswell[6] et Golvin[7] Toutefois, c'est Tiersch qui est le premier à considérer la grande mosquée de Damas comme une œuvre « purement musulmane ».

À l'époque contemporaine

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En 1929 (mandat français en Syrie), la mosquée est restaurée.

Architecture

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Décor architectural : marbre de couleur, mosaïques à fond d'or et d'argent, nacre, bronze moulé.

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Plan intérieur et exterieur

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Le plafond d'une des entrées de la mosquée (2019).
La cour de la grande mosquée (2019).

La mosquée est un exemple typique du plan arabe. Elle s'inscrit dans les limites du téménos romain : un grand rectangle, de 157 mètres sur 100. Cet espace est divisé en deux parties : une cour (sahn) de 122 × 50 mètres, bordée d'unportique sur trois côtés, et une salle de prière barlongue de très grandes dimensions divisée en troisnefs parallèles au mur de laqibla. Celui-ci comporte quatremihrab ; lemihrab central est magnifié par untransept plus haut et plus large.

Trois entrées permettent l'accès : celles de l'ouest et de l'est (respectivementBâb al-Barid etBâb Jayrun) sont antiques, celle du nord (Bâb al-Faradis : « porte duparadis ») est située à l'emplacement de la porte romaine, mais elle a été remodelée lors de la construction. La quatrième porte pré-islamique, au sud, a été murée afin de disposer d'un mur de laqibla plein. Dans la cour se trouvent unefontaine àablutions et, dans la partie ouest, un édicule couramment dénommé « trésor », dont l'utilisation est très discutée par les historiens. Certains indiquent qu’il contenait le trésor public[8]. Troisminarets sont élevés sur les tours carrées romaines : deux aux angles du mur de laqibla, le troisième au-dessus de la porte, au milieu de lafaçade opposée[9].

Élévation

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Sur ses côtés nord et sud, leriwâk (arcade) est actuellement constitué uniquement depiliers de section carrée, mais il est probable qu'à l'origine, deuxcolonnes alternaient avec un pilier, comme c'est encore le cas sur les côtés est et ouest. Dans la salle de prière, des colonnes sont utilisées ; elles sont pour la plupart des remplois romains, provenant notamment des rues àportiques avoisinantes. On y trouve aussi quatre gros piliers qui soutiennent lacoupole.

Les colonnes de la salle de prière supportent unearcature qui est elle-même surmontée d'un étage àclaire-voie permettant à la fois de rehausser letoit et de donner aux supports plus de transparence. Des éléments du téménos romain ont été conservés pour les murs extérieurs de la mosquée, qui ont toutefois été rehaussés, comme le montre une nette différence dans l'appareillage. Le mur deqibla est percé en hauteur de petitesfenêtrescintrées qui permettent à lalumière de pénétrer dans la salle de prière.

Couvrement

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La salle de prière est actuellement couverte par une charpente soutenant untoit enbâtière, c’est-à-dire à double pente. L'organisation tripartite de ce couvrement met en valeur la disposition interne à troisnefs. Par contre, le fait que desfenêtres en partie supérieure des murs (notamment du mur deqibla) aient été coupées montre que la pente des toits a dû être retouchée, sans doute lors de l'une des reconstructions dues aux incendies. En effet, lacharpente étant en bois, c'est cet élément qui est le plus fréquemment détruit lors de feux.

Unecoupole surmonte également letransept. On sait qu'il en existait déjà une, sans doute en bois, avant l'incendie de 1069, car elle est mentionnée par Nâbigha ash Shaibâni (mort en 742-743[10]), poète de cour ducalifeal-WalidIer et de ses successeurs, et par l'historienal-Muqqadasi (al-Maqdisi). La comparaison avec le dôme de lamosquée Ibn Touloun permet de supposer qu'elle était montée sur despoutres en forme decroix. Ledôme actuel, dit dôme de l'aigle, n'a été construit que sousMalik Shah (1082-1083).

Le décor le plus remarquable à Damas est constitué par lesmosaïques deverre à fond d'or de stylebyzantin qui recouvrent en grande partie les murs. Néanmoins, outre le fait que ces mosaïques sont pour la plupart des reconstitutions, en raison des dommages causés par l'incendie de 1893, elles ne sont pas les seules composantes d'une décoration qui comprend aussi beaucoup debois sculpté (charpente,entraits, portes àvantaux,maqsura, etc.), et des revêtements demarbre blanc sur les murs et le sol. Sixgrilles de marbre à motifs géométriques sont également conservées. Il fallait aussi compter avec despeintures, actuellement disparues, et sans doute des apports debronze (lustres et feuillets recouvrant le bois, comme audôme du Rocher), qui n'existent plus non plus.

Les mosaïques

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Mosaïque de la grande mosquée des Omeyyades, 705-715,in situ.

Lesmosaïques s'étendaient autrefois sur toutes les parties hautes de la mosquée, dans la cour et leharam, créant une couverture qui commençait juste au-dessus des panneaux demarbre.

Après l'incendie de 1893 et jusque 1926, on a pu penser que l'ensemble des mosaïques étaient perdues, celles-ci ayant été dissimulées sous un enduit durant l'époque ottomane. On les trouve aujourd'hui dans levestibule est, sur une large surface de la face nord dutransept, sur lesarcs duriwaq (arcade). Mais le panneau le plus célèbre est le panorama de la rivièreBarada, mis au jour en 1928 sur leportique ouest par Victor Eustache de Lorey (1875-1953), directeur de l'Institut français d'études musulmanes à Damas et Lucien Cavro (1905-1973), architecte. Le panneau mesure 34,5 mètres de long pour 7 mètres de haut. Il est actuellement toujours conservé in-situ mais il a été recopié grandeur nature entre 1928 et 1929 par trois artistessyriens peu après sa découverte, Fehmi Kabbani, Kamal Kallas et Nazmi Khair, tous trois élèves de l'École des arts arabes modernes créée par de Lorey. Les neuf relevés effectués se trouvent aumusée du Louvre, les parties du panneau étant présentées en alternance au niveau haut dudépartement des Arts de l'Islam[11],[12].

Ces mosaïques ont été réalisées dans le style de l'art byzantin, très répandu dans les basiliques et les églises chrétiennes auProche-Orient avant l'Islam, et il devait probablement déjà y en avoir dans la cathédrale Saint Jean qui précédait la présente mosquée. Elles ont été créées par des artisans byzantins engagées par les Omeyyades[13],[14]. Elles sont cependant adaptées aux règles de l'Islam par l’absence de figuration humaine ou animale.

Il y a une certaine naïveté dans le traitement, malgré les emprunts à la tradition classique dans nombre de motifs (acanthes,vases jaillissant,cornes d'abondance,arbres traités de manière réaliste), qui existaient déjà audôme du Rocher. Par contre la référence au mondesassanide est ici inexistante.

Selon Richard Ettinghausen[15], le thème dominant et nouveau est celui de l'architecture. On trouve ainsi représentés despalais (architectures riches àétage), desmaisons, assemblées comme dans unvillage, et des constructions uniques, unhippodrome, unportail à ciel ouvert. Cette iconographie pacifique (sansfortification) servirait à montrer l'étendue dudar al-islam.

Une autre lecture peut être menée[réf. nécessaire] , par comparaison avec les mosaïques à viséeeschatologique de lagrande mosquée de Médine, réalisées dans la même technique et les mêmes tons. Les arbres seraient alors une référence auparadis tel que présenté dans lareligion musulmane, comme un vastejardin, lesperles pourraient être une référence auxhouris. De plus, ces mosaïques sont marquées par la traditionchrétienne, parce qu'elles ont été réalisées dans un lieu à majorité chrétienne, et par desartisansbyzantins. Les arbres prennent plus ou moins la place desmartyrs, tels qu'on les trouve sur les mosaïques chrétiennes de larotonde de Saint-Georges de Thessalonique, par exemple. On peut donc construire tout un faisceau de références eschatologiques ou paradisiaque à partir de ces décors, références que mentionne égalementAl-Maqdisi.

Tombeaux et reliques

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Le monument des reliques du prophète Yahyâ ibn Zakariya, SaintJean le Baptiste.
  • Reliquaire duchef de SaintJean le Baptiste, connu dans l'Islam comme le prophète Yahyâ ibn Zakariya (c'est-à-dire Jean fils de Zacharie).
  • Dans une salle attenante auportique est, la salle deHussein(mashhad al-Hussein) abrite un reliquaire dans lequel se trouve le chef du fils d'Ali. C'est un lieu de pèlerinage important pour les chiites[16].
  • Restes du prophèteJonas[réf. nécessaire]

Autres

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Par ses dimensions (157 × 77 m), cet édifice était alors[Quand ?] le plus grandbâtiment dumonde musulman et servit de modèle à toutes les autresmosquées de l'Empire.

La décoration est unemosaïque datant duVIIIe siècle. Il s'agit d'une œuvrebyzantine. On y lit deux thèmes :

  • sur l'édifice enpierre, une représentation du monde « pacifié » et islamisé ;
  • sur les décorsfloraux, une vision omeyyade de laville idéale.
Reliquaire en argent contenant la tête de l'ImamHussein.

La mosquée sera dorénavant une œuvre religieuse mais aussipolitique. La Mosquée de Damas a subi des influences byzantines pour les travaux qui furent effectués par desarchitectes et desartistes byzantins.Leschapiteaux eux-mêmes, avec leurabaque en tronc depyramide, étaient déjà utilisés à la période byzantine.

Notes et références

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  1. a etbCatherine Saliou,Le Proche-Orient : De Pompée à Muhammad, Ier s. av. J.-C. - VIIe s. apr. J.-C.,Belin,coll. « Mondes anciens »,, 608 p.(ISBN 978-2-7011-9286-4,présentation en ligne), II. Vivre au Proche-Orient romain, « Épilogue »,p. 511-513.
  2. Oleg Grabar,La formation de l'art islamique, Flammarion,coll. « Champs », Paris, 2000(ISBN 2-08-081645-4),p. 146 ; Henri Stierlin,l'Architecture islamique, Paris : PUF,coll. « Que sais-je ? »,p. 21. Cependant, les dates peuvent changer d'un auteur à l'autre. FB. Flood (dansThe great mosque of Damascus, the making of an Umayyad visual culture, Leyde : Brill, 2001(ISBN 90-04-11638-9)p. 2) donne les deux dates de 87H/705 et 88H/706. Le siteArchNet, de manière plus étonnante, indique la date de 709.
  3. HenriTerrasse, « Les débuts de l'architecture musulmane (622-750) »,Journal des Savants,vol. 3,no 1,‎,p. 161–186(lire en ligne, consulté le).
  4. (en) Creswell K.A.C,A short account of early muslim architecture, Beyrouth, Librairie du Liban,, p.45.
  5. Texte reproduit dans Golvin, Lucien.Essai sur l'architecture religieuse musulmane, T. II, L'art religieux des Umayyades de Syrie. Paris : Klinckseck, 1971,p. 141-147.
  6. (en) K. A. C. Creswell,A short account of early muslim architecture. Harmondsworth : Penguin Books, 1958.
  7. Lucien Golvin,Essai sur l'architecture religieuse musulmane, t. II « L'art religieux des Umayyades de Syrie. », Paris, Klinckseck, 1971,p. 125-184.
  8. Abdul-Hak, Sélim,Aspects de l’ancienne Damas, Damas, Direction générale des antiquités et des musées de la province syrienne de la république Arabe Unie, 1913.
  9. Sauvaget, Jean,Les monuments historiques de Damas, Beyrouth, Presses de l’IFPO, 1932.
  10. « Page mentionnant le nom complet et la date de décès de Nâbigha ash Shaibâni »(consulté le).
  11. Sophie Makariou,Les mosaïques de la grande mosquée de Damas in Sophie Makariou (dir.),Les Arts de l'Islam au Musée du Louvre, coéditions Musée du Louvre et Hazan, 2012, pp 80-84(ISBN 978-2-35031-361-0) et(ISBN 978-2-75410-619-1).
  12. Fehmi Kabbani, Kamal Kallas et Nazmi Khair,Relevé des décors de mosaïque de la mosquée de Damas, Damas, 1929, aquarelle et or sur papier marouflé, sur papier secondaire puis sur toile, inventaires MAO 2074 à 2078, MAO 2092 et 2093, MAO 2096 et 2097.
  13. Barbara H. Rosenwein,A short history of the Middle Ages. University of Toronto Press, 2014. p. 56
  14. Kleiner, Fred.Gardner's Art through the Ages, Vol. I Cengage Learning, 2013.
  15. Richard Ettinghausen,La Peinture arabe, Skira, 1962.[réf. incomplète].
  16. (en) Ross Burns,Monuments of Syria. An historical guide, London - New York, I.B. Tauris,, Revised éd., 301 p.(978-1-860-64244-9),p. 79-85..

Annexes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Abdul-Hak, Sélim,Aspects de l’ancienne Damas, Damas, Direction générale des antiquités et des musées de la province syrienne de la république Arabe Unie, 1913, 142 pages.
  • Creswell, K.A.C,A short account of early muslim architecture,Beyrouth, Librairie du Liban, 1958, 330 pages.
  • Gérard Degeorge,La Grande Mosquée des Omeyyades - Damas, Imprimerie nationale, Paris, 2010(ISBN 978-2-7427-9032-6)
  • Golvin, Lucien, « La grande mosquée de Damas »,Essai sur l'architecture religieuse musulmane. Tome 2, L’art religieux des Umayyades de Syrie, Paris, Editions Klinchsieck, 1971, p.125-186.
  • Oleg Grabar,La Formation de l'art islamique, Flammarion,coll. « Champs », Paris, 2000(ISBN 2-08-081645-4)
  • LorelineSimonis,Les Relevés des mosaïques de la grande mosquée de Damas, Paris, Coédition musée du Louvre / Somogy éditions d'Art,, 64 p.(ISBN 978-2-7572-0569-3)
  • Sauvaget, Jean,Les monuments historiques de Damas, Beyrouth, Presses de l’IFPO, 1932, 116 pages.
  • Van Berchem Max, « Notes archéologiques sur la mosquée des Omeyyades», Bulletin d’études orientales, Tome 7, 1937, p.39-57.
  • Vigouroux, Elodie, « La mosquée des Omeyyades de Damas après Tamerlan »,Bulletin d’études orientales, Tome 61, 2012, p. 123-159.

Liens externes

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  • Qantara, « Lieux de prière et de pratique » avec une vidéo en 3D (4' 20'') sur la mosquée des Omeyyades.[lire en ligne (page consultée le 31 janvier 2022)]
  • Représentation 3D :Iconem, « Umayyad Mosque - Damascus », suriconem.com(consulté le)
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