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Gissac

43° 50′ 50″ nord, 2° 55′ 57″ est
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Gissac
Gissac
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionOccitanie
DépartementAveyron
ArrondissementMillau
IntercommunalitéCommunauté de communes Monts, Rance et Rougier
Maire
Mandat
Michel Arvieu
2020-2026
Code postal12360
Code commune12109
Démographie
GentiléGissacois(e)
Population
municipale
96 hab.(2022en évolution de −8,57 % par rapport à 2016)
Densité3,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées43° 50′ 50″ nord, 2° 55′ 57″ est
AltitudeMin. 351 m
Max. 769 
m
Superficie31,02 km2
TypeCommune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaineHors unité urbaine
Aire d'attractionSaint-Affrique
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesCanton des Causses-Rougiers
LégislativesTroisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
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Gissac
Géolocalisation sur la carte :France
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Gissac
Géolocalisation sur la carte :Aveyron
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Gissac
Géolocalisation sur la carte :région Occitanie
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Gissac
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Gissac est unecommune française, située dans ledépartement de l'Aveyron enrégionOccitanie, elle appartient à laCommunauté de communes du Rougier de Camarès.

Lepatrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre desmonuments historiques : lechâteau de Montaigut, inscrit en 1987.

Géographie

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Localisation

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La commune de Gissac se trouve entre les vallées de laSorgues, duDourdou et duGrauzou (où ce dernier prend sa source), à une vingtaine de kilomètres au Sud deSaint-Affrique.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sontCamarès,Montlaur,Saint-Affrique,Saint-Félix-de-Sorgues,Sylvanès,Vabres-l'Abbaye etVersols-et-Lapeyre.

Carte
Les limites communales de Gissac et celles de ses communes adjacentes.
Rose des ventsVabres-l'AbbayeSaint-AffriqueVersols-et-LapeyreRose des vents
MontlaurNSaint-Félix-de-Sorgues
O   Gissac   E
S
CamarèsSylvanès

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Gissac.

La commune est drainée par leGrauzou, le ruisseau de Gommaric, Combe de Lau, ravin d'aygue lébade, le ravin de Fruscas, le ravin de la Bourgatte, le ravin de la Pomière, le ravin de Pari, le ravin des Combes, le ravin du Besc, le ravin du Bouis, le ravin du Camarès, le ravin du Rec Grand, le ruisseau d'Andabre, par divers petits cours d'eau[1].

LeGrauzou, d'une longueur totale de 14,1 km, prend sa source dans la commune de Gissac et se jette dans leDourdou de Camarès àVabres-l'Abbaye, après avoir arrosé 4 communes[2].

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat de l'Occitanie etClimat de l'Aveyron.

En 2010, le climat de la commune est de typeclimat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant lapériode 1971-2000[3]. En 2020,Météo-France publie une typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat de montagne et est dans la région climatiqueSud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de11,2 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 152 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 4,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune deBrusque à 9 km àvol d'oiseau[5], est de11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 103,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différentsscénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Milieux naturels et biodiversité

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Espaces protégés

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Laprotection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver desespaces naturels remarquables et leurbiodiversité associée[9].Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, leParc naturel régional des Grands Causses, créé en 1995 et d'une superficie de327 937 ha, s'étend sur 97 communes. Ce territoire rural habité, reconnu au niveau national pour sa forte valeur patrimoniale et paysagère, s’organise autour d’un projet concerté de développement durable, fondé sur la protection et la valorisation de son patrimoine[10],[11],[12].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire deszones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Gissac comprend deux ZNIEFF detype 1[Note 1],[13], les « Ravins autour de Campalviès » (920,3 ha), couvrant 3 communes du département[14]et le « Rougier du camp de la Lèbre » (7,4 ha), couvrant 2 communes du département[15]et une ZNIEFF detype 2[Note 2],[13], le « Rougier de Camarès » (56 714 ha), qui s'étend sur 33 communes dont 32 dans l'Aveyron et 1 dans l'Hérault[16].

  • Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
    Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
  • Carte de la ZNIEFF de type 2 de la commune.
    Carte de la ZNIEFF de type 2 de la commune.

Urbanisme

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Typologie

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Au, Gissac est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à7 niveaux définie par l'Insee en 2022[17].Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Affrique, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 16 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols

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Infrastructures et occupation des sols de la commune de Gissac.

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (65,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (41,4 %), forêts (31,9 %), terres arables (15,3 %), prairies (5,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,5 %)[20].

Planification

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Laloi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’unSCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT duParc naturel régional des Grands Causses, approuvé le vendredi par le comité syndical et mis à l’enquête publique en décembre 2019. La structure porteuse est lePôle d'équilibre territorial et rural du PNR des Grands Causses, qui associe huitcommunautés de communes, notamment lacommunauté de communes Monts, Rance et Rougier, dont la commune est membre[21].

La commune, en 2017, avait engagé l'élaboration d'unplan local d'urbanisme[22].

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Gissac est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel oucanicule), feux de forêts etséisme (sismicité très faible).Il est également exposé à deux risques particuliers, les risques radon et minier[23],[24].

Risques naturels

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Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité forte[25].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés à la présence de cavités souterraines localisées sur la commune[26],[27].

Risques particuliers

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La commune est concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[28].

Dans plusieurs parties du territoire national, leradon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population auxrayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon ledossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Gissac est classée à risque moyen à élevé[29]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans lecode de la santé publique[30] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[31].

Histoire

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  • Site occupé à l'époque romaine.
  • Le village s'appelaitJenciacium (1133).

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune de Gissac est membre de lacommunauté de communes Monts, Rance et Rougier[I 1], unétablissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est àBelmont-sur-Rance. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[32].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Millau, audépartement de l'Aveyron et à larégionOccitanie[I 1]. Sur le plan électoral, elle dépend ducanton des Causses-Rougiers pour l'élection desconseillers départementaux, depuis leredécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de latroisième circonscription de l'Aveyron pour lesélections législatives, depuis ledernier découpage électoral de 2010[33].

Élections municipales et communautaires

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Élections de 2020

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Leconseil municipal de Gissac, commune de moins de 1 000 habitants, est élu auscrutin majoritaire plurinominal à deux tours[34] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité depanachage[35]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors desélections municipales de 2020 est de 11. La totalité des onze candidats en lice[36] est élue dès le premier tour, le, avec un taux de participation de 57,29 %[37].Michel Arvieu, maire sortant, est réélu pour un nouveau mandat le[38].

Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[39]. Un siège est attribué à la commune au sein de lacommunauté de communes Monts, Rance et Rougier[40].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
avant 1988?René Boudes  
19892014Roger Cremien Enseignant retraité
mars 2014En coursMichel Arvieu[41],[42] Ancien agriculteur exploitant
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[44].

En 2022, la commune comptait 96 habitants[Note 4], en évolution de −8,57 % par rapport à 2016 (Aveyron : +0,37 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001821183118361841184618511856
165159816809388410405392397
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
186118661872187618811886189118961901
420410431440446432438345307
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190619111921192619311936194619541962
334320245255254243208184154
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196819751982199019992006200820132018
14611715213997110114106101
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
2022--------
96--------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puisInsee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Emploi

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Taux de chômage
Division200820132018
Commune[I 2]2,6 %1,6 %1,7 %
Département[I 3]5,4 %7,1 %7,1 %
France entière[I 4]8,3 %10 %10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 59 personnes, parmi lesquelles on compte 86,4 % d'actifs (84,7 % ayant un emploi et 1,7 % de chômeurs) et 13,6 % d'inactifs[Note 5],[I 2]. Depuis 2008, letaux de chômage communal (au sens du recensement) des15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Saint-Affrique, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 1],[I 5]. Elle compte 44 emplois en 2018, contre 39 en 2013 et 45 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 50, soit unindicateur de concentration d'emploi de 87,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 57,3 %[I 6].

Sur ces 50 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 25 travaillent dans la commune, soit 50 % des habitants[I 7]. Pour se rendre au travail, 72 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2 % lestransports en commun, 12 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 14 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 8].

Activités hors agriculture

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9 établissements[Note 6] sont implantés à Gissac au[I 9].Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 44,4 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 9 entreprises implantées à Gissac), contre 27,5 % au niveau départemental[I 10].

Agriculture

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1988200020102020
Exploitations151399
SAU[Note 7] (ha)1 3811 5341 5201 665

La commune est dans lesMonts de Lacaune, unepetite région agricole occupant le sud du département de l'Aveyron[47]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 8] sur la commune est l'élevage d'ovins ou decaprins[Carte 2]. Neufexploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 9] (15 en 1988). Lasuperficie agricole utilisée est de1 665 ha[49],[Carte 3],[Carte 4].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Château de Montaigut

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Article détaillé :Château de Montaigut.

Logo monument historique Inscrit MH(1987)[50]

Château de Gissac

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Ce château date duXIIIe siècle.

Divers

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Personnalités liées à la commune

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Renè Coty y a été mis en résidence en 1942.

Bibliographie

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Articles connexes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les ZNIEFF detype 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF detype 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  5. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  6. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  7. Les données relatives à lasurface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  8. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  9. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[48].
  • Cartes
  1. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », surl'observatoire des territoires(consulté le).
  2. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », surstats.agriculture.gouv.fr(consulté le).
  3. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », surstats.agriculture.gouv.fr(consulté le).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », surstats.agriculture.gouv.fr(consulté le).

Références

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Site de l'Insee

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  1. abcd eteInsee, « Métadonnées de la commune ».
  2. a etb« Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Gissac »(consulté le).
  3. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aveyron »(consulté le).
  4. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière »(consulté le).
  5. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sursite de l'Insee(consulté le).
  6. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Gissac »(consulté le).
  7. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 »(consulté le).
  8. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 »(consulté le).
  9. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Gissac »(consulté le).
  10. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aveyron »(consulté le).

Autres sources

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  1. « Fiche communale de Gissac », surle système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie(consulté le).
  2. Sandre, « le Grauzou »
  3. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le).
  5. « Orthodromie entre Gissac et Brusque », surfr.distance.to(consulté le).
  6. « Station Météo-France « Brusque_sapc » (commune de Brusque) - fiche climatologique - période 1991-2020 », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  7. « Station Météo-France « Brusque_sapc » (commune de Brusque) - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », surmeteofrance.fr,(consulté le).
  9. « Les espaces protégés. », surle site de l'INPN(consulté le).
  10. « Qu'est-ce qu'un parc naturel régional ? », surparc-grands-causses.fr(consulté le).
  11. « PNR des Grandes Causses - découverte du patrimoine », surparc-grands-causses.fr(consulté le).
  12. « PNR des Grandes Causses - fiche descriptive », surle site de l'inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
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  16. « ZNIEFF le « Rougier de Camarès » - fiche descriptive », surle site de l'inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  17. « La grille communale de densité », surle site de l’Insee,(consulté le).
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Affrique », surinsee.fr(consulté le).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surinsee.fr,(consulté le).
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  27. [PDF]« Le Dossier Départemental des Risques Majeurs (DDRM) de l'Aveyron - Risque mouvement de terrain », suraveyron.gouv.fr(consulté le).
  28. [PDF]« Dossier départemental des risques majeurs de l'Aveyron - le risque minier », surle site de la préfecture de l’Aveyron(consulté le).
  29. [PDF]« Dossier départemental des risques majeurs de l'Aveyron - le risque radon », surle site de la préfecture de l’Aveyron(consulté le).
  30. « Article R1333-29 du code de la Santé publique », surlegifrance.gouv.fr(consulté le).
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  35. « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de moins de 1000 habitants », survie-publique.fr,(consulté le).
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