Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Genilac

45° 31′ 59″ nord, 4° 34′ 57″ est
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Genilac
Genilac
Le bourg de Genilac.
Blason de Genilac
Blason
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionAuvergne-Rhône-Alpes
DépartementLoire
ArrondissementSaint-Étienne
IntercommunalitéSaint-Étienne Métropole
Maire
Mandat
Denis Barriol
2020-2026
Code postal42800
Code commune42225
Démographie
GentiléGenilacois[1]
Population
municipale
3 821 hab.(2022en évolution de −1,52 % par rapport à 2016)
Densité441 hab./km2
Population
agglomération
375 797 hab.(2022)
Géographie
Coordonnées45° 31′ 59″ nord, 4° 34′ 57″ est
AltitudeMin. 255 m
Max. 588 
m
Superficie8,67 km2
TypeCeinture urbaine
Unité urbaineSaint-Étienne
(banlieue)
Aire d'attractionLyon
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesCanton de Rive-de-Gier
LégislativesTroisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte topographique de France
Genilac
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte administrative de France
Genilac
Géolocalisation sur la carte :Loire
Voir sur la carte topographique de la Loire
Genilac
Géolocalisation sur la carte :Auvergne-Rhône-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-Rhône-Alpes
Genilac
Liens
Site webwww.genilac.frVoir et modifier les données sur Wikidata
modifier 

Genilac est unecommune française, qui appartient audépartement de laLoire enrégionAuvergne-Rhône-Alpes.Bâtie sur une colline qui domine la vallée duGier, entreSaint-Étienne à l'ouest etLyon à l'est, et faisant face au massif duPilat, elle appartient à la bordure orientale desmonts du Lyonnais. Avec 3 866 habitants en 2020 contre 3192 en 1999, elle connaît une forte croissance démographique[2]. La proximité de nombreux réseaux de transport et sa situation géographique à mi-chemin de ces deux villes en font une commune attractive entre ces deux pôles urbains de la régionRhône-Alpes dont elle devient une banlieue résidentielle.La commune actuelle est le résultat de l'association en 1973 des communes deSaint-Genis-Terrenoire etLa Cula qui jusqu'en 1794 n'en formaient qu'une seule :Saint-Genis-Terrenoire a donné Geni etLa Cula a donné lac.À la suite d'unréférendum local, les habitants de Genilac ont choisi de s'appeler les Genilacois et les Genilacoises mais ils n'ont pas accepté la fusion des communes. Auparavant ils étaient souvent surnommés les Mouriets en référence à lamourine ou poussière de charbon dont étaient recouverts les anciens mineurs.

Géographie

[modifier |modifier le code]

Situation

[modifier |modifier le code]
La Cula (commune de Genilac).

La commune est située au sud dudépartement de laLoire, à 4 km deRive-de-Gier[3], à 43 km au sud-ouest deLyon[4] et à 24 km à l'est deSaint-Étienne[5]. Les habitants de la commune bénéficient de la proximité du réseau de communications de la vallée duGier desservie par la voie ferrée et de l'autoroute 47 :

Communes limitrophes deGenilac
Saint-Romain-en-Jarez
ChagnonGenilacSaint-Martin-la-Plaine
LoretteRive-de-Gier

Topographie

[modifier |modifier le code]
  • Le territoire communal, d'une superficie de 8,67 km2[6], est localisé au sud-ouest duPlateau lyonnais[7] en bordure du talus qui domine la dépression duGier.
Genilac: le bourg

Il est dominé aunord par l'escarpement du massif du Châtelard qui appartient à la ligne de crêtes desmonts du Lyonnais. Il en résulte un fortdénivelé de 588 mètres d'altitude au nord, à 255 mètres[6] au contact dubassin houiller duGier. L'encaissement des cours d'eau affluents duGier est un autre caractère dupaysage.

Climat

[modifier |modifier le code]

Pour des articles plus généraux, voirClimat d'Auvergne-Rhône-Alpes etClimat de la Loire.

En 2010, le climat de la commune est de typeclimat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant lapériode 1971-2000[8]. En 2020,Météo-France publie une typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatiqueNord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de11,2 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de17,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 779 mm, avec 8,9 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, « Saint-Didier-sous-Riverie », sur la commune deChabanière à 7 km àvol d'oiseau[10], est de11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 855,5 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différentsscénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié parMétéo-France en novembre 2022[13].

Urbanisme

[modifier |modifier le code]

Typologie

[modifier |modifier le code]

Au, Genilac est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14].Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Étienne[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant32 communes, dont elle est une commune de labanlieue[Note 2],[15],[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[16]. Cette aire, qui regroupe 397 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17],[18].

Occupation des sols

[modifier |modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (59 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (33,4 %), zones urbanisées (25,3 %), zones agricoles hétérogènes (17,1 %), forêts (11,2 %), prairies (5,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,2 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

[modifier |modifier le code]

Issue de la fusion en 1973 deSaint-Genis-Terrenoire et deLa Cula. Le nom de la nouvelle commune est formé de (Saint)Geni(s) et La C(ula).

Le nom deSaint-Genis que l'on trouve aussi sous la forme deGenès ouGenest, assez répandu dans leLyonnais, provient soit du nom du comédien romain martyrisé sousDioclétien ou deGenès de Lyon qui y fut évêque auVIIe siècle.Terra Nigra ou « Terre noire » atteste l'ancienneté de l'exploitation superficielle ducharbon de terre dans cette partie duBassin houiller duGier.La Cula a pour origine un nom d'homme latinCullius suivi du suffixe-acum.

Histoire

[modifier |modifier le code]
Article détaillé :Jarez.
  • Ce sont les vestiges de l'aqueduc du Gier qui témoignent de l'occupation du territoire à l'époquegallo-romaine mais aucune trace d'habitat permanent n'a été mise au jour.
  • Le territoire de la paroisse primitive était délimité par laDurèze, le Feloin et leGier. Les premiers documents qui attestent l'existence de la paroisse deSanctus Genesis de Terra Nigra sont duXIIe siècle.
  • Paroisse de l'archidiocèse de Lyon, Saint-Genis-Terrenoire faisait partie au début duMoyen Âge d'une région frontière située à la marge occidentale duSaint-Empire romain germanique[20]. Les terres du Royaume desBurgondes étant revenues en héritage àOttonIer du Saint-Empire, celui-ci fit des chanoines de l'Église deLyon les suzerains temporels de la ville et des territoires adjacents.Frédéric Barberousse, affranchit la ville par la Bulle d'or de 1167 et céda en même temps une grande partie de ses droitssuzerains aux archevêques. C'est ainsi qu'entre 1203 et 1226 queRenaud II de Forez, devenu archevêque de Lyon, fit fortifier de nombreux villages ou villes du Comté deLyon dont Saint-Genis-Terrenoire (Genilac) afin de les protéger de diverses menaces extérieures et montrer sa puissance à ses rivaux et voisins, en particulier, la famille de Roussillon installée àRiverie etChâteauneuf (Loire).
Saint-Genis Terrenoire vers 1910 : le château féodal.
  • Dès la fin duXIIe siècle, lechapitre de chanoines de Saint-Just deLyon encourageait l'exploitation du charbon sur le territoire de laparoisse comme le montre unlivre terrier daté de 1187[21]. En 1297, laCommanderie des hospitaliers deChazelles-sur-Lyon avait acquis d'Étienne de Saint-Priest le droit d'exploiter descarrières ouperrières de charbon situées près d'un chemin entre le bourg et le Reclus (hameau situé aujourd'hui sur la commune deLorette[22]. En 1448, ces droits furent acquis par le Chapitre de Saint-Just puis rattachés à l'obéance de Dargoire[23]. Influencés semble-t-il parJacques Cœur, qui avait auXVe siècle développé la recherche minière dans lesMonts du Lyonnais, les prélats ont compris l'intérêt économique de ce nouveaucombustible qui apporte un profit non négligeable malgré des conditions d'exploitation très précaires. En 1540,Guillaume Paradin, doyen de Beaujeu et auteur desAnnales du Lyonnais et du Beaujolais avait fait de Saint-Genis-Terrenoire le point de départ de l'extraction de lahouille et de la quincaillerie dans la valléeGier "À Saint Genis Terre-noire et à Saint-Chaumont, sont des mines de bon charbon de pierre…"Mais le principal profict qui vient est des forges, au moyen de quoi est le Gierest fort fréquenté de certaines races de posvres éstrangiers forgerons.
    Saint-Genis Terrenoire au début duXXe siècle - Vue générale vers le sud-est.

Politique et administration

[modifier |modifier le code]

Situation administrative

[modifier |modifier le code]

Genilac est l'une des 10 communes ducanton de Rive-de-Gier qui totalisait 28 855 habitants en 2011. Le canton fait partie de latroisième circonscription de la Loire et de l'arrondissement de Saint-Étienne.

Genilac fait partie de la juridiction d'instance deRive-de-Gier et de grande instance ainsi que de commerce deSaint-Étienne.

Intercommunalité

[modifier |modifier le code]
  • La commune de Genilac adhère àSaint-Étienne Métropole, unEPCI. Son organisation se rapproche de celle d'une commune. Chaque collectivité adhérente dispose d'un nombre de sièges proportionnel au nombre des habitants. Ses compétences concernent le développement économique, l'aménagement du territoire, l'enseignement et l'éducation, les équipements sportifs et culturels, l'environnement et le cadre de vie, les transports.
  • LeSyndicat intercommunal du pays du Gier[24], est l'héritier de la « Conférence intercommunale » organisée par les communes de la Vallée du Gier au cours des années 1980. De 13 adhérents en 1986, la « Conférence » se transforme enSyndicat Intercommunal regroupant 23 communes en 1995. Ses missions concernent la promotion du territoire, la vie sociale et culturelle, l'agriculture, le tourisme, l'environnement…

Héraldique

[modifier |modifier le code]
Article connexe :Armorial des communes de la Loire.
Blason de GenilacBlason
D'azur à la barre d'or, au pampre de vigne fruité degueules, tigé et feuillé de sinople, brochant sur le tout, au chef cousu de sable chargé de trois crézieux (lampes de mineur à huile et à mèche) d’argent[25].
Détails
Le blason rappelle la vigne et la mine qui furent dès leMoyen Âge les activités principales du village de Saint-Genis-Terrenoire (Sanctus in terra nigra).

Administration municipale

[modifier |modifier le code]

Depuis 1973, date du regroupement entre les communes deLa Cula et deSaint-Genis-Terrenoire, Genilac a le statut deCommune associée. Lors desélections municipales, chaque village présente une liste de candidats dont le nombre est proportionnel au % d'habitants dans la population totale. La commune est donc dirigée par un maire et un maire délégué.

À l'issue des élections municipales de 2014, le conseil municipal compte vingt-sept élus, dont deux au conseil communautaire[26].

Liste des maires

[modifier |modifier le code]
Liste des maires de la Cula de 1944 à 1972[27]
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
19731985Philippe André  
Liste des maires de Saint-Genis-Terrenoire de 1944 à 1972[27]
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
Liste des maires de Genilac depuis 1973
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
19711984Marcel Suzat  
  M. Roux  
juin 1995mars 2011
(décès)[28]
Jean OdinDVD 
mars 2011mars 2014Maurice BoyerDVD 
mars 2014En coursDenis BarriolUDI 

Tendances politiques et résultats

[modifier |modifier le code]
Résultats pour la commune desscrutins français depuis2000.
Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours.
AnnéeÉluBattuParticipation
2002%Jacques ChiracRPR%Jean-Marie Le PenFN%[29]
2007%Nicolas SarkozyUMP%Ségolène RoyalPS%[30]
2012%François HollandePS%Nicolas SarkozyUMP%[31]
2017%Emmanuel MacronEM%Marine Le PenFN%[32]
2022%Emmanuel MacronLREM%Marine Le PenRN%[33]
Élections législatives, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin.
AnnéeÉluBattuParticipation
Genilac est répartie sur plusieurs circonscriptions,cf. les résultats des .
Avant 2010, Genilac est répartie sur plusieurs circonscriptions,cf. les résultats des .
200245,28 %François RochebloineUDF21,89 %Christiane FarigoulePS%[34]
200745,75 %François Rochebloine
élu au premier tour
Nouveau Centre23,84 %Christiane FarigoulePS%[35]
Après 2010, Genilac est répartie sur plusieurs circonscriptions,cf. les résultats de .
2012%François RochebloineUDI%Philippe KizirianPS%[36]
201752,62 %Valéria Faure-MuntianLREM47,38 %François RochebloineUDI%[37]
2022%%%[38]
2024%%%[39]
Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores.
AnnéeListe1reListe2eParticipation
2004%%%[40]
2009%%%[41]
2014%%%[42]
2019%%%[43]
2024%%%[44]
Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores.
AnnéeListe1reListe2eParticipation
2004%PS%UMP%[45]
2010%PS43,55 %%[46]
2015%%%[47]
2021%%%[48]
Élections cantonales, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin.
AnnéeÉluBattuParticipation
Genilac est répartie sur plusieurs cantons,cf. les résultats de ceux de .
2001%%%[49]
2004%Jean-Claude CharvinDVD%Christiane FarigoulePS%[50]
2008%%%[51]
201168,13 %Jean-Claude CharvinUMP31,87 %Robert HeyraudFront national%[52]
Élections départementales, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin.
AnnéeÉlusBattusParticipation
Genilac est répartie sur plusieurs cantons,cf. les résultats de ceux de .
2015%%%[53]
2021%%%[54]
Référendums.
AnnéeOui(national)Non(national)Participation
1992%(51,04 %)%(48,96 %)%[55]
2000%(73,21 %)%(26,79 %)%[56]
2005%(45,33 %)%(54,67 %)%[57]


Élections nationales et européennes

[modifier |modifier le code]

Élections présidentielles

[modifier |modifier le code]
Élections de 2002
[modifier |modifier le code]
Élections de 2007
[modifier |modifier le code]
Élections de 2012
[modifier |modifier le code]

Résultats des élections présidentielles

Élections législatives

[modifier |modifier le code]
  • Élections législatives de 2002
    • Au premier tour l'UDF,François Rochebloine, arrive en tête avec 45,28 % des voix exprimées, suivi par le PS,Christiane Farigoule, avec 21,89 % des voix exprimées et le FN, Christian Grangis, avec 18,83 % des voix.
    • Au second tour,François Rochebloine, remporte cette élection avec 63,30 % des suffrages exprimés, face à 36,7 pour la candidate du PS, Christiane Farigoule.
  • Élections législatives de 2007
    • Au premier tour,François Rochebloine, investit par le Nouveau Centre, arrive en tête avec 45,75 % des voix exprimées, suivi par Christiane Farigoule (PS), avec 23,84 % des voix.
    • Au second tour, François Rochebloine, remporte l'élection avec 56,20 % des voix, contre 43,80 % pour Christiane Farigoule.

Élections européennes

[modifier |modifier le code]

Élections locales

[modifier |modifier le code]
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.Votre aide est la bienvenue !Comment faire ?

Élections cantonales

[modifier |modifier le code]
  • Élections cantonales de 2004 : Jean-Claude CharvinDivers droite a remporté cette élection dès le premier tour avec 53,09 % des suffrages, face au candidat duParti communiste français, Jean Point avec 46,91 % des voix.
  • Élections cantonales de 2011 (20 et)[59]
  1. Résultats du1er tour (dimanche)

Avec une participation 48,71 % soit 1 213 votants sur 2 490 inscrits, les électeurs ont placé en tête Robert Heyraud candidat duFront national avec 29,30 % des suffrages exprimés, puis le conseiller sortantDVD Jean-Claude Charvin qui a obtenu 27,30 % des suffrages. Ils étaient suivis du candidatsocialiste Martial Fauchet (15,53 % - 186 voix), ducommuniste Jean Point (14,19 % - 170 voix), du candidat écologiste Jacques Minnaert (12,35 % - 148 voix) et du candidat DVD Christian Nicorosi (1,34 % - 16 voix).

  1. Résultats du second tour (dimanche)

Avec une participation de 49,88 %, 1 100 suffrages exprimés soit 89,37 % des votants, les habitants de Genilac ont accordé 40,63 % des suffrages à Robert Heyraud,Front national et 59,37 % à Jean-Claude Charvin,conseiller général sortantDVD.

Élections municipales

[modifier |modifier le code]
Article connexe :Élections municipales de 2014 dans la Loire.

Le maire sortant a été battu aux élections municipales de 2014. Denis Barriol a remporté l'élection avec 65,91 % des voix ; il acquiert 23 sièges au conseil municipal dont 2 au conseil communautaire. Le taux de participation est de 69,40 %[26].

Services publics

[modifier |modifier le code]
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.Votre aide est la bienvenue !Comment faire ?

Enseignement

[modifier |modifier le code]

La commune relève de l'Académie de Lyon. Les écoles sont gérées par l'inspection départementale de l’Éducation nationale de laLoire (département) àSaint-Étienne.

  • L'enseignement primaire est assuré dans quatre établissements publics ou privés sous contrat d'association répartis sur les trois secteurs de la commune : Le Sardon, Saint-Genis et La Cula.
  • Comme il n' y a pas d'établissement d'enseignement secondaire, les élèves se rendent dans lescollèges oulycées deRive-de-Gier et des environs par un service de transport scolaire.

Transports publics

[modifier |modifier le code]
Article détaillé :Ligne de bus STAS.

Le,Saint-Étienne Métropole a créé une nouvelle ligne, la ligne 79. Cette ligne relie La Cula, Gelay, Tapigneu, Lachal, Verchères, Montellier àRive-de-Gier en moins de 15 minutes. La ligne fonctionnait du lundi au vendredi de 6 h 50 à 20 h 35 avec 9 allers-retours.

Le, après une refonte du réseauSTAS, la ligne 79 devient la ligne 47 du réseau deSaint-Étienne Métropole. La ligne circule désormais le samedi (jusqu'en 2016).

Depuis le, après une nouvelle refonte du réseau, la ligne 47 (La Cula - Gare RoutièreRive-de-Gier) fusionne avec la ligne 46 (Saint-Martin-la-Plaine - Le Plantier > Gare RoutièreRive-de-Gier). Elle gardera l'indice 47.Aujourd'hui, la ligne fonctionne du lundi au vendredi de 6 h 15 à 19 h 45 environ.

Population et société

[modifier |modifier le code]

Démographie

[modifier |modifier le code]

Évolution démographique de La Cula (1793-1972)

[modifier |modifier le code]
Évolution de la population
179318001806182118311836184118461851
412404386454402422436439452
Évolution de la population, suite (1)
185618611866187218761881188618911896
443423423406402404444410404
Évolution de la population, suite (2)
190119061911192119261931193619461954
384392371344348336351314335
(Sources : LdH/EHESS/Cassini[60])

Évolution démographique de Saint Genis Terrenoire (1793-1972)

[modifier |modifier le code]
Évolution de la population
86617931800180618211831183618411846
2 1941 2561 0201 2351 2961 8701 9152 3472 602
Évolution de la population, suite (1)
185118561861187218761881188618911896
2 6712 6712 3062 0401 9502 0161 9141 7401 701
Évolution de la population, suite (2)
190119061911192119261931193619461954
1 7641 5811 5671 5221 5551 5481 4231 3141 528
Évolution de la population, suite (3)
19621968-------
1 9962 181-------
(Sources : LdH/EHESS/Cassini[61])

Évolution démographique de Genilac (depuis 1972)

[modifier |modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1975. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[62]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[63].

En 2022, la commune comptait 3 821 habitants[Note 4], en évolution de −1,52 % par rapport à 2016 (Loire : +1,32 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
197519821990199920062011201620212022
2 5332 6082 8603 1043 5633 7633 8803 8433 821
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[61] puisInsee à partir de 2006[64].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

[modifier |modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune.En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à30 ans s'élève à 38,2 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (35,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à60 ans est de 21,0 % la même année, alors qu'il est de 28,4 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 987 hommes pour 1 919 femmes, soit un taux de 50,87 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,35 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[65]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
0,7 
5,2 
75-89 ans
6,3 
13,9 
60-74 ans
15,4 
20,8 
45-59 ans
19,3 
19,4 
30-44 ans
22,2 
17,5 
15-29 ans
15,1 
22,9 
0-14 ans
20,9 
Pyramide des âges du département de laLoire en 2021 en pourcentage[66]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,3 
75-89 ans
11 
17,1 
60-74 ans
18,2 
19,5 
45-59 ans
18,7 
17,5 
30-44 ans
17 
17,9 
15-29 ans
16 
19 
0-14 ans
16,8 

Économie

[modifier |modifier le code]
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.Votre aide est la bienvenue !Comment faire ?

Commerces et services

[modifier |modifier le code]

Le bourg de Genilac possède des commerces de proximité (boucherie, bar-tabac, boulangerie, pharmacie, supérette, coiffeurs).

Activités industrielles et artisanales

[modifier |modifier le code]
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.Votre aide est la bienvenue !Comment faire ?

Agriculture

[modifier |modifier le code]

Située sur les coteaux duJarez, l'activitéagricole est principalement tournée vers l'arboriculture avec de nombreuxvergers.

Patrimoine

[modifier |modifier le code]

Patrimoine archéologique : l'aqueduc du Gier

[modifier |modifier le code]

Des vestiges de l'aqueduc du Gier qui alimentait eneau la ville deLyon (Lugdunum) à partir des eaux du Gier sont visibles en de nombreux points.

En particulier, lehameau de Leymieux abrite un vestige rare, témoin dusavoir-faire des ingénieurs romains : leréservoir de chasse de laDurèze[67].

Genilac : le siphon de la Durèze
Réservoir de chasse de la Durèze.

Il était le départ d'un ensemblepont-siphon de près de 700 m de longueur et de 80 m de flèche qui permettait à l'eau de traverser la vallée de la Durèze à travers 9tuyaux de plomb dont il ne reste aujourd'hui que l'emplacement.Un autrepont-siphon de ce mêmeaqueduc est visible àSoucieu-en-Jarrest. Un autre exemple d'aqueduc à doublesiphon a été mis au jour sur le site de la ville romaine d'Aspendos près d'Antalya au sud de laTurquie.

Patrimoine architectural

[modifier |modifier le code]

Patrimoine religieux

[modifier |modifier le code]
alternative textuelle
Église de Genilac.
  • Église Saint-Genis de Genilac.
  • L'église de Saint-Genis-Terrenoire

L'église actuelle a été édifiée entre 1841 et 1843. Elle a remplacé une construction qui existait auXVIIe siècle mais démolie malgré plusieurs tentatives de restauration au début duXIXe siècle.Elle est l'œuvre de l'architecte Chambeyron qui a conçu également l'église Saint-Jean deRive-de-Gier. C'est un édifice représentatif de l'architecture néoclassique très prisée au début duXIXe siècle. La façade avec son fronton et ses pilastres d'angle auxquels répondent les colonnes doriques et ioniques de l'intérieur rappelle un temple grec. Le chemin de croix en plâtre est l'œuvre du sculpteurJoseph-Hugues Fabisch.

Le bâtiment actuel date du début duXVIIe siècle (1627) et remplace une chapelle plus ancienne bâtie auXIVe siècle pendant laPeste noire. Elle est dédiée àNotre-Dame-des-Douleurs. C'est unpèlerinage local encore vivant. Les murs sont recouverts d'ex-voto antérieurs à la Seconde Guerre mondiale ; une copie de la statue de Notre-Dame de Pitié remplace l'orignal duXVIIIe siècle dérobé en 1974. La chapelle a servi d'église paroissiale jusqu'à l'achèvement en 1867 de l'église de la Cula.

Architecture civile

[modifier |modifier le code]
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.Votre aide est la bienvenue !Comment faire ?

Patrimoine industriel

[modifier |modifier le code]

Les anciennes concessions minières

[modifier |modifier le code]

Elles appartenaient au district central de Rive-de-Gier, sur un territoire délimité approximativement par laDurèze, le Feloin et leGier. C'est un secteur qui fut exploité dès leXIVe siècle car les couches de charbon affleuraient ; le manque de rigueur et d'organisation dans les travaux, jusqu'à la création des concessions, explique la multiplicité des puits foncés et des accidents dus aux éboulements et inondations.

Lieux de mémoire

[modifier |modifier le code]

Vie culturelle et associative

[modifier |modifier le code]

La vie associative a un rôle important dans l'animation de la commune. Elle est organisée autour de l'OCALE, une association qui fédère les associations locales (Organisme,Culture,Activités sportives,Loisirs etÉducation).

Fêtes et manifestations publiques

[modifier |modifier le code]
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.Votre aide est la bienvenue !Comment faire ?

Les activités culturelles et sportives

[modifier |modifier le code]

Les infrastructures

[modifier |modifier le code]

Ouvert depuis, le centre nautique a été réalisé par 17 des communes adhérentes au Syndicat intercommunal du Pays du Gier[71].Situé sur la commune de Genilac il est proche de l'échangeur autoroutier du Sardon et de la ville deRive-de-Gier.Les habitants des communes adhérentes à sa réalisation (Cellieu, Chagnon, Châteauneuf, Dargoire, L'Horme, Genilac, La Grand'Croix, Pavezin, Rive-de-Gier, Saint-Martin-la-Plaine, Sainte-Croix-en-Jarez, Saint-Joseph, Saint-Paul-en-Jarez, Saint-Romain-en-Jarez, La Terrasse-sur-Dorlay, Tartaras, Valfleury), y bénéficient de tarifs préférentiels. Structure de détente et de loisirs, il est aussi largement fréquenté par les scolaires.

Les activités sportives

[modifier |modifier le code]

LesSports collectifs sont pratiqués par plusieurs équipes : leFootball club de Genilac, leHandball des Pays du Gier[72].LeCCLS (Centre culturel laïc et sportif) propose des cours de gymnastique, de sports de boules (pétanque et boules lyonnaise). Lessports de raquette sont bien représentés sur la commune : l'associationLa Jeanne d'Arc de Genilac anime une équipe detennis de table[73], letennis club de Genilac dispose de deux courts près de la salle de sports du Féloin et compte 50 licenciés et une école de tennis. Dubadminton est proposé par l'associationABG 42[74].

Médias

[modifier |modifier le code]

Il n'existe pas de média local traitant uniquement de Genilac, excepté le bulletin municipal édité par la mairie.

Le principal journal régional est le quotidienLe Progrès[75] qui paraît dans le département de la Loire sous le titreLa Tribune-Le Progrès ; l'éditionGier-Pilat traite régulièrement de Genilac dans les pages locales. Deux hebdomadaires régionauxLa Gazette de la Loire etL'Essor[76] traitent ponctuellement de l'actualité de la commune.L'actualité de la commune est également couverte par le quotidien en ligneZoom 42[77]. Située face à l'émetteur duPilat situé au sommet duCrêt de l'Œillon, la commune capte les décrochages régionaux deFrance 3 Rhône Alpes Auvergne mais ne reçoit pas les émissions de la chaîne locale TL7Télévision Loire 7[78].

La vie culturelle

[modifier |modifier le code]
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.Votre aide est la bienvenue !Comment faire ?

Cultes

[modifier |modifier le code]

La commune dispose de trois lieux de culte (culte catholique) : l'église du bourg de Saint-Genis-Terrenoire, l'église de la Cula située au hameau de Tarévieux, la chapelle Notre-Dame-de-Pitié située au bourg de La Cula. Genilac relève de laparoisse catholique deSainte-Marie-Madeleine en Gier[79] qui est une subdivision dudiocèse deSaint-Étienne, lequel relève de laProvince ecclésiastique de Lyon. Laparoisse deSainte-Marie-Madeleine en Gier regroupe 10 communes et 15 clochers.

Personnalités liées à la commune

[modifier |modifier le code]

Voir aussi

[modifier |modifier le code]

Bibliographie

[modifier |modifier le code]
  • Chaperon Gérard,Le Bassin minier de la vallée du Gier, Actes graphiques, 2004
  • Gardes, Gilbert (sous la direction de), Grande Encyclopédie du Forez et des communes de la Loire : la vallée du Gier - le Pilat, Éditions Horvarth, 1986,(ISBN 2-7171-0333-3)
  • Houssel Jean-Pierre,Les Monts du lyonnais, La Taillanderie, 2005,(ISBN 2-87629-314-5)
  • Latreille André (sous la direction de), Histoire de Lyon et du Lyonnais, Éditions Privat, 1988,(ISBN 2-7089-4751-6)
  • Plessy Bernard,La Vie quotidienne en Forez avant 1914, Hachette,(ISBN 2-01005672-8)
  • Plessy Bernard, Le Pays du Gier, Éditions lyonnaises d'art et d'histoire, 1996,(ISBN 2 84147 028 8)

Articles connexes

[modifier |modifier le code]

Liens externes

[modifier |modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et cartes

[modifier |modifier le code]
  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Saint-Étienne, il y a une ville-centre et31 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).

Références

[modifier |modifier le code]
  1. https://www.habitants.fr/loire-42
  2. La Tribune, le Progrès,no 50 044 du samedi 7 mars 2009,p. 14.
  3. « Distance par la route entre Genilac et Rive-de-Gier », surle siteOpenStreetMap(consulté le).
  4. « Distance par la route entre Genilac et Lyon », surle siteOpenStreetMap(consulté le).
  5. « Distance par la route entre Genilac et Saint-Étienne », surle siteOpenStreetMap(consulté le).
  6. a etbInstitut national de l'information géographique et forestière, « Répertoire géographique des communes ».
  7. Houssel Jean-Pierre et Lorcin Marie-Thérèse,Le Plateau lyonnais : coteaux et vallons, Éditions Bellier, Lyon, 2008,p. 15-25.(ISBN 2-84631-174-9).
  8. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le).
  10. « Orthodromie entre Genilac et Chabanière », surfr.distance.to(consulté le).
  11. « Station Météo-France « Saint-Didier-sous-Riverie », sur la commune de Chabanière - fiche climatologique - période 1991-2020 », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  12. « Station Météo-France « Saint-Didier-sous-Riverie », sur la commune de Chabanière - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », surmeteofrance.fr,(consulté le).
  14. « La grille communale de densité », surinsee,fr,(consulté le).
  15. « Unité urbaine 2020 de Saint-Étienne », surinsee.fr(consulté le).
  16. a etbInsee, « Métadonnées de la commune de Genilac ».
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lyon », surinsee.fr(consulté le).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surinsee.fr,(consulté le).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », surle site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique.(consulté le).
  20. Lacombe Robert,Souvenirs sur Rive de Gier, Société d'ethnographie, 1994
  21. Chaperon Gérard,Le Bassin minier de la vallée du Gier, Actes graphiques, 2004,p. 4-6
  22. Archives départementales du Rhône : 12G893
  23. Archives départementales du Rhône, 12G893
  24. Site officiel du Syndicat intercommunal du Pays du Gier
  25. Site de la mairie de Genilac
  26. a etbRésultats des élections municipales de 2014
  27. a etbArchives municipales
  28. « Jean Odin, maire de Genilac, est décédé », surLe Progrès.fr.
  29. Résultats des élections présidentielles de 2002 sur le site duministère de l’Intérieur.
  30. Résultats des élections présidentielles de 2007 sur le site duministère de l’Intérieur.
  31. Résultats des élections présidentielles de 2012 sur le site duministère de l’Intérieur.
  32. Résultats des élections présidentielles de 2017 sur le site duministère de l’Intérieur.
  33. Résultats des élections présidentielles de 2022 sur le site duministère de l’Intérieur.
  34. Résultats des élections législatives de 2002 sur le site duministère de l’Intérieur.
  35. Résultats des élections législatives de 2007 sur le site duministère de l’Intérieur.
  36. Résultats des élections législatives de 2012 sur le site duministère de l’Intérieur.
  37. Résultats des élections législatives de 2017 sur le site duministère de l’Intérieur.
  38. Résultats des élections législatives de 2022 sur le site duministère de l’Intérieur.
  39. Résultats des élections législatives de 2024 sur le site duministère de l’Intérieur.
  40. Résultats des élections européennes de 2004 sur le site duministère de l’Intérieur.
  41. Résultats des élections européennes de 2009 sur le site duministère de l’Intérieur.
  42. Résultats des élections européennes de 2014 sur le site duministère de l’Intérieur.
  43. Résultats des élections européennes de 2019 sur le site duministère de l’Intérieur.
  44. Résultats des élections européennes de 2024 sur le site duministère de l’Intérieur.
  45. Résultats des élections régionales de 2004 sur le site duministère de l’Intérieur.
  46. Résultats des élections régionales de 2010 sur le site duministère de l’Intérieur.
  47. Résultats des élections régionales de 2015 sur le site duministère de l’Intérieur.
  48. Résultats des élections régionales de 2021 sur le site duministère de l’Intérieur.
  49. [xls]Résultats des élections cantonales de 2001 sur le site duministère de l’Intérieur.
  50. Résultats des élections cantonales de 2004 sur le site duministère de l’Intérieur.
  51. Résultats des élections cantonales de 2008 sur le site duministère de l’Intérieur.
  52. Résultats des élections cantonales de 2011 sur le site duministère de l’Intérieur.
  53. Résultats des élections départementales de 2015 sur le site duministère de l’Intérieur.
  54. Résultats des élections départementales de 2021 sur le site duministère de l’Intérieur.
  55. Résultats des élections référendaires de 1992 sur le sitePolitiqueMania.
  56. Résultats des élections référendaires de 2000 sur le sitePolitiqueMania.
  57. Résultats des élections référendaires de 2005 sur le sitePolitiqueMania.
  58. « Résultats de l'élection présidentielle - Dimanche 5 mai 2002 », surinterieur.gouv.fr(consulté le).
  59. « lci.tf1.fr/politique/elections… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  60. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : La Culas », surehess.fr,École des hautes études en sciences sociales(consulté le).
  61. a etbDes villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  62. L'organisation du recensement, surinsee.fr.
  63. Calendrier départemental des recensements, surinsee.fr.
  64. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
  65. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Genilac (42225) »,(consulté le).
  66. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Loire (42) »,(consulté le).
  67. « GENILAC : Réservoir de chasse du siphon de la Durèze »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), surAqueduc de Gier(consulté le).
  68. Chaperon Gérard,Le Bassin minier de la vallée du Gier, Actes graphiques, 2004,p. 131-134.
  69. Chaperon Gérard, Le Bassin minier de la vallée du Gier, Actes graphiques, 2004,p. 135-138.
  70. Mémorial de la Résistance Loire, Comité de la Loire de l'ANACR, Saint-Étienne, 1992,p. 60.
  71. Site du Pays du Gier.
  72. Site du Handball des Pays du Gier.
  73. Site de l'associationLa Jeanne d'Arc de Genilac.
  74. Site de l'association ABG 42.
  75. [1]
  76. [2]
  77. [3]
  78. [4]
  79. Site de la paroisse de Sainte-Marie-Madeleine en Gier.
v ·m
53 communes en 2020
+ de 100 000Saint-Étienne
+ de 30 000Saint-Chamond
+ de 10 000
+ de 5 000
+ de 2 000
+ de 1 000
− de 1 000
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Genilac&oldid=223419703 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp