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Gens du voyage

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Pour les articles homonymes, voirGens du voyage (homonymie).

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Cet article concerne une catégorie administrative française. Pour les cultures et identités roms, voirRoms.

Lesgens du voyage, endroit français, sont la communauté des voyageurs ne disposant pas dedomicile fixe, ou communauténomade. Elle est définie par laloi Besson du. La notion de « gens du voyage » reste très vague. Elle ne permet pas d'éviter d'éventuellesstigmatisations, liées à des préjugés sur une population qui peut être très diverse.

L'appellationgens du voyage est souvent utilisée pour désigner lesRoms de France (y compris lesManouches, lesYéniches et lesGitans), bien qu’ils ne soient itinérants que pour environ 15 % d’entre eux selon laDéfenseure des droits[1].

Les différenteslois Besson organisent l'accueil des gens du voyage sur les aires destinées à cet effet dans les communes de plus de 5 000 habitants.

Certaines personnes classifiées comme gens du voyage travaillent commeforains. Le plus souvent, ce mode de vie nomade est le fruit d'une histoire familiale. Tous ne sont pas itinérants, certains vivent de manière sédentaire.

Il ne faut pas confondre la définition française des « gens du voyage » avec les Roms au sens de l'Union romani internationale (URI) et ses diverses identités (Gitans,Sinté,Yénichesetc.), en partie sédentarisés, et qui n'en sont qu'une composante. LesTravellers irlandais (littéralement : « voyageurs ») sont de même un groupe culturel qui ne se confond pas avec la définition des gens du voyage[2], ils habitent d'ailleurs dans lesîles Britanniques et auxÉtats-Unis et non en France.

Qualifiés de« voleurs de poules » et sujets à discriminations diverses, les gens du voyage ont plusieurs fois vu leurliberté d'aller et venir placée sous étroite surveillance policière. D'abord avec lecarnet anthropométrique institué par une loi de relative à la circulation des nomades, puis avec lescarnets etlivrets de circulation mis en place par la loi du sur l'exercice des activités économiques ambulantes et le régime applicable aux personnes circulant en France sans domicile ni résidence fixe.

Histoire

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Paul Jonard-Pacel,Les bohémiens, les romanichels, estampe,.

Depuis leMoyen Âge, de très nombreuses familles originaires de différentes régions de France ont développé des activités économiques liées à la mobilité :colporteurs,mercenaires ettravailleurs saisonniers. On peut citer lescagots dans le Sud-Ouest de la France.

Les réfugiés dePetite Égypte[3], arrivés enFrance au début duXVe siècle, adoptèrent également ce type de vie par nécessité économique. D'abord en tant qu'entreprises de guerre au service des grands seigneurs féodaux puis, à la suite de l'interdiction parLouisXIV de la guerre privée et de laDéclaration du Roy contre les Bohèmes en qui les envoie aux galères[4], contraints de se cacher et de circuler, ils trouvèrent une reconversion dans les services saisonniers et le commerce ambulant.

AuXIXe siècle, les populations nomades, désignées maintenant par le terme «gens du voyage», regroupaient des familles d'origines diverses : les Manouches, les Yéniches mais aussi les paysans français qui étaient sur les routes[5].

À la fin duXIXe siècle, on parle exclusivement de bohémiens, mais plusieurs démarches administratives et juridiques vont conduire à définir ceux-ci comme des parias, notamment le recensement, en, de« tous les nomades, bohémiens et vagabonds », puis la loi du sur l'exercice des professions ambulantes et la circulation des nomades. Par cette loi, les gens du voyage (enfants comme adultes) sont soumis à des contrôles par la présentation de leurs « carnets d'identité anthropométriques » sur lesquels figurent, outre la photographie (face et profil), lesempreintes digitales et même le carnet de vaccinations[6].

Le gouvernement français émet, le, un décret interdisant la circulation des « nomades » sur la totalité du territoire métropolitain et les assignant à résidence. Il n'est levé qu'en[7].

Entre à au cours duPorajmos, de 4 500 à 5 000 Tsiganes sont internés dans descamps situés sur le territoire français, dont notamment celui deRivesaltes[8].

Loi française

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Une aire d'accueil des gens du voyage àSaint-Ouen-l'Aumône.

Loi du et carnet de circulation

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Article détaillé :Livret de circulation (France).

Avant, les citoyens français non sédentaires devaient détenir un titre de circulation pour pouvoir circuler librement en France. Qualifiant ce document administratif de « passeport intérieur » et la loi du qui l’a institué de« loi d'apartheid », Olivier Le Mailloux, avocat représentant un forain titulaire d'un livret de circulation, a saisi leConseil constitutionnel.« Bien que français, les gens du voyage doivent encore pointer régulièrement au commissariat ou à la gendarmerie », a déclaré l'avocat. La loi du concerne les personnes n'ayant ni domicile ni résidence fixes de plus de six mois dans unÉtat membre de l'Union européenne[9].

Dans sa décision, rendue le, le Conseil constitutionnel a suivi son analyse en déclarant le carnet de circulation contraire à la Constitution au motif que ce titre de circulation portait« une atteinte disproportionnée à l'exercice de la liberté d'aller et de venir » et« restreignait de manière injustifiée l'exercice des droits civiques ». Le juge constitutionnel a toutefois maintenu l'obligation faite aux personnes itinérantes par le législateur de détenir un livret de circulation, moins coercitif que le carnet de circulation[10],[11].

La suppression des carnets de circulation par laloi Égalité et Citoyenneté du a été saluée comme une avancée par le Défenseur des Droits notamment dans son rapport sur les Gens du voyageLever les entraves au droit ().

Olivier Le Mailloux a poursuivi le combat judiciaire au nom des associations des gens du voyage qu'il défendait devant leConseil d'État en soutenant que les livrets de circulation étaient contraires à laConvention européenne de sauvegarde des droits de l'homme.

Le Conseil d'État lui a donné partiellement raison en déclarant les sanctions applicables à tous ceux qui ne détenaient pas un titre de circulation ou qui ne pouvaient justifier la possession devant les forces de l'ordre contraires à la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme[12].

Le à Montreuil-Bellay, leprésident de la République a reconnu la responsabilité de la France dans l'internement des gens du voyage pendant laSeconde Guerre mondiale et inauguré un mémorial aux victimes.

L'Assemblée nationale a adopté définitivement, le, la loi relative à l'égalité et à la citoyenneté qui abroge la loi du, mettant ainsi fin aux livrets de circulation ainsi qu'à lacommune de rattachement[13]. Le Conseil constitutionnel a été saisi[14]. La loi a été promulguée le.

Lois Besson

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Lapremière loi Besson du oblige les villes de plus de 5 000 habitants à prévoir des emplacements de séjour pour les nomades, ce qui a pu amener des situations complexes pour les communes proches de cette limite[15]. Laseconde loi Besson du définit à présent les règles[16].

En, laloi pour la sécurité intérieure renforce les peines encourues lors d'occupation illégale de terrains (six mois d'emprisonnement et 3 750 euros d'amende, possibilité de saisie des véhicules automobiles, possibilité desuspension dupermis de conduire)[17]. La loi du porte les peines encourues à un an d'emprisonnement et 7 500 euros d'amende.

En, l'Assemblée nationale a adopté l'assujettissement à lataxe d'habitation des personnes résidant dans un habitat mobile terrestre dans laloi de finances[18]. Cette taxe est repensée en puis définitivement abrogée en.

En, à la suite d'une proposition de loi, un nouveau texte modifie les règles en vigueur dans trois domaines[19] : il clarifie le rôle de l'État, descollectivités territoriales et de leurs groupements, il modifie les procédures d'évacuation des stationnements illicites, il renforce les sanctions pénales.

Commission nationale consultative des gens du voyage

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Créée et mise en place en, sous le mandat deSylvia Pinel,ministre du logement, de l'égalité des territoires et de la ruralité, la Commission nationale consultative des gens du voyage (CNCGDV), a pour ambition d'adapter la politique publique à l'accueil, l'habitat, l'accompagnement et la culture des gens du voyage. Elle s'inscrit dans une stratégie interministérielle renouvelée concernant la situation des gens du voyage, dans la continuité du travail de réflexion et de propositions du préfetHubert Derache[20]. La Commission est animée par laDihal (délégation interministérielle à l’hébergement et à l’accès au logement des personnes sans abri ou mal logées).

Conditions de vie

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Aires permanentes d’accueil

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Article détaillé :Aire d'accueil pour les gens du voyage en France.

Laseconde loi Besson du impose la construction et la mise à disposition d'aires permanentes d'accueil par les villes de plus de 5 000 habitants pour les gens du voyage. Celles-ci, équipées de locaux sanitaires individuels, comme de bornes de distribution d'eau et d'électricité, ont un coût d'aménagement élevé de l'ordre de 75 000 euros par place (plus des coûts d'entretien), lequel coût est assumé selon les cas par lesConseils départementaux, l'État, lescommunautés urbaines, ou/et les communes[21],[22]. De nombreuses aires sont cependant gérées dans le cadre de partenariat public-privé et donc de façon déléguée par des entreprises. Ces entreprises, souvent spécialisées dans ce domaine, font des chiffres d'affaires importants[23].

Dans certainsdépartements, l'utilisation des aires d'accueil est gratuite (comme dans lesCôtes-d'Armor)[23]. Ailleurs, chaque place fait l'objet d'un droit de stationnement pouvant varier d'un à dix euros par jour et par famille[23],[21],[22].

Au, seulement 52 % des aires prévues en ont été construites (moins de 30 % pour les aires de grand passage)[24]. La majorité des aires d'accueil effectivement construites sont éloignés des centres-villes, inaccessibles entransport en commun[25], ou encore situées dans deszones industrielles potentiellement dangereuse, comme celle deRouen-Petit-Quevilly située à quelques mètres de l'usineLubrizol, classéeSEVESO seuil haut, qui a subi unincendie important le[26]. Sur ce point, l'étude sur la localisation de l'offre publique d'accueil et d'habitat des gens du voyage de la FNASAT (Loris Granal et Gaëlla Loiseau) apporte des éléments de connaissance et d'analyse.

Il existe des difficultés d’accès à des infrastructures essentielles sur les aires permanentes d'accueil, en particulier à l’eau potable. Malgré la présence théorique de bornes d’eau, leur fonctionnement est souvent irrégulier, voire inexistant[27]. Certaines collectivités ont mis en place des règlements autorisant la coupure d’eau ou d’électricité en cas d’impayés, alors même que la jurisprudenceadministrative tend à reconnaître l’accès à l’eau comme un besoin fondamental[28]. Plus largement, la non-application des obligations légales reste marquée : en, seuls 24départements (sur les 96 de France métropolitaine) disposent d’une offre conforme à la seconde loi Besson[27].

Activités économiques

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D'après l'anthropologue Marc Bordigoni,« Les situations [économiques] sont très variées ». Certains exercent le métier deforain ou de marchand ambulant, se déplaçant en fonction des lieux touristiques. D'autres sont des travailleurs agricoles saisonniers qui se déplacent au fil des saisons. Enfin,« certains n'ont pas du tout d'argent, vivent parfois dans le dénuement le plus total ». Cette dernière catégorie est la plus médiatisée[5].

Éducation

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EnFrance, il existe des centres CASNAV (centres académiques pour la scolarisation des nouveaux arrivants et des enfants du voyage) qui sont concentrés sur les moyens de l’intégration scolaire.

Une partie des gens du voyage suivent leurs scolarité par correspondance, avec des centres de formation à distance tels que leCned.

L'Éducation nationale ne publie aucune données de suivi des parcours de scolarité des gens du voyage, mais les constats locaux sont alarmants sur la faiblesse des niveaux de sortie du système scolaire ou même de fréquentation. Une étude de de l'Agence des droits fondamentaux de l'Union européenne confirme ce constat[29].

Statistiques

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Article connexe :Statistiques ethniques.
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Les autorités ont souvent utilisé comme prétexte le principe français de non-reconnaissance des minorités pour ne produire aucune étude ou données concernant les gens du voyage, qui sont pourtant définis en droit selon un mode d’habitat et non par une appartenance ethnique.

Les études ou les données disponibles relèvent pour l'essentiel des travaux impulsés ou conduits par la FNASAT: ils ont récemment concerné les besoins en habitat, la localisation des sites publics de vie des gens du voyage ou la santé.

D'aprèsLes Cahiers du mal-logement de laFondation pour le Logement des défavorisés de,« les estimations du nombre de personnes considérées comme « gens du voyage » en France varient entre 250 000 et 450 000, soit 0,5 % de la population nationale »[30]. Ces estimations reposent sur le rapport de mission du préfet Arsène Delamon de[31] qui« proposait alors de prendre en compte les personnes considérées comme « gens du voyage » au sens administratif du terme, auxquelles il ajoutait les enfants de moins de16 ans (estimés à 45 % de la population), ainsi que des personnes « sédentaires », notamment les gitans rapatriés d’Afrique du Nord et vivant dans le sud-est, estimées alors à 100 000 personnes »[30].

En, on dénombrait 156 282 livrets de circulation (« personnes de plus de16 ans ne justifiant pas d'un domicile ou d'une résidence fixe ») au sens de la loi de (87 822 en et 175 000 en)[30].

En, on parle d'une population totale d'environ 250 000 personnes, dont 80 000 seraient itinérants[22].

LeSénat, dans le rapport déposé lors de l'examen de la loi du, précise qu'« on estime à environ 250 000 à 300 000 le nombre de « gens du voyage » en France »[32], nombre qui correspond à trois catégories :

  • les itinérants, qui se déplacent en permanence sur l'ensemble du territoire national ;
  • les semi-sédentaires, qui ont des attaches fortes sur un territoire ;
  • les sédentaires, installés de manière permanente, généralement sur un terrain dont ils sont propriétaires ou locataires.

Notes et références

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  1. « La politique d'accueil des gens du voyage depuis la loi Besson : chronologie », survie-publique.fr,(consulté le).
  2. Les Travellers non sédentarisés seraient bien considérés comme des gens du voyage s'ils se trouvaient en France, mais ils sont localisés exclusivement au Royaume-Uni (25 000) en Irlande (30 000) et aux USA (5 000)[1].
  3. L'histoire de ces sédentaires indiens enlevés au début duXIe siècle est singulière. Ils sont embarqués par des nomadesturcs dans une guerre de conquête en tant qu'esclaves militaires puis sédentarisés enAnatolie près de cinquante ans plus tard. Certains d'entre eux, installés vers la fin duXIIIe siècle dans les comptoirsvénitiens et dans l'Empire byzantin en tant qu'artisans ou militaires, sont forcés de s'exiler à nouveau lors de l'arrivée desOttomans à la fin duXIVe siècle. L'histoire de cette communauté en Europe remonte auXVe siècle. Les premiers voyageurs étaient dotés d'une certaine aura de respectabilité et de noblesse. En, les centaines de voyageurs se présentent souvent comme des pèlerins. Ils obtiennent des lettres de protection de monarques. AuxXVe et XVIe siècles, les Roms d'Europe sont protégés par des princes de Hongrie, Bohême, Pologne, France. L'opinion manifeste alors à leur égard un mélange de tolérance et de crainte respectueuse. Mais peu à peu, les gens du voyage furent dénoncés comme trublions à l'ordre social, « abuseurs de gens ». Ceux qui arrivèrent enAllemagne, enItalie et enFrance (Sinté/Manus), furent contraints, d'expulsions en expulsions, de trouver des stratégies de subsistance au travers de l'itinérance. Le destin de leurs frères dans lesBalkans (Roms) et dans laPéninsule Ibérique ([Kalé-[Quoi ?]« Gitans ») fut très différent et ils sont quant à eux très majoritairement sédentaires. Roms et Kalé ne sont donc pas des « gens du voyage ».
  4. Déclaration… contre les vagabons et gens appelez bohëmes et bohëmiennes et ceux qui leur donnent retraite. Registré en Parlement le 4 aoust 1682
  5. a etbMarie Piquemal,« Cinq clichés sur les gens du voyage »,Libération,(version du surInternet Archive).
  6. Catherinede Coppet, « Ni bohémien, ni gitan : la fabrique du mot "Rom" », surradiofrance.fr,France Culture,(consulté le).
  7. Lise Foisneau, « L'autre nom de l'internement des nomades »,Le Monde diplomatique,,p. 21.
  8. Peschanski 2015.
  9. Loino 69-3 du relative à l'exercice des activités ambulantes et au régime applicable aux personnes circulant en France sans domicile ni résidence fixe -Légifrance
  10. « Conseil constitutionnel, décisionno 2012-279 QPC du, « Jean-Claude Peillex » », surconseil-constitutionnel.fr,.
  11. Maryline Baumard et Hélène Bekmezian, « Les gens du voyage pourraient devenir « Français à part entière » »,Le Monde,.
  12. « Conseil d'État,no 259223,, « Jean-Claude Peillex » », surlegifrance.gouv.fr.
  13. « dossier législatif société égalité et citoyenneté », surassemblee-nationale.fr.
  14. « affaires en instance devant le Conseil constitutionnel », surconseil-constitutionnel.fr.
  15. « Aire d'accueil des gens du voyage : les habitants appelés à s'exprimer »,Nord Éclair,(version du surInternet Archive).
  16. Loino 2000-614 du relative à l'accueil et à l'habitat des gens du voyage -Légifrance
  17. Loino 2003-239 du pour la sécurité intérieure,Légifrance
  18. « Taxe d'habitation des gens du voyage : une mesure arbitraire et injuste »,LDH de Toulon,(version du surInternet Archive).
  19. « Loino 2018-957 du relative à l'accueil des gens du voyage et à la lutte contre les installations illicites », surlegifrance.gouv.fr,
  20. « Présentation de la Commission nationale consultative des gens du voyage », surculture.gouv.fr,(consulté le)
  21. a etbL'accueil des gens du voyage, un modèle de gestion intercommunale - Profession Banlieue, i.ville.gouv.fr, février 2010, page 2[PDF]
  22. ab etc« Grand Nancy : Une aire d'accueil restructurée pour les gens du voyage », surici-c-nancy.fr,.
  23. ab etcGuillaume Gendron,« Le business des aires d'accueil de gens du voyage »,Libération,(version du surInternet Archive).
  24. Jules Bonnard, « Gens du voyage : où manquent les places en aire d'accueil ? »,Le Monde,(consulté le).
  25. AFP, « Accueil des gens du voyage : la Cour des Compte constate "des progrès lents et inégaux" »,L'Express,.
  26. « Les gens du voyage : victimes invisibles de Lubrizol »,Libération,.
  27. a etbAcker 2021.
  28. Tribunal administratif de Paris, 24 janvier 2022, n°2103255/4-2.
  29. « Roms et Gens du voyage dans six pays », sureuropa.eu,Agence des droits fondamentaux de l'Union européenne,(consulté le).
  30. ab etcLes difficultés d’habitat et de logement des « Gens du Voyage » -Les Cahiers du mal-logement de laFondation Abbé Pierre, janvier 2006, page 11[PDF]
  31. Arsène Delamon,La situation des “gens du voyage” et les mesures proposées pour l'améliorer (rapport de mission au Premier ministre),(lire en ligne).
  32. Catherine Di Folco,Rapport fait au nom de la commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et d'administration générale (1) sur la proposition de loi deM. Jean-Claude Carle tendant à soutenir les collectivités territoriales et leurs groupements dans leur mission d'accueil des gens du voyage, Paris, Sénat,(lire en ligne).

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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