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Gallium

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Gallium
Image illustrative de l’article Gallium
Gallium à l'état solide.
ZincGalliumGermanium
Al
 Structure cristalline orthorhombique à base centrée
 
31
Ga
 
        
        
                  
                  
                                
                                
  
                      
Ga
In
Tableau completTableau étendu
Position dans letableau périodique
SymboleGa
NomGallium
Numéro atomique31
Groupe13
Période4e période
BlocBloc p
Famille d'élémentsMétal pauvre
Configuration électronique[Ar] 4s2 3d10 4p1
Électrons parniveau d’énergie2, 8, 18, 3
Propriétés atomiques de l'élément
Masse atomique69,723 ± 0,001 u[1]
Rayon atomique(calc)130 pm (136 pm)
Rayon de covalence122 ± 3 pm[2]
Rayon de van der Waals187 pm
État d’oxydation+3
Électronégativité(Pauling)1,81
OxydeAmphotère
Énergies d’ionisation[1]
1re :5,999 301 eV2e :20,515 15 eV
3e :30,725 8 eV4e :63,241 eV
5e :86,01 eV6e :112,7 eV
7e :140,9 eV8e :169,9 eV
9e :210,8 eV10e :244,0 eV
11e :280,7 eV12e :319,2 eV
13e :357,2 eV14e :471,2 eV
15e :508,8 eV16e :548,3 eV
Isotopes les plus stables
IsoANPériodeMDEdPD
MeV
69Ga60,1 %stable avec 38neutrons
71Ga39,892 %stable avec 40neutrons
Propriétés physiques ducorps simple
État ordinairesolidediamagnétique
Masse volumique5,904 g/cm3 (solide,29,6 °C),
6,095 
g/cm3 (liquide,29,6 °C)[1]
Système cristallinOrthorhombique à base centrée
(no 64 :Cmce)
Dureté(Mohs)1,5
CouleurBlanc argenté
Point de fusion29,764 6 °C[3]
Point d’ébullition2 403 °C[4]
Enthalpie de fusion5,59 kJ/mol
Enthalpie de vaporisation254 kJ/mol (1 atm,2 204 °C)[1]
Volume molaire11,80 × 10−6 m3/mol
Pression de vapeur9,31 × 10−6 Pa à29,76 °C
Vitesse du son2 740 m/s à20 °C
Chaleur massique370 J/kg/K
Conductivité électrique6,78 × 106 S/m
Conductivité thermique40,6 W/m/K
Solubilitésol. dansHCl[5]
Divers
No CAS7440-55-3[6]
No ECHA100.028.330
No CE231-163-8
Précautions
SGH[7]
SGH05 : Corrosif
Danger
H290,H314,P234,P280,P301+P330+P331,P303+P361+P353,P305+P351+P338 etP309+P311
H290 : Peut être corrosif pour les métaux
H314 : Provoque de graves brûlures de la peau et des lésions oculaires
P234 : Conserver uniquement dans le récipient d’origine.
P280 : Porter des gants de protection/des vêtements de protection/un équipement de protection des yeux/du visage.
P301+P330+P331 : En cas d'ingestion : rincer la bouche. NE PAS faire vomir.
P303+P361+P353 : En cas de contact avec la peau (ou les cheveux) : enlever immédiatement les vêtements contaminés. Rincer la peau à l’eau/se doucher.
P305+P351+P338 : En cas de contact avec les yeux : rincer avec précaution à l’eau pendant plusieurs minutes. Enlever les lentilles de contact si la victime en porte et si elles peuvent être facilement enlevées. Continuer à rincer.
P309+P311 : En cas d’exposition prouvée ou suspectée : appeler immédiatement un CENTRE ANTIPOISON ou un médecin.
SIMDUT[8]

Produit non classé
La classification de ce produit n'a pas encore été validée par le Service du répertoire toxicologique

Divulgation à 1,0% selon la liste de divulgation des ingrédients
Transport[7]
Code Kemler :
80 : matière corrosive ou présentant un degré mineur de corrosivité
Numéro ONU :
2803 : GALLIUM
Classe :
8
Code de classification :
C10 : Matières corrosives sans risque subsidiaire ;
Autres matières corrosives:
Liquides ;
Étiquette :
pictogramme ADR 8
8 : Matières corrosives
Emballage :
Groupe d'emballageIII : matières faiblement dangereuses.

-
Numéro ONU :
3554 :
Classe :
8
Code de classification :
C11 : Matières corrosives :
Objets ;
Étiquette :
pictogramme ADR 8
8 : Matières corrosives
Emballage :
Groupe d'emballageIII : matières faiblement dangereuses.

Unités duSI &CNTP, sauf indication contraire.
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Legallium est l'élément chimique denuméro atomique 31, desymbole Ga. Il appartient augroupe 13 dutableau périodique ainsi qu'à la famille desmétaux pauvres.

Lecorps simple gallium est unmétal. Sonpoint de fusion bas (29,76 °C) lui permet de fondre dans la main. Des traces en sont trouvées dans labauxite et les minerais dezinc.

Découverte et étymologie

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Paul-Émile Lecoq de Boisbaudran.

Prédit sous le nom d'éka-aluminium parMendeleïev, découvert en1875, son nom lui a été donné par son découvreur, le chimistefrançaisPaul-Émile Lecoq de Boisbaudran. Une théorie prétend que le nom du gallium provient de celui de son découvreur (car « coq » enlatin se ditgallus), mais Lecoq de Boisbaudran a au contraire affirmé avoir donné ce nom à l'élément« en l'honneur de la France »[9]. Par la suite, legermanium et lescandium seront nommés par analogie en référence à laGermanie et à laScandie par leurs découvreurs respectifs, l'AllemandClemens Winkler et le SuédoisLars Fredrik Nilson.

Caractéristiques notables

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Cristaux de gallium.

Le gallium pur a un aspect argenté et il se brise sous forme solide de la même manière que leverre. Le volume du gallium augmente de 3,1 % lorsqu'il se solidifie[a] et pour cette raison ne doit pas être stocké dans un récipient en verre ou en métal. Le gallium corrode la plupart des autres métaux en se diffusant dans le réseau métallique.Du fait de sonpoint de fusion de29,76 °C[3], proche de la température ambiante, le gallium peut y être maintenu liquide grâce au phénomène desurfusion — il en va de même pour lecésium et lerubidium, lemercure étant le seul métal liquide avec un point de fusion inférieur à°C. Il peut pour cette raison être utilisé dans les thermomètres à haute température. Il est aussi connu pour avoir une faiblepression de vapeur à haute température.

Isotopes

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Article détaillé :Isotopes du gallium.

Le gallium possède 31 isotopes connus, de nombre de masse variant de 56 à 86, ainsi que troisisomères nucléaires. Parmi ces isotopes, deux sont stables,69Ga et71Ga, et constituent l'ensemble du gallium naturel dans une proportion 60/40. La masse atomique standard du gallium est donc de 69,723(1)u.

Les radioisotopes67Ga et68Ga sont utilisés en imagerie médicale (scintigraphie au gallium ettomographie par émission de positons). Le gallium 68 a été testé commemédicament radiopharmaceutique etradiomarqueur, mais il se montre« extrêmement sensible, notamment aupH, à la température ou aux métaux contaminants »[10].

Production

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Gallium 6N enfermé dans une ampoule sous vide.

Technique de production

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Comme l'aluminium qui est juste au-dessus dans letableau périodique des éléments, le gallium est présent dans la nature à l'état d'oxydation +3. Il se rencontre sous forme d'impuretés dans les minerais d'aluminium (bauxite). Lors de l'obtention de l'alumine parhydrométallurgie (procédé Bayer), les ions Ga3+, qui ont des propriétés similaires aux ions Al3+, sont extraits sous forme d'ions gallate GaO2 en même temps que les ions aluminate AlO2. Cependant, les ions gallate ne précipitent pas sous forme d'hydroxyde de gallium(III) Ga(OH)3 lors de l'étape de précipitation de l'hydroxyde d'aluminium Al(OH)3 puisqu'ils sont en trop faible concentration. La solution basique surnageante de l'étape de précipitation étant réutilisée pour une nouvelle extraction d'ions aluminium, le gallium subit un phénomène de concentration. Quand les ions gallate sont suffisamment concentrés, la solution est orientée dans une cellule d'électrolyse.

Grâce à son potentiel rédox (E° = -0,56V), bien plus élevé que celui de l'aluminium, le gallium peut être sélectivement réduit sous forme d'amalgame de gallium (Ga[Hg]) par électrolyse dans des cellules à cathode de mercure. La décomposition de cet amalgame en milieu basique redonne du gallate de sodium, mais cette fois sans aluminium. Une seconde électrolyse donne du gallium métallique avec un bon niveau de pureté. Les données industrielles étant confidentielles, peu d'informations détaillées sont accessibles[11], mais une obtention par électrolyse donne dans le cas du cuivre une pureté de 99,99 %. L'ultrapurification du gallium (99,9999 %), que requiert l'industrie dessemi-conducteurs, est conduite par le procédé de croissance monocristalline (méthode de la zone fondue) et est commercialement, dans les décennies 2000/2010, largement disponible.

Le gallium est principalement utilisé pour produire de l'arséniure de gallium (GaAs) et dunitrure de gallium (GaN)[12].

Statistiques de production et réserves

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La production annuelle en 2008 était de 111 tonnes[13]. La Chine produisait 83 % de l'approvisionnement mondial[14] en 2006, et 98 % du gallium raffiné en 2024[15].

Les réserves sont difficilement évaluables. Elles sont cependant estimées à 1 Mt[16], soit 9 000 ans de production annuelle.

Utilisations

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La principale utilisation du gallium est la fabrication de divers matériauxsemi-conducteurs. On peut notamment citer parmi les semi-conducteurs binaires III-V l'arséniure de gallium (GaAs), l'antimoniure de gallium (GaSb), lephosphure de gallium (GaP) et lenitrure de gallium (GaN), et parmi les principaux semi-conducteurs ternaires, l'arséniure d'aluminium-gallium (AlGaAs) et lenitrure d'aluminium-gallium (AlGaN). Parmi ces matériaux, le plus courant est l'arséniure de gallium, second matériau semi-conducteur le plus utilisé derrière lesilicium ; il possède par rapport à ce dernier des propriétés électroniques et opto-électroniques intéressantes, notamment une conductivité des électrons plus importante, ainsi qu'un gap direct permettant, contrairement au silicium, de l'utiliser dans des applications optoélectroniques, aussi bien dans des dispositifs d'émission (LED) que de détection (photodétecteur). Il constitue le substrat privilégié des composants actifshyperfréquences. Le gallium est utilisé pour les dépôts encouche mince enépitaxie en phase gazeuse (MOCVD) pour le dépôt de couches de GaAs ou de GaN épitaxiées, sous deux formes[17] :


L'alliage du gallium avec l'indium et l'étain appelégalinstan est souvent utilisé dans lesthermomètres depuis l’interdiction dumercure.

Un radioisotope du gallium,67Ga est utilisé enimagerie médicale (scintigraphie au gallium 67), dans la détection de sites d'inflammation, de sites d'infection —ostéomyélite, abcès et autres infections localisées, infections tuberculeuses et àmycobactéries,pneumonie à P. Carinei, etc. — ainsi que dans la recherche de certainesnéoplasies, notamment leslymphomes et lescarcinomes hépatocellulaires. Un autre radioisotope,68Ga, est lui utilisé, pour l'instant de façon marginale, comme émetteur depositron entomographie par émission de positrons (PET scan).

Le gallium est aussi généralement la source d'ions utilisée dans lasonde ionique focalisée.

Le gallium peut être aussi utilisé comme détecteur deneutrinos, par exemple dans l'expérienceGALLEX.

Toxicologie et santé environnementale

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En dépit du potentiel de risques d'exposition à l'arséniure de gallium (GaAs) dans l'industrie des semi-conducteurs, le gallium ne semble pas avoir fait l'objet d'études toxicologiques ou écotoxicologiques poussées. Le gallium était considéré comme faiblement toxique et réputé ne pas présenter de problème pour la santé aux doses habituellement présentes dans notre environnement ou alimentation[18]. Il semble néanmoins corrosif pour lapeau et lesmuqueuses[19].

Certains de ses composés présentent une toxicité encore mal comprise ; lié à l'un des composants (arsenic par exemple) ou intrinsèque.

Cinétique corporelle du gallium

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La cinétique corporelle du gallium ingéré ou inhalé, et sa métabolisation semble encore mal connues, mais selon les études disponibles :

Écotoxicologie

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Latoxicité du gallium pour l'environnement est encore peu étudiée. On sait cependant qu'il présente une certaine toxicité pour lesbactéries, plus ou moins élevée — au moins chezPseudomonas fluorescens[25] — selon la présence ou l'absence d'oligo-éléments tels que le fer et lesphosphates.P. fluorescens dispose en revanche d'une certaine capacité d'excrétion du gallium[25].

Dans la littérature

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  • Dans le romanGallium[26] d'Olivier Marchand, ledopage et latransmutation du gallium sont au cœur de l'intrigue d'un monde brutalement dépourvu des techniques modernes.

Notes et références

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Notes

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  1. Le gallium solide flotte donc sur du gallium liquide, comme pour la glace et l'eau.

Références

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  1. abc etd(en) David R. Lide,CRC Handbook of Chemistry and Physics, CRC Press Inc,,90e éd., 2804 p., Relié(ISBN 978-1-420-09084-0)
  2. (en)Beatriz Cordero, Verónica Gómez, Ana E. Platero-Prats, Marc Revés, Jorge Echeverría, Eduard Cremades, Flavia Barragán et Santiago Alvarez, « Covalent radii revisited »,Dalton Transactions,‎,p. 2832 - 2838(DOI 10.1039/b801115j)
  3. a etbProcès-verbaux du Comité international des poids et mesures,78e session, 1989,pp. T1-T21 (et pp. T23-T42, version anglaise).
  4. (en)Yiming Zhang, Julian R. G. Evans et Shoufeng Yang, « Corrected Values for Boiling Points and Enthalpies of Vaporization of Elements in Handbooks »,Journal of Chemical & Engineering Data,vol. 56,no 2,‎,p. 328-337(DOI 10.1021/je1011086,lire en ligne).
  5. (en) Thomas R. Dulski,A manual for the chemical analysis of metals,vol. 25, ASTM International,, 251 p.(ISBN 0803120664,lire en ligne),p. 71
  6. Base de données Chemical Abstracts interrogée via SciFinder Web le 15 décembre 2009 (résultats de la recherche)
  7. a etbEntrée « Gallium » dans la base de données de produits chimiquesGESTIS de la IFA (organisme allemand responsable de la sécurité et de la santé au travail) (allemand,anglais), accès le 27 août 2018(JavaScript nécessaire)
  8. « Gallium élémentaire » dans la base de données de produits chimiquesReptox de laCSST (organisme québécois responsable de la sécurité et de la santé au travail), consulté le 25 avril 2009
  9. Annales de chimie et de physique | 1877 | Gallica
  10. A. Rauscher, M. Frindel, P. Baumgartner, F. K. Bodéré et A. F. Chauvet, A. F., « Retour d’expérience de 4 ans de marquage au Gallium-68 (68Ga) »,Médecine Nucléaire,vol. 41,no 3,‎,p. 186(DOI 10.1016/j.mednuc.2017.02.130).
  11. « Production et recyclage », surTechniques de l'Ingénieur(consulté le).
  12. « Métallurgie du gallium », suringenieur.fr,(consulté le).
  13. USGS
  14. Arnaud de la Grange, « Pékin joue de l'arme des « terres rares » », Le Figaro, le 25 octobre 2010
  15. Isabelle Chaperon, « IA : « D’ici à 2030, la consommation d’électricité des data centers sera équivalente à celle du Japon » », Le Monde, le 10 avril 2025.
  16. UNEP (2009), Critical Metals for Future Sustainable Technologies and their Recycling Potential
  17. Base de données d'Air liquide
  18. Arnold F. Holleman, Nils Wiberg:Lehrbuch der Anorganischen Chemie. 102. Auflage, de Gruyter, Berlin 2007,(ISBN 978-3-11-017770-1), S. 1179.
  19. BGIA GESTIS ; Gallium ; CAS=7440-55-3, 2009/11/23.
  20. Bernard Martel, Keith Cassidy:Chemical risk analysis: a practical handbook. Taylor & Francis, 2000,(ISBN 1-56032-835-5), S. 376.
  21. Peter L. Goering, Robert R. Maronpot et Bruce A. Fowler,Effect of intratracheal gallium arsenide administration on δ-aminolevulinic acid dehydratase in rats: Relationship to urinary excretion of aminolevulinic acid ; Toxicology and Applied Pharmacology ; Volume 92, Issue 2, February 1988, Pages 179-193 (Résumé)
  22. abcd eteMinoru Omura, Akiyo Tanaka, Miyki Hirata, Mangen Zhao, Yuji Makita, Naohide Inoue, Kaoru Gotoh & Noburu Ishinishi;Testicular Toxicity of Gallium Arsenide, Indium Arsenide, and Arsenic Oxide in Rats by Repetitive Intratracheal Instillation ;Toxicological Sciences (1996) 32 (1): 72-78. doi: 10.1093/toxsci/32.1.72 ; Online(ISSN 1096-0929), Print(ISSN 1096-6080). (Résumé)
  23. abcde etfSwaran J. S. Flora, Shashi N. Dube, Rajagopalan Vijayaraghavan and Satish C. Pant, 1997,Changes in certain hematological and physiological variables following single gallium arsenide exposure in ratsBiological Trace Element Research Volume 58, Number 3, 197-208, DOI: 10.1007/BF02917471 (Résumé)
  24. Webb DR, Wilson SE, Carter DE., Toxicol Appl Pharmacol. 1986 Mar 15;82(3):405-16.Comparative pulmonary toxicity of gallium arsenide, gallium(III) oxide, or arsenic(III) oxide intratracheally instilled into rats ;Résumé
  25. a etbAla Al-Aoukaty, Vasu D. Appanna and Herman Falter ;Gallium toxicity and adaptation inPseudomonas fluorescens ; FEMS Microbiology Letters ; Volume 92, Issue 3, 1 May 1992, Pages 265-272 doi:10.1016/0378-1097(92)90720-9 (Résumé).
  26. Olivier Marchand:Gallium; Amazon, 2018,(ISBN 978-1-9802-2595-9).

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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