Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Georges Eugène Haussmann

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirHausmann.

Georges Eugène Haussmann
Illustration.
Le baron Haussmann en 1860.
Fonctions
Député français

(3 ans, 11 mois et 20 jours)
Élection14 octobre 1877
CirconscriptionCorse
LégislatureIIe(Troisième République)
Groupe politiqueAppel au peuple
PrédécesseurNapoléon-Jérôme Bonaparte
SuccesseurNicolas Péraldi
Sénateur du Second Empire

(13 ans, 2 mois et 26 jours)
Préfet de la Seine

(16 ans, 6 mois et 13 jours)
PrédécesseurJean-Jacques Berger
SuccesseurHenri Chevreau
Préfet de la Gironde

(1 an, 6 mois et 20 jours)
SuccesseurÉdouard de Mentque
Préfet de l'Yonne

(1 an, 6 mois et 15 jours)
Préfet du Var

(1 an, 3 mois et 17 jours)
PrédécesseurPierre Ayraud-Degeorge
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissanceParis (France)
Date de décès (à 81 ans)
Lieu de décès8e arrondissement de Paris
SépultureCimetière du Père-Lachaise (Paris)
NationalitéFrançaise
ConjointOctavie de Laharpe
EnfantsValentine Haussmann
Marie-Henriette Haussmann
ProfessionHaut fonctionnaire
modifier 

Georges Eugène Haussmann, communément appelé lebaron Haussmann, né le àParis et mort le dans la même ville, est unhaut fonctionnaire ethomme politiquefrançais.

Préfet de laSeine de 1853 à 1870, il a dirigé lestransformations de Paris sous le Second Empire en approfondissant le vaste plan de rénovation établi par la commissionSiméon[1], qui vise à poursuivre les travaux engagés par ses prédécesseurs à la préfecture de la Seine,Rambuteau etBerger. Les transformations sont telles que l'on parle de bâtiments « haussmanniens » pour les nombreux édifices construits le long des largesavenues percées dans Paris sous sa houlette, les travaux réalisés ayant donné à l'ancien Paris médiéval le visage qu'on lui connaît aujourd'hui.

Biographie

[modifier |modifier le code]

Famille et formation

[modifier |modifier le code]

Georges Eugène Haussmann naît àParis le au 55,rue du Faubourg-du-Roule, dans lequartier Beaujon[2]. Il est le fils de Nicolas-Valentin Haussmann (1787-1876),protestant[3], commissaire des guerres et intendant militaire deNapoléonIer, et d'Ève-Marie-Henriette-Caroline Dentzel. Par sa mère, il est le petit-fils du général et député de laConventionGeorges Frédéric Dentzel,baron d'Empire, et, par son père, le petit-fils deNicolas Haussmann (1760-1846), député de l'Assemblée législative et de laConvention, administrateur du département deSeine-et-Oise, commissaire aux armées.

À l'âge de deux ans, comme il fatigue sa mère, ses parents l'emmènent vivre àChaville chez ses grands-parents paternels[4].

Il fait ses études aulycée Condorcet à Paris puis entame un cursus dedroit tout en étant élève auconservatoire de musique de Paris.

Carrière

[modifier |modifier le code]

De 1827 à 1830, il officie en tant que clerc de notaire dans l'étude de Maître Clausse à Paris[5].

Le, il est nommé secrétaire général de la préfecture de laVienne, puis, le, sous-préfet d'Yssingeaux (Haute-Loire)[6]. Il est successivementsous-préfet deNérac enLot-et-Garonne (le), deSaint-Girons enAriège (le), deBlaye enGironde (le), conseiller de préfecture de laGironde (1848), puispréfet duVar (le), de l'Yonne () et de laGironde (2 décembre 1851)[2].

En poste à Nérac, il fréquente labourgeoisie bordelaise, au sein de laquelle il rencontre Louise Octavie de Laharpe (1807-1890), protestante comme lui (son père estpasteurréformé selon l'acte demariage), avec laquelle il se marie le àBordeaux[7]. Ils ont deux filles : Henriette, qui épouse en 1860Camille Dollfus,homme politique, etValentine, qui épouse en 1865 le vicomteMaurice Pernety, chef de cabinet du préfet de la Seine, puis, après sondivorce (1891), Georges Renouard (1843-1897), fils deJules Renouard. Il a une autre fille, Eugénie (née en 1859), de sa relation avec l'actrice Francine Cellier (1839-1891), et descendance[8],[9].

Sous l'administration d'Haussmann, les travaux et projets girondins ont été importants. De nombreuses lignes dechemin de fer ont été construites ainsi que desusines àBègles. Les travaux de défense de lapointe de Grave ont été finalisés. Sur le plan social, il a mis en place un système d'allocations auxfilles-mères indigentes pour les aider à élever leur enfant et encouragé l'installation de bureaux de bienfaisance. À Bordeaux, de nombreuses voies ont été percées, l'éclairage au gaz et l'adduction d'eau se sont améliorés, notamment grâce à un projet de construction de troisfontaines monumentales.

Présenté àNapoléon III parVictor de Persigny, ministre de l'Intérieur, il devientpréfet de la Seine le[10] , succédant ainsi àJean-Jacques Berger, jusqu'en. En 1857, il devientsénateur et, vingt ans plus tard, député de laCorse.

Le, l'Empereur lui confie la mission d'assainir et embellir Paris.

La transformation de Paris

[modifier |modifier le code]
Article détaillé :Transformations de Paris sous le Second Empire.
NapoléonIII remettant au baron Haussmann le décret d'annexion àParis des communes suburbaines (1860).

Au milieu duXIXe siècle, le centre historique de Paris se présente à peu près sous le même aspect qu'auMoyen Âge : les rues y sont encore étroites, peu éclairées et insalubres[11].

Lors de son exil enAngleterre (1846-1848), Louis-Napoléon Bonaparte fut fortement impressionné par les quartiers ouest deLondres ; la reconstruction de la capitale anglaise à la suite dugrand incendie de 1666 avait fait de cette ville une référence pour l'hygiène et l'urbanisme moderne. L'Empereur voulait faire de Paris une ville aussi prestigieuse que Londres : tel fut le point de départ de l'action du nouveau préfet.

Haussmann souhaitait instaurer une politique facilitant l'écoulement des flux, aussi bien de population, de marchandises que d’air et d’eau, convaincu par les théorieshygiénistes héritées desLumières et qui se sont diffusées à la suite de l’épidémie de choléra de 1832. Cette campagne fut intitulée« Paris embellie, Paris agrandie, Paris assainie »[12].

Un autre objectif, politiquement moins défendu, était de prévenir d'éventuels soulèvements populaires, fréquents à Paris : après laRévolution de 1789, le peuple s'est soulevé notamment enjuillet 1830 et enjuin 1848. En démolissant et réorganisant le vieux centre de Paris, Haussmann a déstructuré les foyers de contestation : parce qu'éparpillée dans les nouveaux quartiers, on avait rendu plus difficile à la classe ouvrière d'organiser une insurrection[13].

Par ailleurs, Haussmann écrit à Napoléon III qu'il faut« accepter dans une juste mesure la cherté des loyers et des vivres […] comme un auxiliaire utile pour défendre Paris contre l'invasion des ouvriers de la province »[14].

Haussmann a l'obsession de la ligne droite, ce que l'on a appelé le « culte de l'axe » auXIXe siècle ; pour cela, il est prêt à amputer des espaces verts comme lejardin du Luxembourg mais aussi à démolir certains bâtiments comme lemarché des Innocents.

En dix-huit ans, des boulevards et avenues sont percés de la place du Trône (actuelleplace de la Nation) à laplace de l'Étoile, de lagare de l'Est à l'Observatoire. LesChamps-Élysées sont aménagés.

Dans le but d'améliorer l'hygiène, par une meilleure qualité de l'air, suivant les recommandations de son prédécesseur le préfetRambuteau, il aménage un certain nombre de parcs et jardins : ainsi est créé un square dans chacun desquatre-vingts quartiers de Paris, ainsi que leparc Montsouris et leparc des Buttes-Chaumont.

D'autres espaces déjà existants sont aménagés. Ainsi, lesbois de Vincennes etde Boulogne deviennent des lieux prisés pour la promenade. Il transforme aussi la place Saint-Michel et sa fontaine, dont la saleté l'avait marqué lorsque, étudiant, il y passait pour se rendre à l'École de droit[15].

Des règlements imposent des normes très strictes quant au gabarit et à l'ordonnancement des maisons. L'immeuble de rapport et l'hôtel particulier s'imposent comme modèles de référence. Les immeubles se ressemblent tous : c'est l'esthétique du rationnel.

Afin de mettre en valeur les monuments nouveaux ou anciens, il met en scène de vastes perspectives sous forme d'avenues ou de vastes places. L'exemple le plus représentatif est laplace de l'Étoile, dont le réaménagement est confié àHittorff.

Haussmann fait aussi construire ou reconstruire des ponts sur la Seine ainsi que de nouvelles églises, commeSaint-Augustin oula Trinité.

Il crée en parallèle, avec l'ingénieurBelgrand, des circuits d'adduction d'eau etun réseau moderne d'égouts, puis lance la construction de théâtres (théâtre de la Ville etthéâtre du Châtelet), ainsi que deux gares (gare de Lyon etgare de l'Est). Il fait construire lesabattoirs de la Villette afin de fermer les abattoirs présents dans la ville.

En 1859, Haussmann décide d'étendre la ville de Paris jusqu'aux fortifications de l'enceinte de Thiers[16]. Onze communes limitrophes de Paris sont totalement supprimées et leurs territoires absorbés par la ville entièrement (Belleville,Grenelle,Vaugirard,La Villette) ou en grande partie (Auteuil,Passy,Batignolles-Monceau,Bercy,La Chapelle,Charonne,Montmartre). La capitale annexe également une partie du territoire de treize autres communes compris dans l'enceinte. Dans le même temps, il procède à l'aménagement duParc des Princes deBoulogne-Billancourt, dans le cadre d'une vaste opération immobilière sous l'égide duduc de Morny.

La transformation de la capitale a un coût très élevé puisque Napoléon III souscrit un prêt de 250 millions de francs-or en1865, et un autre de 260 millions de francs en1869 (soit un total de 25 milliards d'euros de 2011)[17]. En plus de cela, la banque d'affaires desPereire investit 400 millions de francs jusqu'en 1867 dans des bons de délégation, créés par un décret impérial de 1858. Ces bons de délégation sont des gages sur la valeur des terrains acquis puis revendus par la ville : la spéculation a donc aidé le financement des travaux parisiens.

Mais au-delà de ces gigantesques travaux, le baron Haussmann est à l'origine de l'homogénéité esthétique de l'architecture des immeubles de Paris. En effet, il impose aux propriétaires des normes de construction très strictes favorisant l'émergence de l'immeuble de rapport et la construction d'hôtels particuliers.

Selon les estimations, les travaux du baron Haussmann ont modifié Paris à hauteur de 60 % : 18 000 maisons ont été démolies entre 1852 et 1868 (dont 4 349 avant l'extension des limites de Paris en 1860), alors que 30 770 maisons sont recensées en 1851 dans le Paris d'avant l'annexion des communes limitrophes[18].

Son influence dans le reste de la France et à l'étranger

[modifier |modifier le code]

L'action d'Haussmann a influencé l'aménagement urbain de plusieurs villes françaises sous le Second Empire et le début de laTroisième République. Il s'agit notamment deRouen, où plus de deux cents parcelles ont été expropriées pour la création de plusieurs nouvelles rues[19],Dijon,Angers,Lille,Toulouse,Agen,Avignon,Montpellier,Toulon,Nîmes et enfinMarseille qui est l'une des villes dont la physionomie a le plus changé. La ville d'Alger, alors colonie française, a également été profondément remaniée à cette époque.

Hors de France, plusieurs capitales — Bruxelles,Rome,Barcelone,Madrid,Buenos Aires etStockholm — s'inspirent de ses idées, avec l'ambition de devenir un nouveau Paris. Les principes haussmanniens influencentLe Caire.Bucarest dispose d'un quartier en rupture avec la vieille ville appelé « le petit Paris ».

Bien que lepréfet Vaïsse soit parfois présenté comme le « Haussmann lyonnais », lepercement des grandes artères dans laPresqu'île de Lyon sous leSecond Empire ne doit rien à l'exemple de ce dernier car il s'est effectué simultanément aux chantiers parisiens.

Décorations, honneurs et hommages

[modifier |modifier le code]
Boulevard Haussmann, Paris.
Rue de Paris, temps de pluie (1877) deGustave Caillebotte,Art Institute,Chicago.
« Est-il possible qu'après vous avoir tant aimée, qu'après vous avoir couverte de perles et de diamants, et fait de vous, jadis si laide, la plus belle... fille de la terre, vous me disiez... zut ? Ingrate !!! », janvier 1870.
Monument au baron Haussmann, à l'angle duboulevard Haussmann et de larue de Laborde à Paris.

Critiques et controverses

[modifier |modifier le code]

Son titre de baron a été contesté. Comme il l'explique dans sesMémoires[24], il a utilisé ce titre après son élévation auSénat en 1857, en vertu d'un décret deNapoléonIer qui accordait ce titre à tous les sénateurs, mais ce décret était tombé en désuétude depuis laRestauration[25]. LeDictionnaire du Second Empire[26], souligne qu'Haussmann a utilisé ce titre en se fondant de manière abusive sur l'absence de descendance mâle de son grand-père maternel, Georges Frédéric, baron Dentzel, dont le baronnat accordé en 1808 par Napoléon était tombé en déshérence[27].

Il aurait refusé, d'une boutade, le titre de duc proposé par Napoléon III (cf. section « Autour du baron Haussmann »).

Son œuvre n'en reste pas moins contestée à cause des sacrifices qu'elle a entraînés ; en outre, les méthodes employées ne s'encombrent pas de principes démocratiques. Les manœuvres financières sont bien souvent spéculatives et douteuses, ce qui nourrit le récit d'Émile Zola dans son romanLa Curée.

Par ailleurs, la bulle spéculative immobilière entraînée par ses travaux, qui ont eu leur pendant à Berlin et Vienne, a nourri la bulle financière qui s'est achevée par lekrach de 1873[28].

Leslois d'expropriation ont entraîné plus tard de nombreuses contestations et poussé à la faillite de nombreux petits propriétaires dépossédés de leurs biens. En parallèle, les nouveauxrèglements imposent des constructions d'un niveau de standing élevé, excluantde facto les classes les moins aisées de la société parisienne.

Cette période de travaux a favorisé lepaludisme dans Paris en raison des terrassements importants et de longue durée. Les flaques, mares et autres points d'eau croupissante perduraient longtemps, engendrant une pullulation d'anophèles parmi une grande concentration humaine. De plus, un grand nombre d’ouvriers venaient de régions infectées et étaient porteurs duplasmodium[29].

Une partie de la population manifeste son mécontentement en même temps que son opposition au pouvoir. En1867, Haussmann est interpellé par le députéErnest Picard. Les débats houleux que le personnage suscite au Parlement entraînent un contrôle plus strict des travaux, qu'il avait habilement évité jusque-là.

Jules Ferry rédige la même année une brochure malicieusement intitulée : « Les Comptes fantastiques d'Haussmann »[30], par allusion auxContes fantastiques d'Hoffmann : selon lui, l'haussmannisation parisienne aurait coûté 1 500 millions de francs, ce qui est loin des 500 millions annoncés ; on l'accuse également, à tort, d'enrichissement personnel[31].

Napoléon III a proposé à trois reprises à Haussmann d'entrer au gouvernement, comme ministre de l'Intérieur, de l'Agriculture et des Travaux Publics, mais le seul titre qu'il est susceptible d'accepter est celui de ministre de Paris, que lui refuse l'Empereur. Cependant, à partir de 1860, le préfet de la Seine assiste au Conseil des ministres[32].

Haussmann est destitué par le cabinet d'Émile Ollivier le, quelques mois avant la chute de Napoléon III. Son successeur estHenri Chevreau ; néanmoinsEugène Belgrand et surtoutAdolphe Alphand conservent un rôle prépondérant et poursuivent son œuvre.

Après s'être retiré pendant quelques années àCestas près deBordeaux, Haussmann revient à la vie publique en étant élu député enCorse en1877, face au député sortant,Napoléon-Jérôme Bonaparte, avec le soutien dunonce apostolique et ducardinal Guibert,archevêque de Paris[33]. Il conserve ce mandat jusqu'en1881 : il siège dans le groupebonapartiste de l’Appel au peuple[33]. Il est écarté de la vie publique en 1885 et en 1890, il perd successivement sa fille aînée et sa femme. Il consacre la fin de sa vie à la rédaction de sesMémoires (1890-1891), un document important pour l'histoire de l'urbanisme de Paris.

Haussmann meurt le et est enterré aucimetière du Père-Lachaise (4ème division)[34], à Paris.

Tombe de Georges Eugène Haussmann (cimetière du Père Lachaise, division 4).

Autour du baron Haussmann

[modifier |modifier le code]
  • Ernest Renan rapporte que Haussmann aurait fait disparaître une île entière enBretagne, l'Île-Grande (face àPleumeur-Bodou), pour obtenir la pierre nécessaire à ses travaux. L'écrivain exagère car l'île est toujours habitée mais il y reste d'imposantes carrières datant de l'époque des travaux haussmanniens[35].
  • Haussmann raconte dans sesMémoires que Napoléon III voulait donner son nom à la partie duboulevard de Sébastopol qui s'étendait sur la rive gauche (actuelboulevard Saint-Michel). Le préfet refusa en feignant la modestie. En réalité il espérait, et obtint en fin de compte, que son nom soit attribué à un boulevard dont l'idée lui revenait plus directement et au bord duquel il était né (dans une maison qu'il dut d'ailleurs détruire) : c'est l'actuelboulevard Haussmann.
  • Afin de montrer son peu d'attachement aux titres officiels, il rapporte dans sesMémoires le dialogue suivant, où un interlocuteur lui suggérait qu'il pourrait être nommé duc de la Dhuis, en référence aux travaux d'Haussmann par lesquels l'eau de cette rivière était venue alimenter Paris. Haussmann objecta[36] :

« De la Dhuis ? Mais, duc, ce ne serait pas assez.
— Que voulez-vous donc être ?… Prince ?
— Non ; mais il faudrait me faire aqueduc, et ce titre ne figure pas dans la nomenclature nobiliaire. »

Notes et références

[modifier |modifier le code]
  1. « Le Baron Haussmann tel qu'en lui-même », Alexandre Gady,Le Figaro Littéraire, 23 novembre 2000,[Lire en ligne], d'après les travaux de Pierre Caselle, cf. P. Casselle (éd.),Commission des embellissements de Paris : rapport à l'empereur Napoléon III rédigé par le comte Henri Siméon (décembre 1853), Paris : Rotonde de la Villette, 2000, 205 p.
  2. a etbG. Laronze,Le baron Haussmann, F. Alcan,,p. 11.
  3. « Georges Eugène Haussmann (1809-1891) », surmuseeprotestant.org(consulté le)
  4. Monique Rauzy,Georges-Eugène Haussmann, Paris,Hatier,, 98 p.(ISBN 978-2-218-73653-5[à vérifier :ISBN invalide]),p. 9.
  5. Registre destiné aux inscriptions des clercs de notaire du ressort de la Chambre séant à Paris, vol. IV, n° 5122 à 6813, MC/RC//4, Archives Nationales de France
  6. Louis Passelaigue,Haussmann, sous préfet d'Yssingeaux, Le Gonfanonno 78, Argha 2012.
  7. « Acte de mariageno 389, dans la section 2 de Bordeaux »,(consulté le),p. 146.
  8. Notamment le lieutenant-colonel Alain Le Gall du Tertre (1911-1955), Saint-Cyr promotion Mangin. Il est l'époux d'Edith Cremer (1912-2005), cofondatrice de l'ACAT - Action des chrétiens pour l'abolition de la torture (1974)[réf. nécessaire].
  9. « HAUSSMANN, Georges Eugène, baron, (1809-1891) préfet de la Seine et urbaniste », surnapoleon.org(consulté le)
  10. Sylvie Aprile,1815-1870 : LA révolution inachevé, Belin,, 670 p.(ISBN 978-2-7011-3615-8,lire en ligne),p. 397
  11. FlorenceBourillon, « La loi du 13 avril 1850 ou lorsque la Seconde République invente le logement insalubre »,Revue d'histoire duXIXe siècle,nos 20/21,‎1er juin 2000,p. 117-134(ISSN 1265-1354 et1777-5329,DOI 10.4000/rh19.212,lire en ligne, consulté le)
  12. « L’urbanisme hier et aujourd’hui. Et demain… ? », Jean-Claude Poutissou, inLes Publications de l'AUEG.
  13. Lettre de Haussmann à Persigny, 22 juin 1857, cité dansGeorges-Eugène Haussmann, Monique Rauzy, Hatier, 200 ; voir aussi P. Casselle (éd.),Commission des embellissements de Paris : rapport à l'empereur Napoléon III rédigé par le comte Henri Siméon (décembre 1853), Paris : Rotonde de la Villette, 2000, 205 p.
  14. Louis Girard,Napoléon III, Paris, Librairie Arthème Fayard,1986,p. 269.
  15. Georges Eugène Haussmann,Mémoires, 1890. Réimp. Paris, Guy Durier, 1979, p. 47.
  16. Loi sur l'extension des limites de Paris (du 16 juin 1859), dans leBulletin des lois de l'Empire français,t. XIV,XIe série,no 738, 3 novembre 1859,p. 747–751,[lire en ligne].
  17. Bernard Marchand,Le Financement des travaux d’Haussmann : un exemple pour les pays émergents ? 2011.
  18. J.E. Horn,Les Finances de l'Hôtel de Ville, 1869.
  19. Michaël Darin, « Les grandes percées urbaines duXIXe siècle : quatre villes de province,in Annales. Économies, sociétés, civilisations.43e année, N. 2, 1988 », surPersée(consulté le)
  20. « Cote LH/1272/25 »,base Léonore,ministère français de la Culture.
  21. « Fichier FANTOIR des voies et lieux-dits », surdata.gouv.fr,(consulté le).
  22. « Inventaire général : Collège, Tribunal, Sous-Préfecture, Mairie », noticeno IA47000168, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mérimée,ministère français de la Culture.
  23. Catalogue Yvert & Tellier des timbres de France.
  24. Baron Haussmann,Mémoires(trois tomes publiés en 1890 et 1893 ; nouvelle édition établie parFrançoise Choay, Seuil, 2000). Voir aussil'exemplaire de Gallica.
  25. Joseph Valynseele,Haussmann sa famille et sa descendance, éditions Christian,,p. 36.
  26. Dictionnaire du Second Empire, sous la direction de Jean Tulard, articleHaussmann.
  27. Georges Valance,Haussmann le grand,Flammarion,,p. 101.
  28. Frédéric Lewino et Gwendoline Dos Santos, « 9 mai 1873. Un krach boursier plonge l’Europe, puis les États-Unis, dans le chômage... Déjà. », surMozaikHub Magazine(consulté le).
  29. La disparition du paludisme dans la France rurale et la régression des terres humides - Exemple de la Sologne. Par Pierre-Olivier Fanica pour l'INRA, dansétude et Gestion des Sols,vol. 13, 1, 2006 -pp. 53-61.
  30. Jules Ferry,Les comptes fantastiques d'Haussmann (Gallica).
  31. Nicolas Chaudin, interrogé par Laëtitia de Witt dans l'émissionHaussmann, Georges Eugène, préfet-baron de la Seine,en ligne surCanal Académie, 2009.
  32. Georges-Eugène Haussmann, Monique Rauzy, Hatier, 2002,p. 71-73.
  33. a etbJoseph Valynseele, « Haussmann, Georges Eugène, Baron, (1809-1891) préfet de la Seine et urbaniste », surnapoleon.org(consulté le).
  34. « HAUSSMANN Georges Eugène, baron (1809-1891) », surappl-lachaise.net,(consulté le)
  35. « A propos du granite et des carrières de l’Ile-Grande », surile-grande.info viaWikiwix(consulté le).
  36. cité dansHaussmann, sa famille et sa descendance, Joseph Valynseele, Christian, 1982.

Annexes

[modifier |modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier |modifier le code]

Bibliographie générale

[modifier |modifier le code]
Page de titre desMémoires d'Haussmann, chez Victor-Havard, 1890.

Carrière avant d'être préfet de la Seine

[modifier |modifier le code]

Préfet de la Seine

[modifier |modifier le code]

Articles connexes

[modifier |modifier le code]

Liens externes

[modifier |modifier le code]

v ·m
Membres de la section des membres libres de l'Académie des beaux-arts
Fauteuil 1
Fauteuil 2
Fauteuil 3
Fauteuil 4
Fauteuil 5
Fauteuil 6
Fauteuil 7
Fauteuil 8
Fauteuil 9
Fauteuil 10
Fauteuil 11
Fauteuil 12
Fauteuil 13
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Georges_Eugène_Haussmann&oldid=230511715 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp