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Garlin

43° 33′ 42″ nord, 0° 16′ 13″ ouest
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Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirGarlin.

Garlin
Garlin
Les arènes de Garlin
Blason de Garlin
Blason
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionNouvelle-Aquitaine
DépartementPyrénées-Atlantiques
ArrondissementPau
IntercommunalitéCommunauté de communes des Luys en Béarn
Maire
Mandat
André Lanusse-Cazalé
2020-2026
Code postal64330
Code commune64233
Démographie
Population
municipale
1 331 hab.(2022en évolution de −5,27 % par rapport à 2016)
Densité73 hab./km2
Géographie
Coordonnées43° 33′ 42″ nord, 0° 16′ 13″ ouest
AltitudeMin. 110 m
Max. 223 
m
Superficie18,30 km2
TypeBourg rural
Unité urbaineHors unité urbaine
Aire d'attractionHors attraction des villes
Élections
DépartementalesCanton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh
LégislativesTroisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte topographique de France
Garlin
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte administrative de France
Garlin
Géolocalisation sur la carte :Pyrénées-Atlantiques
Voir sur la carte topographique des Pyrénées-Atlantiques
Garlin
Géolocalisation sur la carte :Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Garlin
Liens
Site webwww.villedegarlin.frVoir et modifier les données sur Wikidata
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Garlin (enbéarnaisGarlin ouGarlî) est unecommune française, située dans ledépartement desPyrénées-Atlantiques enrégionNouvelle-Aquitaine.

Legentilé estGarlinois[1].

Géographie

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Localisation

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Garlin se trouve dans ledépartement desPyrénées-Atlantiques, enrégionNouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 36 km par la route[Note 1] dePau[3],préfecture du département, et à 25 km deSerres-Castet[4],bureau centralisateur ducanton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour lesélections départementales[2].La commune est par ailleurs ville-centre dubassin de vie de Garlin[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] :Baliracq-Maumusson (2,1 km),Castetpugon (3,3 km),Sarron (3,5 km),Moncla (3,9 km),Boueilh-Boueilho-Lasque (3,9 km),Ribarrouy (4,3 km),Mascaraàs-Haron (4,5 km),Saint-Agnet (5,1 km).

Sur le plan historique et culturel, Garlin fait partie de laprovince duBéarn, qui fut également unÉtat et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sontBaliracq-Maumusson,Boueilh-Boueilho-Lasque,Castetpugon,Lauret,Miramont-Sensacq,Moncla,Ribarrouy,Sarron etTaron-Sadirac-Viellenave.

Carte
Les limites communales de Garlin et celles de ses communes adjacentes.
Communes limitrophes deGarlin[7]
Miramont-Sensacq
(Landes)
Sarron
(Landes)
Moncla
Lauret
(Landes)
GarlinCastetpugon
Boueilh-Boueilho-LasqueRibarrouyBaliracq-Maumusson,
Taron-Sadirac-Viellenave

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Garlin.

La commune est drainée par le Bahus, le Léès, le Gabassot, le ruisseau du Broussau, le Lesté, la Brioulette, le Lesté, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 19 km de longueur totale[8],[9].

LeBahus (47,9 km) prend sa source dans la commune deClaracq et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour àSaint-Sever, après avoir traversé 16 communes[10].

LeLéès (39 km) prend sa source dans la commune deSedzère et s'écoule du sud vers le nord. Il longe le territoire communal sur son côté est et en constitue la limite séparative avecCastetpugon etMoncla, puis se jette dans leLéez àLannux, après avoir traversé 21 communes[11].

LeGabassot (17,4 km) prend sa source dans la commune deSévignacq et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Léès àCastetbon, après avoir traversé 9 communes[12].

Leruisseau du Broussau (20,3 km) prend sa source dans la commune et s'écoule du sud vers le nord. Il constitue une limite séparative avecMiramont-Sensacq au nord de la commune et se jette dans l'Adour àAire-sur-l'Adour, après avoir traversé 8 communes[13].

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat de la Nouvelle-Aquitaine etClimat des Pyrénées-Atlantiques.

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat océanique altéré, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[14]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[15]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre leclimat océanique altéré et leclimat de montagne ou de marges de montagne[16] et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à20 jours)[17]. Elle est en outre dans lazone H2c au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[18],[19].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de13,2 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 119 mm, avec11,8 jours de précipitations en janvier et7,8 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deMaumusson-Laguian à15 km àvol d'oiseau[20], est de14,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 021,5 mm[21],[22]. La température maximale relevée sur cette station est de41,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de−17,5 °C, atteinte le[Note 3].

Milieux naturels

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Lecoteau de Garlin situé aux limites du Madiran, est géré par leconservatoire d'espaces naturels d'Aquitaine[23] depuis 1994. Il abrite environ le 1/4 des pelouses sèches du nord-est des Pyrénées-Atlantiques. Ces milieux pentus, ensoleillés et secs, anciennement consacrés à la viticulture, sont propices à une flore de grande valeur dont une grande diversité d'orchidées sauvages. Les insectes y sont également très nombreux. Afin de limiter leur boisement et de maintenir ainsi une diversification des milieux et des espèces, le CEN Aquitaine mène des actions régulières de gestion courante et d'entretien (pâturage extensif ou fauchage). Grâce à ces mesures, le coteau de Garlin offre encore aujourd'hui une richesse naturelle exceptionnelle. Le coteau de Castetpugon est inscrit au réseau Natura 2000coteaux de Castetpugon, de Cadillon et de Lembeye et fait l'objet d'un document d'objectifs animé par le CEN Aquitaine.

Urbanisme

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Typologie

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Au, Garlin est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[24].Elle est située hors unité urbaine[2] et hors attraction des villes[25],[26].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (85,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :terres arables (58,6 %), prairies (21,8 %), forêts (7,9 %), zones urbanisées (4,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,9 %), eaux continentales[Note 4] (2,2 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %)[27]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Lieux-dits et hameaux

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  • Abatt
  • Berdoy
  • Betbeder
  • Bidau
  • Bitnau
  • Brana
  • Buchet
  • Camettes
  • Dasté
  • Duviau
  • Gascou
  • Grangé
  • Guilhembet
  • Larrieu
  • Magnat
  • Mataguerre
  • Mirassou
  • Numas
  • Pébousquet
  • Piarrou
  • la Poste
  • Poulit
  • Sérisé
  • Tardan

Voies de communication et transports

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La commune possède un accès sur l'autorouteA65 (diffuseur de Garlin) et est desservie par la route nationale134 et les routes départementales 16, 41, 42, 105 et946.

Transport

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Ancienne ligne du réseau ferré Pau-Oloron-Mauléon

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Actuellement, aucun transport ferroviaire ne dessert à la ville de Garlin.

L'ancienne ligne entreSaint-Laurent-Bretagne etAire-sur-l'Adour passant parSaint-Laurent-Bretagne fonctionna cependant entre 1902 et 1931, également en faveur de la gare de Garlin[28]. En 1922, il fallait 2h45 en faveur de tronçon Pau - Garlin, qui avait été inauguré sans attendre la fin des travaux jusqu'à Aire-sur-l'Adour[28].À la suite de la disparition de l'exploitant, la compagnie dechemin de fer de Pau-Oloron-Mauléon, cette ligne fut définitivement fermée en 1931[28]. On peut apercevoir encore ses traces dans la ville : ancienne gare, chemin de la gare transformé, viaduc et le reste.

Étant donné qu'il s'agissait d'une compagnie privée, l'exploitation actuel d'autocar est assuré par le conseil général, et non par leTER.

Autocar

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Les deux lignes départementales d'autocar desservent donc à Garlin[28],[29] :

  • ligne Pau - Garlin - Aire-sur-l'Adour - Agen
  • ligne Pau - Garlin -Mont-de-Marsan

Autoroute

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La ville de Garlin possède une excellente proximité avec l'autoroute A65, grâce à sa propre sortie.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Garlin est vulnérable à différentsaléas naturels :météorologiques (tempête,orage,neige, grand froid,canicule ousécheresse),inondations etséisme (sismicité modérée)[30]. Un site publié par leBRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par lerisque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment leLéès, leGabassot, le ruisseau duBroussau et leBahus. La commune a été reconnue enétat de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations etcoulées de boue survenues en 1982, 1993 et 2009[32],[30].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Garlin.

Leretrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer desdommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes desécheresse et de pluie[33]. 24,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le, en application de laloi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[34].

Toponymie

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Le toponymeGarlin apparaît sous les formesGasli (vers 984[35], cartulaire deLescar[36]),Caslinus (XIe siècle[35], cartulaire de l'abbaye de Saint-Pé[37]) etGarlii (1385[35], censier de Béarn[38]);

Son nombéarnais estGarlin[39] ouGarlî[40].

Le toponymeBerdoy est mentionné en 1542[35] (réformation de Béarn[41]).

Paul Raymond[35] signale l'existence d'une paroisse au lieu-ditPouliacq, dépendant du diocèse d'Aire.

Histoire

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Gros bourg du Vic-Bilh, son nom signifie « sol humide et marécageux ».Les nombreux tumuli qui y ont été fouillés attestent d'une présence humaine dès l'âge de bronze.Certains de ces tumuli de grande importance ont livré de nombreux vestiges. Ils se trouvent en grande partie près du Chemin de Saint-Pé, ancien chemin de transhumance rejoignant le plateau de Ger, et très emprunté dans l'antiquité.

Il s'agissait d'une ancienne bastide fondée, semble-t-il, en1302 par la vicomtesseMarguerite de Béarn[42],[43] (comme celle deNay), pour faire face aux places fortes anglaises duTursan, plus précisémentSarron,Geaune,Pimbo. C'est la raison pour laquelle ce lieu s'appelait et encore s'appelle « Porte du Béarn »[28]. En effet, on comprend, avec la carte en contour, qu'il fût facile à défendre cette bastide bénéficiant du ravitaillement dès la région du Béarn, au sud[carte en ligne (puis, rubriqueRelief dans le menu (en haut à gauche))].

Puis, Garlin fut un centre protestant très actif auXVIe siècle. Un siècle plus tard, les Capucins fondèrent un couvent pour ramener la cité dans le giron du catholicisme.Selon un dicton ancien :Las hilhòtas de Garlín " Rèvan d'escuts e de draps de lin !

En 1385, Garlin comptait trentefeux et dépendait du bailliage deLembeye[35].

Il y avait à Garlin un hôpital de l'ordre de Malte (espitau Monpeslé ouespitau de la Magdelaine) dont l'existence est attestée dès 1542[35],[44] (réformation de Béarn[41]) et qui était déjà en ruine au début duXVIIe siècle (1617).

En 1790, Garlin était le chef-lieu d'un canton comprenant les communes deBaliracq-Maumusson,Boueilh-Boueilho-Lasque,Castetpugon, Garlin,Mascaraàs-Haron,Moncla,Mouhous,Pouliacq,Ribarrouy etTaron-Sadirac-Viellenave.

Henri Guillermin, résistant et homme politique, est parachuté dans la nuit du 6 au avec un parachutage d'armes ; il se casse les deux jambes et est soigné par le docteurPierre-William Monties de Garlin.[réf. nécessaire]

L'histoire contemporaine du Vic-Bilh est dominée par la construction de l'autorouteA 65Pau-Bordeaux. Garlin revendique la construction d'un échangeur sur son territoire afin de desservir les vignobles renommés du Madiran, Saint-Mont et Tursan.

Héraldique

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Blason de GarlinBlason
D’or fretté de sinople, à la fasce de vair brochant sur le tout.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs[45]
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
18051807Ducos  
18081811Fredemounicq/Pedemounicq  
18131826Jacques Pargade  
18271830Bernard Justin Lefranc  
18331839Mandron/Maudron Buchet  
18421848Jean Baptiste Sarraute  
     
18541858Jean Firmain Bacarisse  
18591866Jean Marie Henri Cézérac  
     
18741876Jean François Hilarion Barthety  
18791882Jean Arnoul Lacaze  
vers 1884 Jean Anne Romain Lamothe  
     
19651971Henri Sibor Sénateur (1971-1974)
19711983Henri Tonnet  
19832008Marcel Poublan  
2008mai 2020Jean-Jacques Cérisère  
mai 2020[46]en coursAndré Lanusse-Cazalé  

Intercommunalité

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Garlin fait partie de six structures intercommunales[47] :

Garlin accueille le siège de la communauté de communes du canton de Garlin, du SIVU de la voirie de la région de Garlin, du SIVU du Lées et affluents ainsi que du syndicat mixte de la zone d'activités économiques intercommunautaire du diffuseur de Garlin.

Jumelages

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La ville de Garlin est jumelée avec la ville de :

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[50].

En 2022, la commune comptait 1 331 habitants[Note 6], en évolution de −5,27 % par rapport à 2016 (Pyrénées-Atlantiques : +3,78 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
9989201 0138821 3641 5101 4181 4221 394
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
1 3801 3401 3581 3051 3131 3161 3141 3091 296
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
1 2741 2571 2201 1091 0731 0631 0361 009985
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200420062009
1 0441 0851 0831 1951 2041 2021 2421 2641 374
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
201420192022------
1 3961 3561 331------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puisInsee à partir de 2006[52].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Son économie est principalement rurale et le vignoble y tient une place de choix grâce aux appellations d'origines contrôléesMadiran etPacherenc.

Culture locale et patrimoine

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  • Le bourg
    Le bourg
  • Le monument aux morts
    Le monument aux morts

Garlin, située sur les premiers contreforts desPyrénées possède un remarquable patrimoine culturel et environnemental.

Ce village conserve une forte tradition taurine et organise desnovilladas piquées en avril et juillet.En, Idealista, taureau de laganadería de Fuente Ymbro, fut gracié par Fernando Cruz dans les arènes de Garlin. La ville est membre du l'Union des villes taurines françaises.

Les fêtes de Garlin ont lieu entre mi-juillet et fin juillet.

Garlin compte parmi ses associations importantes une Harmonie fondée en 1887 ainsi qu'une banda, "Los Esberits" créée en 1989.

Patrimoine civil

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Garlin présente un ensemble de maisons de notable et de fermes[53] desXVIIe,XVIIIe et XIXe siècles. Une des fermes, située au lieu-dit Berdoy, possède un tombeau sarcophage[54], qui fut utilisé comme abreuvoir.

Au lieu-dit Abatt, on peut voir un lavoir duXIXe siècle[55].

L'ancien presbytère fut construit entre 1833 et 1835[56].

Maison de seigneur de Garlin

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Mairie et parc municipal, ancienne demeure de seigneur de Garlin.

Alors que plusieurs bâtiments publics de Garlin s'occupent dans des établissements construits auXIXe siècle, celui de la mairie se distingue en raison de sa résidence de qualité. En effet, il s'agit d'une ancienne demeure de seigneur de Garlin, qui fut bâtie auxXVIIe et XVIIIe siècles. Celle-ci fut, entre 1744 et 1772, la demeure de la famille de Hiton, seigneur de Garlin. Ensuite, la famille Pergade y demeura jusqu'en 1827. L'acquisition par la commune fut achevée vers 1950. Non seulement le siège de la mairie bénéficie, donc, de la qualité de l'établissement, mais également elle possède son parc municipal distingué, grâce aux arbres remarquables ainsi qu'au vestige d'un pilier de l'ancienne bastide, à la suite de cette acquisition[28].

L'établissement se caractérise notamment des boiseries Louis XIV, d'une cheminée ainsi que d'une fontaine intérieure[28].

Ancien hospice Saint-Pierre

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Ancien hospice de Garlin, actuellement médiathèque.

Il s'agit certes d'un bâtiment construit à la fin duXIXe siècle. Nonobstant, celui-ci demeure un témoin très important de l'histoire de la commune depuis leXXe siècle[28].

Ce beau et impressionnant bâtiment construit en 1883 fut inauguré, d'abord, en tant qu'hospice Saint-Pierre. Lors de laPremière Guerre mondiale, il était aisément capable d'accueillir de nombreux blessés et convalescents des campagnes de 1914 et 1915, grâce à cette qualité. Celui-ci gardait sa fonction jusqu'en 1918. Une fois la guerre terminée, en 1923, l'établissement fut transformé en bâtiment public, à savoir le siège de la mairie. En outre, il était en usage, comme les sièges de l'Harmonie, de la salle de Justice de Paix et du greffe, de l'école de garçons ainsi que des services bancaires[28].

Ensuite, cet ancien hospice devint, à nouveau, maison de retraite en 1967, et cela resta jusqu'en 2005. La commune donna enfin une nouvelle vie à ce bâtiment. Depuis 2011, il s'agit de la médiathèque de la commune, établissement le plus fréquenté à Garlin[28].

Patrimoine religieux

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Ancienne église romane Saint-Jean

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L'origine de l'église paroissiale était uneéglise romane dédiée à saint Jean[28]. Sa première construction remontrait auXIIe siècle[57]. Celle-ci subit en 1569 un incendie duquel le dégât restait considérable. En conséquence, elle fut reconstruite[28]. À partir de 1808, le conseil municipal jugeait que celle-ci devint inconvenante. D'une part, elle était trop petite pour que la paroisse puisse la garder encore. D'autre part, à la suite de la Révolution, l'état de bâtiment demeurait en ruine et dangereux. Une fois une nouvelle église construite, l'église Saint-Jean fut démolie en 1860 en raison de sécurité. De nos jours, elle ne reste autre que des vestiges y compris les tombes de trois anciens prêtres dont l'abbé Cazou, père de la naissance de la nouvelle église. D'ailleurs, la trace de cet établissement reste au nom de rue,côte de la Vieille Église[28].

Église paroissiale Saint-Jean-Baptiste

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Église paroissiale Saint-Jean-Baptiste.

Dans l'optique de remplacer l'église Saint-Jean, L'église paroissiale Saint-Jean-Baptiste[58] fut construite à la suite de la décision tenue en 1856[28], près de la place du Marcadieu. L'architecte Gustave Lévy évolua le projet, et une fois le contrat conclu le, les travaux se commencèrent[59]. Ces travaux ne furent achevés qu'en, mais la consécration tenue en 1866 bénéficia des vitraux de l'atelier d'Amédée Bergès deToulouse[28],[60].

Elle recèle du mobilier[61], des tableaux[62], une peinture monumentale[63], des objets[64] et 31 verrières d'Amédée Bergès[65], inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel. De même, l'établissement profite des chefs-œuvre de Louis Augier (peintre) et Millet (peintre ainsi que décorateur), parachevés en 1903 en faveur de peintures murales[28].

Avec 40 mètres de hauteur, son clocher, achevé en, fonctionne comme monument remarquant la porte de Béarn. Initialement conçu l'établissement charpenté et recouvert d'ardoises pointés, ce clocher fut finalement construit en pierre, duquel la flèche se compose de belle pierre d'Angoulême. En raison d'une beauté architecturale et d'une économie à la longue, cette modification avait été décidée en 1862 par le conseil municipal, d'après l'avis du curé Cazou et le maire[59].

L'existence de deux statues devant l'église peut être expliquée avec lalettre apostolique du papePie XI,Beata Maria Virgo in cælum Assumpta in gallicæ (Galliam Ecclesæ filiam selon les premiers mots), dénoncée le. En effet, juste en face de la statue de Notre Dame (1886), celle de sainteJeanne d'Arc avait été ajoutée en symétrie. Le Saint-Père y déclarait qu'il s'agit des patronnes de la France, principale et secondaire[66].

Comme la ville de Garlin ne conserve pas assez de patrimoines culturels et artistiques, la restauration de ces œuvres en mauvais état reste importante depuis les années 2000[67], notamment en faveur des vitraux de Bergès[68]. Ainsi, en 2009, il s'agissait de celui de saintJean-Baptiste, patron de l'église et de la paroisse[69], et plusieurs travaux suivaient. Une fois que des spécialistes avaient identifié la cause de dégradation, eau pénétrée dans les interstices des murs, les entretiens devinrent cependant urgents : certains vitraux abimés risquaient de chute. D'où, ses réparations furent accélérées en 2017[70].

Couvent des Capucins

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L'installation du couvent de Capucins[71] fut effectuée en 1696, à la suite d'une donation de Jean de Hiton, seigneur de Garlin[28]. L'établissement connut son évolution entre 1708 et 1738[28]. Puis devenu bien national, il fut transformé en faïencerie. À la fin duXVIIIe siècle, celui-ci fonctionnait en tant que mairie ainsi que siège de la Justice de paix[28]. Toujours établissement public, on l'utilisait comme la Poste, ainsi que provisoirement l'ancienne école de garçons[28].

Patrimoine environnemental

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Le Gabassot.
Barrage du Gabassot.

Afin de compenser les débits de l'Adour affectés par l'irrigation du maïs et de conforter cette monoculture dominante en Béarn, un lac collinaire fortement contesté a été creusé sur le ruisseau Gabassot et constituerait « une magnifique base de loisir » selon ses promoteurs (voir photo « barrage du Gabassot »), mais une grave dégradation des écosystèmes d'eau courante et une fuite en avant dans la culture du gaspillage des ressources en eau pour ses opposants.

Équipements

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Éducation

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Garlin dispose d'une école primaire[72] et d'un collège portant le nom deJoseph Peyré[73], enfant d'Aydie, petite commune ducanton de Garlin, prix Goncourt de littérature en 1935 pour le roman « Sang et Lumière ».

Sports

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Rugby à XV

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  • Nord Béarn XV fondé en 1997 par la fusion de l'association sportive garlinoise et desLévriers arzacquois.

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entrechefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes àvol d'oiseau.
  3. Les records sont établis sur la période du au.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », surinfoterre.brgm.fr(consulté le).

Références

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  4. Stephan Georg, « Distance entre Garlin et Serres-Castet », surfr.distance.to(consulté le).
  5. « Communes les plus proches de Garlin », survillorama.com(consulté le).
  6. Frédéric Zégierman,Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard,(ISBN 2-213-59961-0),p. 30.
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  12. Sandre, « le Gabassot ».
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  14. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155).
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  37. D'aprèsPierre de Marca,Histoire de Béarn, pages 247 et 288
  38. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385(lire en ligne)..
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  40. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne »[PDF](consulté le).
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  52. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
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  55. « Lavoir », noticeno IA00026275, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mérimée,ministère français de la Culture.
  56. « Presbytère », noticeno IA00026290, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mérimée,ministère français de la Culture.
  57. « Église paroissiale Saint-Jean », noticeno IA00026279, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mérimée,ministère français de la Culture.
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  59. a etbCommission Communication Culture et Réception et Mairie de Garlin,Église Saint Jean-Baptiste, L'Église Saint Jean-Baptiste de Garlin fête ses 150 ans, brochure consultée le 4 juillet 2018
  60. L'indice se trouve dans les deux vitraux au-dessous, près de l'autel : « A. BERGES » (à droite) ainsi que « TOVLOVSE 1863 » (à gauche).
  61. « Armoire », noticeno IM64001723 ;« buffet dit armoire », noticeno IM64001722 ;« 3 autels et tabernacles », noticeno IM64001721, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Palissy,ministère français de la Culture.
  62. « Tableau », noticeno IM64001727 ;« tableau : Baptême du Christ », noticeno IM64001726 ;« tableau : Assomption », noticeno IM64001725, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Palissy,ministère français de la Culture.
  63. « Peintures monumentales », noticeno IM64001724, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Palissy,ministère français de la Culture.
  64. « Bannière de procession de confrérie du Sacré-Cœur », noticeno IM64001738 ;« bannière de procession dite du souvenir du couronnement du Sacré-Cœur », noticeno IM64001737 ;« bannière de procession dite de saint Joseph », noticeno IM64001736 ;« bannière de procession dite de saint Jean-Baptiste », noticeno IM64001735 ;« ostensoir », noticeno IM64001734 ;« ciboire », noticeno IM64001733 ;« croix-reliquaire », noticeno IM64001732 ;« chandelier d'autel », noticeno IM64001731 ;« 6 chandeliers, croix d'autel (garniture d'autel) », noticeno IM64001730 ;« calice », noticeno IM64001729 ;« boîte aux saintes huiles », noticeno IM64001728, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Palissy,ministère français de la Culture.
  65. « 31 verrières », noticeno IM64001720, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Palissy,ministère français de la Culture.
  66. La statue de Jeanne d'Arc est un peu plus petite que celle de Notre-Dame.
  67. http://www.villedegarlin.fr/VilledeGarlin/Garlin_Infos_files/garlin infos n°1 TC.pdf p. 3
  68. D'autres œuvres de Bergès avaient été restaurées ailleurs, par exemple àLardenne :http://toulouse.catholique.fr/Histoire-et-Patrimoine-1055 (2008)
  69. http://www.villedegarlin.fr/VilledeGarlin/Garlin_Infos_files/garlin infos n°2 TC.pdf p. 4, Église (voir le calendrier p. 8 (2009))
  70. L'Écho des 20 clochers, Bulletin annuel n° 27, octobre 2017, p. 8
  71. « Couvent de capucins », noticeno IA00026282, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mérimée,ministère français de la Culture.
  72. Communauté de communes du canton de Garlin - Notice sur les écoles primaires du canton
  73. Site du collège Joseph Peyré
  74. « Liurette, Auguste Guillaume »,base Léonore,ministère français de la Culture,p. 1.
  75. Hubert Monteilhet, « Remerciements »,L'Empreinte du Ciel, Presses de la Renaissance, 2000,p. 267. —« Hubert Monteilhet », sur present.fr, 14 mai 2019 (consulté le 16 mai 2019).

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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