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Gaule romaine

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Gaule romaine
(la) Gallia romana

52 av. J.-C. – 486apr. J.-C.

Drapeau
Description de cette image, également commentée ci-après
La Gaule au sein de l'Empire romain.
Informations générales
Statut
CapitaleLugdunum (Lyon)
Langue(s)gaulois,latin
Religionreligion gauloise
religion romaine
christianisme (religion officielle en380)
MonnaieMonnaie romaine

Démographie
~ 8 500 000 hab[1]
Densité~ 13,3 hab/km2
Superficie
Superficie~ 640 000km2
Histoire et événements
Siège d'Alésia à l'issue de laGuerre des Gaules.
Fondation deLugdunum.
Création duSanctuaire fédéral des Trois Gaules, siège des délégués des provinces impériales gauloises.
IIe siècleDébut du christianisme en Gaule.
IIIe sièclePremièresinvasions barbares.
260 -274Empire des Gaules.
Ve siècleGrandes Invasions.
451Bataille des champs Catalauniques : la coalition menée par lepatrice romainAetius repousse l'armée desHuns, menée parAttila.
476Chute de l'Empire romain d'Occident.
481Clovis est couronnéroi des Francs.
486Bataille de Soissons : échec deSyagrius face àClovis.
Empereur romain (Empire romain)
-27 à14Auguste (Octave)
378 à395ThéodoseIer
475 à476Romulus Augustule
Magister militum (Domaine gallo-romain)
464 à486Syagrius

Entités précédentes :

Entités suivantes :

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LaGaule romaine (Gallia romana) désigne à la fois un lieu et une époque précise de l'Antiquité, définis par les historiens.

Géographiquement, la Gaule romaine recouvre de futurs pays tels que laFrance, laBelgique, leLuxembourg et une partie desPays-Bas, de l'Allemagne et de laSuisse. La principale ville étaitLugdunum (aujourd'huiLyon), capitale desGaules (Gaule lyonnaise,Gaule aquitaine etGaule belgique).

La période couverte va de laconquête de la Gaule parJules César () à labataille de Soissons (486apr. J.-C.), qui marque l'avènement des Francs de ladynastie mérovingienne.

La Gaule romanisée

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Article détaillé :Culture gallo-romaine.
Lethéâtre antique de Lugdunum, sur la colline deFourvière.

Au moment où les Celtes envahissent l'Italie et conquièrent Rome, les Belges, les Gaulois et lesAquitains succombent sans grande résistance à l'avancée des légions romaines. Au cours des deux siècles qui suivent sa conquête, la Gaule connaît seulement deux révoltes, en 21 et en 68apr. J.-C. Malgré des luttes de pouvoir stériles, les Gaulois cisalpins cherchent plus à imiter leurs vainqueurs qu'à cultiver leur originalité. Cet attrait facilite la tâche de Rome qui, en quelques décennies, dote le pays de nouvelles structures politiques et administratives, transforme les villes et les campagnes, multiplie les ouvrages spectaculaires comme lepont du Gard, et marque ainsi la Gaule cisalpine d'une empreinte profonde.

La romanisation des esprits

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S'étonnant que ses livres soient vendus dansla capitale des Trois Gaules,Pline le Jeune écrit : « Je ne pensais pas qu'il y eût des libraires à Lugdunum ! »

Cette boutade donne la mesure de la romanisation : il ne suffit pas de reconstituer le cadre de la vie publique, ni de recenser les vestiges de l'architecture romaine, pour apprécier la diffusion de ce qu'on appellerait aujourd'hui « mode de vie romain ».

Le temps des invasions

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En 162, alors qu'enArménie lesParthes envahissent l'Empire romain, lesChattes, un peuplegermanique, s'infiltrent dans le nord de la Belgique. En 166, deux siècles après queJules César a repousséArioviste au-delà du Rhin, lesQuades et lesMarcomans franchissent leDanube et traversent lesAlpes. En172, d'autres tribus pénètrent en Alsace. Avec ces premières brèches dans la ligne de défense édifiée depuis deux siècles pour endiguer la menace germanique, la pression germanique s'accentue en Gaule romaine.

Les événements

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Après laconquête victorieuse deJules César, des troubles éclatent, notamment dans la province d'Aquitanie (aujourd'hui Aquitaine), mais sont réprimés parAgrippa en et parMessalla en[2].

La révolte de Sacrovir

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En 21 av. J.-C., sousTibère, des mesures fiscales poussent à la révolte plusieurs peuples gaulois du bassin inférieur de la Loire, dont lesAndécaves et lesTurones. D'autres peuples se joignent à la rébellion : lesTrévires sous la conduite deJulius Florus en Ardenne, lesÉduens et lesSéquanes sous celle deJulius Sacrovir[3] près de Lyon. Mais la garnison romaine de Lyon, renforcée par des légions venues du Rhin, met rapidement fin au soulèvement[2]. Vaincus, Sacrovir et Florus se donnent la mort.

La révolte de 69-70

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AuIer siècle de notre ère, l'Empire romain connaît lors de la succession deNéron une grave crise politique, avec l'affrontement entreGalba,Othon,Vitellius, etVespasien.

En 69apr. J.-C., lesBataves sont alliés aux Romains. Le BataveCaius Julius Civilis, soupçonné de connivence avec les clansgermains hostiles, est emprisonné, mais ensuite délivré parGalba à l'avènement de celui-ci. À la mort de Galba, une guerre fratricide opposeVitellius àOthon, puis àVespasien. Civilis refuse de soutenir Vitellius, qui commande les légions de Basse-Germanie, et assiège le camp romain de Vetera. La disparition de Vitellius et les hésitations de Vespasien, qui tarde à venir pacifier la région, créent une situation de guerre civile. Dans ce contexte, durant l'hiver 69-70, Civilis rencontre àCologne(Colonia) trois chefs gaulois : lelingonJulius Sabinus et lestrévires Julius Classicus et Julius Tutor. Ils forment le projet de constituer un empire gaulois autonome associé à un empire batavo-germanique, puis de négocier d'égal à égal avec l'empire romain.

Le général romain Vocula, qui tente de dégager le camp de Vetera, est assassiné. Classicus proclame l'Empire gaulois[4] et Julius Sabinus prend le titre decésar des Gaules. Ce dernier disparaît cependant à l'issue d'un combat près deVesoul, contre lesSéquanes qui refusaient de rentrer dans la coalition.

Caius Julius Aupex, premier magistrat desRèmes, propose alors à l'ensemble descités gauloises une conférence impériale, qui se tient àReims(Durocortorum) en. Aupex est partisan d'un accord avec Rome et rallie la majorité des délégués, contre l'avis de Valentin (Julius Valentinus), délégué des Trévires et des Lingons.

Vespasien nommeQuintus Petillius Cerialis légat deBasse-Germanie. Le général romain fait son entrée àTrèves, exploite intelligemment les dissensions gauloises : il soumet en décembre 70, après quelques affrontements, Civilis, Classicus et Tutor. Valentin, qui a poursuivi la résistance, est pris et exécuté. Quant àJulius Sabinus, il est pris à son tour après s'être caché durant neuf ans. Il est exécuté avec sa femmeÉponine de Langres sur ordre de Vespasien.

Cet épisode, qui oppose des Gaulois entre eux – Julius Sabinus étant lui-même allié à des Germains – relève plus de troubles intérieurs que de la volonté de mettre fin à la domination romaine. La paix « en armes » qui s'instaure ensuite durera jusqu'au milieu duIIIe siècle.

L'empire gaulois (260-273)

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AuIIIe siècle, l'Empire romain connaît une grave crise, que l'on appelle l'Anarchie militaire. Il subit des raids barbares avec des conséquences durables : pillages et accaparement de richesses, prises d'otages ou d'esclaves. Ils s'ajoutent à une crise politique et économique, qui se traduit par une dévaluation importante de la monnaie (à valeur beaucoup plus fiduciaire que réelle, comme le bronze), à une grande instabilité politique, à des guerres civiles, à une multiplication des bagaudes (razzias paysannes) encore plus désastreuses que les incursions étrangères. Des généraux prennent le contrôle des Gaules pour assurer la défense dulimes du Rhin et se proclament « empereurs des Gaules ».

Article détaillé :Empire des Gaules.

Dans les années 270-275, les cités qui prennent part à des guerres locales, ou qui les craignent, se transforment pour se doter de remparts efficaces[5]. Des villes commeDivodurum Mediomatricorum (Metz),Limonum (Poitiers),Avaricum (Bourges) s'entourent d'enceintes incluant respectivement 70, 50 et 40 hectares, sans forcément être pleinement remplies. Agendicum (Sens) s'étend sur25 ha,Tullum Leucorum (Toul) sur12 ha, alors que les antiquesLutèce (Paris) etCondate Riedonum (Rennes) ne couvrent pas10 ha. Tous ces aménagements, réalisés pour protéger et densifier leurs centres, créent les premiers faubourgs. Parfois réduits pour des raisons stratégiques, ils désorganisent les aménagements hydrauliques qui assuraient la qualité de vie et l'image festive de la ville.

Usurpations sous Probus

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Au cours des années 280-281, l'empereur Probus fait face à deux usurpations, celles deProculus et deBonosus àCologne, qui sont vite réprimées[6],[7],[8].

Carausius

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Marcus Aurelius Carausius, un officier romainménapien, combat lesBagaudes aux côtés deMaximien Hercule. Celui-ci le charge de défendre le littoral nord et nord-ouest. Mais, en conflit avec Maximien, il se déclareImperator, s'allie avec des clans de bagaudes et de Germains, et passe enBritannia romaine en 286. Il débarque ensuite à Boulogne, entre dansRotomagus (Rouen) et en fait sa capitale. Un accord passé avec Maximien lui reconnaît la qualité d'Auguste en 289, mais il prend le titre d'« empereur de la mer » et non celui d'empereur des Gaules. En dehors de l'île Britannia, son autorité n'est reconnue que sur le littoral.

En 293,Constance Chlore est nommé parDioclétien « césar des Gaules ». Il est chargé par Maximien d'en finir avec Carausius. Il investitGesoriacum (Boulogne) et obtient la reddition desMorins. En Bretagne insulaire, Carausius est assassiné par un de ses lieutenants,Allectus, qui lui succède. Ce n'est qu'en 297 que Constance Chlore débarque sur l'île et met fin à l'empire de la mer. Allectus est à son tour assassiné.

En 297, Dioclétien décide de réorganiser administrativement la Gaule, résorbant les tensions politiques et réduisant les difficultés économiques (cf. ci-dessous)[9].

LeIVe siècle

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LeVe siècle

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La décadence de l'Empire romain, les terribles ravages des guerres civiles entre cités malgré les restaurations d'autorité deDioclétien àConstantin, créent un climat de troubles. La sécurité policière est assurée par lesbarbari (soldats) qui logent dans les centres-villes, prévenant les passages d'armées barbares en quête de ravitaillement ou avides de pillage. Les populations rurales, accablées d'impôts et de taxes, renouvellent leurs révoltes et leurs bagaudes sanglantes. Elles alimentent les courants migratoires, formant des flots de réfugiés vers des régions supposées plus prospères ou paisibles. Ainsi de petites cités sont abandonnées, laissant d'immenses territoires vides et des vestiges monumentaux. Les groupes ou tribus barbares, armés avec leurs troupeaux, ne sont pas tous agressifs et s'entendent parfois avec les derniers occupants. Ils sont fascinés par les fondements ou vestiges de pierres, qu'ils croient avoir été érigés par des dieux ou des géants. Ils admirent les voies de communication qui traversent les contrées à perte de vue, les bâtiments et villas à colonnades en ruines, les cités et agglomérations désertées, les vastes campagnes ouvertes et en friches.

En 435-437, Tibaton (ou Tibatto) est élu par ses troupes « empereur bagaude » mais meurt assassiné. Les généraux romains qui commandent les derniers territoires gallo-romains se font appelerpatrices oupréfets du prétoire, voire rois des Romains, mais ils évitent le titre d'empereur. Il s'agit de :

  • Aetius, administrateur militaire nommé par Rome, réorganisateur politique des Gaules et des Germanies après la victoire desChamps Catalauniques.
  • Ægidius, général-patrice administrateur gallo-romain de Belgica prima, autoproclamé par ses soldats et auxiliaires barbares.
  • Syagrius, successeur de ce dernier, au pouvoir limité à quelques forteresses de cités, défait par les troupes conduites par un roi, administrateur et chef de guerrefranc salien,Clovis, fils d'un petit roi de guerre et simple chef auxiliaire franc.

Organisation administrative

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Article détaillé :Division de l'Empire romain.

Les provinces

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Après le recensement général de la Gaule en 27, une organisation administrative est mise en place parAuguste et comprend :

SousDomitien, la Gaule belgique est divisée en trois provinces : la Belgique, laGermanie supérieure et laGermanie inférieure.

Par la suite, c'estDioclétien, en 297, qui va morceler les provinces de Gaule[10]. :

En 418, un édit[11] réorganise les assemblées provinciales, en leur donnant pour lieu de réunionArles, siège depuis quelques années de lapréfecture du prétoire des Gaules (à la place deTrèves, trop exposée aux raids barbares).

Les diocèses

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Diocèses de l'Empire romain en 400.

Sous la tétrarchie, les provinces sont réunies en deux diocèses, ou subdivisions géographiques de l'empire romain :

  • Lediocèse des Gaules, qui comprend les sept provinces suivantes : les quatre Lyonnaises, les deux Belgiques, les deux Germanies, la Séquanaise et les Alpes-Maritimes ;
  • Lediocèse de Vienne, qui comprend les huit provinces restantes : les deux Aquitaines, la Novempopulanie, les deux Narbonnaises, la Viennoise et les Alpes-Maritimes.

La préfecture

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Les deux diocèses relèvent de la préfecture du prétoire des Gaules. Celle-ci comprenait aussi les diocèses d'Hispanie et de Bretagne.

L'ensemble fait partie de l'Empire romain dès sa conquête parJules César en. Il le resta jusqu'auIVe siècle de l'ère chrétienne, voire jusqu'au début duVe, c'est-à-dire jusqu'à la fin de l'Empire romain, à l'époque des invasions barbares, et notamment celle desFrancs.

La capitale de la Gaule romaine, ou plutôt des Gaules, estLyon, alors appeléeLugdunum, centre du culte impérial à Rome et à Auguste. Lyon eut le droit de frapper lamonnaie romaine, privilège unique dans l'Empire romain au premier siècle.

La Gaule romaine joue un rôle important dans l'Empire romain. C'est la province la plus peuplée de l'Empire : sa population est estimée à 8 ou 10 millions d'habitants. C'est aussi une plaque tournante du commerce européen, avec ses voies d'accès fluvials et terrestres vers l'Europe du Nord et l'Angleterre, alors appelée laBretagne.

Pour ces diverses raisons,Rome a favorisé la Gaule, en accordant progressivement lacitoyenneté romaine auxGaulois à partir du premier siècle.

Transition vers les royaumes francs

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Articles détaillés :Royaumes francs etAntiquité tardive.

Ces événementsont longtemps été exploités dans une perspective nationaliste[Par qui ?] ; il est probable qu'après les horreurs de la guerre, la majorité desGaulois aspiraient à la paix, dont les Romains étaient les nouveaux garants. De plus, le régime imposé parRome est relativement favorable aux élites gauloises, qui profitent des avantages de la romanité (loisirs, culture, art de vivre ...) et qui voient leurs prérogatives confirmées au service de Rome.

DansL'Armée romaine en Gaule (1996), l'historien Michel Reddé montre comment la tradition guerrière de l'aristocratie gauloise est mise à profit, d'abord pour assurer la paix intérieure (lesequites de la célèbre cavalerie gauloise conservent leur équipement et leurs traditions, chaqueaile étant recrutée dans un même peuple ; certains obtiennent le privilège de battre monnaie, comme le SéquaneTogirix), puis dans l'entreprise de la conquête de la Germanie.

Très tôt en effet, les troupes romaines chargées de pacifier la Gaule sont transférés sur leLimes (le long duRhin et duDanube) qui protège efficacement la Gaule durant trois siècles. Au point que vers, l'armée romaine n'est plus guère présente en Gaule.

La Gaule en 511.

Cette transition semble s'être faite facilement et progressivement à partir duVe siècle, et ce pour plusieurs raisons[12] :

  • Avant les invasions déjà, les Romains avaient été en contact avec les "barbares" : des mercenaires francs et germains servaient dans l'armée romaine[13]. Quelques-uns s'étaient installés à l'intérieur des frontières de l'Empire, Rome leur ayant octroyé des terres et accordé un statut defédérés. Ces peuples avaient donc eu l'occasion de connaître les us et coutumes des Romains et certains avaient appris le latin.
  • Bien que lesgrandes invasions aient laissé des souvenirs terribles, comme en témoignent les écrits de l'époque, les barbares étaient beaucoup moins nombreux que lesGallo-Romains et il leur était facile de se fondre dans la population. Cette aristocratie dominante subjugua les Gaulois romanisés, à tel point que Francs et Gallo-Romains ne furent plus différenciés une fois la mutation desroyaumes francs primitifs accomplie lors duhaut Moyen Âge.
  • Pour les mêmes raisons, la fusion entreBurgondes et Gallo-Romains s'opéra rapidement, avec la création de lois communes (loi gombette).

Chronologie de la Gaule romaine de -52 à 511

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Notes et références

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  1. Voir surpersee.fr :Louis-René Nougier,Bulletin de la Société préhistorique française, Paris,Société préhistorique française, 1949(ISSN 0249-7638).
  2. a etbHistoire romaine deMommsen.
  3. Paul Petit dans sonHistoire générale de l'Empire romain met en avant les ressorts personnels de Sacrovir et Florus, nobles gaulois lourdement endettés auprès des usuriers italiens
  4. Le terme est utilisé pour décrire ce bref épisode aussi bien parMommsen que par des historiens plus contemporains tels quePaul Petit ouJean-Louis Brunaux.
  5. Parfois les cités touchées par l'insécurité interne ambiante n'ont que très peu souffert d'entreprises guerrières externes ou étrangères, mais elles semblent céder à la panique ou à la mode sécuritaire ambiante.
  6. Eutrope,Abrégé de l'Histoire romaine, IX, 17
  7. Aurelius Victor,Césars, 37
  8. Histoire Auguste,Le quadrige des tyrans.
  9. Marie Grivel,La Civilisation gallo-romaine dans le Jura, territoires et cultes, Lons le Saunier, Musée d’Archéologie du Jura, 2010, cartep. 11.
  10. Marie Grivel, 2010, cartep. 11.
  11. Ferdinand Lot, page 220. Point à approfondir.
  12. Nota bene : ces remarques s'appliquent aussi aux Gaulois et aux Celtibères devant les Wisigoths dans leurroyaume.
  13. voir :Fédérés francs.

Annexes

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Bibliographie

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Ouvrages

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  • Maurice Bouvier-Ajam,Les empereurs gaulois, Ed. Tallandier, 1984.
  • Paul-Marie Duval,La vie quotidienne en Gaule pendant la Paix Romaine, Hachette, 1952 (et rééditions).
  • Benjamin Guérard,Essai sur le système des divisions territoriales de la Gaule, depuis l'âge romain jusqu'à la fin de la dynastie Carlovingienne, Paris, Imprimerie royale,, XVI-193 p.(lire en ligne)
  • Louis Harmand,L’Occident romain, Gaule, Espagne, Bretagne, Afrique du Nord (31 av. J.-C. à 235 ap. J.-C.), Payot, Paris, 1960, réédité 1970.
  • Jean-Jacques Hatt,Histoire de la Gaule romaine (120 avant J.-C. - 451 après J.-C.), Payot, 1966.
  • Camille Jullian,Histoire de la Gaule, huit volumes parus entre 1908 et 1921.
  • Lucien Lerat,La Gaule romaine. 249 textes traduits du grec et du latin, Armand Colin, 1977, réédition Errance, 1986.
  • collectif, sous la direction de Pierre Ouzoulias et Laurence Tranoy,Comment les Gaules devinrent romaines, 2010, Paris La Découverte, 318 pages,(ISBN 978-2-7071-59076)
  • Robert Bedon,Les Villes des Trois Gaules de César à Néron, Picard, 1999.
  • Robert Bedon,Atlas des villes, bourgs, villages de France au passé romain, Picard, 2001.
  • Pierre Gros,La France gallo-romaine, 1991, Nathan.(ISBN 2092843761)
  • Danièle et Yves Roman,Histoire de la Gaule.VIe siècle av. J.-C. -Ier siècleapr. J.-C., Fayard, 1997, 792 pages.
  • William Van Andringa,La Religion en Gaule romaine. Piété et politique,Ier-IVe siècle apr. J.-C., Éditions Errance, 2017

Articles

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Articles connexes

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Liens externes

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Gaule
Germanie
Grande-BretagneBretagne (jusqu'en 210), puisBretagne inférieure (divisée en 293 enFlavie césarienne etBretagne seconde) etBretagne supérieure (divisée en 293 enMaxime Césarienne etBretagne première)
Alpes,Italie et abords
Illyrie etBalkans
Dacie et abordsDacie (jusqu'en 129, puis Daciesinférieure,supérieure etPorolissensis jusqu'àMarc Aurèle, puisTrois Dacies jusque vers 270)
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