Pour les articles homonymes, voirGargilesse etDampierre.
| Gargilesse-Dampierre | |||||
La mairie en 2010. | |||||
| Administration | |||||
|---|---|---|---|---|---|
| Pays | |||||
| Région | Centre-Val de Loire | ||||
| Département | Indre | ||||
| Arrondissement | Châteauroux | ||||
| Intercommunalité | Communauté de communes Éguzon - Argenton - Vallée de la Creuse | ||||
| Maire Mandat | Martine Sabroux-Idoux 2020-2026 | ||||
| Code postal | 36190 | ||||
| Code commune | 36081 | ||||
| Démographie | |||||
| Gentilé | Gargilessois | ||||
| Population municipale | 267 hab.(2022 | ||||
| Densité | 17 hab./km2 | ||||
| Géographie | |||||
| Coordonnées | 46° 30′ 52″ nord, 1° 35′ 52″ est | ||||
| Altitude | Min. 124 m Max. 275 m | ||||
| Superficie | 15,72 km2 | ||||
| Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
| Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
| Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
| Élections | |||||
| Départementales | Canton d'Argenton-sur-Creuse | ||||
| Législatives | Deuxième circonscription | ||||
| Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte :France Géolocalisation sur la carte :France Géolocalisation sur la carte :Indre Géolocalisation sur la carte :Centre-Val de Loire | |||||
| Liens | |||||
| Site web | gargilesse.fr | ||||
| modifier | |||||
Gargilesse-Dampierre est unecommune française située dans ledépartement de l'Indre, enrégionCentre-Val de Loire.
La commune est adhérente de l'associationLes Plus Beaux Villages de France.
Lepatrimoine architectural de la commune comprend quatre immeubles protégés au titre desmonuments historiques. Lechâteau, construit aux13e et 14e siècles puis agrandi aux16e et 18e siècles, est classé en 1942 (tour de l'ancien château) et inscrit en 1986 (façades et toitures du corps de logis, terrasse Sud, tour carrée à l'est, escalier intérieur). L'église Saint-Laurent-et-Notre-Dame, construite au11e siècle, est classée en 1840. LaMaison de George Sand, demeure de l’écrivaine, remaniée auXIXe siècle, est classée en 192. L’église Saint-Pierre, nef duXIIe siècle, choeur duXIIIe siècle voûté auXVe siècle, est inscrite en 1932.
La commune est située dans le sud[1] du département, dans larégion naturelle duBoischaut Sud.
Les communes limitrophes[1] sont :Ceaulmont (2 km),Badecon-le-Pin (3 km),Baraize (4 km),Cuzion (4 km),Pommiers (5 km),Orsennes (8 km) etSaint-Plantaire (8 km).
Les communes chefs-lieux[1] et préfectorales sont :Argenton-sur-Creuse (12 km),La Châtre (31 km),Châteauroux (34 km),Le Blanc (43 km) etIssoudun (57 km).
Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : le Bois Rigaud, Malicorne, Bourny et la Roue[2].
La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[3].
Le territoire communal est arrosé par les rivièresCreuse[2] etGargilesse[2].
Pour des articles plus généraux, voirClimat du Centre-Val de Loire etClimat de l'Indre.
Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[4]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[5]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique altéré[6] et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[7]. Elle est en outre dans lazone H2b au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[8],[9].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de11,7 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 804 mm, avec11,1 jours de précipitations en janvier et7,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune d'Éguzon-Chantôme à8 km àvol d'oiseau[10], est de12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 934,4 mm[11],[12]. La température maximale relevée sur cette station est de41 °C, atteinte le ; la température minimale est de−17,1 °C, atteinte le[Note 1].
Le territoire communal est desservi par les routes départementales :38, 39, 40, 45 et 91[13].
Lesgares ferroviaires les plus proches sont les gares d'Éguzon[13] (11 km) etArgenton-sur-Creuse[13] (12 km) 2 h 30 par la gare d'Austerlitz à Paris.
Gargilesse-Dampierre est desservie par la ligne K duRéseau de mobilité interurbaine[14].
L'aéroport le plus proche est celuide Châteauroux-Centre[13], à 49 km par l'autoroute 36
Le territoire communal est traversé par lesentier de grande randonnée 654[2] et par lesentier de grande randonnée de pays du Val de Creuse[2].
Gargilesse est un des principaux chemins de Compostelle où pèlerins et pèlerines font halte à l'Hôtel des Artistes.
Au, Gargilesse-Dampierre est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15].Elle est située hors unité urbaine[16] et hors attraction des villes[17],[18].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (76,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :prairies (46,1 %), zones agricoles hétérogènes (24,3 %), forêts (21 %),terres arables (6,1 %), zones urbanisées (1,6 %), eaux continentales[Note 2] (0,9 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[20] de la commune :
| Date du relevé | 2013 | 2015 |
|---|---|---|
| Nombre total de logements | 308 | 316 |
| Résidences principales | 52,7 % | 53,2 % |
| Résidences secondaires | 36,9 % | 37,3 % |
| Logements vacants | 10,4 % | 9,5 % |
| Part des ménages propriétaires de leur résidence principale | 87,6 % | 88,1 % |
Le territoire de la commune de Gargilesse-Dampierre est vulnérable à différentsaléas naturels :météorologiques (tempête,orage,neige, grand froid,canicule ousécheresse),inondations etséisme (sismicité faible). Il est également exposé à unrisque technologique, larupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque deradon[21]. Un site publié par leBRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par lerisque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment laGargilesse et laCreuse. La commune a été reconnue enétat de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations etcoulées de boue survenues en 1982, 1983, 1990, 1999 et 2008[23],[21].

Leretrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer desdommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes desécheresse et de pluie. 66,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 295 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 200 sont en aléa moyen ou fort, soit 68 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national auretrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site duBRGM[24],[25].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2019 et par des mouvements de terrain en 1983 et 1999[21].
La commune est en outre située en aval duBarrage d'Éguzon, de classe A[Note 3] et faisant l'objet d'unPPI, mis en eau en 1926, d’une hauteur de 58 mètres et retenant un volume de57,3 millions de mètres cubes. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à larupture de cet ouvrage[27].
Dans plusieurs parties du territoire national, leradon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population auxrayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Gargilesse-Dampierre est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[28].
Le nom de la localité est attesté sous la formeParrochia de Dampeire en1212[29]. Réunie àGargilesse en1823, elle ne prendra le nom deGargilesse-Dampierre qu'en1947. Le nomGargilesse-Dampierre, résulte de la fusion en1823, des communes voisines deGargilesse et deDampierre.
La mention de1212 signifie « paroisse de Dampierre »,Dampeire étant une formeoccitanisée. En réalité, le type toponymiqueDampierre est généralement caractéristique des pays delangue d'oïl, il a pour homonymeDompierre[30]. Le premier élément est l'ancien françaisdam, dom, issu du latin populairedomnus au sens de « saint »[31] (cf.dame issu dedomna). Le second élément-pierre se réfère donc àsaint Pierre, bien qu'il soit souvent tombé dans l'attraction du nom communpierre[31].
Une hypothèse ancienne formulée parLaugardière propose que le nomGargilesse serait formé à partir deGargel-issa, signifiant « rivière aux bords plantés de houx ».Une autre interprétation, fondée sur une analyse linguistique plus ancienne, relieGargilesse à une basegarg- ougargel-, dérivée d’un élargissement de la racine pré-indo-européennegar- (variante decar-), signifiant « pierre » ou « rocher ». Ce type de formation est cohérent avec le relief escarpé du site de Gargilesse, situé sur un éperon rocheux dominant la confluence de laCreuse et de laGargilesse[32].
Le nom deGargilesse se réfère à larivière du même nom qui par un processus fréquemment observé, est devenu également untoponyme.
Ses habitants sont appelés les Gargilessois[33].
AuVIIIe siècle, les comtes de Gargilesse y édifient un château fort et guerroient sans relâche pour défendre leur fief. À la fin duXe siècle, sous le règne deRobert le Pieux, Hugues de Gargilesse est un personnage considérable.
AuXIIe siècle, Hugues deNaillac, devient seigneur de Gargilesse par son mariage. Il s'illustre en conduisant une croisade des gens duBerry jusqu'enTerre sainte et rapporte au château une statue de Vierge byzantine, cadeau d'un moine deConstantinople et dont la bienfaisante protection se serait avérée durant les combats. Hugues de Naillac construit pour elle la chapelle romane attenante au château, aujourd'hui église paroissiale du village. La porte communicante avec le château a été murée mais la chapelle a conservé de très beaux chapiteaux et sa crypte recèle de curieuses fresques.
Durant laguerre de Cent Ans, la famille de Naillac est divisée : certains de ses membres, favorables aux Anglais virent leurs biens confisqués par le roi de France. D'autres, fidèles au roi furent tués au combat et faute de successeurs directs, Gargilesse échut par testament à Jeande Priede Buzançais en1389, puis à la famille de Châteauneuf[34].
Au moment de laRenaissance, Antoinette de Châteauneuf, fille unique d'Antoine, seigneur de Gargilesse etLuçay, et d'Anne de Menou, apporte Gargilesse en dot à son mari,Jean de Rochefort en1518. Participant aux guerres d'Italie il est fait prisonnier lors du désastre de Pavie aux côtés deFrançois Ier dont il devient par la suite le chambellan et le conseiller.
Au début duXVIIe siècle, Charlotte de Rochefort vend le château à René du Bost du Breuil du Broutet, gentilhomme et chevalier du RoiHenri IV[35], ex-gouverneur du fort de Brescou[35], fort riche, désireux de porter le titre de comte qui s'y rattachait. Son fils Charles[36], partisan de la Fronde et du Prince de Condé, vient se réfugier au château avec 91 hommes d'armes, 29 serviteurs et 150 chevaux. Le château fut assiégé pendant quinze jours par un détachement des armées de Turenne puis pris d'assaut, incendié et démantelé. Gargilesse n'est plus que ruines et s'endort pour 100 ans.
En1750, l'épouse de Louis Charles du Bost du Breuil Olympe de Chevigny, reconstruit sur les ruines un « château neuf » : c'est le manoir de styleXVIIIe siècle qui se visite aujourd'hui. De l'ancienne demeure féodale il ne subsiste que la poterne et quelques contreforts. La tour carrée, également conservée lors de la reconstruction, date duXVIIe siècle et était à l'origine, le tombeau des seigneurs de Gargilesse.
Le château traverse sans dommage la période révolutionnaire : Louis Charles Pierre du Bost du Breuil est emprisonné sous la Terreur mais il échappa à la guillotine et retrouva ses biens mis sous scellés.
George Sand est cette illustre écrivaine qui a tant aimé le village et sa région. Elle nous présente un des derniers représentants de la lignée, Antoine Charles du Bost du Breuil : « (…) un solide vieillard de quatre-vingts ans qui s'en va encore tout seul, à pied, par une chaleur torride, à travers les sentiers escarpés de ses vastes domaines. Riche de cinquante mille livres de rente, dit-on, il n'a jamais rien restauré que je sache ; mais il n'a jamais rien détruit ; sachons-lui en gré »[37].
Soldats de laGrande Armée, natifs de Dampierre, ayant participé auxguerres napoléoniennes :
L'arrière-petit-fils d'Antoine Charles est le comte Louis-Marie de Danne. Il participe à laPremière Guerre mondiale et reçoit laCroix de chevalier de la Légion d'honneur à titre militaire, et laCroix de guerre. Il va demeurer à Gargilesse et fait quelques actions lors de laDeuxième Guerre mondiale en compagnie de son épouse Elizabeth, une Américaine née àChicago. Son fils Louis-Léon de Danne, homme de lettres, plus jeune élu de France en1953, est le dernier propriétaire titré du château jusqu'au début desannées 1980 où il le vend. Il a notamment écritGargilesse aux oiseaux, préfacé parDaniel Rops, de l’Académie française.
Pendant laSeconde Guerre mondiale, laRésistance a été très active sur la commune. Le, une attaque de l'armée allemande contre le maquis du Moulin-Garat a entraîné un massacre qui a fait douze victimes dont plusieurs civils.
La commune fut rattachée de 1973 à 2015 aucanton d'Éguzon-Chantôme et du au à lacommunauté de communes du pays d'Éguzon - Val de Creuse.
La commune dépend de l'arrondissement de Châteauroux, ducanton d'Argenton-sur-Creuse, de ladeuxième circonscription de l'Indre et de lacommunauté de communes Éguzon - Argenton - Vallée de la Creuse[16].
Elle dispose d'uneagence postale communale[38] et d'unoffice de tourisme[39].
| Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
|---|---|---|---|---|
| avant 1988 | 1989 | Fernand Baudat | ||
| mars 1989[40],[41],[42],[43] | mars 2021(décès) | Vanik Berberian | SE (ex-MoDem) | Formateur, Président de l'Association des maires ruraux de France[44] |
| juin 2021[45] | en cours | Martine Sabroux-Idoux | ||
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[47].
En 2022, la commune comptait 267 habitants[Note 4], en évolution de −8,56 % par rapport à 2016 (Indre : −3 %,France horsMayotte : +2,11 %).
| 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 380 | 261 | 273 | 342 | 548 | 649 | 640 | 701 | 716 |
| 1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 734 | 762 | 773 | 794 | 837 | 878 | 896 | 843 | 767 |
| 1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 765 | 747 | 709 | 607 | 569 | 686 | 522 | 510 | 487 |
| 1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2007 | 2012 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 445 | 400 | 363 | 347 | 342 | 324 | 325 | 325 | 304 |
| 2017 | 2022 | - | - | - | - | - | - | - |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 285 | 267 | - | - | - | - | - | - | - |

La commune dépend de la circonscription académique de La Châtre.
Plusieurs manifestations culturelles ont lieu chaque année, comme le « Festival de musique » (la seconde quinzaine d'août), le « stage deharpe et demusique de chambre », le Marché aux fleurs et aux produits fermiers (2edimanche demai), la « Foire aux livres et vieux papiers », l'Exposition libre dans la rue (dimanche précédent le15 août) et la Journées du livre (dernier week-end deseptembre).
Elle dispose d'une salle des fêtes (Ferme du Château) et d'une autre salle pour les expositions, avec hébergement à l'étage (gite d'artiste).
La commune est couverte par les médias suivants :La Nouvelle République du Centre-Ouest,Le Berry républicain,L'Écho - La Marseillaise,La Bouinotte,Le Petit Berrichon,L'Écho du Berry,France 3 Centre-Val de Loire,Berry Issoudun Première,Vibration,Forum,France Bleu Berry etRCF en Berry.
| Précédé par | Suivi par | |||||
|---|---|---|---|---|---|---|
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La commune se situe dans la zone d’emploi de Châteauroux et dans le bassin de vie d’Argenton-sur-Creuse[16].
La commune dispose de plusieurs commerces dont un bar-tabac, une auberge et quatre restaurants.
Un camping est présent dans la commune. Il s'agit du camping et chalets de la Chaumerette qui dispose de 65 emplacements[52].
Membre de l'associationLes plus beaux villages de France, la commune arbore le logo de l'association[53]. Gargilesse-Dampierre a obtenu auconcours des villes et villages fleuris une fleur en : 2005[54], 2006[55], 2007[56], 2008[57], 2011[58], 2013, 2014, 2015 et 2016[59].
| Blason | D'azur à deux lions léopardés d'or, l'un sur l'autre. | |
|---|---|---|
| Détails | Ces armes sont celles de Guillaume de Naillac (bien que dans l'église sa pierre tombale présente un léopard classique, et solitaire...) La commune n'a pas de blason officiel, mais utilise comme emblème municipal (pour son papier à lettres par exemple) deux lions léopardés d'or, sans écu qui proviennent des armes du blason de Guillaume de Naillac (d'azur à deux lions léopardés d'or). |
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